COLLECTION BLONDE. L’accident de Lola (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BLONDE. L’accident de Lola (1/2)
Pour éviter de dire ou se trouve la maison de Lola, je garderais pour moi l’endroit exact ou cette aventure m’arrive.
Je situe mon aventure un soir d’hiver dans l’arrière-pays Niçois.
Je suis en vacances pour une semaine aimant aller d’endroit en endroit, meilleur moyen pour faire des découvertes, paysages ou rencontres de femmes.
Lorsque j’arrive à Nice, venant des quartiers nord de Marseille, au volant de ma vieille guimbarde, j’espère trouver un hôtel dans mes moyens.
Hélas, un congrès de médecin, ayant bloqué un max de chambres, celles que je pensais trouver, son elles aussi toutes occupées.
Fidèle à mon principe, roule, tu trouveras toujours quelque chose plus loin.
Je m’engage dans l’arrière-pays quand la neige commence à tomber.
C’est bien ma veine, mon patron au supermarché m’a imposé cette semaine en hiver, c’est pour cela que j’ai décidé de visiter Nice avant de passer en Italie.
Au début, la neige tombe faiblement, puis s’intensifie jusqu’à ce que j’aie du mal à voir la route.
Je viens de passer un village déjà tout fermé.
Je vois une auberge, je suis sauvé.
Bien sûr, un panneau sur la porte.
« Congés annuels, revenez le 1er avril. »
L’aubergiste a de l’humour, on pourrait croire que sa réouverture est un poisson.
Au lieu de faire demi-tour, ce qui serait le plus raisonnable, je décide de continuer jusqu’au patelin suivant que je vois sur mon portable et qui semble une bourgade plus importante.
La route commence à monter, augmentant la neige s’accumulant sur mon pare-brise.
C’est le moment que choisit mon portable pour me dire adieu.
Plus aucune barre, suis-je entré dans une zone blanche ?
Je fais encore cinquante mètres sur des œufs, décidé à trouver un chemin pour revenir dans une contrée plus accueillante, qui à dormir dans ma voiture.
J’ai oublié de signaler que dans mon quartier, je suis pompier volontaire et dans ma voiture, j’ai un kit de survie.
J’ai rigolé, le Noël dernier quand notre commandant à la caserne, nous en a offert un à chacun.
À l’intérieur, j’ai même trouvé des hameçons et une bobine de fil de pêche.
Je me vois mal ce soir aller dans une rivière du coin attraper des poissons pour me nourrir grâce au feu que je pourrais allumer.
J’arrive dans un virage quand je freine en urgence mettant ma voiture en crabe afin de l’arrêter.
Devant moi une voiture phares allumée se trouvant dans une situation inconfortable. L’avant dans le fossé semblant avoir tapé un rocher du bord de route.
La nuit est tombée depuis bien longtemps.
Je sais que dans mon kit placé dans mon coffre, il y a une petite lampe à friction, mais prévoyant, j’ai une grosse lampe torche dans ma boîte à gants.
Je la prends et je descends, mes phares étant suffisants, mais sait-on jamais.
• Au secours, aidez-moi.
Une voix de femme sort de l’habitat de cette voiture de sport.
Merde, combien peut-elle coûter, il est certain qu’avec mon poste de vigile à mon super marché, inutile de rêver d’en avoir une à moi.
Je descends dans le fossé et j’essaye d’ouvrir la porte pour l’aider à descendre.
J’ai le temps de voir une jeune femme blonde avant de constater que la portière s’est bloquée dans le choc.
• Je fais le tour, attendez, j’arrive.
Je m’exécute, grimpant un peu, car la voiture légèrement en pente est un peu surélevée.
C’est le moment que choisissent les phares pour s’éteindre, mais ceux de ma voiture sont encore en service.
• Je suis là, est-ce une voiture à essence ?
• J’ai mal, regardez plutôt ce qui bloque mon pied que de dire des conneries, ma voiture a calé quand j’ai glissé et taper.
• Calmez-vous, c’est pour les risques d’incendies, ou est la clef de contact, je regarde sans la voir.
• Vous êtes comique jeune homme, cette Allemande démarre grâce à cette carte électronique, il suffit de l’enlever pour tout couper.
Elle la retire, je lui mets ma torche dans la figure.
• Mais vous êtes Lola, la star des pornos.
• Oui.
• Que faite vous sur cette petite route escarpée ?
• Je rentrais chez moi, après avoir, dîner à Nice sur la promenade.
Mes amis m’ont prévenu du risque tombé de neige émise, mais me croyant plus forte que les éléments j’ai pris la route.
