COLLECTION BOURGEOISE. 1 - Deux salopes, les routiers polonais (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2396 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 993 823 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 921 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION BOURGEOISE. 1 - Deux salopes, les routiers polonais (1/2)
Pourquoi ce numéro 1 dans le titre avant « deux salopes ? »
Les histoires de Jessy et Carole se déclineront à la suite de leurs aventures.
Jessy est l’amie de Carole depuis la maternelle, mieux, sans le savoir elles ont été baptisées par le même curé, mais dans deux paroisses différentes.
Elles ont grandi parallèlement et Jessy a fait des confidences sur ses envies sexuelles à sa copine après leur mariage à quelques semaines d’intervalle.
Carole a toujours été plus déluré que Jessy alors tromper son mari est devenue chose courante pour elle alors que Jessy à des scrupules pour franchir le pas.
Entrons dans le vif du sujet de ce que ces bourgeoises vont faire cet après-midi.
• Jessy te voilà, tu as plus d’un quart d’heure de retard !
• Tu sais mes doutes sur l’idée de tromper Steven !
• Tu m’as pourtant dit la dernière fois que nous avons été ensemble que tu étais prête à franchir le pas.
Pour toi c’est facile depuis que tu m’as compté ton histoire avec ton curé.
À ce sujet, j’ai appris que le père Francis nous avait baptisés toi et moi dans les deux paroisses où il a officié il y a vingt-cinq ans et moi trente-deux.
Tu sais que ma mère a eu des moments mistiques et que le père Francis avait changé de paroisse entre-temps.
Mais nous en reparlerons, ce serait con de perdre du temps, je t’avais promis une surprise, elle est dans la chambre d’amis de notre maison.
• Arrête Carole dit moi que tu as trouvé des mecs pour que nous trompions Loïc et Steven.
Carole prend Jessy par la main et la tire en direction de la chambre d’amis.
• Caro, tu es folle, qui sont ces types avec leurs gros bras et leurs tatouages ?
• Deux chauffeurs polonais !
• Des Polonais, tu es malade, regarde avec leur tête rasée, on dirait deux bêtes prêtes à nous massacrer.
Ou les as-tu trouvés ?
• Sur l’air de l’autoroute à la sortie de la ville, ils sont bloqués ici jusqu’à dimanche soir, nous les reconduirons à leur camion dimanche à 15 heures.
Il faut qu’ils se préparent à reprendre la route à minuit.
Loïc et Steven sont partis à la truite, ils rentreront à 22 heures comme chaque fois, nous aurons le temps de nous éclater.
• Wreszcie tu jestes !
• Qu’est-ce qui dit ?
• Je l’ignore, depuis que je les ai rencontrés, ils me parlent sans que je les comprenne.
• Comment les as-tu rencontrés ?
• Au restauroute, ils déjeunaient après s’être lavé dans les toilettes publiques.
• Tu leur as dit, venez chez moi pour me baiser avec ma copine.
• Chodz ssij mnie suko !
Chers lecteurs, chères lectrices, s’il y a des Polonais parmi vous, inutile de laisser des commentaires pour me dire que ces phrases sont mal traduites.
Adressez-vous à Google traduction, c’est de leur faute pas de la mienne, le polonais et moi ça fait deux !
• Non, je me suis assise près d’eux, ils ont sucé leur pouce en me montrant leur entrejambe.
J’ai très vite compris qu’ils voulaient que j’aille dans leur camion leur tailler une pipe.
• Y es-tu allée ?
• Bien sûr, pourquoi refuser de passer un bon moment avec deux types ayant des bras comme mes cuisses.
• Ils auraient pu te violer, te tuer et emmener ton corps hors de l’autoroute.
• Violée, j’ai tout essayé, ce serait loin de me déplaire et ça me permettrait d’avoir mon nom dans les journaux.
Non, je suis montée dans la couchette de la cabine, ils m’ont aidé en me mettant la main au cul, ils ont pu voir que je me déplaçais la chatte à l’air.
La couchette était étroite, mais ce qui m’a marqué c’est l’odeur du mâle en rut.
Les draps étaient crades, ça ajoutait à l’instant présent, ils ont ouvert leurs pantalons voit ce que j’ai découvert.
• Comparé à Steven, ce qu’ils ont en mains se serait loin de me déplaire, non laisse-moi partir, on en trouvera d’autres à la prochaine partie de pêche de nos hommes.
