COLLECTION BOURGEOISE. La gourmande (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 2396 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
  • • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 991 089 visites.
Récit libertin : COLLECTION BOURGEOISE. La gourmande (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2023 dans la catégorie Pour la première fois
Cette histoire de sexe a été affichée 5 917 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
COLLECTION BOURGEOISE. La gourmande (1/1)
• Bonjour Marie-Chantal, tu te fais à ta solitude !
• Que me dis-tu Lionel, tes parents et mon mari sont partis hier au ski pour une semaine, comment veux-tu que la solitude me pèse déjà.
Tu sais bien que le ski et moi ça fait deux et que je préfère rester à Paris que d’aller m’enfermer dans une chambre d’hôtel.
• Passe devant moi, Marie-Chantal, on tient à deux dans notre ascenseur.

Je m’appelle Marie-Chantal, femme du comte Charles de la panouille, je monte dans l’ascenseur qui va me conduire au cinquième étage de notre immeuble dans un des beaux quartiers de Paris, plus précisément vers la Madeleine.
Mon mari est parti au sport d’hiver avec Françoise et Sylvain les parents de Lionel. C’est la première année qu’ils partent sans moi, car j’ai une sainte horreur de la montagne.
Les autres années je les accompagnais, mais ces champions de ski se foutaient royalement de mon aversion pour la neige et le froid des montagnes.
Plus jeune, Lionel nous accompagnait, mais ses études à la fac et les partielles qu’il doit préparer, l’ont retenu à Paris pour réviser.
Lionel, dire que je l’ai tenu dans mes bras à sa naissance et que c’est devenu un beau gosse de vingt-cinq printemps.
Nous montons, dans mon dos, je sens ce garçon qui pourrait être mon fils se coller à moi.

• Que fais-tu, tu es fou ta mère est mon amie et j’ai le double de ton âge ?
• Oui, mais tu sens que pour moi l’âge importe peu, je te fais voir que j’ai envie de toi.

Lionel m’empoigne les seins, comme nous sommes placés dans cette petite cabine, il m’est impossible de m’échapper.
L’ascenseur s’arrête et la porte s’ouvre automatiquement.
La législation nous a obligés à le rénover sinon nous aurions été dans l’obligation de le condamner et de monter à pied.
C’est Françoise qui s’en est occupée comme elle s’occupe de notre co-propriété.
Les cinq co-propriétaires ont tous les moyens de payer ce genre de travaux.
Au rez-de-chaussée, les bureaux déserts d’une banque avec au premier l’ancien appartement du directeur.
L’agence a fermé après la fusion avec une autre banque.
Ces locaux faisant double emploi, c’est chez nous que ça a fermé.
Nous avons l’impression qu’ils les conservent comme bon nombre de lieux identiques dans Paris faisant ainsi un placement d’argent.
Les locaux sont chauffés et la maison mère nou0s paye rubis sur l’ongle, chaque mois les charges.
Deuxième étage, mamy gâteau, Germaine de son vrai nom, nous l’avons surnommé ainsi, car elle aurait voulu être pâtissière et nous fait des gâteaux qu’elle offre à tout l’immeuble.
C’est la veuve d’un général de cavalerie décédé qui lui a laissé un fils et assez d’argent pour vivre et nous gatter de ses pâtisseries.
La veille du départ de mon mari, son fils bordelais est venu la chercher pour les fêtes de fin d’année, elle aussi paye ses charges sans le moindre souci.
Troisième, les Durant, couple avec leurs deux enfants, ils sont pour trois ans à Tahiti, avec une possibilité de prolongation.
Dans la même situation, vivre au soleil en étant bien payé, je sais ce que je ferais.
Il est professeur en fac et est parti avec sa famille pour trois ans dans cette île paradisiaque.
Leur banque vire tous les mois les charges à Françoise sur le compte de la co-propriété.
Quatrième, Françoise et Sylvain, il est fonctionnaire de l’état à haut niveau et Françoise comme moi est femme au foyer.
On l’a compris ce sont les parents de Lionel et Françoise est mon amie.
La différence c’est qu’ils ont un enfant ce grand dadais qui est dans mon dos à essayer de me séduire alors qu’avec Charles-Antoine nous sommes sans enfants.
Deux fausses couches ont sellé mon destin, je resterais sans en avoir, à cinquante ans, c’est trop tard.
Bref, lorsque la porte s’ouvre et que Lionel me tire en arrière vers mon appartement, je suis obligé de le suivre, étant nettement plus fort que moi et étant seuls dans l’immeuble.
Je sens qu’il me tient d’une main et qu’il cherche les clefs dans mon sac de l’autre.
Il les trouve facilement, lorsque je suis descendue prendre mon thé au salon de thé près de chez moi, j’ai juste pris un petit baise-en-ville, que je porte en bandoulière.
Même ma porte l’aide à abuser de moi.
Vingt-sept ans de mariage, aucune infidélité bien que Charles-Antoine, deviennent de plus en plus distants avec le temps.
J’ai des doutes sur sa propre fidélité, il y a de jolies petites secrétaires au ministère de la défense ou il travaille.
Il l’a intégré dès la fin de ses études.
La porte de l’ascenseur m’a trahi, la porte de mon appartement aussi c’est dans le couloir que Lionel attaque, il me retourne et me force à m’agenouiller.