J’aurais dû continuer sur la grande route, mais rapidement, je me suis trompée, j’aurais dû prendre à gauche au lieu de la droite.
Le temps de m’en apercevoir, impossible de trouver un endroit pour faire demi-tour et j’ai atterri dans ce rocher.
• Je vais essayer de voir ce qui bloque votre pied.
Je suis sportif, c’est normal pour un pompier même volontaire.
Dans mon quartier aucune place pour les faibles, alors petit comme j’étais chétif, je me suis construit des abdos en béton.
Mais essayer d’aller vers sous le tableau de bord d’une voiture si exiguë et en plus en légère pente, la portière se refermant.
J’arrive à me mettre les fesses en l’air et à me glisser là où je peux voir ce qu’il se passe.
Une fraction de seconde, ma lampe se trouve dans l’axe de la mini de la conductrice.
Je change l’angle de la lumière, j’ai eu le temps de voir la blondeur de Lola, elle roule sans culotte.
• J’ai vu le faisceau de votre lampe traverser ma mini, vous avez vu que j’ai la chatte à l’air.
Vous devez vous dire qu’une actrice porno est une salope, prête à se faire sauter et que c’est pour ça que je me promène mon intimité prête à l’emploi.
Sa chatte blonde, je l’ai vue sur mon portable en regardant les trois films qu’elle a tournés pour canal+.
Comme Clara Morgan, il a été dit qu’elle a un contrat pour cinq films renouvelables avec Marc Dorcel le producteur de films X.
• Madame, c’est par malchance que j’ai vue sous votre jupe.
Dites-moi, vous conduisez toujours avec des talons hauts.
• Puisque vous voulez tout savoir, je me suis disputé avec un connard qui m’avait invité sous couvert de me faire faire une pub, mais qui voulait me mettre simplement dans son pieu, me prenant pour une pute.
J’ai pris ma voiture pour rentrer chez moi, sans changer de chaussures, je voyais certains paparazzis se rapprocher.
Mes petits escarpins sont derrière mon siège.
Si je vous disais certaines choses, vous seriez étonné.
• Si vous le voulez bien, on parlera de ça plus tard, je suis dans une situation plus qu’inconfortable.
Je vois, la tôle s’est repliée et vous bloque le pied.
Attendez.
• Aie.
• Impossible comme ça, il va falloir du matériel de désincarcération.
Attendez, je sors de cette situation inconfortable, prenez ma lampe.
Je me rends compte que j’ai la tête vers le bas, les pieds sur l’appui-tête de la voiture de sport de Lola.
Là, c’est elle qui me montre sa chatte recouverte de son duvet blond qui m’a déjà fait bander et même décharger lors de ma vision de ses pornos.
J’arrive à m’extirper sans avoir de remarque désobligeante de la part de celle qui a accumulé les conneries.
Un peu essoufflé, j’arrive à m’asseoir.
À faire tout cela, le temps a tourné et dans l’habitat la température a nettement diminué.
• J’ai un peu froid.
Mince, ça se complique, je sais ce qui peut arriver en cas de choc à contrecoup.
• As-tu un vêtement plus chaud, que je peux mettre sur toi ?
• J’ai mon manteau de fourrure dans le coffre, mais sans courant, j’ignore, comment l’ouvrir.
• Je reviens.
J’arrive à ressortir, dans ma voiture, je contrôle le réseau, néant, mince, j’ai oublié de demander à Lola si son portable passe.
Je pense qu’elle me l’aurait dit.
J’en profite pour amener ce que je peux, comme la couverture de survie qui va s’avérer plus utile que les hameçons.
Je retourne, j’ouvre la portière, la neige est de plus en plus épaisse, je sens que l’on va y passer la nuit.
• Je retourne vers ton pied, j’ai amené des vêtements pour le garder au chaud.
Je recommence mes exercices de souplesse, ce qui me garde en chaleur.
De retour à ses côtés, je place sur elle mon caban et me collant au maximum près d’elle, voir sur elle, je nous calfeutre sous la couverture argentée.
• Merci, j’ai plus chaud, tu vas me sauver !
Je sais grâce à mes formations de secouriste qu’il faut rester positif envers un blessé afin que son moral reste bon.
• Si on m’avait dit que je passerais ma nuit dans la voiture d’une star du porno collé contre elle.
Combien de temps restons-nous comme ça, je l’ignore, j’avais coupé mes phares après avoir récupéré le matériel de survie.
Nous sommes dans le noir, impossible à dire, je sens des poils sous mes doigts.
