COLLECTION BLONDE. Recherche appartement (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-08-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BLONDE. Recherche appartement (2/2)
Il y a plusieurs jours que Nils mon mari me demande de me mettre en chasse d’un appartement plus grand que notre quatre pièces, cuisine, salle de bain par suite de la naissance de notre troisième enfant, Charlotte petit blonde comme sa maman.
Véronique mon amie me fait savoir que dans Paris tous près des endroits où j’aime faire du chopping surtout vestimentaire, il y a un immeuble qui doit être fini de rénover Je m’y rends et comme une blonde que je suis, j’accepte que trois ouvriers me fassent visiter alors qu’ils finissent le ravalement de façade avant que les gens puissent emménager.
Pour être ravalée, je suis ravalée quand Kokou me prends en main et de façon très persuasive je me retrouve à le sucer.
Je cherchais un appartement à louer sur mon ordinateur quand je suis tombée sans jamais ne l’avoir voulu sur un film dit porno où j’ai vu la verge d’un noir comme celui que je viens de rencontrer.
J’en arrive même à accepter leurs verges car de mon noir qui me fait chavirer je n’hésite pas à m’occuper du trio semblant manquer de sexe depuis qu’ils rénovent cet immeuble.
Je perds la notion de qui du togolais, espagnol ou roumain me met leur sexe bien au fond de mon vagin.
Heureusement que j’ai visité tous les appartements me rendant compte que personne n’habite dans l’immeuble sinon mes cris de plaisir et l’orgasme qui me submerge auraient pu les alerter.
Un par un, j’accepte ces sexes en moi ayant de plus en plus de plaisir.
Puis Kakou s’allonge me place sur lui et m’enfile.
Je pense qu’il veut me prendre simplement comme ça lui dessous moi dessus.
Mais je sens un sexe venir au contact de mon sexe d’ébène.
Une fraction de seconde je pense que je vais avoir une bite dans l’anus ce que je n’ai jamais fait puisque je n’ai eu qu’un partenaire pour me prendre doublement.
Je sens mon vagin se distend en même temps que je hurle de plaisir.
J’apprendrai plus tard interrogeant mon ordi que j’ai subi une double vaginale.
Ça ne semble pas leur suffire, ce que je redoutais se produit, me retournant je vois Alexandru s’approcher et je sens que mon œillet se distend.
Un dans le vagin, un deuxième dans le vagin et le troisième dans l’anus, je me les prends tous dans toutes mes intimités.
De nouveau j’hurle de plaisir.
Ils sont surhumains, je suis tombée dans un nid d’extraterrestres qui me transporte en vingt cent mille niveaux de jouissance.
Je suis tellement prise par ce trio infernal que je perds la notion du temps, des odeurs nauséabondes sortantes certainement du matelas ou notre coït a lieu.
Moi qui n’ai jamais vécu que dans des beaux draps de coton ayant essayé une fois ceux de soie et les ayant trouvés assez désagréable.
Je dois avoir un visage de folle, folle du cul et folle de la sueur qui coule sur notre corps.
Paris l’été c’est impossible, vivement que nous partions pour Juan les pins ou mes beaux-parents ont une villa qui nous reçoit pour les vacances.
Mon esprit s’évade pour ne pas admette que j’ai cédé trop facilement à mes bas instincts.
Véronique lors d’une conversation entre filles comme nous en avons de temps en temps me disait quand chaque femme il y avait une pute qui sommeillait en elle.
Elle sait de quoi elle parle, il y a bien longtemps que son mari porte des cornes.
Je m’étais promis jurer que jamais je ne tromperais Nils, les serments ne sont valables que pour ceux qui sont prêts à les croire.
Ces trois verges arrivent à leur apogée et moi au sommet de mon plaisir, je redoublement mes hurlements quand tous les trois me remplissent de leur sperme.
J’aspire à un temps de repos mais Luis en veut encore, il me passe sa verge sur le visage s’étant assis sur ma poitrine qu’il compresse et qui aime à son tour cette maltraitance.
Je le saisi comme la première fois et je la suce goulûment.
Rapidement il crache son sperme qui gicle sur mon visage.
Il s’effondre sur le côté semblant avoir définitivement son compte.
Une main sur ma poitrine qui la caresse faisant bander mes pointes.
