COLLECTION BOURGEOISE. Bourgeoise salope (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BOURGEOISE. Bourgeoise salope (1/2)
• S’il vous plait, puis-je, vous posez une question.
Le jeune garçon que j’interpelle dans cette rue un peu sombre semble gêné de me répondre, il bafouille sa réponse.
• Non, je, je !
• Je vous intimide !
• Oui, et non, non, mais oui.
• Dites-moi, vous avez tout vu lorsque je suis descendue de ma voiture !
• Non, mais oui.
• À ton âge, il faut assumer, es-tu puceau ?
• Non, mais oui, mais oui, on se connaît !
• Non, pourquoi ?
• Vous m’avez tutoyé, c’est bizarre si c’est la première fois que l’on se voit !
• Tu as vu ma chatte lorsque je suis descendue de ma voiture, ça cré une certaine intimité, ne le penses-tu pas, es-tu libre ?
• J’allais retrouver un copain pour que nous fêtions mon anniversaire !
• Quel âge as-tu ?
• Vingt ans demain et mon copain avait des obligations, mais il était libre ce soir.
• Es-tu homo !
Il doit se décontracter, car il éclate d’un grand rire très franc, je sens qu’il reprend de l’assurance.
• Puceau, je le reconnais, c’est à cause que de ma timidité et chaque fois qu’une occasion s’est présentée, j’ai trouvé le moyen de tout foirer !
• Et si je te montre ce que tu loupes aujourd’hui si tu vas retrouver ton copain, ça te fera changer d’avis.
J’ouvre mon manteau, lorsque je suis en chasse, l’hiver je suis avec mon vison, un vrai, je me tape de ces écolos et des animaux qu’il a fallu écorcher vifs pour le confectionner.
Je suis bourge, grâce à ma famille et à mon mari, j’ai les moyens de me payer un manteau de ce luxe, pourquoi m’en priverais-je ?
Je chasse aussi l’été, là encore, je suis nue, mais sous un imper en peau de panthère.
Je suis nue, sauf des bas de soie « maison close » certaines fois auto-fixant à mes cuisses et d’autrefois avec un porte-jarretelles noir comme mes bas, ça fait ressortir ma peau claire.
• J’habite près d’ici, veux-tu venir prendre un verre, je vais t’aider à perdre définitivement ta timidité, demain matin tu seras devenu un homme.
Je suis sûr que ce palier franchi, tu gommeras ta timidité et que de nombreuses jeunes filles se lourons de ton expérience si tu acceptes de venir prendre ce verre.
Comme je l’ai dit, je suis en chasse, ça m’arrive quand la tension en moi est trop forte.
Adolphe, mon mari est parti pour une semaine en Centre Afrique régler des contrats qui vont nous permettre de continuer à vivre dans ce quartier de Paris, dans notre immeuble de haut standing.
Avocat, chirurgien et autres hommes d’affaires comme mon mari, les habitants sont tous blindés et la plupart de leurs femmes sont des coincés du cul.
Lorsque j’ai épousé mon mari, j’étais une jeune fille venant de participer au bal des débutantes.
J’étais ignorante des choses du sexe et pendant douze ans, comme elle, je suis restée fidèle à mon serment de mariage.
J’avais été conditionné par maman bourge elle aussi et faisant partie des coincées et des bigotes du quartier.
Un jour, j’étais chez moi et Adolphe parti comme il le fait très souvent pour se faire pardonner de m’abandonner m’a offert ce vison dont je révais depuis que j’étais toute petite.
Petite, enfin deux ans avant mon mariage, maman avait un vison blanc et c’est en allant dans la boutique où il l’entretenait chaque année que je suis mise à rêver.
J’ai voulu sentir sur ma peau nue la sensation que je pourrais ressentir en le mettant avec simplement des bas, Adolphe refuse que je porte des collants même si nous faisons rarement l’amour.
J’avais l’impression que pour lui comme bon nombre des femmes de ma classe sociale, j’étais la poupée très belle que l’on exhibe à son bras.
