COLLECTION BLACK. Nos boys (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2396 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 994 846 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2023 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 2 922 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION BLACK. Nos boys (1/3)
Je l’ai rencontrée le jour où je me suis rendue à la fête organisée par Julie pour notre réussite à notre BTS Opticien Lunetier.
J’ai vingt-trois ans, je sais normalement bac à dix-huit ans, moi dix-neuf, car j’ai redoublé ma troisième des collèges, par suite d’une maladie ayant perturbé mon année et m’ayant obligée à repiquer pour rattraper mon retard.
Aucun souci, le virus qui m’avait infecté, mon corps l'a rejeté avec le temps et quelques piqures.
Par la suite, quand j’ai eu mon bac, ce virus m’a fait m’orienter vers des études de médecine.
Je viens d’apprendre que le numérus clausus est abandonné.
Trop tard pour moi, la première année, 178e, hélas, 152 passaient seulement en deuxième année.
J’ai redoublé, la deuxième, 148e, hélas, après des heures de travail, 138 sont passés en deuxième année.
J’ai regardé ce que j’aimerais faire afin de changer de voie.
Ce sont les lunettes que ma vue m'a obligé de mettre qui fut mon déclencheur.
Dans la boutique où j’ai travaillé pendant mes études, un collège m'a fait choisir des montures et ce travail m’a plu.
Il y a deux ans que j’ai commencé mon BTS, j’ai donc vingt-trois ans et je suis reçu avec une des meilleures notes.
• Marie, je te présente Pierre, mon cousin, il était seul à Paris pour quelques jours, Julie a accepté qu’il vienne avec moi.
Je peux te le confier, il arrive de Dakar où il dirige une banque sénégalaise, mais avec des attaches en France.
• Pierre, Marie, Marie, Pierre fait lui passer une bonne soirée.
D’emblée ce garçon aussi grand que moi me plait.
J’aime les hommes mûrs et ses cheveux poivre et sel ainsi que de petites rides aux coins de ses yeux me montraient qu’il a quelques heures de vol.
• Merci de me tenir compagnie.
Marie, vous êtes fort jolie, je sais, j’ai quarante-quatre ans, mais voulez-vous m’épouser.
• J’aime votre humour, dans la même veine, j’accepte.
• Attention, avant de dire oui, il te faudra venir vivre à Dakar au Sénégal.
• Je connais, mes parents m’ont emmené en vacances, par le comité d’entreprise de la S.N.C.F. où travaille mon père.
C’est une ville très chaude, mais j’ai beaucoup aimé.
La médina avec son marché est un endroit charmant.
C’était parti sur une boutade, mais dans les délais légaux.
« Oui, je le veux ».
Le maire nous maris, malgré la réserve de mes parents sur la différence de nos âges et de nos milieux sociaux.
Pour être claire, je dois parler de notre nuit de noces.
Quand nous nous sommes couchés, tout s’est bien passé.
Il savait que j'avais perdu mon pucelage, mais rapidement l’un de mes pucelages a semblé l’intéresser.
Ma rosette, il m’avait demandé de me mettre en levrette quand il m’en a fait la demande.
• Marie, puis-je te sodomiser, ça fait partie de mes pratiques sexuelles.
Il y a fort longtemps, maman m’avait dit que lorsque je me marierais, je devrais faire plaisir à mon époux et que ce serait un gage de réussite.
C’était impossible avec ma chatte, plusieurs bites l’ayant défoncé, mais lui offrir mon anus ont été pour moi une belle compensation.
Le temps de réunir mes affaires, d’oublier mon mal chaque fois qu’il m’encule, ignorant ma chatte.
J’embrasse mes parents et l’avion nous emporte pour une vie de nabab, mon mari étant assez riche pour m’entretenir sans la nécessité de travailler.
Dans l’avion, je reçois les dernières consignes pour notre arrivée.
Si je suis venue en vacances, Pierre est né dans la maison familiale où nous allons habiter.
Il était jeune quand il a fait le voyage en France pour faire ses études et a été de retour il y a cinq ans.
Il a pris la direction de la banque S.G. implantée dans nos deux pays malgré l’indépendance.
Arrivé à l’aéroport de Dakar il me présenta Mamadou, son chauffeur conduisant sa grosse Mercedes.
Mamadou fait partie de la catégorie des hommes africains athlétiques.
