COLLECTION BLACK. Mon fantasme (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2018 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION BLACK. Mon fantasme (1/3)
Quarante ans, vingt ans de mariage, un mari Christian commandant de la nouvelle Jeanne d’Arc, navire-école des officiers de la marine nationale.
Des jumelles, mariées à des jumeaux, je reconnais mes filles, mais je suis incapable de reconnaître mes gendres.
Par moments, je me demande si elle-même ne se trompe pas le soir au moment de ce coucher.
Un matin dans la salle de bains, elles papotaient nues quand l’une d’elles a dit que le grain de beauté sur le côté de la verge de son mari lui permettait de le reconnaître.
C’est à partir de ce moment que j’ai eu des doutes que mes filles et mes gendres soient échangistes dans leur petit cercle intime.
Pour ne pas se séparer, ils habitent deux villas mitoyennes à Saint-Palais sur mer ou ils tiennent ensemble une boutique de souvenirs et tout pour la plage et la mer.
Les villas sont séparées par l’arrière par un mur qu’ils ont abattu et qui leur permet d’aller et venir chez les uns ou les autres.
Deux ans de mariage pour eux et toujours pas grand-mère, j’espère que l’une des deux pourra un jour m’apporter cette grande joie.
Vingt ans de mariage et pas un écart dans ma vie conjugale, pourtant, je suis encore appétissante et de temps en temps, je me fais draguer.
Depuis plusieurs mois, Christian me, délaisse de plus en plus, il part souvent en déplacement avec son bateau basé à Brest alors que nous habitions Toulon, car il vient d’en prendre le commandement dans cette ville où je ne l’ai pas suivi.
Précédemment, chaque fois qu’il revenait, nos corps s’enflammaient et il m’apportait des orgasmes phénoménaux.
Enfin, je feins de le croire, car dans mon adolescence, j’ai vécu une expérience que mon subconscient à tout-fait pour oublier.
Je suis née dans une famille de militaires, mon père était commandant de carrière dans la Légion étrangère, toute ma jeunesse, régulièrement nous changions de régions au gréées de ses affections.
J’avais quinze ans lorsque nous sommes parties pour Dakar au Sénégal, nous habitions dans le camp où les familles avaient de grands bungalows.
Nous avions à notre service deux boys qui faisaient tout dans la maison.
Sambou était grand et très fin, j’ai toujours pensé qu’il avait des origines touarègues, j’adorais le voir frotter mes petites culottes les rincer et les étendre avec application.
Il y avait deux ans que nous étions là et je venais de fêter mes dix-sept ans quand un matin d’insomnie, je suis sortie pour voir le lever de soleil sur le camp.
C’est là que je les ai vus, Sambou et Diop qui se douchaient dans l’abri qu’ils avaient construit et où ils pouvaient faire leurs ablutions à l’eau froide.
Sambou est sorti le premier nu, ne pensant pas que j’étais là, la chaleur aidant, j’avais seulement un maillot publicitaire légèrement trop grand pour moi.
J’adorais le lever de soleil, mais la tige qu’il me présentait et que je voyais pour la première fois, m’a beaucoup intéressée.
J’étais une jeune fille qui commençait à avoir l’entrent jambes qui s’échauffaient par moments, surtout le soir dans mon lit.
Mes doigts arrivaient à éteindre l’incendie quand je caressais la petite excroissance en haut de ma chatte.
Dans notre milieu, j’étais entouré d’hommes et de quelques jeunes, mais l’arrivée et le départ des uns et des autres ne facilitaient pas notre rapprochement.
J’ai passé ces années-là à lire l’intégralité ou presque de la bibliothèque de la base.
Certains de ces livres m’ont appris, comment on jouait au papa et à la maman, mais aucun ne m’a mise en garde qu’à ce jeu, je risquais de me brûler.
Sambou quand il a vu que je le regardais, n’a pas essayé de cacher sa tige, je dis bien tige, car sa verge était longue et fine.
Il a continué à se préparer et j’ai continué à le regarder.
Le bruit dans la maison de l’un de mes parents m’a obligé à battre en retraite.
Les jours suivants, je suis levé de bonne heure pour voir le lever du soleil.