Me voir dans ma psyché le manteau ouvert a été le déclique de la suite de mes turpitudes
Mes seins magnifiques, de vrais obus prêts à exploser et les poils de ma chatte impeccablement taillés dans l’institut où je vais tous les jeudis après-midi m’ont fait prendre conscience du manque de sexe que je ressentais.
Non, je vais trop vite, en me regardant et en déambulant dans ma chambre, je me suis mise à fantasmer et je me suis demandée quel serait mon plaisir si je sortais nue sous mon manteau.
Je serais la seule à le savoir, car il serait parfaitement fermé cachant mon corps.
Je l’ai dit, un fantasme.
J’ai résisté de nombreuses semaines, de toute façon Adolphe restait à Paris.
Dès qu’il a pris l’avion, dans l’après-midi me rendant à mon institut, j’ai mis mes bas et mes talons hauts et je suis sortie.
La sensation que j’avais de savoir que s’il s’ouvrait les passants et les passantes verraient, ma nudité m’a mise dans tous mes émois.
J’ai pris ce risque, car je savais que dans l’institut, je rentrerais dans une cabine pour enlever mes vêtements et ainsi cacher ma déviance.
J’y ai pris tant de plaisir que je me suis enhardie, en sortant ce jour-là de l’institut, j’ai pris le risque de m’assoir à la terrasse d’un café.
Mes longues jambes, que j’ai croisées, maman m’a appris à les poser bien parallèlement l’une par rapport à l’autre, m’ont fait prendre encore plus de plaisir.
C’est là que le sexe a commencé à me manquer.
Je rentrais de plus en plus épuisée de ces expéditions pour réaliser mon fantasme.
Un jour un homme jeune m’a abordé, il était à la table voisine et j’ai pris le risque de lui montrer ma nudité une fraction de seconde lorsque je suis partie.
Dans les semaines qui ont suivi, Adolphe étant là, je suis redevenue la petite fille sage que notre monde connaissait.
Je passais non loin de la terrasse, sans pour autant me montrer, car il était là.
Dès que mon mari a eu un voyage à faire, je me suis préparée, maquillée et j’ai mis les jarretières que j’étais allée acheter en attendant ce jour.
Dans la boutique de luxe où j’achète mes sous-vêtements, j’ai choisi la parure qui me semblait rendre mon corps encore plus attrayant lorsque je me monterais telle que le seigneur nous avait fait naître.
Oui, en bonne famille bourgeoise la messe du dimanche est un moment incontournable.
J’y vais tous les dimanches avec mon mari, jusqu’au jour où étant en voyage ayant rendez-vous le lundi au Sénégal, j’y suis allée en mode chasseresse.
C’est Geneviève de Belle-Motte mon amie de jeunesse, en ce temps-là, elle s’appelait Geneviève de Fontenais, pas celle des miss, que j’ai pris le risque d’y aller seulement revêtu de mon vison.
Voir le prêtre qui m’avait marié me donner la communion à l’ancienne m’a mis dans un état pas possible lorsque j’ai sorti ma langue.
J’étais à genoux devant lui, sous sa soutane son sexe était à hauteur de ma bouche.
Fantasme de baiser avec un prêtre.
À l’église, ça je me suis arrêtée là, j’avais pris assez de risque.
À la terrasse dès qu’il m’a vu approcher Daniel s’est levé et m’a pris le bras.
Nous sommes partis à quelques maisons de là et c’est dans l’ascenseur qu’il a glissé sa main sous mon manteau.
J’ai cru défaillir en même temps que ses lèvres prenaient les miennes.
J’étais piégée, lorsque l’ascenseur s’est arrêté, nous avons pris le risque de nous séparer et casser l’enchantement qui s’était emparé de moi.
Mais l’envie de sexe était si forte qu’une fois entrée c’est le long du mur que me pendant à son cou j’ignore, comment il avait fait, j’ai senti sa verge chercher l’entrée de mon vagin.
J’étais accrochée à son cou, nos bouches se sont retrouvées, c’est là, parfaitement empalée, entièrement clouées à ce mur que pour la première fois montante et descendante le long de cette verge que j’ai eu mon premier orgasme.