Une force de la nature, capable de tuer un taureau d’un seul coup de poing !
Je retrouve la ville et ses faubourgs, un peu changé, jusqu’à ce que la voiture s’engage dans l’allée d’une maison jusqu’à un perron.
• Notre maison est l’une de celles restantes de l'époque coloniale.
Regarde Marie, au fond, les endroits ou mes serviteurs vivent, chacun d’entre eux à une pièce, cuisine, salle de bains.
Viens que je te présente à ces messieurs.
La voiture s’arrête et mon mari vient m’aider à descendre.
En plus de Mamadou, un autre garçon plus jeune s’avance.
• Voici Babacar, mon professeur de sport et aussi mon masseur, tu verras dans ta salle de bains, il y a une table.
Si tu demandes à Youssouf ici présent, il l’appellera.
Youssouf est mon majordome, il s’occupe de l’entretien de ma maison et dirige les autres boys.
Pardon de notre maison, il faut que je me re-habitue, depuis qu’elle m’a quitté et notre divorce.
De plus, c’est lui qui te préparera tes repas, attend toi à être souvent seule, je suis très pris par mon travail.
Faire fonctionner cette agence en rapport avec Paris représente une certaine sinécure.
Messieurs, dites aux boys de monter nos bagages dans ma chambre et celle de madame.
Youssouf sert nous une orangeade bien fraiche sur la terrasse, je me languissais d’admirer mes massifs de fleurs.
Nous faisons comme Pierre a dit, je découvre la chambre avec salle de bains que je pensais occuper différemment.
Pierre ayant oublié de me mettre au courant de ce point de détail, seule.
Ma chambre est climatisée, il m’a dit aller se rafraichir et m’a donné rendez-vous une demi-heure plus tard.
• Marie, tu es bien installée, tu as la plus jolie chambre de ma maison, c’était celle de maman, tu es la première à l’occuper depuis qu’elle m’a quitté.
Je dois te dire, demain matin trois hommes se présenteront à toi.
Tu analyseras leurs compétences et celui que tu auras choisi sera ton chauffeur personnel, si tu as un doute, demande à Youssouf, il est toujours de bon conseil.
Youssouf l’installera dans le quatrième logement étant disponible dans les dépendances des boys.
En plus de savoir conduire, tous les trois sont spécialistes des jardins.
Cet homme quand il sera libre, s’occupera de nos massifs.
Ils commencent à en avoir besoin depuis qu'Ousmane nous est parti.
C’est tout, un baiser et basta, pendant deux jours aucun contact physique avec mon mari, j’ai tout de suite eu l’impression d’être une veuve pleurant son cher époux.
Le troisième, je demande à Youssouf de me préparer mon bain assez froid, vu la température extérieure, après lui avoir fait couper la clim craignant de m’enrhumer.
• Madame Marie, je reste dans le coin, quand vous aurez fini, je viendrais nettoyer votre salle de bains !
Monsieur Pierre tient à ce que tout soit nickel dans sa maison.
Je le remercie et je vais pour entrer dans l’eau.
J’avais dit froid, mais là c’est glacé, on dirait qu’il a mis des glaçons pour baisser sa température.
Je pousse un grand cri.
• Vous m’avez appelé, madame, vous avez un problème.
• Vous êtes fou Youssouf d’entrer dans ma salle de bains sans prévenir, je suis nue.
• Aucun problème madame, j’ai l’habitude avec l’ancienne femme de monsieur Pierre, elle m’appelait et je lui frottais le dos.
• Vous frottiez le dos de la femme de mon mari, dans quel milieu m’a-t-il entraîné.
• Je vois qu’il vous a caché sa véritable nature, sortez de l’eau et passez ce peignoir.
Je vais vous emmener voir quelque chose qui va vous ouvrir les yeux sur qui est réellement votre mari, petite Marie.
Que de mystère, j’ai bien reçu les trois garçons comme Pierre me l’a demandé.
J’ai choisi un jeune garçon aussi noir que ses collègues et Youssouf l’a installé lui montrant ma propre voiture qu’il devra conduire.
Il s’appelle Samba et à exactement mon âge, c’est pourquoi je l’ai choisi.
Comme il me l’a demandé, je sors de l’eau, j’enfile le peignoir qui colle divinement à ma peau.
