COLLECTION BOURGEOISE. 1 - Le charme de la bourgeoisie - Début de ma vie de femme mariée (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BOURGEOISE. 1 - Le charme de la bourgeoisie - Début de ma vie de femme mariée (1/3)
Comme le nom de la collection l’indique, je suis née dans une grande famille bourgeoise.
À ce titre, pour le confirmer, j’habite dans le quartier huppé de l’Opéra de Paris, des grands ministères et non loin du Palais de l’Élysée.
Même mon nom de jeune fille, Marie de...
Ou de femme mariée Marie de ... ...
Bien sûr, je cache ces noms, car mon mari à de hautes fonctions dans l’exécutif.
Je dévoile mon prénom, Marie, dans nos milieux, mes parents m’ont confié à la vierge le jour de mon baptême, montrant dans quel monde j’ai passé ma jeunesse et que j’ai été éduqué.
Pour le concrétiser, ce sont nos parents qui ont choisi que nous devions devenir mari et femme.
Je vais être direct, j’ai découvert le sexe le jour de mon mariage, plus précisément au moment où je me suis retrouvée seule face à Albert de ...
J’allais dévoiler une partie de mon nom de femme mariée.
Certes, maman, m’avait vaguement parlé de la différence entre les hommes et les femmes.
Au pensionnat de jeune fille de bonne famille où j’étais interne, une des sœurs nous a fait un cours sur la nature humaine surtout les hommes, mais leurs verges étaient au repos.
Ce que m’a dit, maman, c’est que mon mari ferait le nécessaire pour que cette verge molle devienne dure et puisse me déflorer et me faire un enfant.
Il faut continuer la ligner des de ... et des de ... pour moi.
Bref, je suis novice et je compte sur mon mari, pour faire de moi une bonne épouse dans la foi de notre éducation.
Le souvenir de cette nuit de noce, c’est passé en deux temps.
Le premier, je suis allée dans la salle de bains ou ma tante et maman avaient tout préparé.
J’y ai trouvé la nuisette qu’elles avaient soigneusement posée sur la chaise.
J’ai fait mes ablutions, ça j’avais appris chez les sœurs qui étaient très strictes sur notre hygiène que cette partie de notre corps devait toujours rester propre.
J’ai passé cette nuisette, je me suis vu dans la glace, elle arrivait à ras de ma petite affaire comme me l’avait dit maman.
J’ai eu peur qu’elles veuillent m’envoyer vers le diable tant je me sentais impudique.
Mais je leur faisais confiance, bien que tante Anna soit vieille fille et donc pure.
J’allais entrer dans notre chambre, quand j’ai éteint la lumière.
J’avais peur que mon mari pense que la jeune fille qu’il avait tout juste embrassée quelquefois était une fille de mauvaise vie.
Ça s’était fait après qu’il m’est offert la bague de sa grand-mère veuve et résidant dans son manoir du côté de Blois.
La chambre était plongée dans le noir, bien qu’au mois de juin la pleine lune me laisse voir une forme allongée de l’autre côté du lit.
Albert m’attendait nu prêt à faire de moi une femme, sa femme.
Une fois allongée, j’ai senti mon mari venir sur moi.
Là encore j’ai fait ce que maman m’a dit, j’ai écarté mes jambes faisant la grenouille sur le dos afin de lui facilité le travail.
Je sentais une forme molle essayer de rentrer jusqu’à ce qu’Albert se jette de son côté sans le moindre mot d’explication.
La fatigue de la journée ma vite terrassée et je me suis endormie.
Quelles heures étaient-ils lorsque j’ai senti le lit bougé du côté de mon mari, je l’ignore.
Dans mon semi-sommeil lorsque Albert a basculé sur moi, j’ai de nouveau fait la grenouille.
Rapidement j’ai senti le bâton, dont maman m’avait parlé toucher mon sexe et entrer.
Dans mon souvenir, une grande douleur m’a frappé et j’ai immédiatement senti sa semence entrer en moi avant de me libérer.
J’étais contente et fière, j’avais réussi presque dans l’inconscience à satisfaire mon mari.
Le lendemain lorsque je me suis réveillée, il avait quitté ma couche alors que j’étais prête à le recevoir une nouvelle fois en moi.
