COLLECTION BLACK. Mamy salope (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BLACK. Mamy salope (2/2)
Je suis en train de tromper Jules, mon mari avec un jeune homme plus jeune que mon dernier fils, juste un peu plus vieux que ma première petite fille.
Après m’avoir conduit chez lui pour m’aider à recharger mon portable pour que j’appelle mon mari.
Ce mari que j’ai perdu dans Pigalle, car il marche toujours sans s’occuper si je suis ou pas.
Là c’était ou pas.
Il prend une douche, sa serviette tombe et en face de mes yeux, son sexe encore au repos me fascine.
Celle qui m’a dépucelé et fait trois enfants est inexistante si je les compare.
J’ai envie de lui dire que depuis ma naissance, les fellations comme les bites noires, surtout de son calibre, je les connais par Internet.
Pourtant, ma langue s’approche, il me met sa main derrière ma tête, j’ouvre ma bouche, je fais mon premier pompage de bite.
Un jour, toujours sur Internet, j’ai vu des mamys salopes en faire de même avec de jeunes hommes.
Comment aurais-je pu penser que cette après-midi, ce serait moi qui en masturberais et en pomperais une.
Il m’allonge, je suis frustrée, j’étais prête à boire son sperme, je suis devenue folle.
Ma chatte doit être dégoulinante, je sens du liquide couler vers mes fesses, il s’allonge sur moi, j’ouvre mon compas, il me prend la bouche.
Incroyable avec sa main, il l’a place là où il faut et je la sens rentrer petit à petit.
J’ai l’impression que c’est aujourd’hui que l’on me dépucelle, certes, mes trois enfants sont passés dans l’autre sens, mais il y a si longtemps.
Alors, je jouis, la boule qui enfle et remonte du tréfonds de mon ventre vers ma bouche, fait de moi une mamy salope, mamy ayant quatre petits enfants.
Je perds la notion du temps, je suis en eau.
Il me fait mettre à quatre pattes pour mieux me reprendre.
C’est vrai il m’a placé en levrette, il entre en moi, mon sexe s’étant adapté à son gros membre.
Je sais quand un nouvel orgasme me submerge ce qu’est un homme qui est performant, loin de Jules, l’éjaculateur précoce.
Enfin, il inonde mon vagin, nous tombons repus sur le lit.
- On a été fou, mais qu’est-ce que cela a été bon.
Je sais à mon âge ce qu’est une partie de jambes en l’air, quelle conne, j’ai été de rester avec Jules.
- Tu attendais que le hasard te fasse rencontrer Azar.
Était-ce vraiment du hasard, si oui, il a bien fait les choses.
- Que fais-tu, il est 17 heures 45, laisse mon portable branché, tu veux me casser !
- Je devrais le balancer et te garder ici, mais je veux te rendre ta liberté, je t’ai menti.
- La femme de 82 ans, c’était un mensonge !
- Tout est vrai, c’est pour le portable, dans la boutique, tu m’as vu parler avec le patron.
Je lui ai demandé de trouver un truc, j’avais envie de toi, il a été très fort, le coup dès deux heures de charges.
Appelle ton mari, il doit être très inquiet, met le haut-parleur, je voudrais entendre la voix du cocu à petite bite.
- Tu es un salop, tu te moques d’un infirme !
- Il est handicapé !
- Oui, de la verge, je viens de m’en rendre compte.
Je sais pardonner, faire l’amour avec lui a été une vraie révélation.
Ça sonne, ça décroche.
- Ou es-tu ?
- Dans Pigalle, dans un café, avec un jeune homme qui m’aide.
J’ai oublié mon portefeuille et la batterie de mon portable se trouvait déchargée.
- Ouais, ouais, ouais.
Le cri sortant de l’appareil nous fait sursauter.
- La France a marqué, c’est la mi-temps dans trois minutes, 2 à 1 pour la France.
Incroyable, j’avais peur qu’il soit anxieux, il regarde le match chez nos copains.
La main d’Azar est revenue caresser ma chatte, je mouille de nouveau avec en plus le sperme de sa première éjaculation.
Je me penche et je commence une nouvelle fellation, il met son doigt sur la sortie du micro.
- Tu es folle, il va entendre.
- Je m’en fiche, je veux qu’il sache que je suis une mamy salope !
Il me regarde et fait entrer trois doigts, je vais jouir.
- C’est la mi-temps, nous allons aller boire une mousse avec Georges.
Dès la fin du match, je t’appellerais, tu me diras ou tu es, avec tes conneries, je vais être obligé de prendre un taxi.
