COLLECTION BLONDE. L’accident de Lola (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BLONDE. L’accident de Lola (2/2)
En vacances près de Nice, un congrès de médecin m’envoie vers l’arrière-pays pour essayer de trouver un gîte et un couvert pour ma première nuit de vacances.
La neige plus une erreur de parcours m’envoi sur une route escarpée, jusqu’à ce que je freine en urgence, car une voiture de sport, devant moi, est dans le fossé.
Je suis secouriste étant pompier volontaire dans la banlieue de Marseille.
La conductrice s’avère être Lola, la nouvelle star du porno dont j’ai déjà vu les trois premiers films.
Je la secours, mais son pied est coincé par la tôle.
J’ai plongé sous le tableau de bord, la voiture se trouvant dans une drôle de situation après avoir tapé.
Par chance, elle est coincée sans la moindre hémorragie, mais je suis dans l’impossibilité de l’extraire.
J’ai bien ma voiture, mais je suis coincé par la neige tombée abondamment et qui a été la cause de l’accident.
Pied protégé avec des linges sortis de mon sac de sport lui permettant d’avoir chaud.
J’ai aussi un manteau d’hiver et une couverture de survie nous permettant d’attendre tranquillement le levé du jour.
Lorsque je me réveille tenant l’actrice dans mes bras la chauffant de mon corps, ce sont des poils que je sens dans le noir.
Sans le vouloir, ma main s’est insinuée sous sa jupe sans pour autant que je pense à mal.
J’allais quitter la place afin de rester correct avec cette femme.
Mais l’ordre d’aller jusqu’au bout de ma caresse me parvient.
Je sens son souffle chaud à quelques centimètres de ma bouche et c’est naturellement que je l’embrasse.
Deux doigts dont l’un qui vient caresser le haut de sa vulve ou doit se trouver son point G.
Je dois les trouver, car elle crie un coup me coupant mes envies.
• Non, reste, toi tu me fais du bien, c’est mon pied que j’ai bougé et qui m’a fait mal.
• Regarde, le jour se lève !
Ah !
C’est le plaisir apporté par mes doigts qui viennent de lui faire sortir de sa bouche ce Ah !
Je sens que je dois entretenir la conversation, ignorant si elle est choquée, or je sais que ce moment est décisif dans la survie de mon accidentée.
• Comment es-tu entré dans le porno ?
• C’est toute une histoire peu banale.
Je cherchais un rôle dans un film classique quand je me suis retrouvé dans le bureau de la compagnie Marc Dorcel.
La personne s’intéressait à ma personne, car il cherchait une blonde.
La somme par film qu’il me proposait m’a convaincu, mais il y avait un léger problème.
• Dans un premier temps, ta morale était mise à rude épreuve.
• Non, j’étais vierge !
• Quoi tu étais vierge ?
• Oui.
Il a fait venir un acteur qui m’a débarrassé de ce petit inconvénient.
• Mais dit moi, ces hommes et ces femmes avec qui tu as fait l’amour dans tes trois films, ils sont les seuls à t’avoir fait l’amour ?
À moins que tu sois passé dans d’autres bras.
• Non, j’ai seulement fait l’amour avec des acteurs professionnels.
• Les femmes aussi, j’ai vu que tu as fait des scènes lesbiennes.
• Tout juste, le plus dur ce fut la sodomie, mais depuis ça rentre comme dans du beurre.
Dans le jour de plus en plus naissant, nous éclatons de rire.
J’ai dans mes bras et sous mes doigts toujours dans sa chatte, l’actrice porno de l’année.
• Ma jambe, je crois qu’elle est tombée, impossible de la sentir.
• Attends, je vais voir.
Rebelotte, je plonge sous le tableau de bord lâchant sa vulve avec quelques regrets.
J’ai récupéré ma lampe qui me montre que malgré les vêtements l’entourant, elle commence à bleuir.
Je la frotte, quitte à ce qu’elle ait mal jusqu’à ce que je sente la circulation revenir.
Je retourne à l’air libre, en passant, je dépose un baisé au plus loin sous sa mini.
