COLLECTION BLACK. Madame la mairesse (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BLACK. Madame la mairesse (2/2)
• Bonjour, merci Sarha, je m’occupe de ce monsieur !
C’est ce que j’ai dit, lorsque Sarha la gendarmette de la brigade voisine est venue conduire Amadou dans notre village.
Amadou est émigré en attente de régulation de ses papiers.
Lorsque j’ai accepté en tant que mairesse de m’occuper de lui, je savais que ce serait difficile pour son intégration dans notre vieux village plein d’apriori.
J’étais en train de vous parler d’Abby et de Brendon, c’est le nom de nos anglais débarqué chez nous au début rejeté.
Je vous disais que la belote avait aidé à leur intégration.
Par chance, Brendon avait pris l’habitude d’aller boire un café et un whisky dès que sa femme partait dans nos campagnes peindre ses étranges paysages.
Chez Jules, il y a l’éternelle équipe jouant à ce jeu de cartes.
Brendon assis au bar regardait l’équipe du père Alex avec le vieil Édouard contre Julien le plus jeune, trente ans.
Il serait SDF s’il était originaire d’ailleurs, je lui ai obtenu le RSA.
Il est en équipe avec Christophe en recherche d’emploi, mais comme à partir de 13 heures, il joue aux cartes, on voit bien qu’il se contente de ses allocations de chômage.
Il faut aussi reconnaitre qu’il a été licencié après dix ans au volant d’un camion de l’entreprise de transports de la ville voisine ayant déposé le bilan à cause des chauffeurs polonais.
Il sait que dans sa profession il retrouvera facilement un volant quand il le décidera.
Christophe est marié à Joséphine, qui fait pousser des légumes, que Jules lui achète en priorité, mais chaque mardi elle vend le reste au marché de la ville.
Elle vient d’accoucher de son fils Aldo, elle binait ses carottes avec son gros ventre.
Aldo, dernier-né de notre commune, sera l’avenir de celle-ci.
Bref, Brendon les regardait tous les jours jusqu’au jour où Gilles est entré et qu’il a demandé au père Alex de le suivre, il avait rendez-vous à l’hôpital chez son diabétologue.
• Allez père Alex, pose tes cartes, nous allons être en retard à ton rendez-vous avec le docteur Pasquier.
• Il nous fait chier, je sais que je dois manger des carottes et boire de l’eau.
Tu y vas à ma place pour lui dire d’aller se faire foutre, j’ai une main gagnante.
• Père Alex, je me permets de vous proposer de vous remplacer jusqu’à la fin de cette partie, je crois avoir compris, les subtilités de votre jeu.
Jules qui regardait ça d’un œil amusé m’a expliqué ce qui s’était passé dès que Brendon s’est assis à la place du père Alex, son éternel mégot froid à la bouche.
Éteint bien sûr lieu public oblige.
• Je coupe, je coupe, je recoupe, belote, rebelote et dix de der.
Il a écoeuré, même son partenaire, en donnant les points marqués et le total sur les quatre mains jouées.
• Monsieur Wiliam, comment faite vous, avec Christophe, j’ai l’impression que vous connaissez notre jeu de chacun d’entre nous ?
• Appelez-moi Brendon, je préfère, toute ma vie dans la banque où je travaillais, on m’a appelé mister Wiliam.
Vous avez raison Julien, votre jeu est basé sur la coupe au début.
Dès que je vois mes cartes, je vois les mains qui sont tombées dans le tour d’avant et je sais comment le jeu se place.
Pour le total des points, j’ai manié les chiffres toute ma vie et il m’est facile de tout calculer.
Patron veuillez apporter une tournée de jaune comme ils disent ici, vous la mettrez sur mon compte.
Le père Alex a repris sa place, dès le lendemain et depuis Christophe a repris un volant.
Brendon fait le quatrième tous les jours, mais il joue avec Julien, il a même appris à tutoyer les uns et les autres, ce qui est dur pour un anglais.
Les rares touristes de son pays, passant chez nous sont étonnés, il a lui-même remplacé son whisky par des jaunes.
Comment faire pour faire intégrer Amadou chez nous ?
Sans être politique, je sais qu’un plat passe rarement deux fois.