• Oui, caresse-moi, tes doigts échauffent ma chatte et irradie mon corps.
Non, continus, c’est si bon...
Je situe mon aventure un soir d’hiver dans l’arrière-pays Niçois.
Je suis en vacances pour une semaine aimant aller d’endroit en endroit, meilleur moyen pour faire des découvertes, paysages ou rencontres de femmes.
Lorsque j’arrive à Nice, venant des quartiers nord de Marseille, au volant de ma vieille guimbarde, j’espère trouver un hôtel dans mes moyens.
Hélas, un congrès de médecin, ayant bloqué un max de chambres, celles que je pensais trouver, son elles aussi toutes occupées.
Fidèle à mon principe, roule, tu trouveras toujours quelque chose plus loin.
Je m’engage dans l’arrière-pays quand la neige commence à tomber.
C’est bien ma veine, mon patron au supermarché m’a imposé cette semaine en hiver, c’est pour cela que j’ai décidé de visiter Nice avant de passer en Italie.
Au début, la neige tombe faiblement, puis s’intensifie jusqu’à ce que j’aie du mal à voir la route.
Je viens de passer un village déjà tout fermé.
Je vois une auberge, je suis sauvé.
Bien sûr, un panneau sur la porte.
« Congés annuels, revenez le 1er avril. »
L’aubergiste a de l’humour, on pourrait croire que sa réouverture est un poisson.
Au lieu de faire demi-tour, ce qui serait le plus raisonnable, je décide de continuer jusqu’au patelin suivant que je vois sur mon portable et qui semble une bourgade plus importante.
La route commence à monter, augmentant la neige s’accumulant sur mon pare-brise.
C’est le moment que choisit mon portable pour me dire adieu.
Plus aucune barre, suis-je entré dans une zone blanche ?
Je fais encore cinquante mètres sur des œufs, décidé à trouver un chemin pour revenir dans une contrée plus accueillante, qui à dormir dans ma voiture.
J’ai oublié de signaler que dans mon quartier, je suis pompier volontaire et dans ma voiture, j’ai un kit de survie.
J’ai rigolé, le Noël dernier quand notre commandant à la caserne, nous en a offert un à chacun.
À l’intérieur, j’ai même trouvé des hameçons et une bobine de fil de pêche.
Je me vois mal ce soir aller dans une rivière du coin attraper des poissons pour me nourrir grâce au feu que je pourrais allumer.
J’arrive dans un virage quand je freine en urgence mettant ma voiture en crabe afin de l’arrêter.
Devant moi une voiture phares allumée se trouvant dans une situation inconfortable. L’avant dans le fossé semblant avoir tapé un rocher du bord de route.
La nuit est tombée depuis bien longtemps.
Je sais que dans mon kit placé dans mon coffre, il y a une petite lampe à friction, mais prévoyant, j’ai une grosse lampe torche dans ma boîte à gants.
Je la prends et je descends, mes phares étant suffisants, mais sait-on jamais.
• Au secours, aidez-moi.
Une voix de femme sort de l’habitat de cette voiture de sport.
Merde, combien peut-elle coûter, il est certain qu’avec mon poste de vigile à mon super marché, inutile de rêver d’en avoir une à moi.
Je descends dans le fossé et j’essaye d’ouvrir la porte pour l’aider à descendre.
J’ai le temps de voir une jeune femme blonde avant de constater que la portière s’est bloquée dans le choc.
• Je fais le tour, attendez, j’arrive.
Je m’exécute, grimpant un peu, car la voiture légèrement en pente est un peu surélevée.
C’est le moment que choisissent les phares pour s’éteindre, mais ceux de ma voiture sont encore en service.
• Je suis là, est-ce une voiture à essence ?
• J’ai mal, regardez plutôt ce qui bloque mon pied que de dire des conneries, ma voiture a calé quand j’ai glissé et taper.
• Calmez-vous, c’est pour les risques d’incendies, ou est la clef de contact, je regarde sans la voir.
• Vous êtes comique jeune homme, cette Allemande démarre grâce à cette carte électronique, il suffit de l’enlever pour tout couper.
Elle la retire, je lui mets ma torche dans la figure.
• Mais vous êtes Lola, la star des pornos.
• Oui.
• Que faite vous sur cette petite route escarpée ?
• Je rentrais chez moi, après avoir, dîner à Nice sur la promenade.
Mes amis m’ont prévenu du risque tombé de neige émise, mais me croyant plus forte que les éléments j’ai pris la route.