Autant, je fantasmais sur le sexe de Sambou autant celui de Diop plus gros et bien plus court me laissait indifférente.
Pendant trois ou quatre matins, j’ai regardé mon sexe préféré, Diop pensant que je m’intéressais à lui, s’amusais avec son petit bout jusqu’à ce qu’un jour, il me le présente dans toute sa force, c’est à cette occasion que j’ai vue, qu’il pouvait presque doubler de longueur.
Les deux jours suivants, je regardais Sambou et j’imaginais la longueur qu’il pouvait atteindre si je le provoquais.
Devant la porte-fenêtre de ma chambre, j’avais à ma disposition une chaise en rotin du même genre que celle, que j’avais vue dans un de mes livres et qui était l’objet mythique d’une certaine Emmanuelle.
Ce matin-là, Sambou était seul, Diop était parti aider des boys d’un bungalow voisin où l’un était malade pour servir les propriétaires, qui fêtaient leur anniversaire de mariage et où nous étions invités.
Mes parents y étaient allés et j’avais décliné, leur fille était collante et je me demande si sa nature ne la portait pas vers notre propre sexe, je la trouvais un peu trop caressante à mon goût, du moins pour moi.
Je connaissais ce que l’appellation lesbienne voulait dire, toujours la bibliothèque ou dans un coin sur le haut d’une étagère, un petit malin avait placé des livres érotiques, hélas aucun n’avait de photos ou de dessins les illustrant.
Je n’ignorais pas que tous se coucheraient tard et que je risquais de ne pas me réveiller pour admirer mon lever de soleil.
Me sentant en sécurité du côté de mes parents, je me suis assise dans la chaise et j’ai replié l’une de mes jambes vers ma figure, j’ai posé mes mains et mon menton sur mon genou, jamais, je n’avais pris une position aussi provocante, elle permettait à Sambou de voir ma féminité et surtout ma toison qui avait énormément poussé les mois derniers en même temps que mes seins se développaient.
Quand je parle de mes seins, ils ne pouvaient pas les voir, j’avais gardé mon maillot publicitaire.
Il me regardait tout en se rasant avec un rasoir qui semblait tellement coupé que je tremblais de voir son sang gicler.
J’ai douté un moment que je lui fasse de l’effet, car à aucun moment sa tige ne s’est redressée, ma jambe comme elle était placée et la grandeur de mon maillot m’a permis de sortir l’un de mes seins, que j’ai caressés.
Rien, impuissant mon bel homme bleu, de guerre lasse, je suis entrée pour prendre ma douche.
Ma chambre avait une salle de bains personnels, car le grade de mon père lui donnait le droit d’avoir un bungalow double pour nous trois.
Je venais de me mettre nue quand j’ai senti une présence derrière moi, c’était lui qui avait enfin décidé de braver les interdits.
Il m’a ceinturé sans que je me rebelle, je me suis retournée, j’aurais pu le gifler, mais quand j’ai senti sur mon ventre ma convoitise, il m’a pris sous mes fesses et m’a posé sur le plateau de ma commode.
C’est là que j’ai vu sa verge qui avait grandi comme je l’espérais.
Il ne m’a jamais embrassé, mais il m’a pénétré enlevant par là même mon hymen, je pense à la manière où je l’ai incité à venir me prendre qu’il savait cet état de faite.
Sa bite était tellement fine qu’elle a glissée toute seule au fond de moi sans m’arracher la moindre douleur.
En Afrique dans ces années-là, aucune préparation à la contraception ne nous était fait.
À l’école, nous avions étudié les anatomies masculines et féminines, j’en avais retenu que le fond de mon vagin se continuait par mon utérus, elle était tellement longue et fine, que j’ai sentie qu’il était bien au fond et l’atteignait.
À ce contact pour la première fois de ma vie, je découvrais l’orgasme.
L’orgasme deux fois plus fort que celui dont je parlais au début de mes souvenirs.
Deux trois quatre fois, je suis partie, deux trois quatre fois, j’ai perdu pied, deux trois quatre fois, je me suis mordu la lèvre pour ne pas hurler mon plaisir, deux trois quatre fois, j’ai senti qu’il venait de conquérir mon cœur.