J’ai failli hurler lorsque j’ai vu ce que je pensais être mes menstruations qui venaient tous les vingt-huit jours.
Je venais de perdre le bébé que mon mari avait réussi à me faire, la tache de sang sur les draps me le prouvait.
En aout, nous devions partir pour la Martinique voir des fermages que la famille de mon mari possédait là-bas.
Voyage de noces et visites de travail, on m’avait dit que je logerais dans un hôtel de haut luxe et que pendant les absences de mon mari, je pourrais me faire bronzer sur la plage privée.
Jusque-là, j’ai rejoint l’appartement dont j’ai parlé au début propriété de la famille de mon mari.
Pour ma part dans le contrat de mariage, j’apportais des fermages en Normandie avec des chevaux et un petit manoir où nous avons pu passer les deux jours après la cérémonie de notre mariage.
Chaque nuit, j’écartais mes cuisses lorsque dans la nuit je sentais Albert ce que je devais découvrir, lorsqu’il se masturbait pour pouvoir entrer en moi et en trois secondes me remplir de sa semence maritale.
La seule chose qui me rassurait, c’était que les fois suivantes, je gardais mon bébé, car les saignements s’étaient arrêtés.
Mais... il y a toujours un, mais » dans une histoire qui pouvait être conventionnelle à cause de nos familles et de l’éducation de l’un ou l’autre à ce moment de notre vie nous avions reçu aussi bien lui que moi.
Le portable que nous nous sommes payés afin de rester proche l’un de l’autre où je devais rapidement découvrir que la vie de couple était bien différente que ce je subissais depuis mon mariage.
Téléphone, appareil photo, mais aussi Internet.
Surtout des films que je découvrais et après une erreur de frappe, des films explicitent sur les rapports hommes et femmes.
Le premier, j’ai vu une jeune femme sucer la verge de son mari qui l’aidait en se masturbant pour mieux la lui rentrer dans la bouche.
À cet instant j’ai su que les hommes se masturbaient alors que les femmes leur suçaient la queue.
Mon premier réflexe, ça a été d’éteinte complètement mon portable et de le regarder comme si le diable essayait d’en sortir.
Mais j’étais intriguée, se masturber afin de pouvoir me pénétrer, c’était ce qu’Albert faisait dans le noir avant d’entrer dans ma chatte.
Ce mot de chatte, je l’ai lu dans un titre, « la salope se fait défoncer la chatte » lorsque j’ai osé rallumer mon portable, c’était l’heure de joindre mon mari pour voir si de son côté ça allait bien.
Le diable étant resté au fond de sa boîte, j’ai de nouveau ouvert ce site pornographique où je pensais trouver ce qu'il fallait pour que notre vie de couple devienne plus harmonieuse.
Dès la nuit suivante c’est nue que je suis sortie de notre salle de bains laissant ma nuisette sur la chaise.
J’ai laissé la porte et la lumière ouverte.
J’ai pu ainsi voir pour la première fois la queue, mot lui aussi découvert dans un film où le couple prononçait « queue » du monsieur que la dame s’est empressée de mettre dans sa bouche.
J’ai vite compris que les jeux amoureux dans un couple pouvaient être divers, mais pour ce soir je décidais de pratiquer la base de ceux-ci.
Je devais vite déchanter.
• Ma chérie, comment pouvez-vous vous présenter nue devant moi, c’est indécent.
Dans ces mots, on voit l’étendue du mal dans notre couple.
Le vouvoiement comme le pratiquaient ses parents, très collet monté on s’en doute.
Mais surtout l’éducation qu’on lui avait donnée bannissant la nudité même dans notre couple.
• Marie, vous êtes devenue folle, il va falloir que vous consultiez mon oncle, le docteur Arthur que vous avez rencontré lors de notre mariage.
Dans les films, les femmes faisaient abstraction de ce genre de chose et allaient directement vers le sexe de l’homme qu’elle devait satisfaire.
Albert venait d’intercepter ma main, mais j’avais pu saisir son manche, sa queue, son braquemard, mot bien sûr encore inconnu à ce moment de l’histoire de notre mariage.
• C’est malin, j’en ai mis partout et nous venons de perdre une grande quantité de la semence que je pensais déverser en vous afin de vous féconder.