J’aurais dû continuer sur la grande route, mais rapidement, je me suis trompée, j’aurais dû prendre à gauche au lieu de la droite.
Le temps de m’en apercevoir, impossible de trouver un endroit pour faire demi-tour et j’ai atterri dans ce rocher.
• Je vais essayer de voir ce qui bloque votre pied.
Je suis sportif, c’est normal pour un pompier même volontaire.
Dans mon quartier aucune place pour les faibles, alors petit comme j’étais chétif, je me suis construit des abdos en béton.
Mais essayer d’aller vers sous le tableau de bord d’une voiture si exiguë et en plus en légère pente, la portière se refermant.
J’arrive à me mettre les fesses en l’air et à me glisser là où je peux voir ce qu’il se passe.
Une fraction de seconde, ma lampe se trouve dans l’axe de la mini de la conductrice.
Je change l’angle de la lumière, j’ai eu le temps de voir la blondeur de Lola, elle roule sans culotte.
• J’ai vu le faisceau de votre lampe traverser ma mini, vous avez vu que j’ai la chatte à l’air.
Vous devez vous dire qu’une actrice porno est une salope, prête à se faire sauter et que c’est pour ça que je me promène mon intimité prête à l’emploi.
Sa chatte blonde, je l’ai vue sur mon portable en regardant les trois films qu’elle a tournés pour canal+.
Comme Clara Morgan, il a été dit qu’elle a un contrat pour cinq films renouvelables avec Marc Dorcel le producteur de films X.
• Madame, c’est par malchance que j’ai vue sous votre jupe.
Dites-moi, vous conduisez toujours avec des talons hauts.
• Puisque vous voulez tout savoir, je me suis disputé avec un connard qui m’avait invité sous couvert de me faire faire une pub, mais qui voulait me mettre simplement dans son pieu, me prenant pour une pute.
J’ai pris ma voiture pour rentrer chez moi, sans changer de chaussures, je voyais certains paparazzis se rapprocher.
Mes petits escarpins sont derrière mon siège.
Si je vous disais certaines choses, vous seriez étonné.
• Si vous le voulez bien, on parlera de ça plus tard, je suis dans une situation plus qu’inconfortable.
Je vois, la tôle s’est repliée et vous bloque le pied.
Attendez.
• Aie.
• Impossible comme ça, il va falloir du matériel de désincarcération.
Attendez, je sors de cette situation inconfortable, prenez ma lampe.
Je me rends compte que j’ai la tête vers le bas, les pieds sur l’appui-tête de la voiture de sport de Lola.
Là, c’est elle qui me montre sa chatte recouverte de son duvet blond qui m’a déjà fait bander et même décharger lors de ma vision de ses pornos.
J’arrive à m’extirper sans avoir de remarque désobligeante de la part de celle qui a accumulé les conneries.
Un peu essoufflé, j’arrive à m’asseoir.
À faire tout cela, le temps a tourné et dans l’habitat la température a nettement diminué.
• J’ai un peu froid.
Mince, ça se complique, je sais ce qui peut arriver en cas de choc à contrecoup.
• As-tu un vêtement plus chaud, que je peux mettre sur toi ?
• J’ai mon manteau de fourrure dans le coffre, mais sans courant, j’ignore, comment l’ouvrir.
• Je reviens.
J’arrive à ressortir, dans ma voiture, je contrôle le réseau, néant, mince, j’ai oublié de demander à Lola si son portable passe.
Je pense qu’elle me l’aurait dit.
J’en profite pour amener ce que je peux, comme la couverture de survie qui va s’avérer plus utile que les hameçons.
Je retourne, j’ouvre la portière, la neige est de plus en plus épaisse, je sens que l’on va y passer la nuit.
• Je retourne vers ton pied, j’ai amené des vêtements pour le garder au chaud.
Je recommence mes exercices de souplesse, ce qui me garde en chaleur.
De retour à ses côtés, je place sur elle mon caban et me collant au maximum près d’elle, voir sur elle, je nous calfeutre sous la couverture argentée.
• Merci, j’ai plus chaud, tu vas me sauver !
Je sais grâce à mes formations de secouriste qu’il faut rester positif envers un blessé afin que son moral reste bon.
• Si on m’avait dit que je passerais ma nuit dans la voiture d’une star du porno collé contre elle.
Combien de temps restons-nous comme ça, je l’ignore, j’avais coupé mes phares après avoir récupéré le matériel de survie.
Nous sommes dans le noir, impossible à dire, je sens des poils sous mes doigts.
• Oui, caresse-moi, tes doigts échauffent ma chatte et irradie mon corps.
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