COLLECTION BOURGEOISE. Un joujou extraordinaire (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BOURGEOISE. Un joujou extraordinaire (1/1)
• Viviane, je sens que notre envie fiche le camp, en grande partie à cause de nos deux enfants qui ont grandi.
• Que viennent faire nos enfants dans nos rapports sexuels, explique-moi !
• Un premier exemple, les samedis ou les dimanches matin, lorsqu’ils étaient dans leur lit à barreaux les empêchant de venir jusque dans notre chambre, nous faisions l’amour et tu criais de plaisir chaque fois que nous baisions.
Maintenant nous devons faire attention lorsque Hugo a débarqué alors que je te baisais en levrette me demandant ce que je te faisais.
Tu l’as pris à part et il t’a demandé si je te faisais du mal.
Nous avons fait attention fermant la porte à clef ce qui réfrénait nos envies et c’est Rosy qui un matin au petit déjeuner t’a demandé si tu t’étais fait mal, car elle t’avait entendu crier.
J’oublie les moments où nous baisions dans la cuisine ou dans mon garage ou j’adore chercher des objets nouveaux pour le concours l’épine de la foire de Paris que j’ai gagnée avec mon ouvre-boîte à rotation thermostatique.
« Inutile dans les commentaires de me demander comment marche, un ouvre-boîte à rotation thermostatique, l’assemblage de ces mots pour une invention nouvelle me faisant bander...
Il y a bien des mecs faisant l’hélicoptère avec leur queue. »
• Je commence à bien te connaitre Serge, qu’as-tu inventé qui pourrais nous aider dans notre sexualité sans gêner nos enfants.
• C’est vrai, j’ai inventé, pardon, j’ai assemblé deux choses parfaitement indépendantes au départ qui ensemble va nous permettre de rester interconnecté entre nous à tout moment.
• Tu m’intrigues, je connais ton esprit inventif en tout genre, mais là je donne ma langue au chat.
• Ça et ça !
• Des boules sur une cordelette et un portable, à quoi les premières peuvent-elles servir, quant au portable, tu as dû inventer une application comme celle géniale ou Hugo devait devenir le nouveau Zidane de l’équipe de France.
Hugo est toujours aussi mauvais footballeur et toi aussi d’ailleurs.
Mais grâce à tes conneries, il est resté trois jours à l’hosto avec un pied brûlé à la limite d’être amputé.
• Ces boules sont appelées boules de geisha, elles ont un petit mécanisme intérieur qui lorsqu’elles sont introduites dans le vagin des femmes, ça déclenche leur plaisir.
Leur principal intérêt c’est de maintenir la femme dans une excitation telle, que ça leur donne envie de baiser.
J’ai réussi à coupler ces boules à ce portable et à créer une application, qui te permettra dès que tu auras introduit les boules de déclencher leur mise en fonction, aussi bien toi que moi.
Au moins l’un de nous pourra à tout moment déclencher son plaisir.
Veux-tu essayer, à part me les mettre dans le cul toi seul à un vagin.
Viviane accepte l’essai, j’ai moi-même le plaisir de lui introduire les boules, nos enfants étant à l’école.
• Bien tu es paré, l’application maintenant, oui celle-là, « boules, » déplace ce curseur informatique vers la droite.
Et doucement, plus tu le déplaces, plus l’intensité est forte.
• Ça fonctionne, j’ai mis si fort que les vibrations ont failli me faire jouir.
C’est bien comme ça, oui, tu es génial, ah ! ah ! ah !.
Viviane a du mal à reprendre son souffle et surtout pied sur terre.
Nous sommes en RTT, le lendemain je l’embrasse en la déposant devant son entreprise où elle est secrétaire de direction multi-langue pendant que je continue jusqu’à mon magasin d’électronique, réparation en tout genre.
Ai-je tout dit à ma femme sur les fonctions que j’ai installées sur mon propre portable, sous le même nom de « boules » ?
Pas nécessairement, j’ai une fonction supplémentaire, me permettant de voir si les boules sont introduites ou non.
Ayant ouvert ma boutique et attendant le premier client, je regarde mon portable, les boules sont hors de la foune de ma femme.
À midi elle mange sur place comme moi de mon côté, mais le curseur est à zéro.
Je le pousse légèrement, donnant de petites impulsions aux boules, elle doit être surprise, car, mon curseur est prioritaire sur celui de son portable.
