COLLECTION BLACK. Lors des heures de travail. Fin de la saison II (6/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2021 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION BLACK. Lors des heures de travail. Fin de la saison II (6/6)
Lorsque je me suis laissé séduire par Amara, le balayeur de mes bureaux parisiens, j’ignorais que j’allais me retrouver dans un tourbillon de luxure, pour mon plus grand plaisir.
Commencé à Paris dans mes bureaux, continué au sommet de la tour Montparnasse dans le restaurant panoramique surplombant Paris avec vue sur la tour Eiffel.
En passant par un hélicoptère pour atterrir à Brest lieu où j’ai mes ateliers de fabrication et de montage d’éoliennes marine presque invisible de la côte.
Mon projet déposé et soumis aux autorités a passé toutes les étapes, surtout les gelé du cul écolo pour qui tout modernisme est diablerie.
Je me suis attelé à l’acoustique afin que les nuisances sonores soient presque de zéro sur les plages.
Brest, car la mer est bien présente et va nous permettre de faire un essai dès que mon prototype sera homologué.
Dans mon projet, si Samy signe ce projet avec moi, je pourrais gagner du temps.
Sinon, il me faudra envisager de fabriquer moi-même la partie qu’elle va me fournir.
On pourrait croire que je suis en train de faire une partie à trois dans l’hôtel Mercure de Brest pour qu’elle signe, mais la chienne que je me suis découverte est entièrement satisfaite du tournant de sa vie.
On pourrait penser que la partie de sexe a trois et surtout la lesbienne que je deviens est entièrement une découverte pour moi.
Que nénie, si Renzo a été le premier et le seul avant Amara, j’ai déjà eu une expérience de caresse vers mes 17 ans avec une femme.
Féminine pendant les vacances et dans la foulée dès la rentrée avec Renzo.
Je travaillais pendant les vacances dans une famille pour m’aider à payer mes études.
Cette femme dont j’ignore ce qu’elle est devenue m’avait engagé pour garder ses deux chérubins avec elle au bord de la mer à Royan pendant que son mari dirigeait une banque à Paris.
Villa à quelques mètres de cette grande plage ou j’avais ma chambre face à la sienne.
Je faisais jouer les enfants quand un après-midi elle m’a appelé.
J’ai cru qu’elle avait un problème, j’ai accouru.
Elle était nue sur sa terrasse, je voyais son cul sans ma moindre trace de cellulite ou de vergetures malgré ses deux grossesses.
Tous les matins, c’était la première levée, elle buvait un thé et partait courir sur la plage pendant plus d’une heure.
Sportive donc puis initiatrice à ses heures perdues.
Elle m’a tendu sa crème solaire.
J’étais à deux doigts de lui faire remarquer que ses enfants pouvaient nous rejoindre, mais j’ai fermé ma bouche, car j’étais timide et que c’était son problème.
Je dois reconnaître que de caresser son dos me faisait de l’effet.
Comme toute jeune fille, dès ma puberté, j’ai trouvé, comment me masturber.
La sensation en moi était différente que celle de mes doigts, mais je sentais le même liquide s’échapper quand je me branlais, mais là sans avoir besoin de me toucher.
Si madame m’avait demandé plus, de timide, je serais passé consentante, mais chaque jour ou sur la plage, ou nous nous mettions topless, nos caresses, ce sont arrêter là.
À la villa, j’enduisais ses fesses fermes et je continuais jusqu’à ses pieds.
Le faite de toucher sa partie charnue m’apportait une autre sensation que sur cette plage.
Dans cette chambre d’hôtel brestois, c’est une autre étape que veut me faire franchir Samy après m’avoir fait un magnifique cunnilingus.
Elle veut que mon amant m’encule.
Timide en mots, mais salope dans ma tête, je pourrais penser sodomie, mais c’est à un bon enculage que je m’apprête à pratiquer avec Amara mon amant.
Comment ai-je présenté Amara, monté comme un âne, un taureau, une bite en bois énorme et pourtant quand je sens son gland frotter ma petite rosette, je tortille du cul quémandant de me faire pourfendre.
• Attends une seconde Amara, je vais lubrifier.
Que fait cette salope de Samy dans mon dos ?
Au début, je l’ignore, mais quand je sens du liquide froid me faisant frisonner, couler sur mon anus, je sais que le champagne resté sur la table de nuit vient de servir de lubrifiant, Je l’entends déglutir, elle me suce la chatte qui elle aussi est arrosée comme peut le faire une fontaine de champagne.
