COLLECTION CANDAULISME. Charles-Henri, comte de la Bite en Berne (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION CANDAULISME. Charles-Henri, comte de la Bite en Berne (1/1)
COLLECTION CANDAULISME. Charles-Henri, comte de la Bite en Berne (1/1)
• Charles-Henri, ma chatte me démange, avez-vous un de vos serviteurs qui peut venir m’honorer.
• Aucun problème Marie-Céline, vos désirs sont des ordres, vous savez que je suis prêt à satisfaire tous vos désirs.
Je m’appelle Marie-Céline, il y a plus de vingt ans que j’ai épousé le comte de la Bite en Berne, dès le contrat signé, mon père m’a mise au courant que mon époux avait des manques du côté sexe.
Il portait parfaitement son nom.
J’ai pris ce problème en considération après que l’on m’eut expliqué les compensations.
Nos biens se mariant avec ceux du comte faisaient de nous les maîtres de notre province.
Dans mon contrat de mariage, il est dit que chaque fois que je veux avoir des rapports sexuels, je lui demande et il doit me trouver un ou une partenaire.
Il prend la sonnette et la fait tinter.
• Hector, voulez-vous vous occuper de madame, elle a une petite envie.
• Que voulez-vous que je lui fasse, Monsieur ?
• Un petit cunnilingus serait le bienvenu, regarder, votre patronne écarte déjà ses cuisses.
Comme d’habitude, elle a la chatte sans aucune protection.
Hector est l’un de ceux qui depuis mon mariage m’apportent ce que mon mari est incapable de me donner.
Le soir de mes noces, il est celui qui m’a défloré aider de Jean-Victor, le témoin de Charles-Henri.
J’ignore comment cela se passe pour les autres, mais avoir deux mâles à sa disposition sous les yeux de celui que vous venez d’épouser, est loin d’être banal.
Je préfère qu’il m’introduise son sexe, mais il sait que celui qui nous dirige tous ici, fait un choix.
Nous devons nous exécuter, même moi la maîtresse de maison.
Si j’aime me faire lécher la chatte, je préfère que ce soit Solange son épouse qui le fasse.
Je m’appelle Solange, je suis la femme d’Hector, j’ai entendu la sonnette et je viens aux nouvelles, madame a-t-elle besoin de moi, je suis sûr que son mari a demandé au mien de la brouter.
Il sait que c’est ma langue qui satisfait notre patronne !
Il fait ça pour l’humilier, elle est lesbienne, mais à aucun moment, elle n’a avoué son penchant à quiconque autre que moi.
Solange vient de rentrer dans la pièce, je rêve qu’elle s’occupe de moi, j’en ai soupé des hommes, s’ils pouvaient être tous comme le comte.
J’en serais heureux, même si la race humaine disparaîtrait faute de reproduction.
• Je vois qu’une nouvelle fois, on partouze sans moi, Charles-Henri puis-je me joindre à vous.
• Sans problème Marie-Françoise, je vous reconnais bien, d’accourir dès que je donne des coups de sonnette.
• Ma sœur, prenez Hector, je sais que vous aimez qu’il vous baise, sa femme vient de nous rejoindre.
J’aime moi aussi sa langue dans mon vagin, Charles-Henri, excusez ma prise d’initiative.
• Vous pouvez Marie-Céline, le principal c’est que je sois là.
Hector asseyez-vous sur le canapé, Marie-Françoise, je sais que vous aimez être prise à cheval sur votre partenaire.
• Vous avez raison père, je vais pouvoir moi aussi la satisfaire.
Je m’appelle Charles-Antoine, je suis sur les registres le fils de Marie-Céline et de Charles-Henri.
Je sais depuis ma majorité étant revenu de Suisse, que j’ai un autre géniteur que Charles-Henri, Comte de la Bite en Berne.
C’est à 18 ans, que nous rejoignions la cellule familiale.
Les garçons formés dans ces collèges les plus stricts, sont promises aux plus belles carrières.
Nos familles avec notre système de société dominent la France bien avant la révolution.