Quand sur la commode, il est arrivé au bout de sa résistance, pour ne pas m’emplir la vulve, il m’a tout envoyé sur le ventre et sa giclée est montée si haute que mon vêtement en a été imprégné.
Il s’est sauvé comme un voleur réalisant certainement qu’il avait passé la barrière infranchissable pour les hommes de sa condition.
Nous avons baisé pendant deux ans souvent le matin et chaque fois que nous trouvions seule. Jamais, je n’ai senti son sperme se déverser dans ma chatte, j’en avais tellement envie qu’un matin ou une nouvelle fois mon utérus avait eu sa dose de caresse au moment de se retirer, je l’ai empoigné par les hanches l’empêchant de sortir de moi, ses giclées mon fait du bien, à ce souvenir, ma chatte ruisselle.
Toutes ces pénétrations sans aucune protection auraient pu avoir de fâcheuses conséquences.
Ma mère ne m’avait rien appris et le bon dieu devait être de notre côté, car tous les mois, je voyais mes règles venir.
Un jour, mon père nous a prévenus que nous étions invités à un cocktail à bord du navire-école Jeanne d’Arc, le navire faisait son tour du monde avec les officiers élèves préparant leur examen pour devenir officier.
Je m’ennuyais ferme pensant à Sambou qui aurait pu me faire l’amour profitant de l’absence de mes géniteurs.
Un des jeunes officiers élève chargés d’animer la soirée voyant mon ennui est venu à moi pour m’offrir une coupe de champagne.
Le verre bu, il m’a entraîné dans une danse qu’habituellement, j’évite d’accepter n’ayant pas le rythme dans la peau.
La série de slows qui a suivi m’a été imposée, car nous étions en représentation pour la légion, il aurait été mal vu que la fille du commandant de la base de la Légion étrangère est un comportement laissant à désirer.
La soirée terminée après accord de mon père à qui il est venu demander l’autorisation, il m’a raccompagné en taxi et devant l’entrée du camp, il m’a baisé la main et est parti.
Quand j’ai demandé à mon père l’autorisation, il discutait avec le commandant de la Jeanne et je l’ai entendu leur proposé de venir dans sa cabine, il voulait leur offrir un cadeau souvenir de son bateau et le champagne.
Chaque fois que des militaires se paye un verre, cela dure plus que de raison, surtout que mes parents avaient un chauffeur pour les rentrer.
Je dois avouer, que maman quand on lui proposait du champagne, n’était pas toujours très fraîche qu’en elle rentrait.
Arrivé dans notre bungalow, j’avais tellement pensé à Sambou, même en dansant avec ce jeune officier que ce soir-là, j’ai fait quelque chose d’insensé.
Sambou et Diop avaient une petite chambre sur le côté de notre bungalow, je m’y suis rendu, entrant sans frapper, la pleine lune éclairait les deux lits, sans me tromper, laissant tomber mes vêtements, je suis venue prendre la verge tant convoitée.
Je l’ai mise dans ma bouche, c’était la première fois que je le suçais, il a repoussé ma tête, il semblerait que ce ne soit pas dans les pratiques de sa tribu que les filles leur fassent des fellations.
Je suis revenue à la charge et quand j’ai jugé qu’il était capable de me percuter, je suis montée sur cette verge qui me faisait tellement de bien.
C’était la première fois que je me trouvais placé sur lui, je me sentais pénétrer centimètres par centimètres plus profondément que les autres fois, du moins, j’avais envie de le croire.
Là encore, j’étais aux anges d’autant que je voyais Diop lui aussi réveillé qui ne perdait rien de mes seins et de mon intimité soudée au corps de son copain.
Je suis sûr que si je lui avais fait un signe, il serait venu m’offrir son pieu.
J’étais devenue incontrôlable, ces verges noires m’obnubilaient, j’ai fini par lui faire signe et pour la première fois, il m’a pris la bouche avec son morceau, tellement gros que j’avais beau écarter mes mâchoires, il a eu du mal à y rentrer.
Une folle, j’étais devenue folle, dans le camp, une centaine de boys sont attachés aux familles, en même temps que je profite de ces deux verges, je me voyais assaillie par ces centaines de ces verges noires.