Je m’appelle Viviane, je suis mariée à Serge, inventeur à ses heures, ayant réussi tout de même à mettre au point une application primée à un concours de la foire de Paris.
Je dois reconnaitre que ce que ma société lui a donné pour son invention, nous a permis d’acheter notre appartement, celui de nos rêves où Hugo et Rosy ont chacun leur chambre.
Il est presque midi, je vais aux toilettes, j’ai envie d’essayer au lieu de manger de me donner du plaisir.
Je m’introduis les deux boules, je suis assise dans les toilettes, culotte baissée, je vais pour pousser le curseur vers la droite comme Serge me l’a montré.
C’est impossible, je sens les vibrations, je suis sur avant qu’il soit avancé vers la droite.
• Viviane, tu es là, le patron te demande avant ta pose, il a une lettre urgente à te faire écrire et envoyer !
J’ai un drôle de réflexe, au lieu d’arracher les boules les laissant vibrer hors de mon corps, je remonte ma culotte et je sors de la toilette.
• Il est chiant, j’ai failli lui dire, tu as le droit à tes petits moments d’intimité.
• Pourquoi me dis-tu ça Solange ?
• Je t’ai entendu geindre lorsque je suis entrée, tu devais te caresser.
Tu sais, je te comprends, tu es mariée, tu as des enfants, ils vous font chier chaque fois que vous voulez baiser et tu te caresses pour expulser le trop-plein de jouissance qui est en toi.
Soit sans crainte, je suis venue à 9 heures lorsque nous sommes arrivées m’introduire un gode que j’ai toujours dans mon sac à main et me faire jouir.
Moi aussi je sais me servir de mes doigts ou de ces joujoux extraordinaire pour rattraper le temps perdu.
Si un simple gode est un joujou extraordinaire que dire de ces boules qui continuent à vibrer en moi ?
Je sors.
• File, tu sais comment il devient exécrable lorsqu’il veut quelque chose et que nous sommes en retard.
Ça je le sais, mais ce que je sais aussi, c’est que ça me chamboule dans ma culotte, en marchant j’ai mon portable en main.
J’ai beau regardé le curseur resté à 0, pourtant les boules s’accélèrent au moment où je frappe à la porte du patron Robert.
• Entrez, Viviane, je vois que vous avez votre portable avec vous !
C’est bien cette fonctionnalité que votre mari vous a mis vous permettant de prendre des notes sans avoir besoin de bloc, ça fait des économies à la société.
Il m’a mis plus que ça, avec sa nouvelle fonctionnalité, mais comment arrêter ces putains de boule, je vais finir par m’écrouler, je m’assieds en face de lui comme chaque fois qu’il me dicte les grandes lignes d’un document ou d’une lettre.
Je croise mes longues jambes bien parallèlement l’une contre l’autre espérant diminuer l’intensité des vibrations qui sont à deux doigts de me faire jouir.
• Arrêtez de vous tortiller, Viviane, je pourrais avoir des pensées que vous pourriez mal interpréter.
• Oh, monsieur, si vous saviez, ah !
• Mais vous avez mal Viviane, vous venez de pousser un cri, si vous avez un problème gastrique dites-le-moi, j’ai là quelques médicaments qui pourraient vous soulager.
• Oh ! monsieur Robert, vous êtes bien aimable, ah......
Combien de temps, j’ai allongé mes jambes, en dace de lui sans pouvoir parler même à vous pour dire, l’orgasme qui me traverse les boules m’ayant fait partir comme on dit au septième ciel, moi ce serait plutôt au vingtième.
J’ai levé ma jupe montrant ma culotte trempée comme le siège en tissu ou je m’étais assise précipitamment espérant désespérément calmer cette putain de fonctionnalité qui lorsque je regarde mon portable semble bien inoffensive.
• Viviane, ce sont ces boules de geishas qui vous ont fait jouir, je viens de tirer sur la ficelle pour vous les arracher ?
Comment les arrête-t-on, ma femme s’en sert, mais ça s’arrête lorsque les mouvements s’arrêtent.
Vous allez rire, Viviane, votre chatte épilée et ces boules, je sortirais bien ma queue, je bande plus qu’un taureau.
• Sors là, je ressens encore leurs vibrations au fond de ma chatte, je connais quelqu’un qui veut jouer avec moi, nous allons être deux.
• Oh ! Viviane, j’ignore à qui s’adressent ces menaces, mais va y suces depuis le temps que j’ai envie de te baiser.