• To na jutro ?
• Oui, oui, jutro, tu vas jutro, on arrive, ils doivent nous dire qu’ils sont prêts à juter en nous, je dois parler polonais à mes heures.
Tu vois comme ils bandent en se caressant malgré que je leur ai vidé les couilles une première fois dans leur cabine.
Allée fait tomber tes fringues, tu vas voir, les essayer, c’est les adopter.
Betty fait un pas en avant, elle est à moins d’un mètre du lit où les deux balaises se tiennent nus leur queue en main se masturbant pour s’entretenir.
Carole est en peignoir, elle le laisse tomber au sol apparaissant dans toute la splendeur de sa nudité.
Elle est aussi blonde que Betty est brune, du moins au moment présent de leur aventure.
La chatte de Caro est bien couleur paille, celle de Betty, hélas, toujours dans l’incertitude, recouverte de son mini short ras la moule nous est encore cachée.
Betty a des scrupules à tromper son mari, mais est la reine des allumeuses avec des tenues sexy plus que Caro qui en temps normal est plutôt bon chic bon genre.
Autant Caro est légèrement plate, comme l’on dit, il y en a peu sous ma main d’un honnête homme.
Autant Betty a des obus prêts à éclater, des obus bien bronzés en ce début de printemps.
C’est la pleine période de la truite donnant l’occasion à ces femelles d’être seules pendant presque trois jours, leurs maris étant partis dans le camping-car acheté en commun.
• Bon, moi j’y vais, ils vont finir par en mettre pleins les draps, je vais encore me sacrifier et m’occuper des deux.
Une nouvelle fois, les gars parlent en Polonais certainement pour se plaindre de l’incertitude du moment, inutile de perdre du temps à écrire en polonais !
• Bon, je prends celui avec le tatouage de sirène sur son bras.
• Ok, je prends le bateau qui coule, ils ont dû être dans la marine, de toute façon ils baisent aussi bien l’un et l’autre, je peux t’assurer.
Dans la cabine ça puait, mais ils m’ont rendu fou de plaisir, j’en suçais un pendant que l’autre me baisait.
Caro hôte le débardeur de Betty qui lève les bras montrant ses magnifiques seins déjà bronzés.
Son short suit, elle est en string, la ficelle dans les fesses exempte de la moindre trace de cellulite.
Il est transparent rose pâle, cheveux bruns, mais chatte certainement épiler, sinon sa toison se verrait, même un petit carré.
Les deux salopes montent sur le lit se dirigeant vers chacun des mâles en rut.
Les seins de Betty intéressent celui qu’elle a choisi, il en a plein les mains.
Caro se couche au côté de l’autre, elle écarte déjà ses cuisses, le polonais vient dans sa fourche et lui bouffe son abricot doré.
Presque immédiatement, son clito étant stimulé, elle se met à chanter, la chanson des femmes adultères dont elle est un très beau spécimen, une vraie salope.
Betty tient ses seins en mains pour les offrir, à celui qui va la faire basculer dans un monde où elle a toujours eu peur de se vautrer comme se vautre Caro à chaque occasion.
Deux femmes, deux amies, mais bien différentes sur certains plans, surtout que l’on verra rapidement que l’une est clitoridienne.
C’est Caro qui a offert sa chatte à la langue de x, ils ont oublié de se présenter ou s’ils l’ont dit dans leur langue, c’est passé inaperçu à ces deux salopes.
Quant à Betty, elle est vaginale, elle a besoin de longues pénétrations pour démarrer son plaisir.
Hélas, Steven sans être éjaculateur précause, pense simplement à son propre plaisir laissant Betty plus que souvent frustrée, d’où l’envie de suivre son amie, mais en hésitant.
Le monde est mal fait, Betty a plus de motif de tromper Steven comparée à Carole qui comme l’on dit, l’essayer, c’est l’adopté.
Elle a essayé avec le curé dont nous reparlerons, depuis elle adopte les situations scabreuses, les deux chauffeurs polonais en font partie.
• Putain, il avait envie celui-là, regarde, il veut déjà m’enfiler, un vrai clébard.
Tu me diras, c’est lui que j’ai sucé avant d’arriver à leur faire comprendre qu’ils viennent jusqu’à ma maison.
