COLLECTION BOURGEOISE. Bourgeoise salope (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2024 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION BOURGEOISE. Bourgeoise salope (2/2)
Que s’est-il passé à la fin du premier chapitre m’obligeant à continuer à rapporter à Chris71 ma vie de débauche basée sur mes fantasmes que j’ai découverts dans le début de mon histoire ?
Je vous livre ma vie surtout celle depuis la libération de mes envies toutes mes envies sans vous avoir dit m’appeler Ange.
Ange, ça colle parfaitement avec les préceptes de mon éducation faite de bondieuserie, mais noir depuis que j’ai lâché les chevaux.
Problème avec les deux puceaux, non !
Dès que je suis entrée avec dans mon appartement, la porte refermée, Nicolas a voulu m’embrasser, je l’ai calmé.
Je sentais le chien fou qu’il était et je voulais que cette première fois soit sans précédent pour lui, je voulais que sa première soit inoubliable.
Comme on l’a vu avant que je réalise mes fantasmes, j’étais plutôt ignorante des choses du sexe.
Adolphe, mon mari, m’avait très mal préparé de ce côté-là, car lui-même à part ses affaires à travers le monde, côté sexe, c’était loin d’être la fête du slip.
Je fais référence à cette histoire de slip, ignorant son origine.
Le jour où Sonia une amie m’a rencontré sa cheville dans le plâtre à son retour de vacances de neige à Megève, je lui ai demandé si c’était difficile de vivre avec le bas de sa jambe dans cet état ?
C’est là qu’elle a employé cette expression.
On a compris que dans les rapports sexuels que par moi-même j’avais découverts, mon plaisir était ma première préoccupation.
Nicolas risquait de décharger avant que ça ait commencé, me laissant frustrer après les risques que je prenais en l’amenant dans nos appartements.
• Restons calmes Nicolas, tu veux baiser et tu me dis te prendre des râteaux avec les filles.
Tu es trop fougueux, viens dans le salon, je vais te servir une orangeade.
• Je préfèrerais un verre de ce whisky que je vois sur ton bar.
As-tu du Coca ?
• Tu as de la chance, mon mari en prend lui aussi avec son whisky, il y en a dans le frigo derrière le bar, notre bonne le remplit tous les matins.
Je vais le servir, pour ma part je suis plutôt orangeade.
• Ton copain sera là dans combien de temps ?
• Une bonne demi-heure !
Une fois nos verres servis, je l’entraine sur notre canapé.
Mon manteau s’ouvre lui montrant de nouveau mon corps.
• Caresse-moi, les seins d’abord et là tu pourras m’embrasser.
C’est très bien, je sens que tu es doué et qu’une fois ta timidité effacée tu seras un merveilleux amant.
• Je serais ton amant pour longtemps, si tu le désir bien sûr !
• Mettons les choses au point, tu as compris que je suis mariée et qu’en baisant avec toi, je vais tromper mon mari.
J’ai un principe, aucune liaison durable, sexe rien que du sexe et après chacun retourne à sa vie sans se prendre la tête.
C’est bien caresse moi la chatte, je te sors la bite, tu es déjà bien tendu.
Veux-tu que je te suce ?
• Oh oui, si tu savais combien j’en rêve !
Il est émouvant, il fait chaud chez moi, j’enlève mon vison que je pose à mes côtés.
J’ai pris de l’assurance depuis que je réalise mes fantasmes et c’est en faisant attention du risque d’emballement, même de ma part.
J’en profite pour reprendre mon souffle pour qu’il garde encore son calme.
• Nicolas et si tu t’occupais de ma chatte avec ta langue, j’adore que les garçons me face des cunnilingus.
Ces mots comme « cunnilingus », c’est sur « You porn » que je les entends et comme j’ai une bonne mémoire, je les retiens aussi bien que je retenais les histoires de Pythagore au collège de ma jeunesse.
• Lorsque tu rencontreras des jeunes filles, fais-en de même, tu constateras qu’elles seront très satisfaites.
Je dis bien des jeunes filles, prends ton temps avant de demander une fille en mariage.
Ça a été mon cas, j’ai accepté le premier que mes parents m’ont présenté, mais vois maintenant je dois trouver des jeunes comme toi pour qu’ils me satisfassent.