Certains se sont fait couper la tête, notre famille se cachant dans une masure avec des oripeaux sur leur dos en a réchappé.
Je raconterais bien l’évolution de nos familles et de leur système, mais j’ai devant moi le cul de ma tante.
Elle adore être prise en double pénétration.
Depuis mon anniversaire j’ai acquis le droit de baiser toute la gent féminine de notre château, voire d’autres lors des soirées que nous organisons entre nous.
Il y a deux exceptions à la règle.
Il va de soi, aucun rapport avec nos mères, mais aussi avec celle qui vous est présentée comme votre future femme.
Je sais donc que père l’est sur les papiers mais qu’il y a de fortes chances qu’Hector où Jean-Victor soit mon géniteur.
Avant le jour de leur mariage elles doivent être fidèles à leur futur époux.
Jusqu’à leur première grossesse, les maris choisissent leurs partenaires.
Si c’est un mâle, elles sont offertes à tous les hommes possibles.
Je vois mère se faire brouter par Solange, alors que je m’approche de la rosette de ma tante.
La première fois où j’ai eu un contact visuel avec la chatte d’où j’étais sorti, j’ai eu un petit moment se répercutant sur ma virilité, mais rapidement Marie-Françoise avec une bonne fellation a rattrapé ce léger problème passager.
Je m’appelle Marie-Françoise, je suis la femme d’aucun homme de notre famille, je peux être comparé à la pute de notre clan.
Lorsque j’avais 17 ans, dans le collège suisse proche de celui où les garçons comme Charles-Henri apprennent comment faire pour être les dominateurs de notre monde, j’ai fauté avec le curé qui venait nous confesser, c’est lui qui m’a présenté sa bite.
La première fois une simple fellation.
La semaine suivante, je le suçais et rapidement il me l’a mis partout où il pouvait me la mettre, même la sodomie.
C’était un merveilleux amant, bien que depuis j’aie connu mieux.
Une bonne sœur qui l’accompagnait devait baiser avec lui, sa jalousie l’a poussé à le dire à la directrice de notre collège.
Le tribunal avec à sa tête Charles-Louis gynécologue de notre groupement, frère de Charles-Henri m’a reçu dans son cabinet.
Il a constaté la perte de ma virginité.
Il a transmis son rapport à son frère qui à son tour, a réuni le comité directeur des familles qui comme la nôtre depuis la révolution ont établi ces règles strictes.
Ces règles ont été établies pour perpétrer notre castre et continué à diriger le monde à tout niveau de l’état chez nous ou des dictatures dans d’autres pays.
Le comité directeur a reconnu qu’il m’était impossible de devenir l’épouse d’un des fils de nos familles.
Deux solutions s’ouvraient à eux, soit m’envoyer en Louisiane dans une ancienne ferme où il y avait des esclaves noirs affranchis et devenir leur pute.
Par chance par esprit de famille, voulant se faire bien voir de ma sœur Marie-Céline, c’est comme pute de cette famille que j’assume mon rang.
Je suis le garage à bite de tous les hommes et femmes de notre cellule, à l’exception de ma sœur.
C’est dans ce cadre que j’ai la bite d’Hector dans mon vagin et que je vois Charles-Antoine s’approcher flamberge au vent.
Dans un instant celui que j’ai dépucelé, le jour anniversaire va m’enculer, chose qu’il fait fréquemment depuis cette première fois.
Prise en double pénétration pour la pute de la famille, c’est classique depuis ma punition.
De toute façon, il m’est impossible d’avoir des enfants, dans notre milieu, si vous devenez une pute, on vous ligature les trompes.
Je m’appelle Charles-Louis, frère du dépositaire des lois de la famille de Charles-Henri, comme tous les garçons de ma famille, on m’a élevé dans notre collège suisse.
Je suis devenue gynécologue, j’ai deux fonctions depuis mes diplômes.
Prenons le cas de Marie-Françoise, elle a été condamnée à devenir la pute de notre famille, impossible qu’elle se reproduise, celle qui baise hors de nos règles sont des fruits pourris.