De ce côté-là tout va bien, elle se cabre de plaisir.
Je viens à peine de reprendre ma position assise un peu essoufflée quand surgissant d’un virage à l’opposé de la route que nous empruntions, arrive un chasse-neige.
Il freine et je vois ma lame s’arrêter à quelques centimètres du côté de la voiture de Lola.
C’est une chance, que serait-il arrivé au pied de Lola qui aurait pu être déchiqueté par la tôle qui l’entoure.
Je sors une nouvelle fois, le froid me saisi.
• Attendez, j’appelle des secours.
Par chance, Boby comme il se présente communique par talkie-walkie avec son service.
En moins d’une demi-heure, l’ambulance et la gendarmerie arrive.
• Salut, les copains, je suis de Marseille et j’ai essayé de sortir la jeune femme, mais son pied est coincé dans l’amas de tôle.
Vous allez devoir la décarcérer, faite attention !
Ils me font monter dans l’ambulance, mais m’asseyant, à part le froid tout va bien.
J’entends qu’on meule, qu’on découpe, j’ai moi-même participé à une désincarcération, avec amputation.
C’était difficile à voir.
Par chance au moment où les copains apportent le brancard où ils l’ont installé, je vois qu’elle a toujours son pied, ils ont fait du travail propre.
Ping-pong, ping-pong, nos voitures, la mienne et celle de Lola, vont être chargés sur un camion et ramenés dans un garage où nous pourrons les récupérer.
Celle de ma nouvelle amie et quelle amie, une star du porno.
À l’hôpital, nous restons la matinée à faire des examens.
Chance inouïe, Lola dans son malheur est sortie indemne de son accident.
Elle a juste une bande à changer tous les jours.
• Si tu m’invites, car à ce que tu m’as dit cette nuit sur les hommes de ta vie à part des pros du sexe, tu dois vivre seule et je pourrais te changer ta bande, je te rappelle que je suis secouriste certifié.
Je fais la connaissance, de ses femmes de chambre payées par la production dans la villa louée aussi, pour elle, pour la production.
Je rencontre Ludo, pas de méprise, son chat persan aux yeux vert qui semble trouver déplaisant que je lui donne un coup de pied pour qu’il se barre du lit où j’attends Lola qui se prépare à sa première nuit d’amour avec un homme.
Enfin, elle est à moi, je plonge dans sa chatte avec délice.
Je fais durer le plaisir, jusqu’à notre premier orgasme simultané.
Le premier d’une longue série.
Quand mon sperme gicle en elle, elle vient se lover dans mes bras dans ce grand lit un peu trop grand pour moi.
• Chéri, veux-tu que je te dise un secret ?
• Bien sûr, mon amour, tu peux tout me dire.
• C’est la première fois qu’une verge est entrée en moi sans en sortir à tout moment quand le réalisateur dit « coupé ».
Nous éclatons de rire et dans les jours qui ont suivi, je comprends mieux pourquoi.
Nous sommes à Tahiti sous les cocotiers et ma chérie tourne son quatrième film.
Je sais, chaque fois que le beau Serge la prend, il me fait cocu, mais un contrat est un contrat et le sien était en béton.
Il faut dire qu’en plus, je deviens vite candauliste quand le la regarde se faire prendre en double pénétration avec en plus du beau Serge et oui, l’italien ayant fait sa vie grâce à son sexe démesuré.
Coupez.
Coupez.
Coupez.
En journée et,
Encore.
Encore.
Encore.
Dans notre lit ou chaque fois, Lola, pardon, Jennifer s’envole vers mes cimes de notre plaisir.
Le cinquième film tourné, la villa au-dessus de Nice payée avec ses cachets,.
Ma voiture de sport achetée, nous pourrions reprendre une vie plus classique.
Mais le compte que j’ai tiré comme employé de supermarché marseillais me permet de passer derrière la caméra de mon actrice exclusive.
Bien sûr, dans les pornos que nous tournons d’autres acteurs et actrices baisent avec ma femme.