La verge de mon patron est bien agréable surtout lorsque je lui suce ses boules, les miennes étant posées sur son bureau.
Il me prend par la main et s’assied sur le siège voisin du mien afin que je m’empale sur sa bite, qui comme les boules m’entraine plus haut encore dans les plaisirs adultérins.
• Oh ! mon chéri, pendant ma pose, j’ai essayé tes boules magiques, j’ai pris mon pied comme jamais.
• Tout a fonctionné comme je t’avais montré !
Nous sommes à une centaine de mètres de l’école des enfants, un bouchon me permet de lui répondre, sans dire l’exacte vérité à mon cocu de mari.
Le soir dans notre lit, les enfants étant couchés, je passe ma main sous les draps, je dois donner le change en étant une femme aimante.
Je le fais jouir, perfide comme le sont les femmes ayant goutté à l’adultère.
Une petite branlette et il me coule sur mes doigts, heureux, « pauvre con » que sa femme ait des attentions pour lui.
• Viviane, pouvez vous venir dans mon bureau, j’ai besoin de vous pour corriger un contrat !
• J’arrive patron, me permettez-vous d’aller au petit coin, pour soulager une petite envie, je vous rejoins dès que j’ai terminé.
• Mais bien sûr, Viviane, prenez votre temps, mais revenez-moi comme vous savez si bien le faire.
Ça fait deux mois, que chaque midi lorsque les autres employés sont partis que je vais mettre mes boules qui je l’ai bien compris piloter par mon mari grâce au portable la plupart du temps.
À d’autres lorsqu’il est avec sa clientèle, c’est moi qui ai la main, Robert adore monter les vibrations à ces moments-là et me voir jouir grâce à elle avant de me baiser.
Je me sers de son invention pour le tromper honteusement alors qu’il croit que c’est lui qui me fait jouir, nous faisant atteindre des sommets de plaisir mon amant et moi. Il a réellement inventé un joujou extraordinaire.
• Que viennent faire nos enfants dans nos rapports sexuels, explique-moi !
• Un premier exemple, les samedis ou les dimanches matin, lorsqu’ils étaient dans leur lit à barreaux les empêchant de venir jusque dans notre chambre, nous faisions l’amour et tu criais de plaisir chaque fois que nous baisions.
Maintenant nous devons faire attention lorsque Hugo a débarqué alors que je te baisais en levrette me demandant ce que je te faisais.
Tu l’as pris à part et il t’a demandé si je te faisais du mal.
Nous avons fait attention fermant la porte à clef ce qui réfrénait nos envies et c’est Rosy qui un matin au petit déjeuner t’a demandé si tu t’étais fait mal, car elle t’avait entendu crier.
J’oublie les moments où nous baisions dans la cuisine ou dans mon garage ou j’adore chercher des objets nouveaux pour le concours l’épine de la foire de Paris que j’ai gagnée avec mon ouvre-boîte à rotation thermostatique.
« Inutile dans les commentaires de me demander comment marche, un ouvre-boîte à rotation thermostatique, l’assemblage de ces mots pour une invention nouvelle me faisant bander...
Il y a bien des mecs faisant l’hélicoptère avec leur queue. »
• Je commence à bien te connaitre Serge, qu’as-tu inventé qui pourrais nous aider dans notre sexualité sans gêner nos enfants.
• C’est vrai, j’ai inventé, pardon, j’ai assemblé deux choses parfaitement indépendantes au départ qui ensemble va nous permettre de rester interconnecté entre nous à tout moment.
• Tu m’intrigues, je connais ton esprit inventif en tout genre, mais là je donne ma langue au chat.
• Ça et ça !
• Des boules sur une cordelette et un portable, à quoi les premières peuvent-elles servir, quant au portable, tu as dû inventer une application comme celle géniale ou Hugo devait devenir le nouveau Zidane de l’équipe de France.
Hugo est toujours aussi mauvais footballeur et toi aussi d’ailleurs.
Mais grâce à tes conneries, il est resté trois jours à l’hosto avec un pied brûlé à la limite d’être amputé.
• Ces boules sont appelées boules de geisha, elles ont un petit mécanisme intérieur qui lorsqu’elles sont introduites dans le vagin des femmes, ça déclenche leur plaisir.
Leur principal intérêt c’est de maintenir la femme dans une excitation telle, que ça leur donne envie de baiser.
