COLLECTION BOURGEOISE. Les Soudanais (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2023 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION BOURGEOISE. Les Soudanais (2/2)
Qu’est-ce que je suis en train de faire, dans cette position indécente pour la femme que je suis fidèle que j’étais jusqu’à ce soir ?
Chantal qui devait me chaperonner après que j’ai rejoint son association pensant me rendre utile m’avait bien mise en garde sur les rapports que nous devons avoir avec ses immigrés.
A-t-elle été à la hauteur en me confiant la camionnette de l’association pour aller se faire sauter par Jacques dans ce même hôtel où nous avons conduit Bouba.
Ils sont quatre frères saoudiens ayant fui les horreurs de la guerre.
Quatre frères, mais c’est le seul nom que j’ai retenu Chantal ayant gardé la fiche des quatre hommes.
Survient l’histoire des kits de survie que j’aperçois entre les sièges et que nous avons oublié de leur donner.
Prenant ma mission de nous occuper de ces garçons, je décide un retour à l’hôtel.
Une nouvelle fois est-ce ma chance ou un fait du hasard lorsque j’arrive et que je rentre dans l’hôtel le réceptionniste ayant quitté son poste quelques instants, sans voir personne j’arrive au deuxième sans avoir rencontré âme qui vive.
Au deuxième je tombe sur Bouba sortant des douches entièrement nu.
J’avais bien vu il en a une gigantesque qui déformait son pantalon de survêtement.
Après avoir viré son frère de la chambre, il m’impose une fellation de ce vrai monument, je m’y dévoue bien volontiers réussissant lorsqu’il me pénètre à avoir un méga orgasme.
J’en serais bien resté là à moitié flagada sous cette décharge, mais Bouba en veut encore ainsi, il me fait mettre en levrette.
Je le fais bien volontiers sachant que c’est la seule fois que je serais dans son lit à me donner à lui.
Je finis par m’écrouler, impossible de rester à quatre pattes, il faut dire qu’une nouvelle fois ses couilles frappent mes fesses et j’ai encore un orgasme interminable.
Il chute sur le côté, j’ignore s’il a déchargé, mais je m’en fiche tellement j’ai joui.
La porte s’ouvre, un des frères doit être entré.
• Bla, bla, bla, bla.
• Bla, bla, bla, bla.
Dans la langue où ils parlent tous les deux, Bouba vient à mon secours en traduisant.
• Mon frère vient me rappeler ce que nous avions décidé de partir ce soir.
Ils vont certainement nous expulser et nous voulons rester.
Nous avons repéré une porte de secours ou l’alarme est coupée.
C’est là que je prends une initiative que je peux définir comme malheureuse.
• La camionnette de l’organisation qui vous a amené du squat jusqu’ici est dans une petite rue adjacente.
Vous pourriez vous réfugier chez moi, mon mari est parti pour la Roumanie jusqu’à vendredi ou samedi matin.
Ce doit être la reconnaissance du ventre que j’exprime en prononçant ces paroles.
J’ai plongé les deux pieds en avant à ce qu’a dit Ernest, le chef d’antenne de l’association.
En cinq minutes, je suis habillée et les garçons ont vite fait de rassembler leur paquetage.
Je vais pour sortir de la chambre derrière Bouba lorsque je vois les kits au sol.
Je vais pour les ramasser, mais je suis tirée par le bras.
• Viens, on s’en fiche de leurs bidules !
En chef de famille, il ouvre la marche et nous nous retrouvons dans l’impasse à cinq mètres de mon véhicule, tous s’engouffrent et je démarre ayant tout de même l’impression de faire une bêtise.
• Entrez, on va voir, comment s’organiser.
Bouba met ses frères dans le salon, ils ont l’habitude de vivre à la dure et trois d’entre eux se couchent à même le sol, au moins, il fait chaud, nous avons le chauffage par le sol.
Nous rejoignons ma chambre, je suis fatiguée, mais je prends le temps de le sucer avant qu’il me prenne en missionnaire.