Betty ayant franchi les barrières de ce qu’elle refusait de faire avec un autre que son mari, s’échauffe, elle se met à sucer la verge qui a sauté sa copine, il y a peu avant son arrivée.
Elle sent que le mec va décharger à la façon dont il se masturbe dans sa bouche, arrivant même à lui faire faire une gorge profonde, des flots de baves sortent de sa jolie bouche.
Elle se dégage pour s’adresser à Carole.
• Merde, j’adore baiser en levrette, j’ai horreur du missionnaire, comment lui dire ?
• Attends, je vais jouir, en levrette en Polonais.
• Tak, pieska...
Il doit connaitre la position de la levrette, il a dû déjà enfiler une salope ou une pute française, car il saisit Betty avec ses gros bras pleins de muscles.
Il la place à quatre pattes devant lui et sans attendre, il la pénètre jusqu’à sentir ses couilles sur son cul rebondi.
Un instant elle a eu peur de la retrouver dans son anus, mais au dernier moment, il a rectifié le tir.
Elle est presque déçue, Steven lui ayant refusé ce plaisir.
Elle se souvient dans les premiers temps où il lui faisait l’amour, son homme était d’un classicisme affligeant et la levrette, c’est après des mois qu’il a accepté cette position.
Par chance, ce soir à il était bourré après un match de foot regardé avec Loïc pendant que les deux femmes papotaient dans la cuisine.
C’est aussi ce soir-là que Caro a fait savoir à son amie que Loïc avant une belle paire de cornes qui lui poussait sur la tête sans lui parler du curé.
• Ah ! ah ! ah ! aaaaaah.
• Oui, oui, oui, encore, encore.
• Tak, Tak, Taaaak.
• Kurwaaaaaaa... Kurwaaaaaa...
• Ben, les salops vous avez tous déchargés, à vous regarder, je suis restée en rade.
Laquelle de nos deux salopes a prononcé cette phrase ?
Nous le saurons dans le deuxième chapitre des aventures de nos deux amies, Betty et Carole...
Les histoires de Jessy et Carole se déclineront à la suite de leurs aventures.
Jessy est l’amie de Carole depuis la maternelle, mieux, sans le savoir elles ont été baptisées par le même curé, mais dans deux paroisses différentes.
Elles ont grandi parallèlement et Jessy a fait des confidences sur ses envies sexuelles à sa copine après leur mariage à quelques semaines d’intervalle.
Carole a toujours été plus déluré que Jessy alors tromper son mari est devenue chose courante pour elle alors que Jessy à des scrupules pour franchir le pas.
Entrons dans le vif du sujet de ce que ces bourgeoises vont faire cet après-midi.
• Jessy te voilà, tu as plus d’un quart d’heure de retard !
• Tu sais mes doutes sur l’idée de tromper Steven !
• Tu m’as pourtant dit la dernière fois que nous avons été ensemble que tu étais prête à franchir le pas.
Pour toi c’est facile depuis que tu m’as compté ton histoire avec ton curé.
À ce sujet, j’ai appris que le père Francis nous avait baptisés toi et moi dans les deux paroisses où il a officié il y a vingt-cinq ans et moi trente-deux.
Tu sais que ma mère a eu des moments mistiques et que le père Francis avait changé de paroisse entre-temps.
Mais nous en reparlerons, ce serait con de perdre du temps, je t’avais promis une surprise, elle est dans la chambre d’amis de notre maison.
• Arrête Carole dit moi que tu as trouvé des mecs pour que nous trompions Loïc et Steven.
Carole prend Jessy par la main et la tire en direction de la chambre d’amis.
• Caro, tu es folle, qui sont ces types avec leurs gros bras et leurs tatouages ?
• Deux chauffeurs polonais !
• Des Polonais, tu es malade, regarde avec leur tête rasée, on dirait deux bêtes prêtes à nous massacrer.
Ou les as-tu trouvés ?
• Sur l’air de l’autoroute à la sortie de la ville, ils sont bloqués ici jusqu’à dimanche soir, nous les reconduirons à leur camion dimanche à 15 heures.
Il faut qu’ils se préparent à reprendre la route à minuit.
Loïc et Steven sont partis à la truite, ils rentreront à 22 heures comme chaque fois, nous aurons le temps de nous éclater.
• Wreszcie tu jestes !
• Qu’est-ce qui dit ?