Amara en profite pour entrer en moi centimètres par centimètres, la sensation d’être ouverte en deux me traverse l’esprit, mais mes sphincters sont assez souples pour finir par sentir ses bourses tapez mon derrière.
Quand mes oreilles font prendre conscience à mon cerveau que je hurle, mais de plaisir, il est trop tard, j’ai franchi en peu de temps une nouvelle frontière, je suis sodomite.
Si être sodomite s’emploie pour une femme se faisant sodomiser.
Mais j’ai du mal à penser, car cette bite me défonçant et la langue de notre nouvelle amie caressant mon clitoris qui lui aussi boit du liquide à bulles, je décolle direction le septième ciel.
Baiser en trio donne faim.
C’est à poil autour de la table que nous nous partageons le plateau que le roomservice a amené quand je suis arrivée.
La bouteille de champagne est vide, dans nos bouches, celle de Samy, mon anus et sans oublier les draps qui ont été de la fête en s’imbibant de tous nos débordements.
Aucun problème, la chambre d’Amara a un frigo avec une bouteille et un peu château branlant, Samy fait l’aller-retour pour la troisième.
Dans mon coma éthylique, je vois Amara encore plein de verdeur prendre ma copine en levrette.
Elle aussi se fait-elle enculer par notre immense verge noire.
Je voudrais aller y voir de plus prêt, mais faire le moindre geste est impossible.
• Aie ! Aie ! Aie !
• Tu as raison, Françoise tient prend ça, c’est un produit canadien spéciale gueule de bois.
Certes, ma tête, mais aussi mon anus qui se rappelle à mon bon souvenir alors qu’au moment où Amara le transperçait j’ai joui du cul et de ma chatte simultanément.
Pour ma tête, c’est vrai, la décoction qu’elle m’a fait boire marche très bien.
Pour le reste de mon corps, après un bain pris dans ma chambre et un copieux petit déjeuner sur la terrasse de l’hôtel, ça se calme un peu.
Un taxi nous conduit à mon atelier.
Pierre le contremaitre responsable en mon absence est fier de nous faire visiter nos ateliers où se trouvent les diverses pièces qui vont composer mon éolienne.
Dans ce grand hangar où nous pourrons fabriquer et monter cinq de ces engins dans le futur, j’ai dû mettre en place un système de surveillance antipiratage.
Pour notre état, mon projet est considéré comme secret-défense, car si tout fonctionne nous deviendrons le leader mondial de ce type d’éoliennes.
Samy reçoit un appel sur son portable, elle s’isole.
J’en profite pour parler à mon chef d’atelier en présence d’Amara.
• Pierre, je vous présente Amara, il va travailler avec moi donc avec vous.
Il a eu des idées de modifications pour notre projet.
Vous verrez, il sera de bon conseil, suivez-le comme vous me suivez.
Ce sera souvent lui qui viendra à Brest, cela me permettra d’être plus souvent à Paris avec mon mari et mes enfants.
• Bien madame Françoise, nous suivrons ses conseils comme nous le faisions pour les vôtres.
Samy revient.
• C’était Thierry, mon conseiller.
Il a reçu un appel de mes bureaux canadiens.
Justin veut me voir à Montréal dans les meilleurs délais.
Pardon Justin Trudeau notre Premier ministre, nous devons rentrer à Paris.
C’est foutu, même le Premier ministre canadien vient me mettre des bâtons dans les roues.
• Je te vois tracasser Françoise !
Tu peux te détendre, j’en ai assez vu et je vais signer le contrat.
Tu auras toutes les pièces que tu désires avec les transformations suggérées par Amara.
Thierry est chez ses parents et a travaillé sur les modifications du projet initial.
C’est parfaitement faisable, mieux même ça simplifie une phase de fabrication et tu feras une économie de près de 10 % par pièce, c’est loin d’être négligeable dans ton projet.
Allez en route, Thierry a fait le nécessaire pour le plan de vol jusqu’au Bourget.
Un jet privé pris en charge par le ministère de l’Industrie canadienne va me ramener quand nous serons posés.
Monsieur Pierre, y a-t-il la possibilité d’avoir un taxi pour rejoindre notre hôtel et après mon hélicoptère.
• Inutile, je vous conduis à votre hôtel puis après vers votre appareil.
Tout est rapidement fait.
Nous disons au revoir à Pierre, je le reverrais rapidement, car grâce à mon amant mon projet va démarrer en flèche.
La France est toujours aussi belle.
• C’est dur d’apprendre à piloter un hélicoptère.
• Non, tu es assez intelligente pour apprendre rapidement.