À ce jour, j’ignorais ce que c’était sans savoir même que ça existait.
Lorsque nous avons fini sur son lit dans sa chambre, reprenant notre souffle, j’ai compris tout ce qu’Adolphe avait oublié de me faire découvrir après avoir fait de moi sa femme.
Avec lui, dans la nuit, il me passait la main, sans enlever mon vêtement de nuit, il me pénétrait et trois minutes après c’était fini, il se retournait et je l’entendais se remettre à ronfler.
Avec Daniel, il m’a appris à le sucer à me faire prendre dans diverses positions.
J’adore être prise à quatre pattes, en levrette, c’est comme cela que ça s’appelle.
J’espère que vous connaissez, sinon essayer !
Bref, ce fut ma première expérience de situation d’adultère.
J’y ai pris rapidement gout et comme je l’ai dit, en vison ou en imper, je suis allée en chasse chaque fois qu’Adolphe me quittait.
J’ai baisé dans ma voiture, sur son capot dans une impasse.
À cette occasion, mon plaisir a été décuplé, car il y avait une fenêtre donnant au-dessus de mon amant et de moi et j’ai vu un homme, un vieux, nous regarder.
Une fois, comme aujourd’hui, je me suis sentie malheureuse, car le garçon un grand black était dans l’incapacité de me baiser chez lui, il avait six frères et deux sœurs.
Un hôtel, j’aurais eu l’impression d’être une pute, mais si le fric je n’en ai rien à foutre, je voulais que son gros sexe me déchire.
Malgré le risque j’avais tâté la marchandise et un morceau comme celui-là, il me le fallait.
J’ai donc pris le risque de l’amener chez moi.
Avec Mamadou, c’est directement dans mon vestibule qu’il m’a prise couché sur mon vison.
Avec Mamadou, c’est la première fois qu’il m’a retournée, je croyais qu’il voulait la levrette, mais c’est mon anus qui l’intéressait.
Sans vouloir vous faire la leçon, vous devez en connaître autant voir plus que moi, avec Mamadou, j’ai appris que mon anus était une source de plaisir.
Je comprenais mieux mon frère Éric, homo jusqu’aux bouts des oncles que j’ai un soir vu se faire enculer par notre oncle Jeff, les cris que j’entendais étaient de plaisir de se faire défoncer.
Le pli était pris, après cette première expérience.
Le nombre de fois où c’est chez mon cocu de mari que j’amenais mes amants d’un soir sans être trop conséquent a fait pousser de belles cornes sur la tête de mon cocu de mari.
Avec Mamadou, c’est le seul où j’ai failli avoir des ennuis.
Adolphe avait oublié sa montre sur notre guéridon dans l’entrée et lorsqu’il est revenu de voyage, sa belle Rolex avait disparu.
Je m’en suis sortie en lui certifiant que lorsque je l’avais accompagné jusqu’à notre porte, je le voyais la mettre à son poignet, il avait dû la perdre avant de prendre son avion.
Par chance, il s’est souvenu qu’il avait bien un problème de fermoir et qu’il avait été négligent reportant régulièrement de la faire réparer.
Le lendemain, je suis allée en acheter une autre à notre bijoutier, par chance, c’était son anniversaire et son incertitude a disparu.
Mais revenons à mon jeune puceau qui monte dans ma voiture et que je conduis dans notre garage sous l’immeuble où je me gare avant de prendre l’ascenseur.
Dès que j’ai été dans la voiture, je lui ai pris la main que j’ai fourrée sous mon manteau.
Il va falloir que j’aille faire entretenir mon vison, je sentais ma mouille couler de ma chatte.
Il faudra même que j’appelle mon garage qu’ils viennent chercher ma voiture de sport, j’ai dû tacher mes sièges.
• Que fais-tu petit Nicolas ?
• J’envoie un mail à William pour l’avertir que je suis dans l’incapacité de le rejoindre.
Je le connais, il est capable d’ameuter les hôpitaux pour voir si je suis encore en vie.