J’écarte mes cuisses et je vois son regard légèrement se troubler, en voyant ma chatte de près et à sa réaction, ça me prouve que je vais être la première.
Sa langue passe un coup sur mon clitoris, j’ai l’impression qu’une décharge électrique traverse tout mon corps.
C’est à ce moment que la sonnette de notre porte d’entrée se met à tintinnabuler.
• C’est William mon copain, je peux le faire entrer !
• Va lui ouvrir, j’espère qu’il est aussi beau gosse que toi, ça aura été mon jour de chance.
Il se relève, je reste les jambes écartées posées au sol et il va ouvrir.
Une voix que je connais me fait envisager le pire.
J’ai entendu dire que certaines personnes lors d’une grande frayeur étaient devenues toutes blanches.
• Bonsoir Ange, le taxi m’a déposé devant la porte de notre immeuble, je suis rentré plutôt mon client avais attrapé le covid, lorsque j’ai vu ce jeune homme qui semblait chercher à entrer.
L’homme et le jeune homme qui viennent d’entrer, l’un je le connais bien et l’autre bien foutu m’est inconnu.
Je cherche à remettre ma fourrure, mais je suis assise sur un pan m’empêchant de me couvrir.
• Il m’a dit vouloir retrouver son copain Nicolas qui se trouvait chez une femme mariée.
Tu vois Ange, lorsque l’on donne son adresse à un garçon pour le fourrer dans son lit, il faut penser à lui donner le Digicode, c’est plus facile pour qu’il entre discrètement.
Lorsqu’il m’a dit aller au 5ème étage, vois comme j’ai été étonné que ce garçon vienne chez nous, nous sommes seuls à cet étage, notre appartement couvre toute la surface de l’immeuble.
Je tombe en larmes, j’espère l’amadouer, mais rapidement je vois que c’est inutile.
• Jeune homme vous qui étiez en train de baiser ma femme et boire mon whisky, servez-moi un verre, vous savez où il est ainsi que le coca, même si c’est mauvais pour mon diabète, le voyage m’a épuisé.
Lorsque je vois le calme que me montre Adolphe, je suis à deux doigts de paniquer.
Surtout qu’il se déplace vers le bureau qui est dans notre salon et où je sais il possède une arme.
Mais lorsqu’un verre en main, il s’installe dans son fauteuil, je comprends que la situation est bien différente de ce que j’avais peur et de la voir dégénérer.
• Messieurs, occupez-vous de ma femme, le sexe, je le laisse à d’autres, mais j’aimerais bien voir ma salope d’épouse se faire défoncer par vos verges.
J’ai dit que j’avais été sur « You Porn », j’ai vu des films ou des hommes offraient leur femme comme le fait Adolphe montant son verre à sa bouche.
Je découvre que mon mari est candaulisme et aime voir sa femme se faire baiser.
Si Nicolas est du genre timide, William est entreprenant, lui doit avoir baisé de nombreuses femmes lorsque je le vois ouvrir son pantalon.
• Deux jeunes hommes bien montés, tu as de la chance Ange que je sois hétéro, je te les aurais piqués ma belle salope.
Salope, dans la bouche de mon mari, je prends ça comme un compliment car depuis son retour j’étais un peu tendu.
Salope, je vais l’entendre souvent dans sa bouche lorsqu’il dirige notre coït avec Nicolas et William.
• Suce les biens ma salope, comment s’appelle ton amant ma chérie, je sais que celui que tu suces c’est William, il me l’a dit dans l’ascenseur.
• Nicolas monsieur, merci de nous prêter votre femme, elle est magnifique.
• Alors profite, des salopes comme la mienne sont rares, c’est de famille, sa mère sous ses airs de colais monté en fait largement partie, c’est elle qui m’a dépucelé la veille de notre mariage avec Ange.
Attention ma chère vous allez vous étouffer avec cette verge dans votre bouche.
À votre regard, je pense que vous ignoriez la salope qui vous a mise au monde, mais comme je l’ai dit gagner du fric pour vous entretenir ça me fait plus bander que le sexe.
Je tombe de haut, au moins les cinq étages de notre appartement.
Maman se tape des jeunes comme moi je le fais, pourquoi pas le curé pendant que l’on y est.