C’est mon tour de mettre mon doigt sur le micro.
- Et en plus, il est radin, nous avons un patrimoine conséquent, sa retraite et les biens de mes parents, ils étaient agriculteur, je loue mes fermages à un paysan voisin.
Nous pouffons tous les deux, mais je relâche mon doigt trop tôt.
- J’ai entendu rire, qui c’est ?
- Je t’ai dit que je suis dans un café, ils doivent tous faire comme vous, regarder le match.
Il y a juste un couple dans les bras l’un de l’autre.
Mince Jules, le gars vient de passer son bras sous la table.
Incroyable, de là où je suis, je vois qu’il passe sa main sous sa jupe, elle écarte ses cuisses, il doit la caresser.
- C’est normal, tu es à Pigalle, fais attention.
- Sans problème, je sais me défendre.
Ah !
J’ai laissé échapper un léger cri, je suis à deux doigts d’avoir un orgasme simplement par ses caresses !
J’attends une fraction de seconde, ouf pas de réaction de sa part.
- J’attends ton appel !
Mon dernier mot prononcé, il a déjà coupé.
- Ah ! Ah !
C’est fait, ses simples doigts, m’a déclenché un nouvel orgasme.
Je le reprends dans ma bouche, toujours avec autant de difficulté.
Depuis que je suis femme, c’est la première fois que je pratique le sexe à répétition.
Chez moi dans mon autre monde, celui du formalisme où les femmes se marient pour reproduire l’espèce, ce que j’ai très bien fait avec toute ma descendance !
On tire un coup et baye bonne nuit.
Bonne nuit, car les jeux sexuels que me fait découvrir Azar, sont inexistants.
Vous vous couchez dans votre chemise de nuit, qu’il soulève et sans vous demander votre avis, il vous plante.
Au plus loin de mes quatre enfants tous conçut en missionnaire.
En missionnaire, pour celle qui comme moi, avant Azar, l’ignorait, c’est sur le dos, les jambes écartées et après trois petits coups vous tourne le dos.
En levrette, debout les seins sur la table, sa bite au plus profond de moi, le temps de la deuxième mi-temps, c’est une partie du kamasutra qui défile.
- Henriette, le match doit être fini !
- Quel match ?
- Celui de coupe du monde, tu dois rappeler ton mari pour qu’il vienne te chercher au café où nous nous sommes rencontrés ?
- Tu me tues et tu veux que je me lève, dans le temps, les noirs, c’est nous qui faisions de vous des esclaves.
À notre époque, c’est vous nos maîtres par vos queues gigantesques.
Je me retourne comme une chatte, étendant mes bras pour les détendre après le plaisir qu’il m’a apporté.
Quand je baisse ma tête, je vois ma chatte blanche recouverte de sperme.
L’avantage quand on est vieille et ménopausée, le sperme qui vous effrayait quand vous étiez jeunes, même avec un stérilet, vous vous en fichez comme de vos premières règles.
Malgré sa petite verge, les spermatozoïdes de Jules atteignaient mes ovules.
Premier enfant, voulu sans protection.
Deuxième, encore voulu, idem.
Le choix du roi, je veux éviter comme ma mère d’en porter sept avec deux fausses couches.
Le troisième, la pilule que vous oubliez un soir ou vous vous quittez avec votre homme pour son anniversaire et malgré la pilule du lendemain, vous recommencez à changer les couches que vous lavez à la main.
Quant au dernier, j’ai parlé de stérilet, il aurait bougé.
Bref, la ménopause a effacé tous ces problèmes.
Pas de chance au moment où on peut, Jules avec son diabète oublie de lever sa queue.
- Henriette, panique, on s’est endormi, il fait jour et ton mari !
- Ouvre la fenêtre !
- Tu es folle, pourquoi as-tu passé ton portable par la fenêtre ?
- Tais-toi et bouffe-moi la chatte, j’adore ta grande langue et ta grosse queue.
Azar dit que je suis folle, oui, il a raison.
Mais pas comme il le pense, le hasard est loin d’entrer en ligne de compte.
À mon âge, je viens par ce geste réfléchi en lançant mon portable par la fenêtre de décider de changer ma vie.
Fini de suivre mon mari, dans les rues de Paris ou de Limoges comme un toutou au point qu’il puisse me perdre, montrant le peu de cas qu’il fait de moi.
Dans les jours prochains, je vais charger mon avocat de mettre en branle le contrat de mariage me permettant de récupérer mes terres et la maison familiale.