De nouveau un poids, c’est Alexandru qui vient sur moi me présentant lui aussi sa verge.
Pendant ce temps, je sens de grosses lèvres se posant sur mon clitoris qui a déjà été fortement sollicité quand ils me prenaient tous les trois.
Une bite en main que je ne vois que d’un œil le sperme de l’espagnol ayant fermé l’autre et un jet de cette même matière visqueuse qui par chance m’inonde le visage mais laissant mon œil intact.
Kokou à l’origine de ma dépravation me veut encore.
Alors que le roumain s’écroule comme l’espagnol, il me prend sous les fesses faisant ressortir mon mont de Vénus et ma toison blonde.
Quel homme, lui aussi bande et je vois par moitié sa verge entrer en moi centimètre après centimètre.
Comment ne pas avoir un nouvel orgasme sans savoir combien de fois il a éclaté dans cette après-midi de folie ?
Lui aussi se déverse en moi par de longs jets semblant inépuisable.
Je prends conscience de l’heure d’un seul coup.
Je me rends dans la salle de bain robe et petite culotte à la main.
Pas d’eau, la colonne de distribution doit encore être isolée.
Aucune glace non plus pour voir les dégâts, je prends ma culotte avec laquelle je m’essuie le visage la laissant dans le lavabo.
Les trois ouvriers dormants, je remets ma robe et tout en téléphonant, ayant récupéré mon sac à main, j’appelle un taxi.
- Saint Mandé, Monsieur.
Nous roulons il rejoint les quais.
Je vois qu’il regarde dans son rétro et qu’il ouvre sa boîte à gants.
- Madame, votre visage sur le coin de votre bouche.
Il me tend un mouchoir en papier, je comprends que sur le coin de ma bouche il reste un paquet de sperme.
Je m’essuie, c’est bien ça.
Va-t-il me proposer de nous enfoncer dans le bois de Vincennes pour continuer à me faire dévaler la pente de ma déchéance ?
Non, il stop devant chez moi.
Je paye, je sors et j’entre dans mon immeuble espérant ne rencontrer personne.
C’est dur d’être une femme adultérine surtout quand on rentre sans avoir pu faire les moindres ablutions autres que ma culotte et le mouchoir du chauffeur.
Quand je me regarde dans ma glace, je comprends pourquoi le chauffeur ne pouvait, outre le sperme, n’avoir aucun doute sur ce que je venais de faire.
Mon maquillage a entièrement coulé, j’ai les cheveux collés par le sperme qui a giclé jusqu’à eux.
Je prends un bain, me rendant présentable.
Le soir, je suis très câlinant même si je me rends compte que pour la première fois je me suis fait sodomiser mon cul me faisant mal.
Dans mon armoire à pharmacie j’ai de la pommade pour les hémorroïdes Nils ayant eu une poussée.
Je place le tube et j’appuie.
C’est divin rapidement la brûlure me quitte.
Ça fait presque 15 jours que j’ai trompé mon mari.
Tout est en ordre, j’ai repris mes orgasmes maritaux sans qu’il ne se soit aperçu que des cornes lui avaient poussée.
L’appartement de ma débauche, impossible de le louer même s’il correspond à ce que nous cherchions.
Je vois mal vivre dans cette pièce où trois étrangers m’ont baisé comme une salope.
Pourtant après nos vacances nous allons déménager car le lendemain de ma journée d’orgie, un panneau sur le balcon de l’immeuble voisin affichait la vente de six pièces avec deux salles de bains.
Nous avons fait affaire.
En bon comptable, Nils a calculé qu’en louant notre appartement actuel que nous venons de finir de rembourser en quinze ans, le loyer que ça nous rapportera payera la presque totalité des traites pendant vingt ans.
Reste le locataire.
Là encore coup de chance.
Joy a réussi à persuader Alexandre son mari de venir vivre à Paris, c’est elle qui nous loue notre appartement.
Et les trois ouvriers aimant baiser la blonde que je suis.
Je suis au pied de l’immeuble, l’échafaudage a été démonté.
La porte est toujours la même.
Je vois sortir une femme avec quatre enfants et son mari.
Nul doute qu’avec toute sa marmaille c’est elle qui se fait sauter dans mon grand appartement.
- Que regardes-tu Jennifer, tu sembles être ailleurs ?