Je jouis de nouveau, sans grand orgasme, c’est mieux, car le dernier a été dévastateur.
Il se lève me disant qu’il va boire de l’eau au robinet et prendre une douche.
Ça fait cinq minutes qu’il est parti, la pièce est dans le noir lorsque je le sens revenir et monter sur le lit.
Il enlève la couverture sous laquelle je me suis réfugiée lorsqu’il m’a abandonné.
Il écarte mes jambes et je sens sa langue venir retrouver ma chatte.
Je suis repu, mais ses grosses lèvres sur mon clito m’obligent à reconnaitre que je suis encore partante pour quelques moments de plaisir.
Je me doute que dans sa situation, arriver à entrer dans le lit d’une jeune bourgeoise comme moi ce doit être rare, j’ai commencé à tromper Christophe, il est trop tard pour faire marche arrière.
Un détail m’interpelle, ce doit être à cause de la douche, l’odeur que je capte est différente que celle que me renvoyait Bouba.
Des bruits au pied de mon lit finissent par m’interpeller, mais la bite qui s’active en moi me prive d’une partie de mon pouvoir d’analyse et je pars pour un ultime voyage vers le septième siècle.
Quel homme, il vient de finir de décharger et, pourtant quelques secondes après ce que je pensais être l’ultime jouissance, sa bite est de nouveau sur mes lèvres.
J’ai peur de comprendre ce qu’il se passe, ma main trouve, la pomme de la lampe de chevet de mon mari j’allume.
• Laisse toi faire, Jennifer, mes frères sont comme moi en manquent de sexe féminin.
C’est incroyable, c’est impensable, ils sont tous les quatre nus leur bite à la main attendant leur tour pour me baiser.
Je suis à deux doigts de crier au viol, mais mon cri reste dans ma gorge.
Ma voisine est sourde dès qu’elle enlève ses prothèses auditives.
Et que dire à la police, j’ai ramené ces quatre garçons pour les soustraire à un risque d’expulsion pour les beaux yeux du frère ainé et les quatre m’ont violé.
Surtout que celui qui est sur moi me tendant sa bite, je la laisse entrer, sans allumer, j’aurais compris, car sa bite rentre facilement là ou Bouba, j’ai pu seulement le lécher en le masturbant.
Bouba, un deuxième lorsqu’il m’a fait croire partir prendre une douche, il manque à mon tableau de chasse le quatrième frère que je sens monter sur mon lit, les ressorts bougeants.
À partir de ce moment je suis à tous les garçons, on m’empale sur une bite et chose que je devrais trouver inadmissible, on m’encule.
Prise des deux côtés, au début je souffre un peu, mais dans le tourbillon de sexe où ils m’entraînent, je jouis, je jouis, je hurle, je hurle, mais c’est de plaisir.
Lorsque je me réveille, tout est calme autour de moi.
Je m’extirpe de cet amas de pieds et de bras, touchant même une bite que je vois, car il fait jour.
Le réveil me montre 11 heures 32, merde l’association et la voiture, je devais la ramener à 10 heures.
Je passe par la case salle de bains, j’ai du sperme partout, à croire que pour terminer la nuit en beauté ils ont tous déchargé une dernière giclée de sperme sur mon corps.
Je récupère mes fringues, un des frères se retourne me regarde et replonge dans son sommeil.
Je quitte la maison et je récupère la fourgonnette pour me diriger vers l’association.
Je la dépose au milieu des autres voitures de l’association et j’entre dans les locaux.
Je suis près du bureau, la porte est ouverte, Ernest se met à parler à quelqu’un.
• Chantal, tu as été trop légère dans cette affaire, comment as-tu pu confier une de nos voitures à une nouvelle, as-tu contrôlé son permis ?
• Tu m’avais dit de la former, je lui ai demandé pour son permis et elle m’a dit oui, comment aurais-je pu savoir qu’elle aiderait des réfugiés à tromper la police ?
• Maintenant, j’ai la police qui veut l’entendre pour savoir si c’est elle qui les a aidés.