La ligature de ses trompes, c’est moi qui m’en suis chargé, ce que j’ai fait sans aucun scrupule, Charles-Henri et moi sommes les dépositaires de nos règles.
Le deuxième cas, c’est sa Sœur, Marie-Céline, elle a eu la chance que ses deux amants, lui donne un fils Charles-Antoine.
Afin qu’elle puisse vivre sa vie sexuelle en étant épanoui et surtout pour le bonheur de mon frère qui adore la regarder se faire baiser après le petit problème de sexe constaté après sa naissance, je lui ai, à elle aussi pratiqué cette ligature.
Je suis à ce titre, le généalogiste de nos familles.
J’ai remonté tous les liens entre les uns ou les autres, c’est moi qui décide de qui épouse qui.
Mon jugement est sans appel, c’est le cas de Charles-Antoine, je viens de lui choisir une épouse, Anne-Catherine, jolie petite blonde issue d’une des plus belles lignées venant de ceux qui ont échappé à la révolution.
Elle est l’aînée d’une famille de six sœurs.
Anne-Laure leur mère baise avec Louis-Albert fils d’une bonne lignée lui aussi et Gaspard leur serviteur.
Elle veut un garçon pour le nom de leur famille, j’en ai parlé à Charles-Henri, Louis-Albert même s’il baise tout de qui bouge, il aimerait voir sa femme se faire sauter par d’autres.
Je m’appelle Charles-Henri, depuis la mort de mon père, je suis le chef de ce que l’on peut appeler un clan, celui des maîtres du monde, tous nos mariages ont pour but de garder le pouvoir à tous les échelons.
Je suis le dernier d'une certaine lignée issue de la révolution et où les nantis de France se sont regroupés pour reprendre le pouvoir même dans notre république.
Le dernier, car dès ma nomination, j’ai fait changer quelques règles, dès mon adolescence, j’ai bien vu que j’avais un problème.
Mon frère Charles-Louis se vantait d’envoyer des cartes postales dans ses draps et le matin était fier de me présenter sa verge se présentant droite comme un I.
J’ai rapidement compris que pour moi le sexe se faisait par les yeux, je présentais toujours un profil bas.
Nous nous marions et nous reproduisions entre cousins et cousines faisans de nous des familles de tarés.
Nos anciens étaient conscients du problème, mais sans trouver de solution.
J’ai demandé à Charles-Louis d’essayer au mieux de tracer la généalogie de nos familles et descendances.
Il est rapidement venu me voir pour me dire qu’il était dépassé.
J’ai eu l’idée de faire dépuceler nos femmes jusqu’au premier mâle par le même amant, cela limitait les naissances consanguines, sans les aplanir complètement.
La ligature des trompes afin qu’elles puissent baiser autant qu’elles le souhaitent, a été une idée de mon frère, Depuis qu’il est jeune, c’est un queutard, il avait envie de ma femme, j’étais plutôt pour, ça restait dans la famille.
Il fallait ouvrir notre système afin de mélanger le sang à la naissance de nos enfants, qui mieux que nos serviteurs connaissant nos turpitudes pouvaient nous rendre ce service.
Avant ils regardaient en fermant les yeux.
J’ai eu du mal à faire comprendre aux membres de la direction que c’était eux notre planche de salut.
Depuis à ce que j’en sais dans nos suivis par Charles-Louis, plus aucun de nos garçons ne présente cette tare, tous bandent.
Je suis dans mon fauteuil, je regarde une partie de ma famille s’éclater, j’adore celui qui porte mon nom, même si je sais ce qu’il en ait de notre filiation.
Il est un mâle flamboyant, ma belle-sœur dont nous avons fait la pute de notre famille peut en témoigner.
Les enfants pour elle, c’est terminé, mais les orgasmes par sa prise en double pénétration, sont légion.
Une pensée me vient, le père et le fils baisent peut-être notre salope ensemble.
• Mes amis, j’ai une annonce à vous faire, surtout à toi mon fils, samedi prochain, Hector et Solange organiseront notre soirée ou ta future épouse te sera présentée.