- Non Joy, je regardais cette famille, je me demandais Jules fréquentant Valérie si un quatrième enfant ne serait pas le bienvenu.
Blond bien sûr.
Véronique mon amie me fait savoir que dans Paris tous près des endroits où j’aime faire du chopping surtout vestimentaire, il y a un immeuble qui doit être fini de rénover Je m’y rends et comme une blonde que je suis, j’accepte que trois ouvriers me fassent visiter alors qu’ils finissent le ravalement de façade avant que les gens puissent emménager.
Pour être ravalée, je suis ravalée quand Kokou me prends en main et de façon très persuasive je me retrouve à le sucer.
Je cherchais un appartement à louer sur mon ordinateur quand je suis tombée sans jamais ne l’avoir voulu sur un film dit porno où j’ai vu la verge d’un noir comme celui que je viens de rencontrer.
J’en arrive même à accepter leurs verges car de mon noir qui me fait chavirer je n’hésite pas à m’occuper du trio semblant manquer de sexe depuis qu’ils rénovent cet immeuble.
Je perds la notion de qui du togolais, espagnol ou roumain me met leur sexe bien au fond de mon vagin.
Heureusement que j’ai visité tous les appartements me rendant compte que personne n’habite dans l’immeuble sinon mes cris de plaisir et l’orgasme qui me submerge auraient pu les alerter.
Un par un, j’accepte ces sexes en moi ayant de plus en plus de plaisir.
Puis Kakou s’allonge me place sur lui et m’enfile.
Je pense qu’il veut me prendre simplement comme ça lui dessous moi dessus.
Mais je sens un sexe venir au contact de mon sexe d’ébène.
Une fraction de seconde je pense que je vais avoir une bite dans l’anus ce que je n’ai jamais fait puisque je n’ai eu qu’un partenaire pour me prendre doublement.
Je sens mon vagin se distend en même temps que je hurle de plaisir.
J’apprendrai plus tard interrogeant mon ordi que j’ai subi une double vaginale.
Ça ne semble pas leur suffire, ce que je redoutais se produit, me retournant je vois Alexandru s’approcher et je sens que mon œillet se distend.
Un dans le vagin, un deuxième dans le vagin et le troisième dans l’anus, je me les prends tous dans toutes mes intimités.
De nouveau j’hurle de plaisir.
Ils sont surhumains, je suis tombée dans un nid d’extraterrestres qui me transporte en vingt cent mille niveaux de jouissance.
Je suis tellement prise par ce trio infernal que je perds la notion du temps, des odeurs nauséabondes sortantes certainement du matelas ou notre coït a lieu.
Moi qui n’ai jamais vécu que dans des beaux draps de coton ayant essayé une fois ceux de soie et les ayant trouvés assez désagréable.
Je dois avoir un visage de folle, folle du cul et folle de la sueur qui coule sur notre corps.
Paris l’été c’est impossible, vivement que nous partions pour Juan les pins ou mes beaux-parents ont une villa qui nous reçoit pour les vacances.
Mon esprit s’évade pour ne pas admette que j’ai cédé trop facilement à mes bas instincts.
Véronique lors d’une conversation entre filles comme nous en avons de temps en temps me disait quand chaque femme il y avait une pute qui sommeillait en elle.
Elle sait de quoi elle parle, il y a bien longtemps que son mari porte des cornes.
Je m’étais promis jurer que jamais je ne tromperais Nils, les serments ne sont valables que pour ceux qui sont prêts à les croire.
Ces trois verges arrivent à leur apogée et moi au sommet de mon plaisir, je redoublement mes hurlements quand tous les trois me remplissent de leur sperme.
J’aspire à un temps de repos mais Luis en veut encore, il me passe sa verge sur le visage s’étant assis sur ma poitrine qu’il compresse et qui aime à son tour cette maltraitance.
Je le saisi comme la première fois et je la suce goulûment.
Rapidement il crache son sperme qui gicle sur mon visage.
Il s’effondre sur le côté semblant avoir définitivement son compte.
Une main sur ma poitrine qui la caresse faisant bander mes pointes.
De nouveau un poids, c’est Alexandru qui vient sur moi me présentant lui aussi sa verge.
Pendant ce temps, je sens de grosses lèvres se posant sur mon clitoris qui a déjà été fortement sollicité quand ils me prenaient tous les trois.