Il y avait seulement les quatre kits de premier secours de l’association dans l’une des chambres et rien d’autre.
Nous les avions donnés avant de partir, tu me dis que ça fait plusieurs fois qu’ils sont expulsés et qu’ils arrivent à revenir.
Il est possible qu’ils les aient déjà eus lors d’une précédente procédure d’expulsion et que ça les encombre.
• Bon, il est bientôt midi, je vais appeler Jacques le policier qui s’occupait de l’opération avec vous, on doit lui signaler qu’un de nos membres a déconné avec notre fourgonnette et ces quatre Sénégalais.
• Coucou, excusez le retard, la camionnette refusait de démarrer.
J’ai dû appeler un ami pour qu’il m’aide à la mettre en route, avec des pinces on y est arrivé, mais j’ai dû aller me laver et me changer.
Monsieur Ernest en arrivant j’ai entendu vos derniers mots, vous parliez de Sénégalais, hier ce sont des Soudanais dont nous nous sommes occupés avec Chantal et Jacques le policier qui les avait en charge.
• Vous nous rassurez, Jennifer on a cru que vous étiez revenue aider ces quatre hommes à de nouveau prendre la poudre d’escampette, la police qui vient d’appeler à seulement retrouver nos kits dans une des chambres.
Je vois Chantal livide, elle sait que ces kits étaient dans la fourgonnette et qu’elle a menti en disant que nous les avions donnés.
Ajoutez à ça la partie de jambes en l’air avec Jacques, le policier et c’est elle qui se retrouverait dans la merde si je la contredisais dans ses propos entendus derrière la porte.
Bien sûr, me sauvant provisoirement moi-même, je confirme ses dires.
• Alors, ils sont sénégalais, comment la police l’a su ?
• Ce sont leurs empreintes digitales que la police avait, qui les a trahis, ce sont des vendeurs de crac qui se trouvaient au sein de ce rassemblement d’immigrés sous le métro qui cherchait de nouveaux clients.
Ils viennent du même village au Sénégal, Bouba leur chef est marié là-bas et a cinq femmes et douze enfants.
Il s’est fait construire une maison neuve où elles vivent en tribu grâce à son trafic.
Le vent du boulet plane au-dessus de moi, s’ils sont découverts chez moi, vais-je être mis en prison.
De plus, être sa sixième femme alors que je suis moi-même mariée, après ce que j’ai fait cette nuit, retrouver mon mari même s’il part très longtemps.
• Monsieur Ernest, j’ai bien aimé travailler dans votre association, mais je pense avoir fait un choix au-dessus de mes possibilités, je m’excuse, mais je dois vous quitter.
Merci Chantal de m’avoir fait connaître la difficulté de ton bénévolat, j’aurais toujours plaisir de te revoir, si tu passes dans mon quartier.
Je quitte l’association, sans espoir de retour, j’ai déjà à régler un gros problème à la maison.
Je suis au pied de mon immeuble, j’hésite à monter, mais il faut savoir affronter ses démons alors je suis devant ma porte sans entendre le moindre bruit à l’intérieur.
Je finis par ouvrir, je fais le tour de l’appartement, ils sont tous partis, me soulageant d’un grand poids.
Sur la table de la salle à manger, une feuille de papier prise dans notre imprimante.
« Merci de ton aide et de ton hospitalité, mais mes frères et moi allons nous éloigner de Paris.
Tu as dû ou tu vas apprendre des choses sur nous qui te montrerons que notre décision est la bonne. »
Je suis soulagée, je prends une autre décision, je vais sur « Doctolib » et je prends rendez-vous avec ma gynéco.
Je porte un stérilet, Christophe voudrait un enfant, mais j’étais loin d’être prête.
En l’enlevant, redevenue fidèle à mon mari, je vais lui offrir ce don de nous, ce qui aura aussi pour conséquence que ce nourrisson comblera le vide qui m’a poussé à vouloir m’occuper de ces immigrés.