Tu me donneras le nom de ton témoin, pour que Charles-Henri puisse donner son accord.
C’est lui qui la déflorera, j’ai une petite idée pour le serviteur qui sera l’heureux élu, que la fête soit grande.
Je m’appelle Chris71, Charles-Antoine m’a contacté pour me suggérer l’histoire de sa famille, j’espère que vous vous retrouvez dans tous ces prénoms composés.
Pour ma part mon cerveau explose.
Si vous avez des amis qui donnent un prénom composé à leur enfant, posé vous la questions de ce qu'ils étaient avant la révolution.
Inutile de me demander une suite, vous savez maintenant par qui nous sommes dirigés depuis la révolution.
• Charles-Henri, ma chatte me démange, avez-vous un de vos serviteurs qui peut venir m’honorer.
• Aucun problème Marie-Céline, vos désirs sont des ordres, vous savez que je suis prêt à satisfaire tous vos désirs.
Je m’appelle Marie-Céline, il y a plus de vingt ans que j’ai épousé le comte de la Bite en Berne, dès le contrat signé, mon père m’a mise au courant que mon époux avait des manques du côté sexe.
Il portait parfaitement son nom.
J’ai pris ce problème en considération après que l’on m’eut expliqué les compensations.
Nos biens se mariant avec ceux du comte faisaient de nous les maîtres de notre province.
Dans mon contrat de mariage, il est dit que chaque fois que je veux avoir des rapports sexuels, je lui demande et il doit me trouver un ou une partenaire.
Il prend la sonnette et la fait tinter.
• Hector, voulez-vous vous occuper de madame, elle a une petite envie.
• Que voulez-vous que je lui fasse, Monsieur ?
• Un petit cunnilingus serait le bienvenu, regarder, votre patronne écarte déjà ses cuisses.
Comme d’habitude, elle a la chatte sans aucune protection.
Hector est l’un de ceux qui depuis mon mariage m’apportent ce que mon mari est incapable de me donner.
Le soir de mes noces, il est celui qui m’a défloré aider de Jean-Victor, le témoin de Charles-Henri.
J’ignore comment cela se passe pour les autres, mais avoir deux mâles à sa disposition sous les yeux de celui que vous venez d’épouser, est loin d’être banal.
Je préfère qu’il m’introduise son sexe, mais il sait que celui qui nous dirige tous ici, fait un choix.
Nous devons nous exécuter, même moi la maîtresse de maison.
Si j’aime me faire lécher la chatte, je préfère que ce soit Solange son épouse qui le fasse.
Je m’appelle Solange, je suis la femme d’Hector, j’ai entendu la sonnette et je viens aux nouvelles, madame a-t-elle besoin de moi, je suis sûr que son mari a demandé au mien de la brouter.
Il sait que c’est ma langue qui satisfait notre patronne !
Il fait ça pour l’humilier, elle est lesbienne, mais à aucun moment, elle n’a avoué son penchant à quiconque autre que moi.
Solange vient de rentrer dans la pièce, je rêve qu’elle s’occupe de moi, j’en ai soupé des hommes, s’ils pouvaient être tous comme le comte.
J’en serais heureux, même si la race humaine disparaîtrait faute de reproduction.
• Je vois qu’une nouvelle fois, on partouze sans moi, Charles-Henri puis-je me joindre à vous.
• Sans problème Marie-Françoise, je vous reconnais bien, d’accourir dès que je donne des coups de sonnette.
• Ma sœur, prenez Hector, je sais que vous aimez qu’il vous baise, sa femme vient de nous rejoindre.
J’aime moi aussi sa langue dans mon vagin, Charles-Henri, excusez ma prise d’initiative.
• Vous pouvez Marie-Céline, le principal c’est que je sois là.
Hector asseyez-vous sur le canapé, Marie-Françoise, je sais que vous aimez être prise à cheval sur votre partenaire.
• Vous avez raison père, je vais pouvoir moi aussi la satisfaire.