Même si Amadou mange à côté des joueurs, le jaune et la belote sera de peu de secours afin de régler mon problème, mais je suis loin d’avoir la science infuse.
Depuis deux jours, Amadou est absence au café une grande partie du temps, sauf le midi.
Je décide d’aller le voir, je voudrais lui confier un travail pour notre commune, comme l’on dit, d’intérêt général.
Nettoyer notre commune et aider Serge, notre cantonnier serait nécessaire.
Moins d’habitants, moins de bras et de recette financière, mais les vieux murs s’écroulant, en plus d’être dangereux, c’est mon rôle de les entretenir.
Amadou semble oublier qu’en France, des gens malveillants rodent malgré les rondes de la gendarmerie, sa porte est ouverte lorsque je clanche.
Personne dans la salle et la cuisine.
Je vais vers la chambre et la salle d’eau où je l’ai vue nu.
Je reprendrais bien une dose de son sexe, mais seulement visuellement, pas par vice, mais pour voir si j’ai bien vu.
Ce que je vois c’est que tout est nickel, plus aucune trace de poussière sur aucune étagère.
Les vitres sont propres, j’avais prévu de les faire, il me reste le bureau que je lui ai interdit.
J’ouvre la porte, Amadou est là derrière le bureau, une des fiches du docteur Pasquier dans sa main.
• Je t’avais interdit de venir ici, tu m’as désobéi.
Ces fiches sont personnelles et confidentielles et sont réservées au corps médical, si j’arrive à en trouver un voulant bien s’installer chez nous.
• Madame Gisèle, puis-je vous faire confiance ?
• Bien sur Amadou, t’ai-je déjà menti sur la situation où tu te trouves et ai-je fait quoi que ce soit qui pourrait te mettre mal à l’aise ?
• Vous avez raison, je vais vous faire confiance, je suis diplômé de la faculté de médecine de Mogadiscio en Somalie.
• Que dis-tu, tu es médecin, tu te fiches de moi, tu l’aurais dit aux autorités, ça aurait accéléré ton dossier ?
• Non, c’est le contraire, ils m'auraient renvoyé dans mon pays, où j’aurais trouvé la mort à cause de Wafae à cause de laquelle je me suis enfui pour échapper à son père.
• Tu avais une fiancée en Somalie !
• Je le croyais, jusqu’en Libye où nous devions prendre un passage sur un bateau grâce à des passeurs.
Elle m’a fait croire qu’elle m’aimait alors que cette petite salope en aime un autre à qui sans le savoir je payais le passage en même temps que le nôtre.
Elle m’avait promis que si j’arrivais avec elle en Europe, elle m’épouserait et serait mienne.
Lorsque nous avons embarqué sur le gonflable pour traverser la Méditerranée, il fallait que nous courrions jusqu’à la mer avec le bateau et vite embarqué.
Nous étions une trentaine, elle s’est retrouvée à l’avant, moi à l’arrière.
Je la voyais parler avec ce jeune homme, que j’avais vu tout le long de notre périple.
Nous avons été repérés puis chargés à bord d’un bateau d’une organisation internationale qui nous a conduits à Marseille.
C’est à bord qu’ils m’ont avoué qu’ils étaient amants et qu’il leur fallait un pigeon pour payer leur passage en Europe.
Si je rentre en Somalie, son père me coupera les couilles et j’ai pour habitude d’y tenir.
• Je comprends et je garderai ton secret, pourtant nous aurions sérieusement besoin d’un médecin ici, la population est vieillissante et il nous faut faire des dizaines de kilomètres pour être soigné !
Amadou, quelle fiche regardais-tu lorsque je suis entrée ?
• La tienne, Gisèle, je vois que tu as été soignée pour un cancer du sein vers ta trente-cinquième année !
• Oui, et ils ont réussi à me sauver le sein, j’ai failli subir son ablation.
• Vois-tu souvent un médecin pour vérifier si des ganglions réapparaissent, la maladie est souvent sournoise ?
• Depuis la mort du docteur, jamais, mais tout va bien.
• Permet moi de te faire une palpation, je jugerais par moi-même !
C’est comme ça que j’enlève ma chemise de cow-boy à carreau et aussi mon soutien-gorge.
J’ai des seins massifs, légèrement tombant avec l’âge, mais très beau tout de même.