• Je l’ignore, depuis que je les ai rencontrés, ils me parlent sans que je les comprenne.
• Comment les as-tu rencontrés ?
• Au restauroute, ils déjeunaient après s’être lavé dans les toilettes publiques.
• Tu leur as dit, venez chez moi pour me baiser avec ma copine.
• Chodz ssij mnie suko !
Chers lecteurs, chères lectrices, s’il y a des Polonais parmi vous, inutile de laisser des commentaires pour me dire que ces phrases sont mal traduites.
Adressez-vous à Google traduction, c’est de leur faute pas de la mienne, le polonais et moi ça fait deux !
• Non, je me suis assise près d’eux, ils ont sucé leur pouce en me montrant leur entrejambe.
J’ai très vite compris qu’ils voulaient que j’aille dans leur camion leur tailler une pipe.
• Y es-tu allée ?
• Bien sûr, pourquoi refuser de passer un bon moment avec deux types ayant des bras comme mes cuisses.
• Ils auraient pu te violer, te tuer et emmener ton corps hors de l’autoroute.
• Violée, j’ai tout essayé, ce serait loin de me déplaire et ça me permettrait d’avoir mon nom dans les journaux.
Non, je suis montée dans la couchette de la cabine, ils m’ont aidé en me mettant la main au cul, ils ont pu voir que je me déplaçais la chatte à l’air.
La couchette était étroite, mais ce qui m’a marqué c’est l’odeur du mâle en rut.
Les draps étaient crades, ça ajoutait à l’instant présent, ils ont ouvert leurs pantalons voit ce que j’ai découvert.
• Comparé à Steven, ce qu’ils ont en mains se serait loin de me déplaire, non laisse-moi partir, on en trouvera d’autres à la prochaine partie de pêche de nos hommes.
• To na jutro ?
• Oui, oui, jutro, tu vas jutro, on arrive, ils doivent nous dire qu’ils sont prêts à juter en nous, je dois parler polonais à mes heures.
Tu vois comme ils bandent en se caressant malgré que je leur ai vidé les couilles une première fois dans leur cabine.
Allée fait tomber tes fringues, tu vas voir, les essayer, c’est les adopter.
Betty fait un pas en avant, elle est à moins d’un mètre du lit où les deux balaises se tiennent nus leur queue en main se masturbant pour s’entretenir.
Carole est en peignoir, elle le laisse tomber au sol apparaissant dans toute la splendeur de sa nudité.
Elle est aussi blonde que Betty est brune, du moins au moment présent de leur aventure.
La chatte de Caro est bien couleur paille, celle de Betty, hélas, toujours dans l’incertitude, recouverte de son mini short ras la moule nous est encore cachée.
Betty a des scrupules à tromper son mari, mais est la reine des allumeuses avec des tenues sexy plus que Caro qui en temps normal est plutôt bon chic bon genre.
Autant Caro est légèrement plate, comme l’on dit, il y en a peu sous ma main d’un honnête homme.
Autant Betty a des obus prêts à éclater, des obus bien bronzés en ce début de printemps.
C’est la pleine période de la truite donnant l’occasion à ces femelles d’être seules pendant presque trois jours, leurs maris étant partis dans le camping-car acheté en commun.
• Bon, moi j’y vais, ils vont finir par en mettre pleins les draps, je vais encore me sacrifier et m’occuper des deux.
Une nouvelle fois, les gars parlent en Polonais certainement pour se plaindre de l’incertitude du moment, inutile de perdre du temps à écrire en polonais !
• Bon, je prends celui avec le tatouage de sirène sur son bras.
• Ok, je prends le bateau qui coule, ils ont dû être dans la marine, de toute façon ils baisent aussi bien l’un et l’autre, je peux t’assurer.
Dans la cabine ça puait, mais ils m’ont rendu fou de plaisir, j’en suçais un pendant que l’autre me baisait.
Caro hôte le débardeur de Betty qui lève les bras montrant ses magnifiques seins déjà bronzés.
Son short suit, elle est en string, la ficelle dans les fesses exempte de la moindre trace de cellulite.
Il est transparent rose pâle, cheveux bruns, mais chatte certainement épiler, sinon sa toison se verrait, même un petit carré.
Les deux salopes montent sur le lit se dirigeant vers chacun des mâles en rut.
Les seins de Betty intéressent celui qu’elle a choisi, il en a plein les mains.