• Suce salope, depuis le temps que j’attends pour te fourrer, Marie-Chantal de la panouille.

La façon dont il prononce mon nom avec notre particule me donne l’impression d’une légère moquerie, mais la verge qu’il a sortie ayant bien grandi depuis le temps où je lui changeais ses couches, s’approche de ma bouche.
Je me souviens que je jouais avec mon doigt le titillant lorsqu’il faisait pipi dans sa couche propre m’obligeant à prendre une autre couche.
Savait-il qu’il se fichait de moi, en envoyant des geysers vers le ciel, il riait.
La main qu’il me met derrière ma tête m’empêche tout mouvement de recul, surtout que cette verge est le double de celle de Charles-Antoine.
Je serre les dents, mais il insiste et faible femme je suis dans l’obligation de le faire entrer entre mes lèvres.
Je suçais Charles-Antoine dans les premiers temps de notre mariage, mais ces jeux polissons ont disparu de notre vie comme bien des pratiques sexuelles, il est vrai.
Nos débuts d’arthrose obligent mon mari à me prendre dans la position du missionnaire, mais il aime aussi que ce soit moi qui m’empale sur sa queue.

• Je te le demande pour la dernière fois, Lionel, je veux respecter mon serment de fidélité à mon mari, je t’ai sucé, ça doit te suffire.
• Fidélité pour toi, mais...
• Tu sembles hésiter à me dire la suite, si tu sais quelque chose que j’ignore, il faut me le dire sinon rentre chez toi !

En même temps que je tiens ces propos, je sens que je me passe la corde au cou.
Il a la possibilité de me dire un bobard et je serais piégée.

• Depuis deux ans, Charles-Antoine est devenu l’amant de ma mère.
Ça c’est produit pendant la même période de vacances que celle qu’il passe en ce moment.
Tu te souviens du pied foulé de maman et celui de Charles-antoine, lorsqu’ils se sont rentrés dedans sur la piste noire !
• Oui ta mère s’est arrêtée et mon mari l’a percuté, par chance, à faible vitesse.
• Conséquence ?
• Ils ont dû rester à l’hôtel, c’est moi qui ai ramené notre voiture et ton père la vôtre, tu étais sans permis.
• C’est ça, j’avais ma chambre entre les deux votre, j’ai souvent entendu vos deux couples faire l’amour, c’est là que j’ai commencé par tomber amoureux de toi.
Le premier après-midi, ou ils se sont retrouvés seuls, ayant oublié ma carte pour les téléskis, je suis revenu, je m’arrête là, c’est de maman que je parle.
Ce que je peux te dire, c’est que leur cheville était loin d’être un handicap pour leurs jeux érotiques.
• Ils étaient dans quelle chambre ?
• La vôtre, ils baisaient même dans les douches et j’ai entendu le sèche-cheveux après leurs ébats.
• Françoise devait les sécher après leur douche !
• Non, ils mouillaient les bandes de leurs chevilles et il fallait qu’elle soit sèche à votre retour.

Je me souviens de cette semaine merdique, je me suis retrouvée seule avec Sylvain, un jour nous sommes passés près d’un gîte, il m’a proposé la botte, mais comme une conne, je l’ai rembarré par fidélité.
Je me venge avec le fils, après cette découverte de mon cocufiage, il m’entraine sur notre canapé.
Contrairement à mon mari, je veux éviter de me faire prendre dans le lit conjugal comme eux l’on fait dans la chambre d’hôtel.
S’ils ont baisé toute la semaine, je posais ma tête sur l’oreiller de cette salope se disant mon amie.
Sur ce canapé, Lionel me fait mettre à quatre pattes, les seins reposant sur le dossier et s’est avec délice qu’il me prend par-derrière, mais en commençant dans ma chatte.
Je ruisselle de me venger de ce qui est difficile à Lionel d’inventer, il me suffira de coincer Françoise lorsque nous sommes seuls pour voir si elle ment.
Depuis que je la connais, je sais qu’elle a en horreur de cacher la vérité, même si c’est pour taire son infidélité avec mon mari.