Je compte bien qu’Azar me suivra à son tour, même si les vieilles rombières s’offusquent de savoir que je baise à mon âge ayant cocufié mon mari.
La vie est courte, même si je passe pour une mamy, salope.
Après m’avoir conduit chez lui pour m’aider à recharger mon portable pour que j’appelle mon mari.
Ce mari que j’ai perdu dans Pigalle, car il marche toujours sans s’occuper si je suis ou pas.
Là c’était ou pas.
Il prend une douche, sa serviette tombe et en face de mes yeux, son sexe encore au repos me fascine.
Celle qui m’a dépucelé et fait trois enfants est inexistante si je les compare.
J’ai envie de lui dire que depuis ma naissance, les fellations comme les bites noires, surtout de son calibre, je les connais par Internet.
Pourtant, ma langue s’approche, il me met sa main derrière ma tête, j’ouvre ma bouche, je fais mon premier pompage de bite.
Un jour, toujours sur Internet, j’ai vu des mamys salopes en faire de même avec de jeunes hommes.
Comment aurais-je pu penser que cette après-midi, ce serait moi qui en masturberais et en pomperais une.
Il m’allonge, je suis frustrée, j’étais prête à boire son sperme, je suis devenue folle.
Ma chatte doit être dégoulinante, je sens du liquide couler vers mes fesses, il s’allonge sur moi, j’ouvre mon compas, il me prend la bouche.
Incroyable avec sa main, il l’a place là où il faut et je la sens rentrer petit à petit.
J’ai l’impression que c’est aujourd’hui que l’on me dépucelle, certes, mes trois enfants sont passés dans l’autre sens, mais il y a si longtemps.
Alors, je jouis, la boule qui enfle et remonte du tréfonds de mon ventre vers ma bouche, fait de moi une mamy salope, mamy ayant quatre petits enfants.
Je perds la notion du temps, je suis en eau.
Il me fait mettre à quatre pattes pour mieux me reprendre.
C’est vrai il m’a placé en levrette, il entre en moi, mon sexe s’étant adapté à son gros membre.
Je sais quand un nouvel orgasme me submerge ce qu’est un homme qui est performant, loin de Jules, l’éjaculateur précoce.
Enfin, il inonde mon vagin, nous tombons repus sur le lit.
- On a été fou, mais qu’est-ce que cela a été bon.
Je sais à mon âge ce qu’est une partie de jambes en l’air, quelle conne, j’ai été de rester avec Jules.
- Tu attendais que le hasard te fasse rencontrer Azar.
Était-ce vraiment du hasard, si oui, il a bien fait les choses.
- Que fais-tu, il est 17 heures 45, laisse mon portable branché, tu veux me casser !
- Je devrais le balancer et te garder ici, mais je veux te rendre ta liberté, je t’ai menti.
- La femme de 82 ans, c’était un mensonge !
- Tout est vrai, c’est pour le portable, dans la boutique, tu m’as vu parler avec le patron.
Je lui ai demandé de trouver un truc, j’avais envie de toi, il a été très fort, le coup dès deux heures de charges.
Appelle ton mari, il doit être très inquiet, met le haut-parleur, je voudrais entendre la voix du cocu à petite bite.
- Tu es un salop, tu te moques d’un infirme !
- Il est handicapé !
- Oui, de la verge, je viens de m’en rendre compte.
Je sais pardonner, faire l’amour avec lui a été une vraie révélation.
Ça sonne, ça décroche.
- Ou es-tu ?
- Dans Pigalle, dans un café, avec un jeune homme qui m’aide.
J’ai oublié mon portefeuille et la batterie de mon portable se trouvait déchargée.
- Ouais, ouais, ouais.
Le cri sortant de l’appareil nous fait sursauter.
- La France a marqué, c’est la mi-temps dans trois minutes, 2 à 1 pour la France.
Incroyable, j’avais peur qu’il soit anxieux, il regarde le match chez nos copains.
La main d’Azar est revenue caresser ma chatte, je mouille de nouveau avec en plus le sperme de sa première éjaculation.
Je me penche et je commence une nouvelle fellation, il met son doigt sur la sortie du micro.
- Tu es folle, il va entendre.
- Je m’en fiche, je veux qu’il sache que je suis une mamy salope !
Il me regarde et fait entrer trois doigts, je vais jouir.
- C’est la mi-temps, nous allons aller boire une mousse avec Georges.
Dès la fin du match, je t’appellerais, tu me diras ou tu es, avec tes conneries, je vais être obligé de prendre un taxi.
C’est mon tour de mettre mon doigt sur le micro.