Tiens, prend le manche et regarde cet appareil, il suffit de garder cette ligne droite, je m’occupe du reste.
À part une légère dérive sur la droite, que je rattrape vite, c’est moi qui pilote notre hélicoptère.
Je me suis toujours demandé ce que je ferais si je faisais fortune.
Maintenant, je le sais, dans un premier temps, je passerais mon brevet de pilote et qui sait si sur les pistes du Bourget, je pourrais rejoindre Brest puis après ma famille plus rapidement.
Une fois posé, je vois Thierry qui attend.
Les bagages de Samy sont chargés dans un petit jet dont les turbines tournent déjà.
Nous embrassons notre amie qui m’a fait découvrir toute une autre facette de ce que ma vie va être.
• Thierry raccompagnez nos amis et demain retrouvez-vous pour signer le contrat que nous avons élaboré ensemble.
Vous leur offrirez un repas demain soir chez Ducasse.
Je vais faire le nécessaire dans l’avion.
Françoise, tu m’as dit que ton mari était instituteur, il est donc en vacances tous l’été.
Je vous invite la première quinzaine d’aoûts à venir à mon chalet de montagne au fin fond des rocheuses.
Nous pourrons chasser l’élan ou nous baigner dans mon lac de montagne.
Bien sur Amara, vous serez aussi de la partie, mon chalet est assez grand pour tous.
Je pense aussi à tes enfants Françoise.
Une de mes femmes de service pourra les garder le temps du séjour quand nous partirons traquer quelques jolies pièces.
• Merci Samy, pour les enfants, en été, ils vont chez les parents de Renzo en Corse près de Bonifacio où ils ont pris leur retraite.
Samy est en train de m’embrasser, sur la joue, il y a du monde et me glisse assez bas pour que moi seule entende.
• J’ai très envie de découvrir Renzo, ton mari...
Aie ! Aie ! Aie !
En commençant cette saison, je pensais que ce serait la dernière.
Françoise prend tellement de plaisir avec maîtresse et amant, quelle a dû demander à Samy de la retrouver au Canada.
Il semble qu’elle ait des vues sur le mari de Françoise.
Renzo acceptera-t-il de partager sa femme avec des hommes et des femmes ?
Bref de partouzer.
Vous le saurez dans la saison III de notre histoire.
Un dernier point Amara, sera-t-il du voyage, si voyage il y a car c’est toujours un sans papier même si Jean le mari de Susy lui en obtient d’ici là ?
Je vous promets que nos amis reviendront vous donner de leurs nouvelles dans les plus brefs délais.
Commencé à Paris dans mes bureaux, continué au sommet de la tour Montparnasse dans le restaurant panoramique surplombant Paris avec vue sur la tour Eiffel.
En passant par un hélicoptère pour atterrir à Brest lieu où j’ai mes ateliers de fabrication et de montage d’éoliennes marine presque invisible de la côte.
Mon projet déposé et soumis aux autorités a passé toutes les étapes, surtout les gelé du cul écolo pour qui tout modernisme est diablerie.
Je me suis attelé à l’acoustique afin que les nuisances sonores soient presque de zéro sur les plages.
Brest, car la mer est bien présente et va nous permettre de faire un essai dès que mon prototype sera homologué.
Dans mon projet, si Samy signe ce projet avec moi, je pourrais gagner du temps.
Sinon, il me faudra envisager de fabriquer moi-même la partie qu’elle va me fournir.
On pourrait croire que je suis en train de faire une partie à trois dans l’hôtel Mercure de Brest pour qu’elle signe, mais la chienne que je me suis découverte est entièrement satisfaite du tournant de sa vie.
On pourrait penser que la partie de sexe a trois et surtout la lesbienne que je deviens est entièrement une découverte pour moi.
Que nénie, si Renzo a été le premier et le seul avant Amara, j’ai déjà eu une expérience de caresse vers mes 17 ans avec une femme.
Féminine pendant les vacances et dans la foulée dès la rentrée avec Renzo.
Je travaillais pendant les vacances dans une famille pour m’aider à payer mes études.
Cette femme dont j’ignore ce qu’elle est devenue m’avait engagé pour garder ses deux chérubins avec elle au bord de la mer à Royan pendant que son mari dirigeait une banque à Paris.
Villa à quelques mètres de cette grande plage ou j’avais ma chambre face à la sienne.
Je faisais jouer les enfants quand un après-midi elle m’a appelé.
J’ai cru qu’elle avait un problème, j’ai accouru.
Elle était nue sur sa terrasse, je voyais son cul sans ma moindre trace de cellulite ou de vergetures malgré ses deux grossesses.