• Putain que c’est bon, j’avais perdu le gout d’une grosse verge au fond de moi, continu saligaud !

Qui l’eût cru, la comtesse de la panouille, cette femme avec particule, est capable de parler comme une charretière, sous l’influence de cette jeune verge.
Pendant le temps restant des vacances, elle finit même par renier ses propos en baisant dans le lit conjugal.
Ce que découvre Marie-Chantal de la panouille, c’est le sexe extrême lorsque Lionel la prend en levrette et contre toute attente, lui dépucelle sa rosette et ce dès le premier soir de son infidélité.
À presque cinquante ans, Marie-Chantal découvre la sodomie qu’elle pratique avec délice dans les dernières heures avant le retour de Sylvain le cocu et le couple adultérin.
J’aime lire lorsque je suis seule et il m’est arrivé de lire des histoires érotiques et si pendant cette semaine, le couple était devenu un trio !
Françoise servant de tranche de jambon entre mon mari et son mari.
Ce qu’il y a de sur, c’est que l’intermède Lionel va s’arrêter là, il va retourner en fac et moi je vais retrouver ma vie de femme fidèle.
Je vois déjà celles de vous qui se disent, elle est trompée et accepte bêtement sa condition de femme cocue !
À cinquante ans, je peux commencer une carrière de pute de haut luxe, mais même la particule me sera enlevée si je divorce, c’est dans le contrat signé avec Charles-Antoine.
Le pognon, c’est lui qui l’a de famille et par son travail.
Avant de devenir une de la panouille, j’étais shampooineuse dans un salon de coiffure de Créteil.
Chez les aristos, ce que je me targue d’être, on a des coups de foudre et ce fut le cas avec Charles-Antoine pour la plus grand déconfiture de ma belle-mère d’où le contrat de mariage.
Il faut dire que Jeanne de haut de cloque s’était autre chose pour leur famille qu’une marie-chantal Martin, bien que mon prénom puisse faire illusion.
C’est le premier de l’An, cette année c’est nous qui recevons, Lionel est là, j’adore entendre cette bande d’aristos parler foot, au lendemain de la finale perdue de la coupe du monde contre l’Argentine.

• Marie-Chantal, je viens t’aider à découper le gigot, ils en ont pour deux heures à se mettent d’accord sur le meilleur joueur entre Messi et Mbappé.
Soulève ta jupe et pose ton pied sur le plan de travail, je vais t’en mettre un petit coup pour commencer la nouvelle année.

Lorsque mon amant me prend comme une salope dans ma cuisine ou ma bonne nous a préparé notre repas de fêtes ayant seulement à m’occuper du gigot.
Je sais que les cocus de l’autre côté de l’office peuvent se compter, car Marie-Chantal de la panouille lorsqu’elle se mord la lèvre pour étouffer son cri de plaisir, est à l’aube d’une année de sexe intense.

Les avis des lecteurs

merci mimi merci mon Olga préféré

Superbe femme

Une belle vengeance!



Texte coquin : COLLECTION BOURGEOISE. La gourmande (1/1)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par CHRIS71

COLLECTION HISTOIRE COURTE. Chérubin (1/1) - Récit érotique publié le 23-11-2024
COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (169) - Récit érotique publié le 22-11-2024
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (15/15) - Récit érotique publié le 21-11-2024
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (14/15) - Récit érotique publié le 19-11-2024
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (13/15) - Récit érotique publié le 17-11-2024
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (12/15) - Récit érotique publié le 16-11-2024
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (11/15) - Récit érotique publié le 14-11-2024
COLLECTION SALOPES. Deux vieilles salopes (1/1) - Récit érotique publié le 12-11-2024
COLLECTION ADULTÈRE. Ma baby-sitter m’oblige à devenir une salope (2/2) - Récit érotique publié le 10-11-2024
COLLECTION ADULTÈRE. Ma baby-sitter m’oblige à devenir une salope (1/2) - Récit érotique publié le 08-11-2024