Chantal qui devait me chaperonner après que j’ai rejoint son association pensant me rendre utile m’avait bien mise en garde sur les rapports que nous devons avoir avec ses immigrés.
A-t-elle été à la hauteur en me confiant la camionnette de l’association pour aller se faire sauter par Jacques dans ce même hôtel où nous avons conduit Bouba.
Ils sont quatre frères saoudiens ayant fui les horreurs de la guerre.
Quatre frères, mais c’est le seul nom que j’ai retenu Chantal ayant gardé la fiche des quatre hommes.
Survient l’histoire des kits de survie que j’aperçois entre les sièges et que nous avons oublié de leur donner.
Prenant ma mission de nous occuper de ces garçons, je décide un retour à l’hôtel.
Une nouvelle fois est-ce ma chance ou un fait du hasard lorsque j’arrive et que je rentre dans l’hôtel le réceptionniste ayant quitté son poste quelques instants, sans voir personne j’arrive au deuxième sans avoir rencontré âme qui vive.
Au deuxième je tombe sur Bouba sortant des douches entièrement nu.
J’avais bien vu il en a une gigantesque qui déformait son pantalon de survêtement.
Après avoir viré son frère de la chambre, il m’impose une fellation de ce vrai monument, je m’y dévoue bien volontiers réussissant lorsqu’il me pénètre à avoir un méga orgasme.
J’en serais bien resté là à moitié flagada sous cette décharge, mais Bouba en veut encore ainsi, il me fait mettre en levrette.
Je le fais bien volontiers sachant que c’est la seule fois que je serais dans son lit à me donner à lui.
Je finis par m’écrouler, impossible de rester à quatre pattes, il faut dire qu’une nouvelle fois ses couilles frappent mes fesses et j’ai encore un orgasme interminable.
Il chute sur le côté, j’ignore s’il a déchargé, mais je m’en fiche tellement j’ai joui.
La porte s’ouvre, un des frères doit être entré.
• Bla, bla, bla, bla.
• Bla, bla, bla, bla.
Dans la langue où ils parlent tous les deux, Bouba vient à mon secours en traduisant.
• Mon frère vient me rappeler ce que nous avions décidé de partir ce soir.
Ils vont certainement nous expulser et nous voulons rester.
Nous avons repéré une porte de secours ou l’alarme est coupée.
C’est là que je prends une initiative que je peux définir comme malheureuse.
• La camionnette de l’organisation qui vous a amené du squat jusqu’ici est dans une petite rue adjacente.
Vous pourriez vous réfugier chez moi, mon mari est parti pour la Roumanie jusqu’à vendredi ou samedi matin.
Ce doit être la reconnaissance du ventre que j’exprime en prononçant ces paroles.
J’ai plongé les deux pieds en avant à ce qu’a dit Ernest, le chef d’antenne de l’association.
En cinq minutes, je suis habillée et les garçons ont vite fait de rassembler leur paquetage.
Je vais pour sortir de la chambre derrière Bouba lorsque je vois les kits au sol.
Je vais pour les ramasser, mais je suis tirée par le bras.
• Viens, on s’en fiche de leurs bidules !
En chef de famille, il ouvre la marche et nous nous retrouvons dans l’impasse à cinq mètres de mon véhicule, tous s’engouffrent et je démarre ayant tout de même l’impression de faire une bêtise.
• Entrez, on va voir, comment s’organiser.
Bouba met ses frères dans le salon, ils ont l’habitude de vivre à la dure et trois d’entre eux se couchent à même le sol, au moins, il fait chaud, nous avons le chauffage par le sol.
Nous rejoignons ma chambre, je suis fatiguée, mais je prends le temps de le sucer avant qu’il me prenne en missionnaire.
Je jouis de nouveau, sans grand orgasme, c’est mieux, car le dernier a été dévastateur.
Il se lève me disant qu’il va boire de l’eau au robinet et prendre une douche.
Ça fait cinq minutes qu’il est parti, la pièce est dans le noir lorsque je le sens revenir et monter sur le lit.