Le mal était profond, en interrogeant Google, le lendemain j’ai appris que mon mari était un éjaculateur précausse.
La nuit suivante, j’ai remis l’ouvrage sur le métier.
• Vous êtes encore nue devant moi, mais pourquoi en plus vous allumez votre lampe de chevet sur votre table de nuit.
• Afin que vous me baisiez en voyant la jolie femme que vous avez épousée.
Excuse, que tu as épousé, à partir de maintenant le vouvoiement s’est terminé entre nous.
• Vous êtes folle, mon père m’a fait épouser une folle.
Pourtant lorsque le vous m’avez été présenté, vous sembliez une jeune fille très bien éduquée.
• La folle comme tu le dis, veux baiser et jouir, certes, le bon dieu veut que je sois une femme fidèle à son mari et ça je te promets que je le respecterais.
Mais dans les films que j’ai regardés, les femmes s’envoyaient en l’air, car contrairement aux animaux, il nous a créé pour que nous ayons du plaisir aussi bien toi que moi.
Sans attendre, j’enjambais Albert, amenant ma chatte sur la bouche de mon mari.
• Fais-moi un cunnilingus, passe ta langue sur mon petit bouton à son sommet, tu verras tu vas faire bander mon clitoris.
C’est l’après-midi que j’ai appris ce mot « cunnilingus » en même temps que je me faisais jouir en me mettant deux doigts dans la chatte, j’avais découvert la masturbation féminine.
J’ai senti cette petite boule que je savais être là, mais qui était cachée derrière son capuchon et que mon éducation chez les sœurs m’avait soigneusement caché surtout lorsque nous faisions nos ablutions.
Je découvrais bien des choses et pourquoi un jour Solange une copine avait été convoquée chez la mère supérieure.
Certaines filles, en se cachant, parlaient des sœurs qui l’avaient prise à se faire des choses dans les toilettes.
C’est à ce moment qu’un déclique a dû se produire chez mon mari, j’ai senti sa langue passer sur ma chatte et venir caresser mon clitoris.
Je me suis penchée et saisissant sa queue, j’ai hésité quelques secondes, voyant les cormes du diable.
Mais l’envie de sucer cette queue comme la langue de mon mari suçait ma petite excroissance, j’ai réussi à faire entrer son gland dans ma bouche...
À ce titre, pour le confirmer, j’habite dans le quartier huppé de l’Opéra de Paris, des grands ministères et non loin du Palais de l’Élysée.
Même mon nom de jeune fille, Marie de...
Ou de femme mariée Marie de ... ...
Bien sûr, je cache ces noms, car mon mari à de hautes fonctions dans l’exécutif.
Je dévoile mon prénom, Marie, dans nos milieux, mes parents m’ont confié à la vierge le jour de mon baptême, montrant dans quel monde j’ai passé ma jeunesse et que j’ai été éduqué.
Pour le concrétiser, ce sont nos parents qui ont choisi que nous devions devenir mari et femme.
Je vais être direct, j’ai découvert le sexe le jour de mon mariage, plus précisément au moment où je me suis retrouvée seule face à Albert de ...
J’allais dévoiler une partie de mon nom de femme mariée.
Certes, maman, m’avait vaguement parlé de la différence entre les hommes et les femmes.
Au pensionnat de jeune fille de bonne famille où j’étais interne, une des sœurs nous a fait un cours sur la nature humaine surtout les hommes, mais leurs verges étaient au repos.
Ce que m’a dit, maman, c’est que mon mari ferait le nécessaire pour que cette verge molle devienne dure et puisse me déflorer et me faire un enfant.
Il faut continuer la ligner des de ... et des de ... pour moi.
Bref, je suis novice et je compte sur mon mari, pour faire de moi une bonne épouse dans la foi de notre éducation.
Le souvenir de cette nuit de noce, c’est passé en deux temps.
Le premier, je suis allée dans la salle de bains ou ma tante et maman avaient tout préparé.
J’y ai trouvé la nuisette qu’elles avaient soigneusement posée sur la chaise.
J’ai fait mes ablutions, ça j’avais appris chez les sœurs qui étaient très strictes sur notre hygiène que cette partie de notre corps devait toujours rester propre.