J’ai réussi à coupler ces boules à ce portable et à créer une application, qui te permettra dès que tu auras introduit les boules de déclencher leur mise en fonction, aussi bien toi que moi.
Au moins l’un de nous pourra à tout moment déclencher son plaisir.
Veux-tu essayer, à part me les mettre dans le cul toi seul à un vagin.
Viviane accepte l’essai, j’ai moi-même le plaisir de lui introduire les boules, nos enfants étant à l’école.
• Bien tu es paré, l’application maintenant, oui celle-là, « boules, » déplace ce curseur informatique vers la droite.
Et doucement, plus tu le déplaces, plus l’intensité est forte.
• Ça fonctionne, j’ai mis si fort que les vibrations ont failli me faire jouir.
C’est bien comme ça, oui, tu es génial, ah ! ah ! ah !.
Viviane a du mal à reprendre son souffle et surtout pied sur terre.
Nous sommes en RTT, le lendemain je l’embrasse en la déposant devant son entreprise où elle est secrétaire de direction multi-langue pendant que je continue jusqu’à mon magasin d’électronique, réparation en tout genre.
Ai-je tout dit à ma femme sur les fonctions que j’ai installées sur mon propre portable, sous le même nom de « boules » ?
Pas nécessairement, j’ai une fonction supplémentaire, me permettant de voir si les boules sont introduites ou non.
Ayant ouvert ma boutique et attendant le premier client, je regarde mon portable, les boules sont hors de la foune de ma femme.
À midi elle mange sur place comme moi de mon côté, mais le curseur est à zéro.
Je le pousse légèrement, donnant de petites impulsions aux boules, elle doit être surprise, car, mon curseur est prioritaire sur celui de son portable.
Je m’appelle Viviane, je suis mariée à Serge, inventeur à ses heures, ayant réussi tout de même à mettre au point une application primée à un concours de la foire de Paris.
Je dois reconnaitre que ce que ma société lui a donné pour son invention, nous a permis d’acheter notre appartement, celui de nos rêves où Hugo et Rosy ont chacun leur chambre.
Il est presque midi, je vais aux toilettes, j’ai envie d’essayer au lieu de manger de me donner du plaisir.
Je m’introduis les deux boules, je suis assise dans les toilettes, culotte baissée, je vais pour pousser le curseur vers la droite comme Serge me l’a montré.
C’est impossible, je sens les vibrations, je suis sur avant qu’il soit avancé vers la droite.
• Viviane, tu es là, le patron te demande avant ta pose, il a une lettre urgente à te faire écrire et envoyer !
J’ai un drôle de réflexe, au lieu d’arracher les boules les laissant vibrer hors de mon corps, je remonte ma culotte et je sors de la toilette.
• Il est chiant, j’ai failli lui dire, tu as le droit à tes petits moments d’intimité.
• Pourquoi me dis-tu ça Solange ?
• Je t’ai entendu geindre lorsque je suis entrée, tu devais te caresser.
Tu sais, je te comprends, tu es mariée, tu as des enfants, ils vous font chier chaque fois que vous voulez baiser et tu te caresses pour expulser le trop-plein de jouissance qui est en toi.
Soit sans crainte, je suis venue à 9 heures lorsque nous sommes arrivées m’introduire un gode que j’ai toujours dans mon sac à main et me faire jouir.
Moi aussi je sais me servir de mes doigts ou de ces joujoux extraordinaire pour rattraper le temps perdu.
Si un simple gode est un joujou extraordinaire que dire de ces boules qui continuent à vibrer en moi ?
Je sors.
• File, tu sais comment il devient exécrable lorsqu’il veut quelque chose et que nous sommes en retard.
Ça je le sais, mais ce que je sais aussi, c’est que ça me chamboule dans ma culotte, en marchant j’ai mon portable en main.
J’ai beau regardé le curseur resté à 0, pourtant les boules s’accélèrent au moment où je frappe à la porte du patron Robert.
• Entrez, Viviane, je vois que vous avez votre portable avec vous !
C’est bien cette fonctionnalité que votre mari vous a mis vous permettant de prendre des notes sans avoir besoin de bloc, ça fait des économies à la société.
Il m’a mis plus que ça, avec sa nouvelle fonctionnalité, mais comment arrêter ces putains de boule, je vais finir par m’écrouler, je m’assieds en face de lui comme chaque fois qu’il me dicte les grandes lignes d’un document ou d’une lettre.
