COLLECTION BLONDE. L’emmerdeur. (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BLONDE. L’emmerdeur. (1/2)
« Merde, l’autre grand emmerdeur ».
C’est ce que je me dis quand je vois venir vers moi Lucien, déjà le prénom me donne des boutons.
Ajoutez ses grosses lunettes à monture noire d’un intellectuel boutonneux mais que dire de ses conversations.
Lucien est l’ancien copain de Christian mon ex et chaque fois qu’il venait dîner à la maison je passais le maximum du temps dans ma cuisine pour éviter les conversations mieux les grosses vannes qui sortaient de leurs bouches.
J’ai toujours eu horreur des vannes vaseuses mieux des vannes sexistes dont mon mari raffolait et qui trouvait éco auprès de ce con de Lucien.
Il faut que je l’évite.
Regard à gauche, la rue où des voitures circulent à une vitesse telle que je serais morte avant d’arriver de l’autre côté.
De l’autre une boutique de vêtements féminins, un feu rouge 200 mètres.
Pourquoi mourir, je fais les 400 mètres, je me dirige vers la porte et la pousse, hélas porte close ?
- Bonjour Babette, Victoria venait aussi ici acheter ses vêtements !
Ils ouvrent à 14 heures, je te présente mes vœux de bonheur après ton divorce avec Christian.
- Oh ! Lucien, j’étais dans mes pensées, excuse-moi.
- Soit franche Babette, tu m’as vue et tu t’es dit :
« Merde voilà l’autre gros con, évitons-le. »
- Tu te trompes si tu as pensé cela, tu aurais dû dire « le grand con ».
Je rigole intérieurement qu’il ait lu dans mes pensées.
- J’ai bien dit grand et pas gros mais je suis polie et j’ai pensé emmerdeur et non con.
- Oui et tu te dis polie alors que ta pensée a commencé à dire « merde ».
- Tu as raison Lucien, mais reconnais que chaque fois que tu venais et que tu rigolais aux blagues graveleuses de mon mari tu étais le seul à en rire.
- Exact tu marques un point mais chaque fois que je te voyais partir de longues minutes te réfugier dans ta cuisine, je me demandais comment une femme comme toi avec ta classe pouvait rester avec un pareil connard.
- Alors pourquoi venais-tu ?
- Si je dis pour toi !
Tu vas croire que je te drague mais c’était plus simple que cela.
Christian je le connais depuis la maternel et je savais que j’étais le seul ami qui lui restait.
Surtout que nous sommes entrés dans la même société et que si je l’avais laissé tomber ils l'auraient remercié.
- Ah bon, je l’apprends, il était mal considéré ?
- Plus que cela à deux reprises, j’ai pris ses fautes commises sur moi afin de lui éviter de se retrouver à Pôle emploi.
- Tu es certain de ce que tu dis, par deux fois c’est exact il m’a parlé qu’il t’avait évité que toi, tu sois viré.
- Je peux te prouver ce que je te dis mais toi pourquoi as-tu divorcé ?
- Il m’a trompé avec notre voisine, je l’ai surpris dans notre lit à la baiser en levrette.
Tu sais cela fait drôle d’entrer et de les avoir vus dans cette position.
Je me voyais comme dans un miroir chaque fois que nous faisions l’amour c’était notre position favorite.
- Sais-tu pourquoi j’ai quitté Victoria et que depuis j'ai tout fait pour éviter de la revoir ?
- Il m’a dit que tu l’avais trompé et qu’elle était partie.
- Plus facile à prouver, je viens de recevoir mon avis de divorce où il est marqué qu'elle reconnaît avoir couché avec un certain Christian copain de son mari. Elle a reconnu qu’ils baisaient depuis plus de deux ans sur les cinq ans de notre union.
- Il y a de nombreux Christian sur terre peut être une coïncidence.
- On peut le croire mais quand je les ai surpris moi aussi dans notre lit conjugal elle était en levrette qui pour nous aussi était notre position favorite.
- Alors elle comme moi nous aimions baiser en levrette.
- Arrête Babette, cela devient aussi grivois qu’avec ton mec dans nos soirées.
Pour me faire pardonner acceptes-tu de venir au restaurant demain soir, si tu es seul bien sûr, moi c’est le cas.
- Sans problème Lucien à quelle heure ?
- 20 heures, habites-tu toujours à la même adresse ?
- Oui, à demain.
Nous nous quittons.
Quelle conne nia, nias, nias, Lucien l’emmerdeur, nias, nias, nias, mais je suis folle pourquoi après ce que j’ai dit pensé de lui j’ai accepté son invitation.
Monte vite chez toi, dans les cartons qui restent de ce putain de Christian tu dois trouver son numéro de portable tu vas l’appeler et lui dire que tous ces évènements sont trop frais dans ta mémoire et que tu te vois mal partir pour une nouvelle liaison.