• Et si tu lui demandais de venir se joindre à nous, lorsqu’il y en a pour un, vous trouveriez bien le moyen qu’il y en ait pour deux !
Passe-moi ton portable, je vais lui donner mon adresse.
Depuis que j’ai découvert le sexe, je vais sur « You porn », j’ai vu des vidéos où une femme se faisait prendre en double pénétration.
Grâce à la fin de tous mes tabous sexuels surtout par ignorance, nul doute qu’avec ces deux puceaux, je vais pouvoir passer une nuit à réaliser un nouveau fantasme.
Faire le jambon dans une partie à trois.
Non, quatre, car grâce à Mamadou qui m’a dépucelé le cul, pardon l’anus, il faut savoir garder sa classe, mes deux trous sont déjà bien entraînés à les recevoir.
Si ça vous dit pendant que l’un m’enculera et l’autre me prendra par la chatte, venez, ma bouche pourra vous recevoir.
Je sais, je suis une vraie chienne lubrique revêtue de mon vison lorsque le démon du sexe me prend.
Dernière minute, « Je sais, je suis une vraie chienne ».
Cette phrase se termine par un point gage de la fin de mon histoire avec ces jeunes puceaux.
Un fait nouveau vient de se produire qui m’oblige à écrire la suite de la boulimie de sexe qui m’habite.
Une suite se termine dans les écrits de Chris71 par trois petits points
Quel est ce point nouveau ?...
Le jeune garçon que j’interpelle dans cette rue un peu sombre semble gêné de me répondre, il bafouille sa réponse.
• Non, je, je !
• Je vous intimide !
• Oui, et non, non, mais oui.
• Dites-moi, vous avez tout vu lorsque je suis descendue de ma voiture !
• Non, mais oui.
• À ton âge, il faut assumer, es-tu puceau ?
• Non, mais oui, mais oui, on se connaît !
• Non, pourquoi ?
• Vous m’avez tutoyé, c’est bizarre si c’est la première fois que l’on se voit !
• Tu as vu ma chatte lorsque je suis descendue de ma voiture, ça cré une certaine intimité, ne le penses-tu pas, es-tu libre ?
• J’allais retrouver un copain pour que nous fêtions mon anniversaire !
• Quel âge as-tu ?
• Vingt ans demain et mon copain avait des obligations, mais il était libre ce soir.
• Es-tu homo !
Il doit se décontracter, car il éclate d’un grand rire très franc, je sens qu’il reprend de l’assurance.
• Puceau, je le reconnais, c’est à cause que de ma timidité et chaque fois qu’une occasion s’est présentée, j’ai trouvé le moyen de tout foirer !
• Et si je te montre ce que tu loupes aujourd’hui si tu vas retrouver ton copain, ça te fera changer d’avis.
J’ouvre mon manteau, lorsque je suis en chasse, l’hiver je suis avec mon vison, un vrai, je me tape de ces écolos et des animaux qu’il a fallu écorcher vifs pour le confectionner.
Je suis bourge, grâce à ma famille et à mon mari, j’ai les moyens de me payer un manteau de ce luxe, pourquoi m’en priverais-je ?
Je chasse aussi l’été, là encore, je suis nue, mais sous un imper en peau de panthère.
Je suis nue, sauf des bas de soie « maison close » certaines fois auto-fixant à mes cuisses et d’autrefois avec un porte-jarretelles noir comme mes bas, ça fait ressortir ma peau claire.
• J’habite près d’ici, veux-tu venir prendre un verre, je vais t’aider à perdre définitivement ta timidité, demain matin tu seras devenu un homme.
Je suis sûr que ce palier franchi, tu gommeras ta timidité et que de nombreuses jeunes filles se lourons de ton expérience si tu acceptes de venir prendre ce verre.
Comme je l’ai dit, je suis en chasse, ça m’arrive quand la tension en moi est trop forte.
Adolphe, mon mari est parti pour une semaine en Centre Afrique régler des contrats qui vont nous permettre de continuer à vivre dans ce quartier de Paris, dans notre immeuble de haut standing.