Je croise mes longues jambes bien parallèlement l’une contre l’autre espérant diminuer l’intensité des vibrations qui sont à deux doigts de me faire jouir.
• Arrêtez de vous tortiller, Viviane, je pourrais avoir des pensées que vous pourriez mal interpréter.
• Oh, monsieur, si vous saviez, ah !
• Mais vous avez mal Viviane, vous venez de pousser un cri, si vous avez un problème gastrique dites-le-moi, j’ai là quelques médicaments qui pourraient vous soulager.
• Oh ! monsieur Robert, vous êtes bien aimable, ah......
Combien de temps, j’ai allongé mes jambes, en dace de lui sans pouvoir parler même à vous pour dire, l’orgasme qui me traverse les boules m’ayant fait partir comme on dit au septième ciel, moi ce serait plutôt au vingtième.
J’ai levé ma jupe montrant ma culotte trempée comme le siège en tissu ou je m’étais assise précipitamment espérant désespérément calmer cette putain de fonctionnalité qui lorsque je regarde mon portable semble bien inoffensive.
• Viviane, ce sont ces boules de geishas qui vous ont fait jouir, je viens de tirer sur la ficelle pour vous les arracher ?
Comment les arrête-t-on, ma femme s’en sert, mais ça s’arrête lorsque les mouvements s’arrêtent.
Vous allez rire, Viviane, votre chatte épilée et ces boules, je sortirais bien ma queue, je bande plus qu’un taureau.
• Sors là, je ressens encore leurs vibrations au fond de ma chatte, je connais quelqu’un qui veut jouer avec moi, nous allons être deux.
• Oh ! Viviane, j’ignore à qui s’adressent ces menaces, mais va y suces depuis le temps que j’ai envie de te baiser.
La verge de mon patron est bien agréable surtout lorsque je lui suce ses boules, les miennes étant posées sur son bureau.
Il me prend par la main et s’assied sur le siège voisin du mien afin que je m’empale sur sa bite, qui comme les boules m’entraine plus haut encore dans les plaisirs adultérins.
• Oh ! mon chéri, pendant ma pose, j’ai essayé tes boules magiques, j’ai pris mon pied comme jamais.
• Tout a fonctionné comme je t’avais montré !
Nous sommes à une centaine de mètres de l’école des enfants, un bouchon me permet de lui répondre, sans dire l’exacte vérité à mon cocu de mari.
Le soir dans notre lit, les enfants étant couchés, je passe ma main sous les draps, je dois donner le change en étant une femme aimante.
Je le fais jouir, perfide comme le sont les femmes ayant goutté à l’adultère.
Une petite branlette et il me coule sur mes doigts, heureux, « pauvre con » que sa femme ait des attentions pour lui.
• Viviane, pouvez vous venir dans mon bureau, j’ai besoin de vous pour corriger un contrat !
• J’arrive patron, me permettez-vous d’aller au petit coin, pour soulager une petite envie, je vous rejoins dès que j’ai terminé.
• Mais bien sûr, Viviane, prenez votre temps, mais revenez-moi comme vous savez si bien le faire.
Ça fait deux mois, que chaque midi lorsque les autres employés sont partis que je vais mettre mes boules qui je l’ai bien compris piloter par mon mari grâce au portable la plupart du temps.
À d’autres lorsqu’il est avec sa clientèle, c’est moi qui ai la main, Robert adore monter les vibrations à ces moments-là et me voir jouir grâce à elle avant de me baiser.
Je me sers de son invention pour le tromper honteusement alors qu’il croit que c’est lui qui me fait jouir, nous faisant atteindre des sommets de plaisir mon amant et moi. Il a réellement inventé un joujou extraordinaire.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bien sur mesdames, j'en ai quelques modèles que j'aurais plaisir à venir vous offrir...
Il va sans le dire être obligatoire que vous me donniez votre adresse pour pouvoir placer l'application sur votre portable.
Aucun loup ou disfonctionnement je vous le promet, ma femme adore le sien.
Elle vient de rentrer du travail, jouir au boulot quel pied...
Il va sans le dire être obligatoire que vous me donniez votre adresse pour pouvoir placer l'application sur votre portable.
Aucun loup ou disfonctionnement je vous le promet, ma femme adore le sien.
Elle vient de rentrer du travail, jouir au boulot quel pied...