Le lendemain, ma mère a frappé à ma porte, ou elle m’a trouvé sagement couché, j’avais une visite…
Des jumelles, mariées à des jumeaux, je reconnais mes filles, mais je suis incapable de reconnaître mes gendres.
Par moments, je me demande si elle-même ne se trompe pas le soir au moment de ce coucher.
Un matin dans la salle de bains, elles papotaient nues quand l’une d’elles a dit que le grain de beauté sur le côté de la verge de son mari lui permettait de le reconnaître.
C’est à partir de ce moment que j’ai eu des doutes que mes filles et mes gendres soient échangistes dans leur petit cercle intime.
Pour ne pas se séparer, ils habitent deux villas mitoyennes à Saint-Palais sur mer ou ils tiennent ensemble une boutique de souvenirs et tout pour la plage et la mer.
Les villas sont séparées par l’arrière par un mur qu’ils ont abattu et qui leur permet d’aller et venir chez les uns ou les autres.
Deux ans de mariage pour eux et toujours pas grand-mère, j’espère que l’une des deux pourra un jour m’apporter cette grande joie.
Vingt ans de mariage et pas un écart dans ma vie conjugale, pourtant, je suis encore appétissante et de temps en temps, je me fais draguer.
Depuis plusieurs mois, Christian me, délaisse de plus en plus, il part souvent en déplacement avec son bateau basé à Brest alors que nous habitions Toulon, car il vient d’en prendre le commandement dans cette ville où je ne l’ai pas suivi.
Précédemment, chaque fois qu’il revenait, nos corps s’enflammaient et il m’apportait des orgasmes phénoménaux.
Enfin, je feins de le croire, car dans mon adolescence, j’ai vécu une expérience que mon subconscient à tout-fait pour oublier.
Je suis née dans une famille de militaires, mon père était commandant de carrière dans la Légion étrangère, toute ma jeunesse, régulièrement nous changions de régions au gréées de ses affections.
J’avais quinze ans lorsque nous sommes parties pour Dakar au Sénégal, nous habitions dans le camp où les familles avaient de grands bungalows.
Nous avions à notre service deux boys qui faisaient tout dans la maison.
Sambou était grand et très fin, j’ai toujours pensé qu’il avait des origines touarègues, j’adorais le voir frotter mes petites culottes les rincer et les étendre avec application.
Il y avait deux ans que nous étions là et je venais de fêter mes dix-sept ans quand un matin d’insomnie, je suis sortie pour voir le lever de soleil sur le camp.
C’est là que je les ai vus, Sambou et Diop qui se douchaient dans l’abri qu’ils avaient construit et où ils pouvaient faire leurs ablutions à l’eau froide.
Sambou est sorti le premier nu, ne pensant pas que j’étais là, la chaleur aidant, j’avais seulement un maillot publicitaire légèrement trop grand pour moi.
J’adorais le lever de soleil, mais la tige qu’il me présentait et que je voyais pour la première fois, m’a beaucoup intéressée.
J’étais une jeune fille qui commençait à avoir l’entrent jambes qui s’échauffaient par moments, surtout le soir dans mon lit.
Mes doigts arrivaient à éteindre l’incendie quand je caressais la petite excroissance en haut de ma chatte.
Dans notre milieu, j’étais entouré d’hommes et de quelques jeunes, mais l’arrivée et le départ des uns et des autres ne facilitaient pas notre rapprochement.
J’ai passé ces années-là à lire l’intégralité ou presque de la bibliothèque de la base.
Certains de ces livres m’ont appris, comment on jouait au papa et à la maman, mais aucun ne m’a mise en garde qu’à ce jeu, je risquais de me brûler.
Sambou quand il a vu que je le regardais, n’a pas essayé de cacher sa tige, je dis bien tige, car sa verge était longue et fine.
Il a continué à se préparer et j’ai continué à le regarder.
Le bruit dans la maison de l’un de mes parents m’a obligé à battre en retraite.
Les jours suivants, je suis levé de bonne heure pour voir le lever du soleil.
Autant, je fantasmais sur le sexe de Sambou autant celui de Diop plus gros et bien plus court me laissait indifférente.