Avocat, chirurgien et autres hommes d’affaires comme mon mari, les habitants sont tous blindés et la plupart de leurs femmes sont des coincés du cul.
Lorsque j’ai épousé mon mari, j’étais une jeune fille venant de participer au bal des débutantes.
J’étais ignorante des choses du sexe et pendant douze ans, comme elle, je suis restée fidèle à mon serment de mariage.
J’avais été conditionné par maman bourge elle aussi et faisant partie des coincées et des bigotes du quartier.
Un jour, j’étais chez moi et Adolphe parti comme il le fait très souvent pour se faire pardonner de m’abandonner m’a offert ce vison dont je révais depuis que j’étais toute petite.
Petite, enfin deux ans avant mon mariage, maman avait un vison blanc et c’est en allant dans la boutique où il l’entretenait chaque année que je suis mise à rêver.
J’ai voulu sentir sur ma peau nue la sensation que je pourrais ressentir en le mettant avec simplement des bas, Adolphe refuse que je porte des collants même si nous faisons rarement l’amour.
J’avais l’impression que pour lui comme bon nombre des femmes de ma classe sociale, j’étais la poupée très belle que l’on exhibe à son bras.
Me voir dans ma psyché le manteau ouvert a été le déclique de la suite de mes turpitudes
Mes seins magnifiques, de vrais obus prêts à exploser et les poils de ma chatte impeccablement taillés dans l’institut où je vais tous les jeudis après-midi m’ont fait prendre conscience du manque de sexe que je ressentais.
Non, je vais trop vite, en me regardant et en déambulant dans ma chambre, je me suis mise à fantasmer et je me suis demandée quel serait mon plaisir si je sortais nue sous mon manteau.
Je serais la seule à le savoir, car il serait parfaitement fermé cachant mon corps.
Je l’ai dit, un fantasme.
J’ai résisté de nombreuses semaines, de toute façon Adolphe restait à Paris.
Dès qu’il a pris l’avion, dans l’après-midi me rendant à mon institut, j’ai mis mes bas et mes talons hauts et je suis sortie.
La sensation que j’avais de savoir que s’il s’ouvrait les passants et les passantes verraient, ma nudité m’a mise dans tous mes émois.
J’ai pris ce risque, car je savais que dans l’institut, je rentrerais dans une cabine pour enlever mes vêtements et ainsi cacher ma déviance.
J’y ai pris tant de plaisir que je me suis enhardie, en sortant ce jour-là de l’institut, j’ai pris le risque de m’assoir à la terrasse d’un café.
Mes longues jambes, que j’ai croisées, maman m’a appris à les poser bien parallèlement l’une par rapport à l’autre, m’ont fait prendre encore plus de plaisir.
C’est là que le sexe a commencé à me manquer.
Je rentrais de plus en plus épuisée de ces expéditions pour réaliser mon fantasme.
Un jour un homme jeune m’a abordé, il était à la table voisine et j’ai pris le risque de lui montrer ma nudité une fraction de seconde lorsque je suis partie.
Dans les semaines qui ont suivi, Adolphe étant là, je suis redevenue la petite fille sage que notre monde connaissait.
Je passais non loin de la terrasse, sans pour autant me montrer, car il était là.
Dès que mon mari a eu un voyage à faire, je me suis préparée, maquillée et j’ai mis les jarretières que j’étais allée acheter en attendant ce jour.
Dans la boutique de luxe où j’achète mes sous-vêtements, j’ai choisi la parure qui me semblait rendre mon corps encore plus attrayant lorsque je me monterais telle que le seigneur nous avait fait naître.
Oui, en bonne famille bourgeoise la messe du dimanche est un moment incontournable.
J’y vais tous les dimanches avec mon mari, jusqu’au jour où étant en voyage ayant rendez-vous le lundi au Sénégal, j’y suis allée en mode chasseresse.
C’est Geneviève de Belle-Motte mon amie de jeunesse, en ce temps-là, elle s’appelait Geneviève de Fontenais, pas celle des miss, que j’ai pris le risque d’y aller seulement revêtu de mon vison.