• Oui les garçons prenez là, faite là hurler de plaisir, les plafonds sont épais et la porte est blindée, ses cris de plaisir seront étouffés sur le palier.
Ma chérie, une salope comme toi, doit savoir se faire enculer, au fait, mon copain flic a retrouvé ton black qui m’avait piqué ma belle Rolex.
Elle est dans mon armoire de chambre je l’ai mise dans mon coffre, il m’a dit que vue sa carrure, il a dû te déchirer.
Voilà comment comme je l’avais prévu ma chatte est rempli par la verge de Nicolas qui perd son pucelage par la même occasion et mon cul par celle de William.
Deux beaus étalons qui me font grimper jusqu’au toit de notre immeuble pendant qu’Adolphe se masturbe ayant sorti sa verge de son pantalon de son costume trois-pièces.
Lorsque je reprends pied, il faudra que je dise à notre bonne de porter le costume de monsieur au pressing, il a déchargé en me voyant me faire baiser dans une double pénétration.
• Ma belle salope, prépare-toi, ce soir nous retournons chez Victoire, notre club échangiste.
Je parlais de maman se tapant peut être son curé du dimanche.
Je me trompais, ou si elle le fait elle se cache bien, c’est moi qui me tape Blaise, le curé qui m’a mariée, il est client de notre club et chaque fois que nous sommes là, il m’honore, c’est un amant magnifique.
De mes nombreux amants qui me baisent pendant qu’Adolphe regarde.
Depuis ce jour, il évite de me toucher se contentant de se masturber surtout que depuis qu’il sait que je suis enceinte, oh ! jusque de trois mois malgré qu’au club je baise toujours couverte.
Nicolas devenu mon amant de cœur doit y être pour quelque chose et Adolphe quand il l’a appris était aux anges, car on m’avait caché qu’il a eu une forme violente des oreillons et est dans l’incapacité de procréer.
Bientôt nous saurons si son rêve sera exhaussé, il souhaite que nous ayons un fils.
Le plus drôle c’est que ce sera Blaise notre curé qui le baptisera dès sa naissance.
Je vous livre ma vie surtout celle depuis la libération de mes envies toutes mes envies sans vous avoir dit m’appeler Ange.
Ange, ça colle parfaitement avec les préceptes de mon éducation faite de bondieuserie, mais noir depuis que j’ai lâché les chevaux.
Problème avec les deux puceaux, non !
Dès que je suis entrée avec dans mon appartement, la porte refermée, Nicolas a voulu m’embrasser, je l’ai calmé.
Je sentais le chien fou qu’il était et je voulais que cette première fois soit sans précédent pour lui, je voulais que sa première soit inoubliable.
Comme on l’a vu avant que je réalise mes fantasmes, j’étais plutôt ignorante des choses du sexe.
Adolphe, mon mari, m’avait très mal préparé de ce côté-là, car lui-même à part ses affaires à travers le monde, côté sexe, c’était loin d’être la fête du slip.
Je fais référence à cette histoire de slip, ignorant son origine.
Le jour où Sonia une amie m’a rencontré sa cheville dans le plâtre à son retour de vacances de neige à Megève, je lui ai demandé si c’était difficile de vivre avec le bas de sa jambe dans cet état ?
C’est là qu’elle a employé cette expression.
On a compris que dans les rapports sexuels que par moi-même j’avais découverts, mon plaisir était ma première préoccupation.
Nicolas risquait de décharger avant que ça ait commencé, me laissant frustrer après les risques que je prenais en l’amenant dans nos appartements.
• Restons calmes Nicolas, tu veux baiser et tu me dis te prendre des râteaux avec les filles.
Tu es trop fougueux, viens dans le salon, je vais te servir une orangeade.
• Je préfèrerais un verre de ce whisky que je vois sur ton bar.
As-tu du Coca ?
• Tu as de la chance, mon mari en prend lui aussi avec son whisky, il y en a dans le frigo derrière le bar, notre bonne le remplit tous les matins.
Je vais le servir, pour ma part je suis plutôt orangeade.
• Ton copain sera là dans combien de temps ?
• Une bonne demi-heure !
Une fois nos verres servis, je l’entraine sur notre canapé.
Mon manteau s’ouvre lui montrant de nouveau mon corps.
• Caresse-moi, les seins d’abord et là tu pourras m’embrasser.