Les doigts me tâtant en vrai professionnel, me font tout de même mouiller, depuis trop longtemps les mains d’un homme me sont interdits.
Je me suis rapprochée, qui de lui ou de moi casse la distance, ce que je sais c’est que je sens mon entrejambe dégouliner
Sa main vient le constater pendant que la mienne trouve cette bite que j’avais vue au repos, bandant dans toute sa splendeur.
Dans la pièce, le docteur avait un canapé et c’est sur lui que mon pantalon et le sien nous ayant quitté, je me retrouve empalé sur cette verge qui vient très profondément en moi.
Je suis sûr qu’à chaque coup que me donne Amadou, elle vient frapper mon utérus qui est grandement à la fête.
Si par malheur un de mes administrés passe dans la rue, il entendra une femelle chanter son amour à son mâle dominant.
Je suis sa chienne, lorsqu’il me fait mettre à quatre pattes et qu’il se met sur mon dos me prenant encore plus profondément.
Dans la nuit s’étant levé, c’est dans son lit, que je lui suce la queue, le faisant repartir, j’étais une vraie chienne, je redeviens femme, jusqu’au bout de la nuit.
Au réveil, la réalité de la vie de mon village me revient à l’esprit.
Merde, hier au soir, j’avais une séance du conseil municipal pour parler du budget de notre village.
Après une douche prise ensemble avec mon amant, me laissant prendre une nouvelle fois, tellement j’aime sa longue bite noire, j’arrive à la mairie.
Là c’est facile, je fais la secrétaire, car notre commune est dans l’incapacité d’en payer une.
Depuis ce jour, je suis la maîtresse d’Amadou, chaque fois que le village dort, je monte la rue et je me glisse dans son lit.
Je sais, j’ai dit à mon amant de garder le secret, mais nous avons besoin d’un médecin.
J’invite Sarha la gendarmette à déjeuner, Gilles m’ayant conduit en ville.
• Je crois que je vais pouvoir t’arranger cela Gisèle, j’ai bien compris qu’Amadou a su te séduire, profite en comme je profite du représentant de l’État chaque fois que nous avons la possibilité de nous retrouver.
J’ai tapé à la bonne porte, je comprends que le préfet de la république aime son petit cul de gendarmettes malgré qu’il soit marié.
C’est chez Jules quelques semaines plus tard que je présente notre nouveau médecin à la population.
Au bout de huit jours pas la moindre grippe ou autre gastro, à croire que tous mes administrés ont décidé de faire faire des économies à la Sécurité Sociale.
J’avais eu de la chance, avec la belote, ce qui aurait pu paraître comme un banal accident domestique va venir bouleverser la vie de ma commune.
• Amadou, tu peux venir, le fils de Christophe est tombé et il saigne abondamment.
Amadou était au café en train de diner lorsque Gilles est venu l’alerter.
Il est aller chez lui chercher la trousse trouvée dans le bureau du docteur Arsène.
Le petit avait une plaie à la jambe, il a fait un point compressif et Gilles les a conduits jusqu’à l’hôpital pour enfin enlever son poing.
Le petit avait sauvé sa jambe voire plus, s’il avait continué à saigner.
J’ai récupéré un amant et à vingt kilomètres à la ronde, les taxis font fortune en nous amenant les clients.
Oui, madame l’ancienne mairesse a démissionné et des élections ont eu lieu.
Amadou, nouvelle carte d’électeur après sa naturalisation et nouveau maire, avec 100 % des voix, moins une abstention.
Gertrude se serait-elle abstenue ?
Non, comme moi je le faisais, c’est monsieur le docteur Amadou qui a mis ce bulletin dans l’urne.
Pour ma part, j’ai voté pour mon mari et aussi par procuration pour Gertrude qui pour la première fois a voté pour un noir républicain.
Je vais vous quitter, je suis à la mairie, je suis la secrétaire de monsieur le maire, nous avons fermé la porte à clef et je suis en train de lui faire une très bonne fellation.
Trente centimètres, j’ai la chance d’en avaler presque la moitié, mes mains faisant le reste.
Si vous passez par notre village, arrêtez-vous, il reste quelques vieilles maisons à vendre et à rénover, vous pourriez faire des gites, ça marche du feu de Dieu dans notre belle région.