Pendant trois ou quatre matins, j’ai regardé mon sexe préféré, Diop pensant que je m’intéressais à lui, s’amusais avec son petit bout jusqu’à ce qu’un jour, il me le présente dans toute sa force, c’est à cette occasion que j’ai vue, qu’il pouvait presque doubler de longueur.
Les deux jours suivants, je regardais Sambou et j’imaginais la longueur qu’il pouvait atteindre si je le provoquais.
Devant la porte-fenêtre de ma chambre, j’avais à ma disposition une chaise en rotin du même genre que celle, que j’avais vue dans un de mes livres et qui était l’objet mythique d’une certaine Emmanuelle.
Ce matin-là, Sambou était seul, Diop était parti aider des boys d’un bungalow voisin où l’un était malade pour servir les propriétaires, qui fêtaient leur anniversaire de mariage et où nous étions invités.
Mes parents y étaient allés et j’avais décliné, leur fille était collante et je me demande si sa nature ne la portait pas vers notre propre sexe, je la trouvais un peu trop caressante à mon goût, du moins pour moi.
Je connaissais ce que l’appellation lesbienne voulait dire, toujours la bibliothèque ou dans un coin sur le haut d’une étagère, un petit malin avait placé des livres érotiques, hélas aucun n’avait de photos ou de dessins les illustrant.
Je n’ignorais pas que tous se coucheraient tard et que je risquais de ne pas me réveiller pour admirer mon lever de soleil.
Me sentant en sécurité du côté de mes parents, je me suis assise dans la chaise et j’ai replié l’une de mes jambes vers ma figure, j’ai posé mes mains et mon menton sur mon genou, jamais, je n’avais pris une position aussi provocante, elle permettait à Sambou de voir ma féminité et surtout ma toison qui avait énormément poussé les mois derniers en même temps que mes seins se développaient.
Quand je parle de mes seins, ils ne pouvaient pas les voir, j’avais gardé mon maillot publicitaire.
Il me regardait tout en se rasant avec un rasoir qui semblait tellement coupé que je tremblais de voir son sang gicler.
J’ai douté un moment que je lui fasse de l’effet, car à aucun moment sa tige ne s’est redressée, ma jambe comme elle était placée et la grandeur de mon maillot m’a permis de sortir l’un de mes seins, que j’ai caressés.
Rien, impuissant mon bel homme bleu, de guerre lasse, je suis entrée pour prendre ma douche.
Ma chambre avait une salle de bains personnels, car le grade de mon père lui donnait le droit d’avoir un bungalow double pour nous trois.
Je venais de me mettre nue quand j’ai senti une présence derrière moi, c’était lui qui avait enfin décidé de braver les interdits.
Il m’a ceinturé sans que je me rebelle, je me suis retournée, j’aurais pu le gifler, mais quand j’ai senti sur mon ventre ma convoitise, il m’a pris sous mes fesses et m’a posé sur le plateau de ma commode.
C’est là que j’ai vu sa verge qui avait grandi comme je l’espérais.
Il ne m’a jamais embrassé, mais il m’a pénétré enlevant par là même mon hymen, je pense à la manière où je l’ai incité à venir me prendre qu’il savait cet état de faite.
Sa bite était tellement fine qu’elle a glissée toute seule au fond de moi sans m’arracher la moindre douleur.
En Afrique dans ces années-là, aucune préparation à la contraception ne nous était fait.
À l’école, nous avions étudié les anatomies masculines et féminines, j’en avais retenu que le fond de mon vagin se continuait par mon utérus, elle était tellement longue et fine, que j’ai sentie qu’il était bien au fond et l’atteignait.
À ce contact pour la première fois de ma vie, je découvrais l’orgasme.
L’orgasme deux fois plus fort que celui dont je parlais au début de mes souvenirs.
Deux trois quatre fois, je suis partie, deux trois quatre fois, j’ai perdu pied, deux trois quatre fois, je me suis mordu la lèvre pour ne pas hurler mon plaisir, deux trois quatre fois, j’ai senti qu’il venait de conquérir mon cœur.
Quand sur la commode, il est arrivé au bout de sa résistance, pour ne pas m’emplir la vulve, il m’a tout envoyé sur le ventre et sa giclée est montée si haute que mon vêtement en a été imprégné.