Je mets mes mules roses, il me prend par la main, et m’entraîne hors de la maison vers leurs logements.
• Regarde qui tu as épousé.
J’avance mon regard vers une fenêtre, il y a un massif, je dois me pencher en m’appuyant sur le rebord afin d'éviter de tomber.
• Alors.
Dans la pièce qui est devant moi, un lit, un homme nu, placé à quatre pattes.
Samba que je viens d’embaucher encule Pierre, mon mari.
Assis devant lui, il suce la queue de Mamadou son chauffeur qui bande comme un taureau.
Un âne plutôt, il est monté comme un âne.
Quand il sort du rectum de mon époux, je peux voir que Samba est d’un même calibre.
• Tu vois Marie, ton mari fait passer son examen de passage au jeune garçon que tu as embauché pour être ton chauffeur.
S’il avait refusé, il t’aurait prévenu qu’il avait démissionné et t’aurait demandé d’en choisir un autre.
Tu verras que Samba a passé son examen avec succès.
Je me rends compte que Youssouf, c’est mis familièrement à me tutoyer.
• Toi aussi Youssouf, tu encules et tu te fais sucer et enculer par mon mari !
• Bien sûr, nous sommes à son service, c’est mon père qui l’a dépucelé dans sa jeunesse.
Son père et son grand-père était comme lui des PD.
• Des homosexuelles, Youssouf, être pédéraste se dit pour ceux qui s’attaquent à de jeunes garçons, vous êtes tous majeurs.
• Je connais la distinction entre PD et homo.
Ici, c’est PD, nous parlons entre nous du PD.
• Pourquoi restez-vous ?
• Comme toi, tu vas rester, il paye bien et toi, il t’entretiendra bien.
• Pourquoi sa femme est-elle partie ?
• Son chauffeur s’appelait Ousmane, elle en est tombée amoureuse et la ramenez dans son pays.
• De quel pays était-elle !
• Elle s’appelait Nouzha et était Marocaine.
Derrière la fenêtre, les choses évoluent, Pierre vient de boire le sperme de Mamadou.
Samba quitte le cul de mon mari et amène sa verge à hauteur de la bouche de Pierre qui le masturbe.
Il semble avoir envie d’une nouvelle rasade de sperme.
• Oh ! Youssouf que fais-tu, pourquoi as-tu relevé mon peignoir…
J’ai vingt-trois ans, je sais normalement bac à dix-huit ans, moi dix-neuf, car j’ai redoublé ma troisième des collèges, par suite d’une maladie ayant perturbé mon année et m’ayant obligée à repiquer pour rattraper mon retard.
Aucun souci, le virus qui m’avait infecté, mon corps l'a rejeté avec le temps et quelques piqures.
Par la suite, quand j’ai eu mon bac, ce virus m’a fait m’orienter vers des études de médecine.
Je viens d’apprendre que le numérus clausus est abandonné.
Trop tard pour moi, la première année, 178e, hélas, 152 passaient seulement en deuxième année.
J’ai redoublé, la deuxième, 148e, hélas, après des heures de travail, 138 sont passés en deuxième année.
J’ai regardé ce que j’aimerais faire afin de changer de voie.
Ce sont les lunettes que ma vue m'a obligé de mettre qui fut mon déclencheur.
Dans la boutique où j’ai travaillé pendant mes études, un collège m'a fait choisir des montures et ce travail m’a plu.
Il y a deux ans que j’ai commencé mon BTS, j’ai donc vingt-trois ans et je suis reçu avec une des meilleures notes.
• Marie, je te présente Pierre, mon cousin, il était seul à Paris pour quelques jours, Julie a accepté qu’il vienne avec moi.
Je peux te le confier, il arrive de Dakar où il dirige une banque sénégalaise, mais avec des attaches en France.
• Pierre, Marie, Marie, Pierre fait lui passer une bonne soirée.
D’emblée ce garçon aussi grand que moi me plait.
J’aime les hommes mûrs et ses cheveux poivre et sel ainsi que de petites rides aux coins de ses yeux me montraient qu’il a quelques heures de vol.
• Merci de me tenir compagnie.
Marie, vous êtes fort jolie, je sais, j’ai quarante-quatre ans, mais voulez-vous m’épouser.
• J’aime votre humour, dans la même veine, j’accepte.
• Attention, avant de dire oui, il te faudra venir vivre à Dakar au Sénégal.