C’est ce que j’ai dit, lorsque Sarha la gendarmette de la brigade voisine est venue conduire Amadou dans notre village.
Amadou est émigré en attente de régulation de ses papiers.
Lorsque j’ai accepté en tant que mairesse de m’occuper de lui, je savais que ce serait difficile pour son intégration dans notre vieux village plein d’apriori.
J’étais en train de vous parler d’Abby et de Brendon, c’est le nom de nos anglais débarqué chez nous au début rejeté.
Je vous disais que la belote avait aidé à leur intégration.
Par chance, Brendon avait pris l’habitude d’aller boire un café et un whisky dès que sa femme partait dans nos campagnes peindre ses étranges paysages.
Chez Jules, il y a l’éternelle équipe jouant à ce jeu de cartes.
Brendon assis au bar regardait l’équipe du père Alex avec le vieil Édouard contre Julien le plus jeune, trente ans.
Il serait SDF s’il était originaire d’ailleurs, je lui ai obtenu le RSA.
Il est en équipe avec Christophe en recherche d’emploi, mais comme à partir de 13 heures, il joue aux cartes, on voit bien qu’il se contente de ses allocations de chômage.
Il faut aussi reconnaitre qu’il a été licencié après dix ans au volant d’un camion de l’entreprise de transports de la ville voisine ayant déposé le bilan à cause des chauffeurs polonais.
Il sait que dans sa profession il retrouvera facilement un volant quand il le décidera.
Christophe est marié à Joséphine, qui fait pousser des légumes, que Jules lui achète en priorité, mais chaque mardi elle vend le reste au marché de la ville.
Elle vient d’accoucher de son fils Aldo, elle binait ses carottes avec son gros ventre.
Aldo, dernier-né de notre commune, sera l’avenir de celle-ci.
Bref, Brendon les regardait tous les jours jusqu’au jour où Gilles est entré et qu’il a demandé au père Alex de le suivre, il avait rendez-vous à l’hôpital chez son diabétologue.
• Allez père Alex, pose tes cartes, nous allons être en retard à ton rendez-vous avec le docteur Pasquier.
• Il nous fait chier, je sais que je dois manger des carottes et boire de l’eau.
Tu y vas à ma place pour lui dire d’aller se faire foutre, j’ai une main gagnante.
• Père Alex, je me permets de vous proposer de vous remplacer jusqu’à la fin de cette partie, je crois avoir compris, les subtilités de votre jeu.
Jules qui regardait ça d’un œil amusé m’a expliqué ce qui s’était passé dès que Brendon s’est assis à la place du père Alex, son éternel mégot froid à la bouche.
Éteint bien sûr lieu public oblige.
• Je coupe, je coupe, je recoupe, belote, rebelote et dix de der.
Il a écoeuré, même son partenaire, en donnant les points marqués et le total sur les quatre mains jouées.
• Monsieur Wiliam, comment faite vous, avec Christophe, j’ai l’impression que vous connaissez notre jeu de chacun d’entre nous ?
• Appelez-moi Brendon, je préfère, toute ma vie dans la banque où je travaillais, on m’a appelé mister Wiliam.
Vous avez raison Julien, votre jeu est basé sur la coupe au début.
Dès que je vois mes cartes, je vois les mains qui sont tombées dans le tour d’avant et je sais comment le jeu se place.
Pour le total des points, j’ai manié les chiffres toute ma vie et il m’est facile de tout calculer.
Patron veuillez apporter une tournée de jaune comme ils disent ici, vous la mettrez sur mon compte.
Le père Alex a repris sa place, dès le lendemain et depuis Christophe a repris un volant.
Brendon fait le quatrième tous les jours, mais il joue avec Julien, il a même appris à tutoyer les uns et les autres, ce qui est dur pour un anglais.
Les rares touristes de son pays, passant chez nous sont étonnés, il a lui-même remplacé son whisky par des jaunes.
Comment faire pour faire intégrer Amadou chez nous ?
Sans être politique, je sais qu’un plat passe rarement deux fois.
Même si Amadou mange à côté des joueurs, le jaune et la belote sera de peu de secours afin de régler mon problème, mais je suis loin d’avoir la science infuse.
