COLLECTION BLACK. Ma bite devait être rasée (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION BLACK. Ma bite devait être rasée (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BLACK. Ma bite devait être rasée (1/1)
• Qui m’a foutu une telle bande de bras cassés, j’avais demandé pour ces deux scènes, un café crème bien membré et épilée.
J’ignore, comment tu t’appelles mec, certes, tu es métissé, ce qui est bien.
Tu es bien membré, ça aussi ça va, mais pourquoi as-tu encore cette putain de pilosité.

Aucune ambiguïté, suis-je un acteur de films classiques, ou de porno ?
Classique.
Acteur, c’est encore un grand mot, je veux le devenir depuis six mois, mais je galère même si mon jeu est de bonne qualité.
Franck, mon agent avec qui je joue au squash, m’a souvent vu nu dans les vestiaires ainsi que sous la douche et savait que j’en ai une longue et trapu.
Il m’a appelé sans me préciser qu’il aurait fallu que je me rase.

• Je vais m’en occuper monsieur Fred, j’emmène Stuart, j’ai tout ce qu’il faut.

Stuart, c’est une trouvaille de Franck, d’origine martiniquaise, mes parents m’ont appelé Apollon à ma naissance.
Nom bizarre en France, mais dans la lignée d’un bon nombre de ceux que l’on peut trouver là-bas.
Il est vrai que sur les affiches, Apollon ferait marrer les gens et risquerait de foutre parterre toute la distribution.

Celle qui vient de parler, c’est Josy, la maquilleuse.
La trentaine, brune aux yeux verts.
Un joli brin de fille qui si elle l’avait voulu aurait pu faire carrière.

• Venez dans ma chambre, j’ai du savon à barbe et des rasoirs à main.

J’aime rire, je tente une ouverture.

• C’est pour que vos amants se rasent après que vous ayez passé la nuit avec eux !
• Arrêtez de dire des conneries, c’est pour mes jambes, je me rase lorsque j’en ai besoin.

C’est dans sa chambre qu’elle m’emmène.
J’oubliais, nous sommes dans un hôtel près d’une plage sur la grande côte non loin de Royan.
Dans le scénario, nous sommes à la Réunion.
Une scène où Juliette de Bonneval la célèbre actrice rencontre un serveur noir lorsqu’elle mange et l’entraine dans sa chambre.
Un plan la montrera couchée nue, du moins dans son lit, un drap jusque sous ses seins.
Nous venons de tourner cette scène ou par un travelling on me voit, on voit Juliette, puis retour vers moi qui me dévêt me montrant dans le plus simple appareil avec mes attributs très avantageux.
Nu, je devais ouvrir le drap me coucher près de l’actrice, me montrant par là même que sous son drap, elle porte une combinaison montant jusque sur ses seins.
Pas une fois dans le milieu du cinéma elle s’est montrée nue.
Jean-marc, son mari est très jaloux et refuse qu’elle puisse aller plus loin dans les scènes d’amour qu’elle est censée avoir avec ses amants.
Aucun bout de téton, aucune scène de baisé sans doublure, bien sûre en gros plan ?
Mais un caprice de scénariste aussi réalisateur qui se venge sur la bite d’un nègre, mais pourquoi épilé, je l’ignore.
Peut-être un peu pédé ce black à grosse queue est certainement le fantasme ou la rencontre qu’il a eue avec un de mes compatriotes lors d’un de ses tournages.
Pour éviter des frais, le sable de la grande côte ou celui de la Réunion, dans le milieu du cinéma c’est du pareil au même, le principal ce sont les économies du producteur.
Il y a peu de temps, j’avant ma première scène dans un studio alors que j’étais censé marcher sur la Lune.
Si vous voyez ce film, « Ils m’ont marché sur ma lune ».
Comme pour les septiques persuader que les Américains ont marché eux aussi sur la Lune dans un studio, vous verrez un gros caillou avec le numéro 69.
L’hôtel est loué le temps du tournage et nous avons des chambres pour un ou pour deux.
Je suis dans une chambre avec Aurélien, l’un des serveurs du roomservice que celle que je viens de baiser appelle pour que nous fassions un repas en amoureux.
Josy semble seule dans la sienne.
Là encore, on devait tourner cette scène après la scène du lit à table, Juliette en peignoir et moi à poil.

• Venez dans ma salle de bains, il y a la chaise, vous pourrez vous assoir et moi faire couler de l’eau dans le lavabo.

Combien de temps me faut-il pour que je commence à bander lorsqu’elle me soulève la bite pour me passer de la crème à raser sur mes couilles.

• Stuart, comment voulez-vous que l’on y arrive, si vous vous mettez à bander ?

Une brune aux yeux verts, les remontant vers vous, alors qu’elle a votre bite dans la main, à moins d’être eunuque, qui a-t-il d’anormal pour un garçon de vingt-huit ans de bander.

• Je vois si on veut retourner sur le tournage sans se faire engueuler, je sais ce qu’il me reste à faire.
C’est toujours pareil dans ce métier, ce sont toujours les mêmes qui se démerdent pour que les tournages leur coûtent les moins chers possible.

Et contre toute attente, elle place ma verge dans sa bouche.
Je commençais à bander, je deviens aussi gros et dur que mon avant-bras.
C’est présomptueux, je suis baraqué, mais c’est plutôt son avant-bras à elle, bien plus frêle.
Une vraie suceuse de bite, la meilleure suceuse de bite, même si j’ai eu peu de conquêtes, mais toutes m’ayant sucé.
Je veux la faire lâcher le morceau au moment d’éjaculer, mais elle insiste et c’est au fond de sa gorge que je me déverse.
Le plus drôle, c’est qu’elle semble adorer, car elle avait les moyens de cracher dans le lavabo à notre côté lorsque je la voie déglutir.