Mais maintenant après la dernière scène lesbienne que nous venons de tourner, Lola se faisant brouter par deux autres actrices lui mettant leur langue jusque dans son anus.
C’est moi qui dis.
COUPEZ.
La neige plus une erreur de parcours m’envoi sur une route escarpée, jusqu’à ce que je freine en urgence, car une voiture de sport, devant moi, est dans le fossé.
Je suis secouriste étant pompier volontaire dans la banlieue de Marseille.
La conductrice s’avère être Lola, la nouvelle star du porno dont j’ai déjà vu les trois premiers films.
Je la secours, mais son pied est coincé par la tôle.
J’ai plongé sous le tableau de bord, la voiture se trouvant dans une drôle de situation après avoir tapé.
Par chance, elle est coincée sans la moindre hémorragie, mais je suis dans l’impossibilité de l’extraire.
J’ai bien ma voiture, mais je suis coincé par la neige tombée abondamment et qui a été la cause de l’accident.
Pied protégé avec des linges sortis de mon sac de sport lui permettant d’avoir chaud.
J’ai aussi un manteau d’hiver et une couverture de survie nous permettant d’attendre tranquillement le levé du jour.
Lorsque je me réveille tenant l’actrice dans mes bras la chauffant de mon corps, ce sont des poils que je sens dans le noir.
Sans le vouloir, ma main s’est insinuée sous sa jupe sans pour autant que je pense à mal.
J’allais quitter la place afin de rester correct avec cette femme.
Mais l’ordre d’aller jusqu’au bout de ma caresse me parvient.
Je sens son souffle chaud à quelques centimètres de ma bouche et c’est naturellement que je l’embrasse.
Deux doigts dont l’un qui vient caresser le haut de sa vulve ou doit se trouver son point G.
Je dois les trouver, car elle crie un coup me coupant mes envies.
• Non, reste, toi tu me fais du bien, c’est mon pied que j’ai bougé et qui m’a fait mal.
• Regarde, le jour se lève !
Ah !
C’est le plaisir apporté par mes doigts qui viennent de lui faire sortir de sa bouche ce Ah !
Je sens que je dois entretenir la conversation, ignorant si elle est choquée, or je sais que ce moment est décisif dans la survie de mon accidentée.
• Comment es-tu entré dans le porno ?
• C’est toute une histoire peu banale.
Je cherchais un rôle dans un film classique quand je me suis retrouvé dans le bureau de la compagnie Marc Dorcel.
La personne s’intéressait à ma personne, car il cherchait une blonde.
La somme par film qu’il me proposait m’a convaincu, mais il y avait un léger problème.
• Dans un premier temps, ta morale était mise à rude épreuve.
• Non, j’étais vierge !
• Quoi tu étais vierge ?
• Oui.
Il a fait venir un acteur qui m’a débarrassé de ce petit inconvénient.
• Mais dit moi, ces hommes et ces femmes avec qui tu as fait l’amour dans tes trois films, ils sont les seuls à t’avoir fait l’amour ?
À moins que tu sois passé dans d’autres bras.
• Non, j’ai seulement fait l’amour avec des acteurs professionnels.
• Les femmes aussi, j’ai vu que tu as fait des scènes lesbiennes.
• Tout juste, le plus dur ce fut la sodomie, mais depuis ça rentre comme dans du beurre.
Dans le jour de plus en plus naissant, nous éclatons de rire.
J’ai dans mes bras et sous mes doigts toujours dans sa chatte, l’actrice porno de l’année.
• Ma jambe, je crois qu’elle est tombée, impossible de la sentir.
• Attends, je vais voir.
Rebelotte, je plonge sous le tableau de bord lâchant sa vulve avec quelques regrets.
J’ai récupéré ma lampe qui me montre que malgré les vêtements l’entourant, elle commence à bleuir.
Je la frotte, quitte à ce qu’elle ait mal jusqu’à ce que je sente la circulation revenir.
Je retourne à l’air libre, en passant, je dépose un baisé au plus loin sous sa mini.
De ce côté-là tout va bien, elle se cabre de plaisir.