Depuis deux jours, Amadou est absence au café une grande partie du temps, sauf le midi.
Je décide d’aller le voir, je voudrais lui confier un travail pour notre commune, comme l’on dit, d’intérêt général.
Nettoyer notre commune et aider Serge, notre cantonnier serait nécessaire.
Moins d’habitants, moins de bras et de recette financière, mais les vieux murs s’écroulant, en plus d’être dangereux, c’est mon rôle de les entretenir.
Amadou semble oublier qu’en France, des gens malveillants rodent malgré les rondes de la gendarmerie, sa porte est ouverte lorsque je clanche.
Personne dans la salle et la cuisine.
Je vais vers la chambre et la salle d’eau où je l’ai vue nu.
Je reprendrais bien une dose de son sexe, mais seulement visuellement, pas par vice, mais pour voir si j’ai bien vu.
Ce que je vois c’est que tout est nickel, plus aucune trace de poussière sur aucune étagère.
Les vitres sont propres, j’avais prévu de les faire, il me reste le bureau que je lui ai interdit.
J’ouvre la porte, Amadou est là derrière le bureau, une des fiches du docteur Pasquier dans sa main.
• Je t’avais interdit de venir ici, tu m’as désobéi.
Ces fiches sont personnelles et confidentielles et sont réservées au corps médical, si j’arrive à en trouver un voulant bien s’installer chez nous.
• Madame Gisèle, puis-je vous faire confiance ?
• Bien sur Amadou, t’ai-je déjà menti sur la situation où tu te trouves et ai-je fait quoi que ce soit qui pourrait te mettre mal à l’aise ?
• Vous avez raison, je vais vous faire confiance, je suis diplômé de la faculté de médecine de Mogadiscio en Somalie.
• Que dis-tu, tu es médecin, tu te fiches de moi, tu l’aurais dit aux autorités, ça aurait accéléré ton dossier ?
• Non, c’est le contraire, ils m'auraient renvoyé dans mon pays, où j’aurais trouvé la mort à cause de Wafae à cause de laquelle je me suis enfui pour échapper à son père.
• Tu avais une fiancée en Somalie !
• Je le croyais, jusqu’en Libye où nous devions prendre un passage sur un bateau grâce à des passeurs.
Elle m’a fait croire qu’elle m’aimait alors que cette petite salope en aime un autre à qui sans le savoir je payais le passage en même temps que le nôtre.
Elle m’avait promis que si j’arrivais avec elle en Europe, elle m’épouserait et serait mienne.
Lorsque nous avons embarqué sur le gonflable pour traverser la Méditerranée, il fallait que nous courrions jusqu’à la mer avec le bateau et vite embarqué.
Nous étions une trentaine, elle s’est retrouvée à l’avant, moi à l’arrière.
Je la voyais parler avec ce jeune homme, que j’avais vu tout le long de notre périple.
Nous avons été repérés puis chargés à bord d’un bateau d’une organisation internationale qui nous a conduits à Marseille.
C’est à bord qu’ils m’ont avoué qu’ils étaient amants et qu’il leur fallait un pigeon pour payer leur passage en Europe.
Si je rentre en Somalie, son père me coupera les couilles et j’ai pour habitude d’y tenir.
• Je comprends et je garderai ton secret, pourtant nous aurions sérieusement besoin d’un médecin ici, la population est vieillissante et il nous faut faire des dizaines de kilomètres pour être soigné !
Amadou, quelle fiche regardais-tu lorsque je suis entrée ?
• La tienne, Gisèle, je vois que tu as été soignée pour un cancer du sein vers ta trente-cinquième année !
• Oui, et ils ont réussi à me sauver le sein, j’ai failli subir son ablation.
• Vois-tu souvent un médecin pour vérifier si des ganglions réapparaissent, la maladie est souvent sournoise ?
• Depuis la mort du docteur, jamais, mais tout va bien.
• Permet moi de te faire une palpation, je jugerais par moi-même !
C’est comme ça que j’enlève ma chemise de cow-boy à carreau et aussi mon soutien-gorge.
J’ai des seins massifs, légèrement tombant avec l’âge, mais très beau tout de même.
Les doigts me tâtant en vrai professionnel, me font tout de même mouiller, depuis trop longtemps les mains d’un homme me sont interdits.