Une bite en main que je ne vois que d’un œil le sperme de l’espagnol ayant fermé l’autre et un jet de cette même matière visqueuse qui par chance m’inonde le visage mais laissant mon œil intact.
Kokou à l’origine de ma dépravation me veut encore.
Alors que le roumain s’écroule comme l’espagnol, il me prend sous les fesses faisant ressortir mon mont de Vénus et ma toison blonde.
Quel homme, lui aussi bande et je vois par moitié sa verge entrer en moi centimètre après centimètre.
Comment ne pas avoir un nouvel orgasme sans savoir combien de fois il a éclaté dans cette après-midi de folie ?
Lui aussi se déverse en moi par de longs jets semblant inépuisable.
Je prends conscience de l’heure d’un seul coup.
Je me rends dans la salle de bain robe et petite culotte à la main.
Pas d’eau, la colonne de distribution doit encore être isolée.
Aucune glace non plus pour voir les dégâts, je prends ma culotte avec laquelle je m’essuie le visage la laissant dans le lavabo.
Les trois ouvriers dormants, je remets ma robe et tout en téléphonant, ayant récupéré mon sac à main, j’appelle un taxi.
- Saint Mandé, Monsieur.
Nous roulons il rejoint les quais.
Je vois qu’il regarde dans son rétro et qu’il ouvre sa boîte à gants.
- Madame, votre visage sur le coin de votre bouche.
Il me tend un mouchoir en papier, je comprends que sur le coin de ma bouche il reste un paquet de sperme.
Je m’essuie, c’est bien ça.
Va-t-il me proposer de nous enfoncer dans le bois de Vincennes pour continuer à me faire dévaler la pente de ma déchéance ?
Non, il stop devant chez moi.
Je paye, je sors et j’entre dans mon immeuble espérant ne rencontrer personne.
C’est dur d’être une femme adultérine surtout quand on rentre sans avoir pu faire les moindres ablutions autres que ma culotte et le mouchoir du chauffeur.
Quand je me regarde dans ma glace, je comprends pourquoi le chauffeur ne pouvait, outre le sperme, n’avoir aucun doute sur ce que je venais de faire.
Mon maquillage a entièrement coulé, j’ai les cheveux collés par le sperme qui a giclé jusqu’à eux.
Je prends un bain, me rendant présentable.
Le soir, je suis très câlinant même si je me rends compte que pour la première fois je me suis fait sodomiser mon cul me faisant mal.
Dans mon armoire à pharmacie j’ai de la pommade pour les hémorroïdes Nils ayant eu une poussée.
Je place le tube et j’appuie.
C’est divin rapidement la brûlure me quitte.
Ça fait presque 15 jours que j’ai trompé mon mari.
Tout est en ordre, j’ai repris mes orgasmes maritaux sans qu’il ne se soit aperçu que des cornes lui avaient poussée.
L’appartement de ma débauche, impossible de le louer même s’il correspond à ce que nous cherchions.
Je vois mal vivre dans cette pièce où trois étrangers m’ont baisé comme une salope.
Pourtant après nos vacances nous allons déménager car le lendemain de ma journée d’orgie, un panneau sur le balcon de l’immeuble voisin affichait la vente de six pièces avec deux salles de bains.
Nous avons fait affaire.
En bon comptable, Nils a calculé qu’en louant notre appartement actuel que nous venons de finir de rembourser en quinze ans, le loyer que ça nous rapportera payera la presque totalité des traites pendant vingt ans.
Reste le locataire.
Là encore coup de chance.
Joy a réussi à persuader Alexandre son mari de venir vivre à Paris, c’est elle qui nous loue notre appartement.
Et les trois ouvriers aimant baiser la blonde que je suis.
Je suis au pied de l’immeuble, l’échafaudage a été démonté.
La porte est toujours la même.
Je vois sortir une femme avec quatre enfants et son mari.
Nul doute qu’avec toute sa marmaille c’est elle qui se fait sauter dans mon grand appartement.
- Que regardes-tu Jennifer, tu sembles être ailleurs ?
- Non Joy, je regardais cette famille, je me demandais Jules fréquentant Valérie si un quatrième enfant ne serait pas le bienvenu.
Blond bien sûr.
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