C’est très bien, je sens que tu es doué et qu’une fois ta timidité effacée tu seras un merveilleux amant.
• Je serais ton amant pour longtemps, si tu le désir bien sûr !
• Mettons les choses au point, tu as compris que je suis mariée et qu’en baisant avec toi, je vais tromper mon mari.
J’ai un principe, aucune liaison durable, sexe rien que du sexe et après chacun retourne à sa vie sans se prendre la tête.
C’est bien caresse moi la chatte, je te sors la bite, tu es déjà bien tendu.
Veux-tu que je te suce ?
• Oh oui, si tu savais combien j’en rêve !
Il est émouvant, il fait chaud chez moi, j’enlève mon vison que je pose à mes côtés.
J’ai pris de l’assurance depuis que je réalise mes fantasmes et c’est en faisant attention du risque d’emballement, même de ma part.
J’en profite pour reprendre mon souffle pour qu’il garde encore son calme.
• Nicolas et si tu t’occupais de ma chatte avec ta langue, j’adore que les garçons me face des cunnilingus.
Ces mots comme « cunnilingus », c’est sur « You porn » que je les entends et comme j’ai une bonne mémoire, je les retiens aussi bien que je retenais les histoires de Pythagore au collège de ma jeunesse.
• Lorsque tu rencontreras des jeunes filles, fais-en de même, tu constateras qu’elles seront très satisfaites.
Je dis bien des jeunes filles, prends ton temps avant de demander une fille en mariage.
Ça a été mon cas, j’ai accepté le premier que mes parents m’ont présenté, mais vois maintenant je dois trouver des jeunes comme toi pour qu’ils me satisfassent.
J’écarte mes cuisses et je vois son regard légèrement se troubler, en voyant ma chatte de près et à sa réaction, ça me prouve que je vais être la première.
Sa langue passe un coup sur mon clitoris, j’ai l’impression qu’une décharge électrique traverse tout mon corps.
C’est à ce moment que la sonnette de notre porte d’entrée se met à tintinnabuler.
• C’est William mon copain, je peux le faire entrer !
• Va lui ouvrir, j’espère qu’il est aussi beau gosse que toi, ça aura été mon jour de chance.
Il se relève, je reste les jambes écartées posées au sol et il va ouvrir.
Une voix que je connais me fait envisager le pire.
J’ai entendu dire que certaines personnes lors d’une grande frayeur étaient devenues toutes blanches.
• Bonsoir Ange, le taxi m’a déposé devant la porte de notre immeuble, je suis rentré plutôt mon client avais attrapé le covid, lorsque j’ai vu ce jeune homme qui semblait chercher à entrer.
L’homme et le jeune homme qui viennent d’entrer, l’un je le connais bien et l’autre bien foutu m’est inconnu.
Je cherche à remettre ma fourrure, mais je suis assise sur un pan m’empêchant de me couvrir.
• Il m’a dit vouloir retrouver son copain Nicolas qui se trouvait chez une femme mariée.
Tu vois Ange, lorsque l’on donne son adresse à un garçon pour le fourrer dans son lit, il faut penser à lui donner le Digicode, c’est plus facile pour qu’il entre discrètement.
Lorsqu’il m’a dit aller au 5ème étage, vois comme j’ai été étonné que ce garçon vienne chez nous, nous sommes seuls à cet étage, notre appartement couvre toute la surface de l’immeuble.
Je tombe en larmes, j’espère l’amadouer, mais rapidement je vois que c’est inutile.
• Jeune homme vous qui étiez en train de baiser ma femme et boire mon whisky, servez-moi un verre, vous savez où il est ainsi que le coca, même si c’est mauvais pour mon diabète, le voyage m’a épuisé.
Lorsque je vois le calme que me montre Adolphe, je suis à deux doigts de paniquer.
Surtout qu’il se déplace vers le bureau qui est dans notre salon et où je sais il possède une arme.
Mais lorsqu’un verre en main, il s’installe dans son fauteuil, je comprends que la situation est bien différente de ce que j’avais peur et de la voir dégénérer.
• Messieurs, occupez-vous de ma femme, le sexe, je le laisse à d’autres, mais j’aimerais bien voir ma salope d’épouse se faire défoncer par vos verges.