Je me suis rapprochée, qui de lui ou de moi casse la distance, ce que je sais c’est que je sens mon entrejambe dégouliner
Sa main vient le constater pendant que la mienne trouve cette bite que j’avais vue au repos, bandant dans toute sa splendeur.
Dans la pièce, le docteur avait un canapé et c’est sur lui que mon pantalon et le sien nous ayant quitté, je me retrouve empalé sur cette verge qui vient très profondément en moi.
Je suis sûr qu’à chaque coup que me donne Amadou, elle vient frapper mon utérus qui est grandement à la fête.
Si par malheur un de mes administrés passe dans la rue, il entendra une femelle chanter son amour à son mâle dominant.
Je suis sa chienne, lorsqu’il me fait mettre à quatre pattes et qu’il se met sur mon dos me prenant encore plus profondément.
Dans la nuit s’étant levé, c’est dans son lit, que je lui suce la queue, le faisant repartir, j’étais une vraie chienne, je redeviens femme, jusqu’au bout de la nuit.
Au réveil, la réalité de la vie de mon village me revient à l’esprit.
Merde, hier au soir, j’avais une séance du conseil municipal pour parler du budget de notre village.
Après une douche prise ensemble avec mon amant, me laissant prendre une nouvelle fois, tellement j’aime sa longue bite noire, j’arrive à la mairie.
Là c’est facile, je fais la secrétaire, car notre commune est dans l’incapacité d’en payer une.
Depuis ce jour, je suis la maîtresse d’Amadou, chaque fois que le village dort, je monte la rue et je me glisse dans son lit.
Je sais, j’ai dit à mon amant de garder le secret, mais nous avons besoin d’un médecin.
J’invite Sarha la gendarmette à déjeuner, Gilles m’ayant conduit en ville.
• Je crois que je vais pouvoir t’arranger cela Gisèle, j’ai bien compris qu’Amadou a su te séduire, profite en comme je profite du représentant de l’État chaque fois que nous avons la possibilité de nous retrouver.
J’ai tapé à la bonne porte, je comprends que le préfet de la république aime son petit cul de gendarmettes malgré qu’il soit marié.
C’est chez Jules quelques semaines plus tard que je présente notre nouveau médecin à la population.
Au bout de huit jours pas la moindre grippe ou autre gastro, à croire que tous mes administrés ont décidé de faire faire des économies à la Sécurité Sociale.
J’avais eu de la chance, avec la belote, ce qui aurait pu paraître comme un banal accident domestique va venir bouleverser la vie de ma commune.
• Amadou, tu peux venir, le fils de Christophe est tombé et il saigne abondamment.
Amadou était au café en train de diner lorsque Gilles est venu l’alerter.
Il est aller chez lui chercher la trousse trouvée dans le bureau du docteur Arsène.
Le petit avait une plaie à la jambe, il a fait un point compressif et Gilles les a conduits jusqu’à l’hôpital pour enfin enlever son poing.
Le petit avait sauvé sa jambe voire plus, s’il avait continué à saigner.
J’ai récupéré un amant et à vingt kilomètres à la ronde, les taxis font fortune en nous amenant les clients.
Oui, madame l’ancienne mairesse a démissionné et des élections ont eu lieu.
Amadou, nouvelle carte d’électeur après sa naturalisation et nouveau maire, avec 100 % des voix, moins une abstention.
Gertrude se serait-elle abstenue ?
Non, comme moi je le faisais, c’est monsieur le docteur Amadou qui a mis ce bulletin dans l’urne.
Pour ma part, j’ai voté pour mon mari et aussi par procuration pour Gertrude qui pour la première fois a voté pour un noir républicain.
Je vais vous quitter, je suis à la mairie, je suis la secrétaire de monsieur le maire, nous avons fermé la porte à clef et je suis en train de lui faire une très bonne fellation.
Trente centimètres, j’ai la chance d’en avaler presque la moitié, mes mains faisant le reste.
Si vous passez par notre village, arrêtez-vous, il reste quelques vieilles maisons à vendre et à rénover, vous pourriez faire des gites, ça marche du feu de Dieu dans notre belle région.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour cette délicieuse narration
Cyrille
Cyrille