Je viens à peine de reprendre ma position assise un peu essoufflée quand surgissant d’un virage à l’opposé de la route que nous empruntions, arrive un chasse-neige.
Il freine et je vois ma lame s’arrêter à quelques centimètres du côté de la voiture de Lola.
C’est une chance, que serait-il arrivé au pied de Lola qui aurait pu être déchiqueté par la tôle qui l’entoure.
Je sors une nouvelle fois, le froid me saisi.
• Attendez, j’appelle des secours.
Par chance, Boby comme il se présente communique par talkie-walkie avec son service.
En moins d’une demi-heure, l’ambulance et la gendarmerie arrive.
• Salut, les copains, je suis de Marseille et j’ai essayé de sortir la jeune femme, mais son pied est coincé dans l’amas de tôle.
Vous allez devoir la décarcérer, faite attention !
Ils me font monter dans l’ambulance, mais m’asseyant, à part le froid tout va bien.
J’entends qu’on meule, qu’on découpe, j’ai moi-même participé à une désincarcération, avec amputation.
C’était difficile à voir.
Par chance au moment où les copains apportent le brancard où ils l’ont installé, je vois qu’elle a toujours son pied, ils ont fait du travail propre.
Ping-pong, ping-pong, nos voitures, la mienne et celle de Lola, vont être chargés sur un camion et ramenés dans un garage où nous pourrons les récupérer.
Celle de ma nouvelle amie et quelle amie, une star du porno.
À l’hôpital, nous restons la matinée à faire des examens.
Chance inouïe, Lola dans son malheur est sortie indemne de son accident.
Elle a juste une bande à changer tous les jours.
• Si tu m’invites, car à ce que tu m’as dit cette nuit sur les hommes de ta vie à part des pros du sexe, tu dois vivre seule et je pourrais te changer ta bande, je te rappelle que je suis secouriste certifié.
Je fais la connaissance, de ses femmes de chambre payées par la production dans la villa louée aussi, pour elle, pour la production.
Je rencontre Ludo, pas de méprise, son chat persan aux yeux vert qui semble trouver déplaisant que je lui donne un coup de pied pour qu’il se barre du lit où j’attends Lola qui se prépare à sa première nuit d’amour avec un homme.
Enfin, elle est à moi, je plonge dans sa chatte avec délice.
Je fais durer le plaisir, jusqu’à notre premier orgasme simultané.
Le premier d’une longue série.
Quand mon sperme gicle en elle, elle vient se lover dans mes bras dans ce grand lit un peu trop grand pour moi.
• Chéri, veux-tu que je te dise un secret ?
• Bien sûr, mon amour, tu peux tout me dire.
• C’est la première fois qu’une verge est entrée en moi sans en sortir à tout moment quand le réalisateur dit « coupé ».
Nous éclatons de rire et dans les jours qui ont suivi, je comprends mieux pourquoi.
Nous sommes à Tahiti sous les cocotiers et ma chérie tourne son quatrième film.
Je sais, chaque fois que le beau Serge la prend, il me fait cocu, mais un contrat est un contrat et le sien était en béton.
Il faut dire qu’en plus, je deviens vite candauliste quand le la regarde se faire prendre en double pénétration avec en plus du beau Serge et oui, l’italien ayant fait sa vie grâce à son sexe démesuré.
Coupez.
Coupez.
Coupez.
En journée et,
Encore.
Encore.
Encore.
Dans notre lit ou chaque fois, Lola, pardon, Jennifer s’envole vers mes cimes de notre plaisir.
Le cinquième film tourné, la villa au-dessus de Nice payée avec ses cachets,.
Ma voiture de sport achetée, nous pourrions reprendre une vie plus classique.
Mais le compte que j’ai tiré comme employé de supermarché marseillais me permet de passer derrière la caméra de mon actrice exclusive.
Bien sûr, dans les pornos que nous tournons d’autres acteurs et actrices baisent avec ma femme.
Mais maintenant après la dernière scène lesbienne que nous venons de tourner, Lola se faisant brouter par deux autres actrices lui mettant leur langue jusque dans son anus.
C’est moi qui dis.
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