- Et en plus, il est radin, nous avons un patrimoine conséquent, sa retraite et les biens de mes parents, ils étaient agriculteur, je loue mes fermages à un paysan voisin.
Nous pouffons tous les deux, mais je relâche mon doigt trop tôt.
- J’ai entendu rire, qui c’est ?
- Je t’ai dit que je suis dans un café, ils doivent tous faire comme vous, regarder le match.
Il y a juste un couple dans les bras l’un de l’autre.
Mince Jules, le gars vient de passer son bras sous la table.
Incroyable, de là où je suis, je vois qu’il passe sa main sous sa jupe, elle écarte ses cuisses, il doit la caresser.
- C’est normal, tu es à Pigalle, fais attention.
- Sans problème, je sais me défendre.
Ah !
J’ai laissé échapper un léger cri, je suis à deux doigts d’avoir un orgasme simplement par ses caresses !
J’attends une fraction de seconde, ouf pas de réaction de sa part.
- J’attends ton appel !
Mon dernier mot prononcé, il a déjà coupé.
- Ah ! Ah !
C’est fait, ses simples doigts, m’a déclenché un nouvel orgasme.
Je le reprends dans ma bouche, toujours avec autant de difficulté.
Depuis que je suis femme, c’est la première fois que je pratique le sexe à répétition.
Chez moi dans mon autre monde, celui du formalisme où les femmes se marient pour reproduire l’espèce, ce que j’ai très bien fait avec toute ma descendance !
On tire un coup et baye bonne nuit.
Bonne nuit, car les jeux sexuels que me fait découvrir Azar, sont inexistants.
Vous vous couchez dans votre chemise de nuit, qu’il soulève et sans vous demander votre avis, il vous plante.
Au plus loin de mes quatre enfants tous conçut en missionnaire.
En missionnaire, pour celle qui comme moi, avant Azar, l’ignorait, c’est sur le dos, les jambes écartées et après trois petits coups vous tourne le dos.
En levrette, debout les seins sur la table, sa bite au plus profond de moi, le temps de la deuxième mi-temps, c’est une partie du kamasutra qui défile.
- Henriette, le match doit être fini !
- Quel match ?
- Celui de coupe du monde, tu dois rappeler ton mari pour qu’il vienne te chercher au café où nous nous sommes rencontrés ?
- Tu me tues et tu veux que je me lève, dans le temps, les noirs, c’est nous qui faisions de vous des esclaves.
À notre époque, c’est vous nos maîtres par vos queues gigantesques.
Je me retourne comme une chatte, étendant mes bras pour les détendre après le plaisir qu’il m’a apporté.
Quand je baisse ma tête, je vois ma chatte blanche recouverte de sperme.
L’avantage quand on est vieille et ménopausée, le sperme qui vous effrayait quand vous étiez jeunes, même avec un stérilet, vous vous en fichez comme de vos premières règles.
Malgré sa petite verge, les spermatozoïdes de Jules atteignaient mes ovules.
Premier enfant, voulu sans protection.
Deuxième, encore voulu, idem.
Le choix du roi, je veux éviter comme ma mère d’en porter sept avec deux fausses couches.
Le troisième, la pilule que vous oubliez un soir ou vous vous quittez avec votre homme pour son anniversaire et malgré la pilule du lendemain, vous recommencez à changer les couches que vous lavez à la main.
Quant au dernier, j’ai parlé de stérilet, il aurait bougé.
Bref, la ménopause a effacé tous ces problèmes.
Pas de chance au moment où on peut, Jules avec son diabète oublie de lever sa queue.
- Henriette, panique, on s’est endormi, il fait jour et ton mari !
- Ouvre la fenêtre !
- Tu es folle, pourquoi as-tu passé ton portable par la fenêtre ?
- Tais-toi et bouffe-moi la chatte, j’adore ta grande langue et ta grosse queue.
Azar dit que je suis folle, oui, il a raison.
Mais pas comme il le pense, le hasard est loin d’entrer en ligne de compte.
À mon âge, je viens par ce geste réfléchi en lançant mon portable par la fenêtre de décider de changer ma vie.
Fini de suivre mon mari, dans les rues de Paris ou de Limoges comme un toutou au point qu’il puisse me perdre, montrant le peu de cas qu’il fait de moi.
Dans les jours prochains, je vais charger mon avocat de mettre en branle le contrat de mariage me permettant de récupérer mes terres et la maison familiale.
Je compte bien qu’Azar me suivra à son tour, même si les vieilles rombières s’offusquent de savoir que je baise à mon âge ayant cocufié mon mari.
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