• Je connais, mes parents m’ont emmené en vacances, par le comité d’entreprise de la S.N.C.F. où travaille mon père.
C’est une ville très chaude, mais j’ai beaucoup aimé.
La médina avec son marché est un endroit charmant.
C’était parti sur une boutade, mais dans les délais légaux.
« Oui, je le veux ».
Le maire nous maris, malgré la réserve de mes parents sur la différence de nos âges et de nos milieux sociaux.
Pour être claire, je dois parler de notre nuit de noces.
Quand nous nous sommes couchés, tout s’est bien passé.
Il savait que j'avais perdu mon pucelage, mais rapidement l’un de mes pucelages a semblé l’intéresser.
Ma rosette, il m’avait demandé de me mettre en levrette quand il m’en a fait la demande.
• Marie, puis-je te sodomiser, ça fait partie de mes pratiques sexuelles.
Il y a fort longtemps, maman m’avait dit que lorsque je me marierais, je devrais faire plaisir à mon époux et que ce serait un gage de réussite.
C’était impossible avec ma chatte, plusieurs bites l’ayant défoncé, mais lui offrir mon anus ont été pour moi une belle compensation.
Le temps de réunir mes affaires, d’oublier mon mal chaque fois qu’il m’encule, ignorant ma chatte.
J’embrasse mes parents et l’avion nous emporte pour une vie de nabab, mon mari étant assez riche pour m’entretenir sans la nécessité de travailler.
Dans l’avion, je reçois les dernières consignes pour notre arrivée.
Si je suis venue en vacances, Pierre est né dans la maison familiale où nous allons habiter.
Il était jeune quand il a fait le voyage en France pour faire ses études et a été de retour il y a cinq ans.
Il a pris la direction de la banque S.G. implantée dans nos deux pays malgré l’indépendance.
Arrivé à l’aéroport de Dakar il me présenta Mamadou, son chauffeur conduisant sa grosse Mercedes.
Mamadou fait partie de la catégorie des hommes africains athlétiques.
Une force de la nature, capable de tuer un taureau d’un seul coup de poing !
Je retrouve la ville et ses faubourgs, un peu changé, jusqu’à ce que la voiture s’engage dans l’allée d’une maison jusqu’à un perron.
• Notre maison est l’une de celles restantes de l'époque coloniale.
Regarde Marie, au fond, les endroits ou mes serviteurs vivent, chacun d’entre eux à une pièce, cuisine, salle de bains.
Viens que je te présente à ces messieurs.
La voiture s’arrête et mon mari vient m’aider à descendre.
En plus de Mamadou, un autre garçon plus jeune s’avance.
• Voici Babacar, mon professeur de sport et aussi mon masseur, tu verras dans ta salle de bains, il y a une table.
Si tu demandes à Youssouf ici présent, il l’appellera.
Youssouf est mon majordome, il s’occupe de l’entretien de ma maison et dirige les autres boys.
Pardon de notre maison, il faut que je me re-habitue, depuis qu’elle m’a quitté et notre divorce.
De plus, c’est lui qui te préparera tes repas, attend toi à être souvent seule, je suis très pris par mon travail.
Faire fonctionner cette agence en rapport avec Paris représente une certaine sinécure.
Messieurs, dites aux boys de monter nos bagages dans ma chambre et celle de madame.
Youssouf sert nous une orangeade bien fraiche sur la terrasse, je me languissais d’admirer mes massifs de fleurs.
Nous faisons comme Pierre a dit, je découvre la chambre avec salle de bains que je pensais occuper différemment.
Pierre ayant oublié de me mettre au courant de ce point de détail, seule.
Ma chambre est climatisée, il m’a dit aller se rafraichir et m’a donné rendez-vous une demi-heure plus tard.
• Marie, tu es bien installée, tu as la plus jolie chambre de ma maison, c’était celle de maman, tu es la première à l’occuper depuis qu’elle m’a quitté.
Je dois te dire, demain matin trois hommes se présenteront à toi.
Tu analyseras leurs compétences et celui que tu auras choisi sera ton chauffeur personnel, si tu as un doute, demande à Youssouf, il est toujours de bon conseil.
Youssouf l’installera dans le quatrième logement étant disponible dans les dépendances des boys.
En plus de savoir conduire, tous les trois sont spécialistes des jardins.