Pauvre folle, Babette, réfléchit ma cocotte quand tu l’as vue avec ses lunettes d’intellectuel attardé qu’as-tu pensées et que dire de son prénom.
Pourquoi as-tu rapidement changé de direction.
Chaque fois que je rentre chez moi, j'enlève mes vêtements.
J’enfile un peignoir, je m’affale sur mon canapé et comme quand j’étais petite je prends un plaid que je pose sur ma tête pour me cacher du monde.
« Oui, oui, oui je jouis ».
Pour être folle je suis folle, je me réveille la main entre mes cuisses, mieux, carrément dans ma petite culotte et mes doigts sur mon clitoris.
Je me souviens de la fin de mon rêve où un homme à lunettes venant de nulle part me présentait sa verge pour que je la mette dans ma bouche.
J’ai joui sous mes doigts mais le plus grave c’est que c’est au moment où j’ouvrais la bouche.
Les fellations avec Christian étaient monnaie courante lui qui m’avait eu vierge le soir de nôtre mariage.
Mais cette verge qui s’approchait et que j’étais prête à recevoir en moi créer un grand doute en moi.
Jeune fille j’avais des principes, j’en ai fait baver des ronds de chapeau à mon fiancé que je repoussais chaque fois que ses attouchements devenaient trop précis.
C’est ainsi que le soir de mes noces à l’hôtel que nos parents nous avaient réservé dès qu’il est entré en moi il a éjaculé.
Mais pour autant 9 fois sur 10 je suis restée sur le bord du chemin.
Comment était-il avec la voisine ou Victoria la femme de Lucien, les faisaient-ils jouir, impossible de le savoir.
La voisine a déménagé et est partie avec lui et je connais trop mal Victoria qui refusait soi-disant de sortir chaque fois que Julien venait chez nous.
Et même si je savais où la trouver je me vois mal frapper à sa porte et lui demandée.
« Victoria est-ce que mon mari te faisait jouir ».
Dix-huit heures le lendemain, je me déshabille pour prendre ma douche.
Je me réfugie sous mon plaid jusqu’à la demie où j’entre dans la cabine de douche.
Je me savonne la chatte comme si ce soir elle allait être honorée mais surtout car je mouille comme jamais.
Dix-neuf heures, je me maquille étant toujours nue. Après m’être brossée mes longs cheveux blonds qui avaient fait craquer Christian lors de notre rencontre.
Mon mont de Vénus étant recouvert d’un duvet aussi blond que mes cheveux.
Il a toujours refusé que je me rase.
Dommage que je manque de temps car pour être une femme neuve je serais allée à mon institut me la faire épiler intégralement.
Je me regarde dans la glace et prenant mon tube de rouge à lèvres.
Je me fais une bouche de pute.
Cette pensée me met mal à l’aise et je me badigeonne les seins, le nombril et cette chatte qui continue de mouiller.
Dix-neuf heures quarante-cinq, le corps passé au lait démaquillant usant un flacon entier pour redevenir présentable.
Après une douche je mets les beaux sous-vêtements que j’aie acheté le matin dans un état second.
Vingt heures, je sors de mon appartement sans aucun maquillage, c’était le seul bâton de rouge que j’avais à ma disposition.
Sur le trottoir un garçon à côté d’une voiture de collection avec toit ouvrant, la portière ouverte.
- La voiture de madame est avancée !
J’aurais pu passer sans le reconnaître, le garçon qui m’ouvre la porte est sans lunette ce qui adoucit son visage.
- Je vois que tu es étonné !
C’est bien moi Lucien, hier quand je t’ai croisé je sortais de chez l’opticien.
Il m’avait enlevé mes lentilles de contact me posant des problèmes.
Je l’avais appelé et il m’avait dit d’apporter des lunettes car je devais certainement reposer mes yeux qui fatiguaient.
Je dois reconnaître qu’en rentrant chez moi, j'ai eu l’impression d’être redevenu le garçon que t’avais connu dans les soirées avec ton mari.
J’étais persuadé que ce soir je redémarrerais ma voiture sans toi à l’intérieur après qu'au dernier moment tu as reculé.
Il m’emmène au restaurant et au moment de commander il me propose un jeu.
- Tu composes mon menu je compose le tien.
Je vais aux toilettes quand je commande pour toi et je fais la même chose après.
Une seule obligation chacun doit tout manger ce que l'autre à choisi même si le plat est loin de lui plaire.
- D’accord, voilà le serveur.
Je choisis une entrer, un plat, fromage au plateau et dessert, non café gourmand.
- C’est fait, je te laisse choisir.
Le chef de rang s'étonne de notre manège, mais prend nos commandes sans sourciller.
- Madame, foie gras maison en entrée.
- Un bon point pour toi.