Il enlève la couverture sous laquelle je me suis réfugiée lorsqu’il m’a abandonné.
Il écarte mes jambes et je sens sa langue venir retrouver ma chatte.
Je suis repu, mais ses grosses lèvres sur mon clito m’obligent à reconnaitre que je suis encore partante pour quelques moments de plaisir.
Je me doute que dans sa situation, arriver à entrer dans le lit d’une jeune bourgeoise comme moi ce doit être rare, j’ai commencé à tromper Christophe, il est trop tard pour faire marche arrière.
Un détail m’interpelle, ce doit être à cause de la douche, l’odeur que je capte est différente que celle que me renvoyait Bouba.
Des bruits au pied de mon lit finissent par m’interpeller, mais la bite qui s’active en moi me prive d’une partie de mon pouvoir d’analyse et je pars pour un ultime voyage vers le septième siècle.
Quel homme, il vient de finir de décharger et, pourtant quelques secondes après ce que je pensais être l’ultime jouissance, sa bite est de nouveau sur mes lèvres.
J’ai peur de comprendre ce qu’il se passe, ma main trouve, la pomme de la lampe de chevet de mon mari j’allume.
• Laisse toi faire, Jennifer, mes frères sont comme moi en manquent de sexe féminin.
C’est incroyable, c’est impensable, ils sont tous les quatre nus leur bite à la main attendant leur tour pour me baiser.
Je suis à deux doigts de crier au viol, mais mon cri reste dans ma gorge.
Ma voisine est sourde dès qu’elle enlève ses prothèses auditives.
Et que dire à la police, j’ai ramené ces quatre garçons pour les soustraire à un risque d’expulsion pour les beaux yeux du frère ainé et les quatre m’ont violé.
Surtout que celui qui est sur moi me tendant sa bite, je la laisse entrer, sans allumer, j’aurais compris, car sa bite rentre facilement là ou Bouba, j’ai pu seulement le lécher en le masturbant.
Bouba, un deuxième lorsqu’il m’a fait croire partir prendre une douche, il manque à mon tableau de chasse le quatrième frère que je sens monter sur mon lit, les ressorts bougeants.
À partir de ce moment je suis à tous les garçons, on m’empale sur une bite et chose que je devrais trouver inadmissible, on m’encule.
Prise des deux côtés, au début je souffre un peu, mais dans le tourbillon de sexe où ils m’entraînent, je jouis, je jouis, je hurle, je hurle, mais c’est de plaisir.
Lorsque je me réveille, tout est calme autour de moi.
Je m’extirpe de cet amas de pieds et de bras, touchant même une bite que je vois, car il fait jour.
Le réveil me montre 11 heures 32, merde l’association et la voiture, je devais la ramener à 10 heures.
Je passe par la case salle de bains, j’ai du sperme partout, à croire que pour terminer la nuit en beauté ils ont tous déchargé une dernière giclée de sperme sur mon corps.
Je récupère mes fringues, un des frères se retourne me regarde et replonge dans son sommeil.
Je quitte la maison et je récupère la fourgonnette pour me diriger vers l’association.
Je la dépose au milieu des autres voitures de l’association et j’entre dans les locaux.
Je suis près du bureau, la porte est ouverte, Ernest se met à parler à quelqu’un.
• Chantal, tu as été trop légère dans cette affaire, comment as-tu pu confier une de nos voitures à une nouvelle, as-tu contrôlé son permis ?
• Tu m’avais dit de la former, je lui ai demandé pour son permis et elle m’a dit oui, comment aurais-je pu savoir qu’elle aiderait des réfugiés à tromper la police ?
• Maintenant, j’ai la police qui veut l’entendre pour savoir si c’est elle qui les a aidés.
Il y avait seulement les quatre kits de premier secours de l’association dans l’une des chambres et rien d’autre.
Nous les avions donnés avant de partir, tu me dis que ça fait plusieurs fois qu’ils sont expulsés et qu’ils arrivent à revenir.