Tous les matins, c’était la première levée, elle buvait un thé et partait courir sur la plage pendant plus d’une heure.
Sportive donc puis initiatrice à ses heures perdues.
Elle m’a tendu sa crème solaire.
J’étais à deux doigts de lui faire remarquer que ses enfants pouvaient nous rejoindre, mais j’ai fermé ma bouche, car j’étais timide et que c’était son problème.
Je dois reconnaître que de caresser son dos me faisait de l’effet.
Comme toute jeune fille, dès ma puberté, j’ai trouvé, comment me masturber.
La sensation en moi était différente que celle de mes doigts, mais je sentais le même liquide s’échapper quand je me branlais, mais là sans avoir besoin de me toucher.
Si madame m’avait demandé plus, de timide, je serais passé consentante, mais chaque jour ou sur la plage, ou nous nous mettions topless, nos caresses, ce sont arrêter là.
À la villa, j’enduisais ses fesses fermes et je continuais jusqu’à ses pieds.
Le faite de toucher sa partie charnue m’apportait une autre sensation que sur cette plage.
Dans cette chambre d’hôtel brestois, c’est une autre étape que veut me faire franchir Samy après m’avoir fait un magnifique cunnilingus.
Elle veut que mon amant m’encule.
Timide en mots, mais salope dans ma tête, je pourrais penser sodomie, mais c’est à un bon enculage que je m’apprête à pratiquer avec Amara mon amant.
Comment ai-je présenté Amara, monté comme un âne, un taureau, une bite en bois énorme et pourtant quand je sens son gland frotter ma petite rosette, je tortille du cul quémandant de me faire pourfendre.
• Attends une seconde Amara, je vais lubrifier.
Que fait cette salope de Samy dans mon dos ?
Au début, je l’ignore, mais quand je sens du liquide froid me faisant frisonner, couler sur mon anus, je sais que le champagne resté sur la table de nuit vient de servir de lubrifiant, Je l’entends déglutir, elle me suce la chatte qui elle aussi est arrosée comme peut le faire une fontaine de champagne.
Amara en profite pour entrer en moi centimètres par centimètres, la sensation d’être ouverte en deux me traverse l’esprit, mais mes sphincters sont assez souples pour finir par sentir ses bourses tapez mon derrière.
Quand mes oreilles font prendre conscience à mon cerveau que je hurle, mais de plaisir, il est trop tard, j’ai franchi en peu de temps une nouvelle frontière, je suis sodomite.
Si être sodomite s’emploie pour une femme se faisant sodomiser.
Mais j’ai du mal à penser, car cette bite me défonçant et la langue de notre nouvelle amie caressant mon clitoris qui lui aussi boit du liquide à bulles, je décolle direction le septième ciel.
Baiser en trio donne faim.
C’est à poil autour de la table que nous nous partageons le plateau que le roomservice a amené quand je suis arrivée.
La bouteille de champagne est vide, dans nos bouches, celle de Samy, mon anus et sans oublier les draps qui ont été de la fête en s’imbibant de tous nos débordements.
Aucun problème, la chambre d’Amara a un frigo avec une bouteille et un peu château branlant, Samy fait l’aller-retour pour la troisième.
Dans mon coma éthylique, je vois Amara encore plein de verdeur prendre ma copine en levrette.
Elle aussi se fait-elle enculer par notre immense verge noire.
Je voudrais aller y voir de plus prêt, mais faire le moindre geste est impossible.
• Aie ! Aie ! Aie !
• Tu as raison, Françoise tient prend ça, c’est un produit canadien spéciale gueule de bois.
Certes, ma tête, mais aussi mon anus qui se rappelle à mon bon souvenir alors qu’au moment où Amara le transperçait j’ai joui du cul et de ma chatte simultanément.
Pour ma tête, c’est vrai, la décoction qu’elle m’a fait boire marche très bien.
Pour le reste de mon corps, après un bain pris dans ma chambre et un copieux petit déjeuner sur la terrasse de l’hôtel, ça se calme un peu.
Un taxi nous conduit à mon atelier.
Pierre le contremaitre responsable en mon absence est fier de nous faire visiter nos ateliers où se trouvent les diverses pièces qui vont composer mon éolienne.
Dans ce grand hangar où nous pourrons fabriquer et monter cinq de ces engins dans le futur, j’ai dû mettre en place un système de surveillance antipiratage.
Pour notre état, mon projet est considéré comme secret-défense, car si tout fonctionne nous deviendrons le leader mondial de ce type d’éoliennes.