J’ai passé cette nuisette, je me suis vu dans la glace, elle arrivait à ras de ma petite affaire comme me l’avait dit maman.
J’ai eu peur qu’elles veuillent m’envoyer vers le diable tant je me sentais impudique.
Mais je leur faisais confiance, bien que tante Anna soit vieille fille et donc pure.
J’allais entrer dans notre chambre, quand j’ai éteint la lumière.
J’avais peur que mon mari pense que la jeune fille qu’il avait tout juste embrassée quelquefois était une fille de mauvaise vie.
Ça s’était fait après qu’il m’est offert la bague de sa grand-mère veuve et résidant dans son manoir du côté de Blois.
La chambre était plongée dans le noir, bien qu’au mois de juin la pleine lune me laisse voir une forme allongée de l’autre côté du lit.
Albert m’attendait nu prêt à faire de moi une femme, sa femme.
Une fois allongée, j’ai senti mon mari venir sur moi.
Là encore j’ai fait ce que maman m’a dit, j’ai écarté mes jambes faisant la grenouille sur le dos afin de lui facilité le travail.
Je sentais une forme molle essayer de rentrer jusqu’à ce qu’Albert se jette de son côté sans le moindre mot d’explication.
La fatigue de la journée ma vite terrassée et je me suis endormie.
Quelles heures étaient-ils lorsque j’ai senti le lit bougé du côté de mon mari, je l’ignore.
Dans mon semi-sommeil lorsque Albert a basculé sur moi, j’ai de nouveau fait la grenouille.
Rapidement j’ai senti le bâton, dont maman m’avait parlé toucher mon sexe et entrer.
Dans mon souvenir, une grande douleur m’a frappé et j’ai immédiatement senti sa semence entrer en moi avant de me libérer.
J’étais contente et fière, j’avais réussi presque dans l’inconscience à satisfaire mon mari.
Le lendemain lorsque je me suis réveillée, il avait quitté ma couche alors que j’étais prête à le recevoir une nouvelle fois en moi.
J’ai failli hurler lorsque j’ai vu ce que je pensais être mes menstruations qui venaient tous les vingt-huit jours.
Je venais de perdre le bébé que mon mari avait réussi à me faire, la tache de sang sur les draps me le prouvait.
En aout, nous devions partir pour la Martinique voir des fermages que la famille de mon mari possédait là-bas.
Voyage de noces et visites de travail, on m’avait dit que je logerais dans un hôtel de haut luxe et que pendant les absences de mon mari, je pourrais me faire bronzer sur la plage privée.
Jusque-là, j’ai rejoint l’appartement dont j’ai parlé au début propriété de la famille de mon mari.
Pour ma part dans le contrat de mariage, j’apportais des fermages en Normandie avec des chevaux et un petit manoir où nous avons pu passer les deux jours après la cérémonie de notre mariage.
Chaque nuit, j’écartais mes cuisses lorsque dans la nuit je sentais Albert ce que je devais découvrir, lorsqu’il se masturbait pour pouvoir entrer en moi et en trois secondes me remplir de sa semence maritale.
La seule chose qui me rassurait, c’était que les fois suivantes, je gardais mon bébé, car les saignements s’étaient arrêtés.
Mais... il y a toujours un, mais » dans une histoire qui pouvait être conventionnelle à cause de nos familles et de l’éducation de l’un ou l’autre à ce moment de notre vie nous avions reçu aussi bien lui que moi.
Le portable que nous nous sommes payés afin de rester proche l’un de l’autre où je devais rapidement découvrir que la vie de couple était bien différente que ce je subissais depuis mon mariage.
Téléphone, appareil photo, mais aussi Internet.
Surtout des films que je découvrais et après une erreur de frappe, des films explicitent sur les rapports hommes et femmes.
Le premier, j’ai vu une jeune femme sucer la verge de son mari qui l’aidait en se masturbant pour mieux la lui rentrer dans la bouche.
À cet instant j’ai su que les hommes se masturbaient alors que les femmes leur suçaient la queue.
Mon premier réflexe, ça a été d’éteinte complètement mon portable et de le regarder comme si le diable essayait d’en sortir.
Mais j’étais intriguée, se masturber afin de pouvoir me pénétrer, c’était ce qu’Albert faisait dans le noir avant d’entrer dans ma chatte.