Caro se couche au côté de l’autre, elle écarte déjà ses cuisses, le polonais vient dans sa fourche et lui bouffe son abricot doré.
Presque immédiatement, son clito étant stimulé, elle se met à chanter, la chanson des femmes adultères dont elle est un très beau spécimen, une vraie salope.
Betty tient ses seins en mains pour les offrir, à celui qui va la faire basculer dans un monde où elle a toujours eu peur de se vautrer comme se vautre Caro à chaque occasion.
Deux femmes, deux amies, mais bien différentes sur certains plans, surtout que l’on verra rapidement que l’une est clitoridienne.
C’est Caro qui a offert sa chatte à la langue de x, ils ont oublié de se présenter ou s’ils l’ont dit dans leur langue, c’est passé inaperçu à ces deux salopes.
Quant à Betty, elle est vaginale, elle a besoin de longues pénétrations pour démarrer son plaisir.
Hélas, Steven sans être éjaculateur précause, pense simplement à son propre plaisir laissant Betty plus que souvent frustrée, d’où l’envie de suivre son amie, mais en hésitant.
Le monde est mal fait, Betty a plus de motif de tromper Steven comparée à Carole qui comme l’on dit, l’essayer, c’est l’adopté.
Elle a essayé avec le curé dont nous reparlerons, depuis elle adopte les situations scabreuses, les deux chauffeurs polonais en font partie.
• Putain, il avait envie celui-là, regarde, il veut déjà m’enfiler, un vrai clébard.
Tu me diras, c’est lui que j’ai sucé avant d’arriver à leur faire comprendre qu’ils viennent jusqu’à ma maison.
Betty ayant franchi les barrières de ce qu’elle refusait de faire avec un autre que son mari, s’échauffe, elle se met à sucer la verge qui a sauté sa copine, il y a peu avant son arrivée.
Elle sent que le mec va décharger à la façon dont il se masturbe dans sa bouche, arrivant même à lui faire faire une gorge profonde, des flots de baves sortent de sa jolie bouche.
Elle se dégage pour s’adresser à Carole.
• Merde, j’adore baiser en levrette, j’ai horreur du missionnaire, comment lui dire ?
• Attends, je vais jouir, en levrette en Polonais.
• Tak, pieska...
Il doit connaitre la position de la levrette, il a dû déjà enfiler une salope ou une pute française, car il saisit Betty avec ses gros bras pleins de muscles.
Il la place à quatre pattes devant lui et sans attendre, il la pénètre jusqu’à sentir ses couilles sur son cul rebondi.
Un instant elle a eu peur de la retrouver dans son anus, mais au dernier moment, il a rectifié le tir.
Elle est presque déçue, Steven lui ayant refusé ce plaisir.
Elle se souvient dans les premiers temps où il lui faisait l’amour, son homme était d’un classicisme affligeant et la levrette, c’est après des mois qu’il a accepté cette position.
Par chance, ce soir à il était bourré après un match de foot regardé avec Loïc pendant que les deux femmes papotaient dans la cuisine.
C’est aussi ce soir-là que Caro a fait savoir à son amie que Loïc avant une belle paire de cornes qui lui poussait sur la tête sans lui parler du curé.
• Ah ! ah ! ah ! aaaaaah.
• Oui, oui, oui, encore, encore.
• Tak, Tak, Taaaak.
• Kurwaaaaaaa... Kurwaaaaaa...
• Ben, les salops vous avez tous déchargés, à vous regarder, je suis restée en rade.
Laquelle de nos deux salopes a prononcé cette phrase ?
Nous le saurons dans le deuxième chapitre des aventures de nos deux amies, Betty et Carole...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Exact chère lectrice, certains diront que je voulais voir si vous suiviez.
Non, j'écris mes textes sur plusieurs jours et lorsque j'ai repris celui là, j'ai changé le nom par erreur sans le voir en le relisant.
Avec toutes mes escuses
J'ai vérifié le chapitre 2, ça continu sur "Betty"...
Non, j'écris mes textes sur plusieurs jours et lorsque j'ai repris celui là, j'ai changé le nom par erreur sans le voir en le relisant.
Avec toutes mes escuses
J'ai vérifié le chapitre 2, ça continu sur "Betty"...
Attention Chris on passe de Jessy et Carole à Betty et Carole.