Cet homme quand il sera libre, s’occupera de nos massifs.
Ils commencent à en avoir besoin depuis qu'Ousmane nous est parti.
C’est tout, un baiser et basta, pendant deux jours aucun contact physique avec mon mari, j’ai tout de suite eu l’impression d’être une veuve pleurant son cher époux.
Le troisième, je demande à Youssouf de me préparer mon bain assez froid, vu la température extérieure, après lui avoir fait couper la clim craignant de m’enrhumer.
• Madame Marie, je reste dans le coin, quand vous aurez fini, je viendrais nettoyer votre salle de bains !
Monsieur Pierre tient à ce que tout soit nickel dans sa maison.
Je le remercie et je vais pour entrer dans l’eau.
J’avais dit froid, mais là c’est glacé, on dirait qu’il a mis des glaçons pour baisser sa température.
Je pousse un grand cri.
• Vous m’avez appelé, madame, vous avez un problème.
• Vous êtes fou Youssouf d’entrer dans ma salle de bains sans prévenir, je suis nue.
• Aucun problème madame, j’ai l’habitude avec l’ancienne femme de monsieur Pierre, elle m’appelait et je lui frottais le dos.
• Vous frottiez le dos de la femme de mon mari, dans quel milieu m’a-t-il entraîné.
• Je vois qu’il vous a caché sa véritable nature, sortez de l’eau et passez ce peignoir.
Je vais vous emmener voir quelque chose qui va vous ouvrir les yeux sur qui est réellement votre mari, petite Marie.
Que de mystère, j’ai bien reçu les trois garçons comme Pierre me l’a demandé.
J’ai choisi un jeune garçon aussi noir que ses collègues et Youssouf l’a installé lui montrant ma propre voiture qu’il devra conduire.
Il s’appelle Samba et à exactement mon âge, c’est pourquoi je l’ai choisi.
Comme il me l’a demandé, je sors de l’eau, j’enfile le peignoir qui colle divinement à ma peau.
Je mets mes mules roses, il me prend par la main, et m’entraîne hors de la maison vers leurs logements.
• Regarde qui tu as épousé.
J’avance mon regard vers une fenêtre, il y a un massif, je dois me pencher en m’appuyant sur le rebord afin d'éviter de tomber.
• Alors.
Dans la pièce qui est devant moi, un lit, un homme nu, placé à quatre pattes.
Samba que je viens d’embaucher encule Pierre, mon mari.
Assis devant lui, il suce la queue de Mamadou son chauffeur qui bande comme un taureau.
Un âne plutôt, il est monté comme un âne.
Quand il sort du rectum de mon époux, je peux voir que Samba est d’un même calibre.
• Tu vois Marie, ton mari fait passer son examen de passage au jeune garçon que tu as embauché pour être ton chauffeur.
S’il avait refusé, il t’aurait prévenu qu’il avait démissionné et t’aurait demandé d’en choisir un autre.
Tu verras que Samba a passé son examen avec succès.
Je me rends compte que Youssouf, c’est mis familièrement à me tutoyer.
• Toi aussi Youssouf, tu encules et tu te fais sucer et enculer par mon mari !
• Bien sûr, nous sommes à son service, c’est mon père qui l’a dépucelé dans sa jeunesse.
Son père et son grand-père était comme lui des PD.
• Des homosexuelles, Youssouf, être pédéraste se dit pour ceux qui s’attaquent à de jeunes garçons, vous êtes tous majeurs.
• Je connais la distinction entre PD et homo.
Ici, c’est PD, nous parlons entre nous du PD.
• Pourquoi restez-vous ?
• Comme toi, tu vas rester, il paye bien et toi, il t’entretiendra bien.
• Pourquoi sa femme est-elle partie ?
• Son chauffeur s’appelait Ousmane, elle en est tombée amoureuse et la ramenez dans son pays.
• De quel pays était-elle !
• Elle s’appelait Nouzha et était Marocaine.
Derrière la fenêtre, les choses évoluent, Pierre vient de boire le sperme de Mamadou.
Samba quitte le cul de mon mari et amène sa verge à hauteur de la bouche de Pierre qui le masturbe.
Il semble avoir envie d’une nouvelle rasade de sperme.
• Oh ! Youssouf que fais-tu, pourquoi as-tu relevé mon peignoir…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Hum, très chaud!