- Pas très original, moi aussi j’aime le foie gras pour débuter un bon repas.
Nous dégustons notre entrée…
C’est ce que je me dis quand je vois venir vers moi Lucien, déjà le prénom me donne des boutons.
Ajoutez ses grosses lunettes à monture noire d’un intellectuel boutonneux mais que dire de ses conversations.
Lucien est l’ancien copain de Christian mon ex et chaque fois qu’il venait dîner à la maison je passais le maximum du temps dans ma cuisine pour éviter les conversations mieux les grosses vannes qui sortaient de leurs bouches.
J’ai toujours eu horreur des vannes vaseuses mieux des vannes sexistes dont mon mari raffolait et qui trouvait éco auprès de ce con de Lucien.
Il faut que je l’évite.
Regard à gauche, la rue où des voitures circulent à une vitesse telle que je serais morte avant d’arriver de l’autre côté.
De l’autre une boutique de vêtements féminins, un feu rouge 200 mètres.
Pourquoi mourir, je fais les 400 mètres, je me dirige vers la porte et la pousse, hélas porte close ?
- Bonjour Babette, Victoria venait aussi ici acheter ses vêtements !
Ils ouvrent à 14 heures, je te présente mes vœux de bonheur après ton divorce avec Christian.
- Oh ! Lucien, j’étais dans mes pensées, excuse-moi.
- Soit franche Babette, tu m’as vue et tu t’es dit :
« Merde voilà l’autre gros con, évitons-le. »
- Tu te trompes si tu as pensé cela, tu aurais dû dire « le grand con ».
Je rigole intérieurement qu’il ait lu dans mes pensées.
- J’ai bien dit grand et pas gros mais je suis polie et j’ai pensé emmerdeur et non con.
- Oui et tu te dis polie alors que ta pensée a commencé à dire « merde ».
- Tu as raison Lucien, mais reconnais que chaque fois que tu venais et que tu rigolais aux blagues graveleuses de mon mari tu étais le seul à en rire.
- Exact tu marques un point mais chaque fois que je te voyais partir de longues minutes te réfugier dans ta cuisine, je me demandais comment une femme comme toi avec ta classe pouvait rester avec un pareil connard.
- Alors pourquoi venais-tu ?
- Si je dis pour toi !
Tu vas croire que je te drague mais c’était plus simple que cela.
Christian je le connais depuis la maternel et je savais que j’étais le seul ami qui lui restait.
Surtout que nous sommes entrés dans la même société et que si je l’avais laissé tomber ils l'auraient remercié.
- Ah bon, je l’apprends, il était mal considéré ?
- Plus que cela à deux reprises, j’ai pris ses fautes commises sur moi afin de lui éviter de se retrouver à Pôle emploi.
- Tu es certain de ce que tu dis, par deux fois c’est exact il m’a parlé qu’il t’avait évité que toi, tu sois viré.
- Je peux te prouver ce que je te dis mais toi pourquoi as-tu divorcé ?
- Il m’a trompé avec notre voisine, je l’ai surpris dans notre lit à la baiser en levrette.
Tu sais cela fait drôle d’entrer et de les avoir vus dans cette position.
Je me voyais comme dans un miroir chaque fois que nous faisions l’amour c’était notre position favorite.
- Sais-tu pourquoi j’ai quitté Victoria et que depuis j'ai tout fait pour éviter de la revoir ?
- Il m’a dit que tu l’avais trompé et qu’elle était partie.
- Plus facile à prouver, je viens de recevoir mon avis de divorce où il est marqué qu'elle reconnaît avoir couché avec un certain Christian copain de son mari. Elle a reconnu qu’ils baisaient depuis plus de deux ans sur les cinq ans de notre union.
- Il y a de nombreux Christian sur terre peut être une coïncidence.
- On peut le croire mais quand je les ai surpris moi aussi dans notre lit conjugal elle était en levrette qui pour nous aussi était notre position favorite.
- Alors elle comme moi nous aimions baiser en levrette.
- Arrête Babette, cela devient aussi grivois qu’avec ton mec dans nos soirées.
Pour me faire pardonner acceptes-tu de venir au restaurant demain soir, si tu es seul bien sûr, moi c’est le cas.
- Sans problème Lucien à quelle heure ?
- 20 heures, habites-tu toujours à la même adresse ?
- Oui, à demain.
Nous nous quittons.
Quelle conne nia, nias, nias, Lucien l’emmerdeur, nias, nias, nias, mais je suis folle pourquoi après ce que j’ai dit pensé de lui j’ai accepté son invitation.
Monte vite chez toi, dans les cartons qui restent de ce putain de Christian tu dois trouver son numéro de portable tu vas l’appeler et lui dire que tous ces évènements sont trop frais dans ta mémoire et que tu te vois mal partir pour une nouvelle liaison.