Ce mot de chatte, je l’ai lu dans un titre, « la salope se fait défoncer la chatte » lorsque j’ai osé rallumer mon portable, c’était l’heure de joindre mon mari pour voir si de son côté ça allait bien.
Le diable étant resté au fond de sa boîte, j’ai de nouveau ouvert ce site pornographique où je pensais trouver ce qu'il fallait pour que notre vie de couple devienne plus harmonieuse.
Dès la nuit suivante c’est nue que je suis sortie de notre salle de bains laissant ma nuisette sur la chaise.
J’ai laissé la porte et la lumière ouverte.
J’ai pu ainsi voir pour la première fois la queue, mot lui aussi découvert dans un film où le couple prononçait « queue » du monsieur que la dame s’est empressée de mettre dans sa bouche.
J’ai vite compris que les jeux amoureux dans un couple pouvaient être divers, mais pour ce soir je décidais de pratiquer la base de ceux-ci.
Je devais vite déchanter.
• Ma chérie, comment pouvez-vous vous présenter nue devant moi, c’est indécent.
Dans ces mots, on voit l’étendue du mal dans notre couple.
Le vouvoiement comme le pratiquaient ses parents, très collet monté on s’en doute.
Mais surtout l’éducation qu’on lui avait donnée bannissant la nudité même dans notre couple.
• Marie, vous êtes devenue folle, il va falloir que vous consultiez mon oncle, le docteur Arthur que vous avez rencontré lors de notre mariage.
Dans les films, les femmes faisaient abstraction de ce genre de chose et allaient directement vers le sexe de l’homme qu’elle devait satisfaire.
Albert venait d’intercepter ma main, mais j’avais pu saisir son manche, sa queue, son braquemard, mot bien sûr encore inconnu à ce moment de l’histoire de notre mariage.
• C’est malin, j’en ai mis partout et nous venons de perdre une grande quantité de la semence que je pensais déverser en vous afin de vous féconder.
Le mal était profond, en interrogeant Google, le lendemain j’ai appris que mon mari était un éjaculateur précausse.
La nuit suivante, j’ai remis l’ouvrage sur le métier.
• Vous êtes encore nue devant moi, mais pourquoi en plus vous allumez votre lampe de chevet sur votre table de nuit.
• Afin que vous me baisiez en voyant la jolie femme que vous avez épousée.
Excuse, que tu as épousé, à partir de maintenant le vouvoiement s’est terminé entre nous.
• Vous êtes folle, mon père m’a fait épouser une folle.
Pourtant lorsque le vous m’avez été présenté, vous sembliez une jeune fille très bien éduquée.
• La folle comme tu le dis, veux baiser et jouir, certes, le bon dieu veut que je sois une femme fidèle à son mari et ça je te promets que je le respecterais.
Mais dans les films que j’ai regardés, les femmes s’envoyaient en l’air, car contrairement aux animaux, il nous a créé pour que nous ayons du plaisir aussi bien toi que moi.
Sans attendre, j’enjambais Albert, amenant ma chatte sur la bouche de mon mari.
• Fais-moi un cunnilingus, passe ta langue sur mon petit bouton à son sommet, tu verras tu vas faire bander mon clitoris.
C’est l’après-midi que j’ai appris ce mot « cunnilingus » en même temps que je me faisais jouir en me mettant deux doigts dans la chatte, j’avais découvert la masturbation féminine.
J’ai senti cette petite boule que je savais être là, mais qui était cachée derrière son capuchon et que mon éducation chez les sœurs m’avait soigneusement caché surtout lorsque nous faisions nos ablutions.
Je découvrais bien des choses et pourquoi un jour Solange une copine avait été convoquée chez la mère supérieure.
Certaines filles, en se cachant, parlaient des sœurs qui l’avaient prise à se faire des choses dans les toilettes.
C’est à ce moment qu’un déclique a dû se produire chez mon mari, j’ai senti sa langue passer sur ma chatte et venir caresser mon clitoris.
Je me suis penchée et saisissant sa queue, j’ai hésité quelques secondes, voyant les cormes du diable.
Mais l’envie de sucer cette queue comme la langue de mon mari suçait ma petite excroissance, j’ai réussi à faire entrer son gland dans ma bouche...
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