Il est possible qu’ils les aient déjà eus lors d’une précédente procédure d’expulsion et que ça les encombre.
• Bon, il est bientôt midi, je vais appeler Jacques le policier qui s’occupait de l’opération avec vous, on doit lui signaler qu’un de nos membres a déconné avec notre fourgonnette et ces quatre Sénégalais.
• Coucou, excusez le retard, la camionnette refusait de démarrer.
J’ai dû appeler un ami pour qu’il m’aide à la mettre en route, avec des pinces on y est arrivé, mais j’ai dû aller me laver et me changer.
Monsieur Ernest en arrivant j’ai entendu vos derniers mots, vous parliez de Sénégalais, hier ce sont des Soudanais dont nous nous sommes occupés avec Chantal et Jacques le policier qui les avait en charge.
• Vous nous rassurez, Jennifer on a cru que vous étiez revenue aider ces quatre hommes à de nouveau prendre la poudre d’escampette, la police qui vient d’appeler à seulement retrouver nos kits dans une des chambres.
Je vois Chantal livide, elle sait que ces kits étaient dans la fourgonnette et qu’elle a menti en disant que nous les avions donnés.
Ajoutez à ça la partie de jambes en l’air avec Jacques, le policier et c’est elle qui se retrouverait dans la merde si je la contredisais dans ses propos entendus derrière la porte.
Bien sûr, me sauvant provisoirement moi-même, je confirme ses dires.
• Alors, ils sont sénégalais, comment la police l’a su ?
• Ce sont leurs empreintes digitales que la police avait, qui les a trahis, ce sont des vendeurs de crac qui se trouvaient au sein de ce rassemblement d’immigrés sous le métro qui cherchait de nouveaux clients.
Ils viennent du même village au Sénégal, Bouba leur chef est marié là-bas et a cinq femmes et douze enfants.
Il s’est fait construire une maison neuve où elles vivent en tribu grâce à son trafic.
Le vent du boulet plane au-dessus de moi, s’ils sont découverts chez moi, vais-je être mis en prison.
De plus, être sa sixième femme alors que je suis moi-même mariée, après ce que j’ai fait cette nuit, retrouver mon mari même s’il part très longtemps.
• Monsieur Ernest, j’ai bien aimé travailler dans votre association, mais je pense avoir fait un choix au-dessus de mes possibilités, je m’excuse, mais je dois vous quitter.
Merci Chantal de m’avoir fait connaître la difficulté de ton bénévolat, j’aurais toujours plaisir de te revoir, si tu passes dans mon quartier.
Je quitte l’association, sans espoir de retour, j’ai déjà à régler un gros problème à la maison.
Je suis au pied de mon immeuble, j’hésite à monter, mais il faut savoir affronter ses démons alors je suis devant ma porte sans entendre le moindre bruit à l’intérieur.
Je finis par ouvrir, je fais le tour de l’appartement, ils sont tous partis, me soulageant d’un grand poids.
Sur la table de la salle à manger, une feuille de papier prise dans notre imprimante.
« Merci de ton aide et de ton hospitalité, mais mes frères et moi allons nous éloigner de Paris.
Tu as dû ou tu vas apprendre des choses sur nous qui te montrerons que notre décision est la bonne. »
Je suis soulagée, je prends une autre décision, je vais sur « Doctolib » et je prends rendez-vous avec ma gynéco.
Je porte un stérilet, Christophe voudrait un enfant, mais j’étais loin d’être prête.
En l’enlevant, redevenue fidèle à mon mari, je vais lui offrir ce don de nous, ce qui aura aussi pour conséquence que ce nourrisson comblera le vide qui m’a poussé à vouloir m’occuper de ces immigrés.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une belle histoire j'aurais souhaité de rencontrer une femme comme toi
apocean33 et non oceandumedoc33 .. pardon 😄
Toujours de belles histoires , nous avons des sujets souvent similaires...bravo et encore!oceandumedoc33
merci cher lecteur
Belle histoire