Il s’est sauvé comme un voleur réalisant certainement qu’il avait passé la barrière infranchissable pour les hommes de sa condition.
Nous avons baisé pendant deux ans souvent le matin et chaque fois que nous trouvions seule. Jamais, je n’ai senti son sperme se déverser dans ma chatte, j’en avais tellement envie qu’un matin ou une nouvelle fois mon utérus avait eu sa dose de caresse au moment de se retirer, je l’ai empoigné par les hanches l’empêchant de sortir de moi, ses giclées mon fait du bien, à ce souvenir, ma chatte ruisselle.
Toutes ces pénétrations sans aucune protection auraient pu avoir de fâcheuses conséquences.
Ma mère ne m’avait rien appris et le bon dieu devait être de notre côté, car tous les mois, je voyais mes règles venir.
Un jour, mon père nous a prévenus que nous étions invités à un cocktail à bord du navire-école Jeanne d’Arc, le navire faisait son tour du monde avec les officiers élèves préparant leur examen pour devenir officier.
Je m’ennuyais ferme pensant à Sambou qui aurait pu me faire l’amour profitant de l’absence de mes géniteurs.
Un des jeunes officiers élève chargés d’animer la soirée voyant mon ennui est venu à moi pour m’offrir une coupe de champagne.
Le verre bu, il m’a entraîné dans une danse qu’habituellement, j’évite d’accepter n’ayant pas le rythme dans la peau.
La série de slows qui a suivi m’a été imposée, car nous étions en représentation pour la légion, il aurait été mal vu que la fille du commandant de la base de la Légion étrangère est un comportement laissant à désirer.
La soirée terminée après accord de mon père à qui il est venu demander l’autorisation, il m’a raccompagné en taxi et devant l’entrée du camp, il m’a baisé la main et est parti.
Quand j’ai demandé à mon père l’autorisation, il discutait avec le commandant de la Jeanne et je l’ai entendu leur proposé de venir dans sa cabine, il voulait leur offrir un cadeau souvenir de son bateau et le champagne.
Chaque fois que des militaires se paye un verre, cela dure plus que de raison, surtout que mes parents avaient un chauffeur pour les rentrer.
Je dois avouer, que maman quand on lui proposait du champagne, n’était pas toujours très fraîche qu’en elle rentrait.
Arrivé dans notre bungalow, j’avais tellement pensé à Sambou, même en dansant avec ce jeune officier que ce soir-là, j’ai fait quelque chose d’insensé.
Sambou et Diop avaient une petite chambre sur le côté de notre bungalow, je m’y suis rendu, entrant sans frapper, la pleine lune éclairait les deux lits, sans me tromper, laissant tomber mes vêtements, je suis venue prendre la verge tant convoitée.
Je l’ai mise dans ma bouche, c’était la première fois que je le suçais, il a repoussé ma tête, il semblerait que ce ne soit pas dans les pratiques de sa tribu que les filles leur fassent des fellations.
Je suis revenue à la charge et quand j’ai jugé qu’il était capable de me percuter, je suis montée sur cette verge qui me faisait tellement de bien.
C’était la première fois que je me trouvais placé sur lui, je me sentais pénétrer centimètres par centimètres plus profondément que les autres fois, du moins, j’avais envie de le croire.
Là encore, j’étais aux anges d’autant que je voyais Diop lui aussi réveillé qui ne perdait rien de mes seins et de mon intimité soudée au corps de son copain.
Je suis sûr que si je lui avais fait un signe, il serait venu m’offrir son pieu.
J’étais devenue incontrôlable, ces verges noires m’obnubilaient, j’ai fini par lui faire signe et pour la première fois, il m’a pris la bouche avec son morceau, tellement gros que j’avais beau écarter mes mâchoires, il a eu du mal à y rentrer.
Une folle, j’étais devenue folle, dans le camp, une centaine de boys sont attachés aux familles, en même temps que je profite de ces deux verges, je me voyais assaillie par ces centaines de ces verges noires.
Le lendemain, ma mère a frappé à ma porte, ou elle m’a trouvé sagement couché, j’avais une visite…
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