• Bon, reste calme, sinon je vais te couper et on va m’accuser de retarder le tournage.

Elle remet de la mousse et rapidement elle passe le rasoir.
Elle finit juste de rincer quand je me remets à bander.
Que veut-on, dans le contrat que Franck a signé, ont-ils stipulé l’interdiction de bander comme interdite ?
Mais bon, je remets mon pantalon, la rentrant avec un peu de difficulté, nous rejoignons le tournage ou tous ce fini bien.

• Que fais-tu ce soir, je t’invite à manger au restaurant, tu l’as bien mérité ?
• Ce sera avec plaisir.

Nous sortons, des groupies de Juliette nous demandent des autographes comme si nous étions des vedettes du film, certaines ont passé la nuit.
Non loin de l’hôtel un restaurant et de retour, je retrouve la chambre de Julie évitant par là même de subir les ronflements d’Aurélien.
Julie aime le sexe et c’est au matin que je discute avec elle alors que sa tête repose sur ma bite rassasiée.
Je lui caresse les seins qui sont très beaux et généreux, Clara Morgan a sensiblement les mêmes.

• Tu fais beaucoup de films et gagnes-tu bien ta vie ?
• Pourquoi cette question, tu veux savoir si j’ai de quoi te nourrir avec ce que je gagne si tu me demander en mariage ?

Ses yeux pétillent de malice, je vois bien qu’elle fait de l’humour bien que lorsque je recommence à bander, même si dans des temps lointains, me marier et avoir des enfants seront entièrement satisfaisantes pour moi.
C’est à ce moment que son portable sonne.

• Oui, oui, je suis libre semaine 32.
Oui, à Cannes, vous m’envoyez les lieux du tournage.

Elle raccroche.

• Tu vois cinq jours de tournage dans quatre semaines et toi !
• Deux scènes avec trois mots et l’une en costume renaissance.
• Avant rien ?
• Le lendemain d’ici, je couvre un film plus spécial.
• Tu m’intrigues !
• C’est un porno dans les jardins d’une propriété de Neuilly qu’ils vont tourner.
• Je peux t’accompagner !
• Tu veux te lancer dans les films de sexe, avec ta belle bite, que je sens recommencer à ce tendre sous ma tête.

J’éclate de rire.

• Non, juste voir.

De retour à Paris, j’ai posé mon sac dans son petit studio pour quelque temps, nous nous entendons si bien sûr tous les plans.

• C’est mon assistant.

Nous passons le portail de cette magnifique propriété à deux pas de Paris.

• Bonjour Julie, tu as amené ton casse-croûte.
• Toujours le mot pour rire Serge.

Elle m’explique que dans le milieu on l’appelle le Beau Serge, car comme moi, il est bien pourvu.
Je la vois maquiller Aline, une actrice qui va tourner une scène dans les salons avec Alex.

• Où est Alex ?
• John, je t’ai prévenu, qu’il conduisait l’un de ses enfants au médecin et serait absent le premier jour.

J’oublie les mots orduriers qu’il déverse, bien pire que ceux que Fred avait proféré lorsqu’il avait vu ma bite encore poilue.
Julie s’approche de lui et lui parle, il s’approche de moi

• Julie me dit que tu es acteur et que tu es bien membré.
Il nous est impossible de retarder le tournage et que tu serais capable de remplacer Alex au débotter !
Ton nom dans le générique et le journal du hard sur Canal, ça te dit !
• Appelez Franck mon agent.

Je vois l’opportunité, percer dans le porno, pourquoi pas.
Maquillé par Julie qui se marre du coup qu’elle vient de me faire.

• Ça tourne.

Dans cette scène, je suis le mari d’Aline et je dois la sauter sur le canapé du salon.

• Merde, il bande mou.
Julie sort nous de la merde, chaque fois tu nous en as sorti.

C’est à ce moment que je comprends pourquoi mon amie est la reine de la sucette comme dans sa salle de bains dans le tournage précédent.

• Je vais t’arranger ça, il faut savoir tout faire dans ces pornos.

C’est fait, le mot fin est mis sur mon premier tournage.
Nous regardons Canal, ce soir ils diffusent notre première production tournée dans les jardins d’un château de la Loire sans autorisation.

« Apollon et Diane chasseresse. »

Diane, c’est Julie qui s’est lancée avec moi dans le porno, scénario, réalisation et acteurs principaux.
Dans notre premier film sur les cinq signés avec Canal, j’ai récupéré définitivement mon nom Apollon.
Le contrat nous a permis de prendre un appartement dans le Marais.

Vous m’excusez, je vous laisse, Julie à qui je viens d’offrir une bague pour qu’elle devienne ma femme m’attend, surement ses cuisses écartées.
Un couple d’acteurs même porno qui trouve la vie heureuse, si vous en cherchez un, contactez mon agent !
Franck ?
Non, nous avons changé, comme vous l’avez vu ma femme sait assez se démerder et connaît assez de monde dans le milieu pour s’en occuper.
Voici son numéro, 06 06 06 06 06.
Qu’est-ce que vous croyez, je vais vous donner son vrai numéro !
Salope comme elle est est serait capable de vous donner rendez-vous pour vous sucer la bite ou la chatte.
J’ai aussi découvert qu’elle aimait se gouiner à ses heures.

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