Voir le prêtre qui m’avait marié me donner la communion à l’ancienne m’a mis dans un état pas possible lorsque j’ai sorti ma langue.
J’étais à genoux devant lui, sous sa soutane son sexe était à hauteur de ma bouche.
Fantasme de baiser avec un prêtre.
À l’église, ça je me suis arrêtée là, j’avais pris assez de risque.
À la terrasse dès qu’il m’a vu approcher Daniel s’est levé et m’a pris le bras.
Nous sommes partis à quelques maisons de là et c’est dans l’ascenseur qu’il a glissé sa main sous mon manteau.
J’ai cru défaillir en même temps que ses lèvres prenaient les miennes.
J’étais piégée, lorsque l’ascenseur s’est arrêté, nous avons pris le risque de nous séparer et casser l’enchantement qui s’était emparé de moi.
Mais l’envie de sexe était si forte qu’une fois entrée c’est le long du mur que me pendant à son cou j’ignore, comment il avait fait, j’ai senti sa verge chercher l’entrée de mon vagin.
J’étais accrochée à son cou, nos bouches se sont retrouvées, c’est là, parfaitement empalée, entièrement clouées à ce mur que pour la première fois montante et descendante le long de cette verge que j’ai eu mon premier orgasme.
À ce jour, j’ignorais ce que c’était sans savoir même que ça existait.
Lorsque nous avons fini sur son lit dans sa chambre, reprenant notre souffle, j’ai compris tout ce qu’Adolphe avait oublié de me faire découvrir après avoir fait de moi sa femme.
Avec lui, dans la nuit, il me passait la main, sans enlever mon vêtement de nuit, il me pénétrait et trois minutes après c’était fini, il se retournait et je l’entendais se remettre à ronfler.
Avec Daniel, il m’a appris à le sucer à me faire prendre dans diverses positions.
J’adore être prise à quatre pattes, en levrette, c’est comme cela que ça s’appelle.
J’espère que vous connaissez, sinon essayer !
Bref, ce fut ma première expérience de situation d’adultère.
J’y ai pris rapidement gout et comme je l’ai dit, en vison ou en imper, je suis allée en chasse chaque fois qu’Adolphe me quittait.
J’ai baisé dans ma voiture, sur son capot dans une impasse.
À cette occasion, mon plaisir a été décuplé, car il y avait une fenêtre donnant au-dessus de mon amant et de moi et j’ai vu un homme, un vieux, nous regarder.
Une fois, comme aujourd’hui, je me suis sentie malheureuse, car le garçon un grand black était dans l’incapacité de me baiser chez lui, il avait six frères et deux sœurs.
Un hôtel, j’aurais eu l’impression d’être une pute, mais si le fric je n’en ai rien à foutre, je voulais que son gros sexe me déchire.
Malgré le risque j’avais tâté la marchandise et un morceau comme celui-là, il me le fallait.
J’ai donc pris le risque de l’amener chez moi.
Avec Mamadou, c’est directement dans mon vestibule qu’il m’a prise couché sur mon vison.
Avec Mamadou, c’est la première fois qu’il m’a retournée, je croyais qu’il voulait la levrette, mais c’est mon anus qui l’intéressait.
Sans vouloir vous faire la leçon, vous devez en connaître autant voir plus que moi, avec Mamadou, j’ai appris que mon anus était une source de plaisir.
Je comprenais mieux mon frère Éric, homo jusqu’aux bouts des oncles que j’ai un soir vu se faire enculer par notre oncle Jeff, les cris que j’entendais étaient de plaisir de se faire défoncer.
Le pli était pris, après cette première expérience.
Le nombre de fois où c’est chez mon cocu de mari que j’amenais mes amants d’un soir sans être trop conséquent a fait pousser de belles cornes sur la tête de mon cocu de mari.
Avec Mamadou, c’est le seul où j’ai failli avoir des ennuis.
Adolphe avait oublié sa montre sur notre guéridon dans l’entrée et lorsqu’il est revenu de voyage, sa belle Rolex avait disparu.