Pauvre folle, Babette, réfléchit ma cocotte quand tu l’as vue avec ses lunettes d’intellectuel attardé qu’as-tu pensées et que dire de son prénom.
Pourquoi as-tu rapidement changé de direction.
Chaque fois que je rentre chez moi, j'enlève mes vêtements.
J’enfile un peignoir, je m’affale sur mon canapé et comme quand j’étais petite je prends un plaid que je pose sur ma tête pour me cacher du monde.
« Oui, oui, oui je jouis ».
Pour être folle je suis folle, je me réveille la main entre mes cuisses, mieux, carrément dans ma petite culotte et mes doigts sur mon clitoris.
Je me souviens de la fin de mon rêve où un homme à lunettes venant de nulle part me présentait sa verge pour que je la mette dans ma bouche.
J’ai joui sous mes doigts mais le plus grave c’est que c’est au moment où j’ouvrais la bouche.
Les fellations avec Christian étaient monnaie courante lui qui m’avait eu vierge le soir de nôtre mariage.
Mais cette verge qui s’approchait et que j’étais prête à recevoir en moi créer un grand doute en moi.
Jeune fille j’avais des principes, j’en ai fait baver des ronds de chapeau à mon fiancé que je repoussais chaque fois que ses attouchements devenaient trop précis.
C’est ainsi que le soir de mes noces à l’hôtel que nos parents nous avaient réservé dès qu’il est entré en moi il a éjaculé.
Mais pour autant 9 fois sur 10 je suis restée sur le bord du chemin.
Comment était-il avec la voisine ou Victoria la femme de Lucien, les faisaient-ils jouir, impossible de le savoir.
La voisine a déménagé et est partie avec lui et je connais trop mal Victoria qui refusait soi-disant de sortir chaque fois que Julien venait chez nous.
Et même si je savais où la trouver je me vois mal frapper à sa porte et lui demandée.
« Victoria est-ce que mon mari te faisait jouir ».
Dix-huit heures le lendemain, je me déshabille pour prendre ma douche.
Je me réfugie sous mon plaid jusqu’à la demie où j’entre dans la cabine de douche.
Je me savonne la chatte comme si ce soir elle allait être honorée mais surtout car je mouille comme jamais.
Dix-neuf heures, je me maquille étant toujours nue. Après m’être brossée mes longs cheveux blonds qui avaient fait craquer Christian lors de notre rencontre.
Mon mont de Vénus étant recouvert d’un duvet aussi blond que mes cheveux.
Il a toujours refusé que je me rase.
Dommage que je manque de temps car pour être une femme neuve je serais allée à mon institut me la faire épiler intégralement.
Je me regarde dans la glace et prenant mon tube de rouge à lèvres.
Je me fais une bouche de pute.
Cette pensée me met mal à l’aise et je me badigeonne les seins, le nombril et cette chatte qui continue de mouiller.
Dix-neuf heures quarante-cinq, le corps passé au lait démaquillant usant un flacon entier pour redevenir présentable.
Après une douche je mets les beaux sous-vêtements que j’aie acheté le matin dans un état second.
Vingt heures, je sors de mon appartement sans aucun maquillage, c’était le seul bâton de rouge que j’avais à ma disposition.
Sur le trottoir un garçon à côté d’une voiture de collection avec toit ouvrant, la portière ouverte.
- La voiture de madame est avancée !
J’aurais pu passer sans le reconnaître, le garçon qui m’ouvre la porte est sans lunette ce qui adoucit son visage.
- Je vois que tu es étonné !
C’est bien moi Lucien, hier quand je t’ai croisé je sortais de chez l’opticien.
Il m’avait enlevé mes lentilles de contact me posant des problèmes.
Je l’avais appelé et il m’avait dit d’apporter des lunettes car je devais certainement reposer mes yeux qui fatiguaient.
Je dois reconnaître qu’en rentrant chez moi, j'ai eu l’impression d’être redevenu le garçon que t’avais connu dans les soirées avec ton mari.
J’étais persuadé que ce soir je redémarrerais ma voiture sans toi à l’intérieur après qu'au dernier moment tu as reculé.
Il m’emmène au restaurant et au moment de commander il me propose un jeu.
- Tu composes mon menu je compose le tien.
Je vais aux toilettes quand je commande pour toi et je fais la même chose après.
Une seule obligation chacun doit tout manger ce que l'autre à choisi même si le plat est loin de lui plaire.
- D’accord, voilà le serveur.
Je choisis une entrer, un plat, fromage au plateau et dessert, non café gourmand.
- C’est fait, je te laisse choisir.
Le chef de rang s'étonne de notre manège, mais prend nos commandes sans sourciller.
- Madame, foie gras maison en entrée.
- Un bon point pour toi.
- Pas très original, moi aussi j’aime le foie gras pour débuter un bon repas.
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