J’ai dit que j’avais été sur « You Porn », j’ai vu des films ou des hommes offraient leur femme comme le fait Adolphe montant son verre à sa bouche.
Je découvre que mon mari est candaulisme et aime voir sa femme se faire baiser.
Si Nicolas est du genre timide, William est entreprenant, lui doit avoir baisé de nombreuses femmes lorsque je le vois ouvrir son pantalon.
• Deux jeunes hommes bien montés, tu as de la chance Ange que je sois hétéro, je te les aurais piqués ma belle salope.
Salope, dans la bouche de mon mari, je prends ça comme un compliment car depuis son retour j’étais un peu tendu.
Salope, je vais l’entendre souvent dans sa bouche lorsqu’il dirige notre coït avec Nicolas et William.
• Suce les biens ma salope, comment s’appelle ton amant ma chérie, je sais que celui que tu suces c’est William, il me l’a dit dans l’ascenseur.
• Nicolas monsieur, merci de nous prêter votre femme, elle est magnifique.
• Alors profite, des salopes comme la mienne sont rares, c’est de famille, sa mère sous ses airs de colais monté en fait largement partie, c’est elle qui m’a dépucelé la veille de notre mariage avec Ange.
Attention ma chère vous allez vous étouffer avec cette verge dans votre bouche.
À votre regard, je pense que vous ignoriez la salope qui vous a mise au monde, mais comme je l’ai dit gagner du fric pour vous entretenir ça me fait plus bander que le sexe.
Je tombe de haut, au moins les cinq étages de notre appartement.
Maman se tape des jeunes comme moi je le fais, pourquoi pas le curé pendant que l’on y est.
• Oui les garçons prenez là, faite là hurler de plaisir, les plafonds sont épais et la porte est blindée, ses cris de plaisir seront étouffés sur le palier.
Ma chérie, une salope comme toi, doit savoir se faire enculer, au fait, mon copain flic a retrouvé ton black qui m’avait piqué ma belle Rolex.
Elle est dans mon armoire de chambre je l’ai mise dans mon coffre, il m’a dit que vue sa carrure, il a dû te déchirer.
Voilà comment comme je l’avais prévu ma chatte est rempli par la verge de Nicolas qui perd son pucelage par la même occasion et mon cul par celle de William.
Deux beaus étalons qui me font grimper jusqu’au toit de notre immeuble pendant qu’Adolphe se masturbe ayant sorti sa verge de son pantalon de son costume trois-pièces.
Lorsque je reprends pied, il faudra que je dise à notre bonne de porter le costume de monsieur au pressing, il a déchargé en me voyant me faire baiser dans une double pénétration.
• Ma belle salope, prépare-toi, ce soir nous retournons chez Victoire, notre club échangiste.
Je parlais de maman se tapant peut être son curé du dimanche.
Je me trompais, ou si elle le fait elle se cache bien, c’est moi qui me tape Blaise, le curé qui m’a mariée, il est client de notre club et chaque fois que nous sommes là, il m’honore, c’est un amant magnifique.
De mes nombreux amants qui me baisent pendant qu’Adolphe regarde.
Depuis ce jour, il évite de me toucher se contentant de se masturber surtout que depuis qu’il sait que je suis enceinte, oh ! jusque de trois mois malgré qu’au club je baise toujours couverte.
Nicolas devenu mon amant de cœur doit y être pour quelque chose et Adolphe quand il l’a appris était aux anges, car on m’avait caché qu’il a eu une forme violente des oreillons et est dans l’incapacité de procréer.
Bientôt nous saurons si son rêve sera exhaussé, il souhaite que nous ayons un fils.
Le plus drôle c’est que ce sera Blaise notre curé qui le baptisera dès sa naissance.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je pense qu'Adolphe deviendra homo à force de contempler tous ces beaux et juteux Apollons mais homo dominant par curiosité ...
Maître Pat
Maître Pat
C'est dans la pompe pour le texte 166 de BCBG sera diffusé le 19/9/24
Le suivant est écrit et suivra dans les jours suivants...
Le suivant est écrit et suivra dans les jours suivants...
une histoire nous manque :
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quand se pouruivra-t-elle ?
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quand se pouruivra-t-elle ?
Adolphe l’a eu dans l’os. Il est cocu , il nique plus.