Je m’en suis sortie en lui certifiant que lorsque je l’avais accompagné jusqu’à notre porte, je le voyais la mettre à son poignet, il avait dû la perdre avant de prendre son avion.
Par chance, il s’est souvenu qu’il avait bien un problème de fermoir et qu’il avait été négligent reportant régulièrement de la faire réparer.
Le lendemain, je suis allée en acheter une autre à notre bijoutier, par chance, c’était son anniversaire et son incertitude a disparu.
Mais revenons à mon jeune puceau qui monte dans ma voiture et que je conduis dans notre garage sous l’immeuble où je me gare avant de prendre l’ascenseur.
Dès que j’ai été dans la voiture, je lui ai pris la main que j’ai fourrée sous mon manteau.
Il va falloir que j’aille faire entretenir mon vison, je sentais ma mouille couler de ma chatte.
Il faudra même que j’appelle mon garage qu’ils viennent chercher ma voiture de sport, j’ai dû tacher mes sièges.
• Que fais-tu petit Nicolas ?
• J’envoie un mail à William pour l’avertir que je suis dans l’incapacité de le rejoindre.
Je le connais, il est capable d’ameuter les hôpitaux pour voir si je suis encore en vie.
• Et si tu lui demandais de venir se joindre à nous, lorsqu’il y en a pour un, vous trouveriez bien le moyen qu’il y en ait pour deux !
Passe-moi ton portable, je vais lui donner mon adresse.
Depuis que j’ai découvert le sexe, je vais sur « You porn », j’ai vu des vidéos où une femme se faisait prendre en double pénétration.
Grâce à la fin de tous mes tabous sexuels surtout par ignorance, nul doute qu’avec ces deux puceaux, je vais pouvoir passer une nuit à réaliser un nouveau fantasme.
Faire le jambon dans une partie à trois.
Non, quatre, car grâce à Mamadou qui m’a dépucelé le cul, pardon l’anus, il faut savoir garder sa classe, mes deux trous sont déjà bien entraînés à les recevoir.
Si ça vous dit pendant que l’un m’enculera et l’autre me prendra par la chatte, venez, ma bouche pourra vous recevoir.
Je sais, je suis une vraie chienne lubrique revêtue de mon vison lorsque le démon du sexe me prend.
Dernière minute, « Je sais, je suis une vraie chienne ».
Cette phrase se termine par un point gage de la fin de mon histoire avec ces jeunes puceaux.
Un fait nouveau vient de se produire qui m’oblige à écrire la suite de la boulimie de sexe qui m’habite.
Une suite se termine dans les écrits de Chris71 par trois petits points
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est génial Chris, tu te mets bien dqns la peau d'une bourgeoise salope. Je connais bien cela puisque j'en ai rencontré une il y a 10 ans, étudiante à Paris, qui cherchait désespérément le sexe hard. La différence c'est qu'elle avait 19 ans et cherchait un vrai Maître pour des expériences bdsm extrêmes et non des séances de touche pipi. Elle avait découvert le SM en lisant Sade et Appolinaire. Je pourrais les raconter car elles sont incroyables mais je n'ai pas ton talent !! Continue !!!!
Maître Pat
Maître Pat
Depuis bien longtemps, j'écris des textes étant dans ma jeunesse bon en rédaction mais catastrophique en orthographe.
J'ai le correcteur de Word et Cordial que j'ai acheté pour continuer la passion de l'écriture.
Si des fautes persistent je m'en excuse et hélas je suis dans l'impossibilité de faire mieux...
J'ai le correcteur de Word et Cordial que j'ai acheté pour continuer la passion de l'écriture.
Si des fautes persistent je m'en excuse et hélas je suis dans l'impossibilité de faire mieux...
La bourgeoise a visiblement des problèmes avec l'orthographe...
Fautes et coquilles à répétition, ça rabaisse le fond de cette histoire plutôt sympa !
Fautes et coquilles à répétition, ça rabaisse le fond de cette histoire plutôt sympa !