Samy reçoit un appel sur son portable, elle s’isole.
J’en profite pour parler à mon chef d’atelier en présence d’Amara.
• Pierre, je vous présente Amara, il va travailler avec moi donc avec vous.
Il a eu des idées de modifications pour notre projet.
Vous verrez, il sera de bon conseil, suivez-le comme vous me suivez.
Ce sera souvent lui qui viendra à Brest, cela me permettra d’être plus souvent à Paris avec mon mari et mes enfants.
• Bien madame Françoise, nous suivrons ses conseils comme nous le faisions pour les vôtres.
Samy revient.
• C’était Thierry, mon conseiller.
Il a reçu un appel de mes bureaux canadiens.
Justin veut me voir à Montréal dans les meilleurs délais.
Pardon Justin Trudeau notre Premier ministre, nous devons rentrer à Paris.
C’est foutu, même le Premier ministre canadien vient me mettre des bâtons dans les roues.
• Je te vois tracasser Françoise !
Tu peux te détendre, j’en ai assez vu et je vais signer le contrat.
Tu auras toutes les pièces que tu désires avec les transformations suggérées par Amara.
Thierry est chez ses parents et a travaillé sur les modifications du projet initial.
C’est parfaitement faisable, mieux même ça simplifie une phase de fabrication et tu feras une économie de près de 10 % par pièce, c’est loin d’être négligeable dans ton projet.
Allez en route, Thierry a fait le nécessaire pour le plan de vol jusqu’au Bourget.
Un jet privé pris en charge par le ministère de l’Industrie canadienne va me ramener quand nous serons posés.
Monsieur Pierre, y a-t-il la possibilité d’avoir un taxi pour rejoindre notre hôtel et après mon hélicoptère.
• Inutile, je vous conduis à votre hôtel puis après vers votre appareil.
Tout est rapidement fait.
Nous disons au revoir à Pierre, je le reverrais rapidement, car grâce à mon amant mon projet va démarrer en flèche.
La France est toujours aussi belle.
• C’est dur d’apprendre à piloter un hélicoptère.
• Non, tu es assez intelligente pour apprendre rapidement.
Tiens, prend le manche et regarde cet appareil, il suffit de garder cette ligne droite, je m’occupe du reste.
À part une légère dérive sur la droite, que je rattrape vite, c’est moi qui pilote notre hélicoptère.
Je me suis toujours demandé ce que je ferais si je faisais fortune.
Maintenant, je le sais, dans un premier temps, je passerais mon brevet de pilote et qui sait si sur les pistes du Bourget, je pourrais rejoindre Brest puis après ma famille plus rapidement.
Une fois posé, je vois Thierry qui attend.
Les bagages de Samy sont chargés dans un petit jet dont les turbines tournent déjà.
Nous embrassons notre amie qui m’a fait découvrir toute une autre facette de ce que ma vie va être.
• Thierry raccompagnez nos amis et demain retrouvez-vous pour signer le contrat que nous avons élaboré ensemble.
Vous leur offrirez un repas demain soir chez Ducasse.
Je vais faire le nécessaire dans l’avion.
Françoise, tu m’as dit que ton mari était instituteur, il est donc en vacances tous l’été.
Je vous invite la première quinzaine d’aoûts à venir à mon chalet de montagne au fin fond des rocheuses.
Nous pourrons chasser l’élan ou nous baigner dans mon lac de montagne.
Bien sur Amara, vous serez aussi de la partie, mon chalet est assez grand pour tous.
Je pense aussi à tes enfants Françoise.
Une de mes femmes de service pourra les garder le temps du séjour quand nous partirons traquer quelques jolies pièces.
• Merci Samy, pour les enfants, en été, ils vont chez les parents de Renzo en Corse près de Bonifacio où ils ont pris leur retraite.
Samy est en train de m’embrasser, sur la joue, il y a du monde et me glisse assez bas pour que moi seule entende.
• J’ai très envie de découvrir Renzo, ton mari...
Aie ! Aie ! Aie !
En commençant cette saison, je pensais que ce serait la dernière.
Françoise prend tellement de plaisir avec maîtresse et amant, quelle a dû demander à Samy de la retrouver au Canada.
Il semble qu’elle ait des vues sur le mari de Françoise.
Renzo acceptera-t-il de partager sa femme avec des hommes et des femmes ?
Bref de partouzer.
Vous le saurez dans la saison III de notre histoire.
Un dernier point Amara, sera-t-il du voyage, si voyage il y a car c’est toujours un sans papier même si Jean le mari de Susy lui en obtient d’ici là ?
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