Je m’appelle Charles-Antoine, je suis sur les registres le fils de Marie-Céline et de Charles-Henri.
Je sais depuis ma majorité étant revenu de Suisse, que j’ai un autre géniteur que Charles-Henri, Comte de la Bite en Berne.
C’est à 18 ans, que nous rejoignions la cellule familiale.
Les garçons formés dans ces collèges les plus stricts, sont promises aux plus belles carrières.
Nos familles avec notre système de société dominent la France bien avant la révolution.
Certains se sont fait couper la tête, notre famille se cachant dans une masure avec des oripeaux sur leur dos en a réchappé.
Je raconterais bien l’évolution de nos familles et de leur système, mais j’ai devant moi le cul de ma tante.
Elle adore être prise en double pénétration.
Depuis mon anniversaire j’ai acquis le droit de baiser toute la gent féminine de notre château, voire d’autres lors des soirées que nous organisons entre nous.
Il y a deux exceptions à la règle.
Il va de soi, aucun rapport avec nos mères, mais aussi avec celle qui vous est présentée comme votre future femme.
Je sais donc que père l’est sur les papiers mais qu’il y a de fortes chances qu’Hector où Jean-Victor soit mon géniteur.
Avant le jour de leur mariage elles doivent être fidèles à leur futur époux.
Jusqu’à leur première grossesse, les maris choisissent leurs partenaires.
Si c’est un mâle, elles sont offertes à tous les hommes possibles.
Je vois mère se faire brouter par Solange, alors que je m’approche de la rosette de ma tante.
La première fois où j’ai eu un contact visuel avec la chatte d’où j’étais sorti, j’ai eu un petit moment se répercutant sur ma virilité, mais rapidement Marie-Françoise avec une bonne fellation a rattrapé ce léger problème passager.
Je m’appelle Marie-Françoise, je suis la femme d’aucun homme de notre famille, je peux être comparé à la pute de notre clan.
Lorsque j’avais 17 ans, dans le collège suisse proche de celui où les garçons comme Charles-Henri apprennent comment faire pour être les dominateurs de notre monde, j’ai fauté avec le curé qui venait nous confesser, c’est lui qui m’a présenté sa bite.
La première fois une simple fellation.
La semaine suivante, je le suçais et rapidement il me l’a mis partout où il pouvait me la mettre, même la sodomie.
C’était un merveilleux amant, bien que depuis j’aie connu mieux.
Une bonne sœur qui l’accompagnait devait baiser avec lui, sa jalousie l’a poussé à le dire à la directrice de notre collège.
Le tribunal avec à sa tête Charles-Louis gynécologue de notre groupement, frère de Charles-Henri m’a reçu dans son cabinet.
Il a constaté la perte de ma virginité.
Il a transmis son rapport à son frère qui à son tour, a réuni le comité directeur des familles qui comme la nôtre depuis la révolution ont établi ces règles strictes.
Ces règles ont été établies pour perpétrer notre castre et continué à diriger le monde à tout niveau de l’état chez nous ou des dictatures dans d’autres pays.
Le comité directeur a reconnu qu’il m’était impossible de devenir l’épouse d’un des fils de nos familles.
Deux solutions s’ouvraient à eux, soit m’envoyer en Louisiane dans une ancienne ferme où il y avait des esclaves noirs affranchis et devenir leur pute.
Par chance par esprit de famille, voulant se faire bien voir de ma sœur Marie-Céline, c’est comme pute de cette famille que j’assume mon rang.
Je suis le garage à bite de tous les hommes et femmes de notre cellule, à l’exception de ma sœur.
C’est dans ce cadre que j’ai la bite d’Hector dans mon vagin et que je vois Charles-Antoine s’approcher flamberge au vent.
Dans un instant celui que j’ai dépucelé, le jour anniversaire va m’enculer, chose qu’il fait fréquemment depuis cette première fois.
Prise en double pénétration pour la pute de la famille, c’est classique depuis ma punition.
De toute façon, il m’est impossible d’avoir des enfants, dans notre milieu, si vous devenez une pute, on vous ligature les trompes.
Je m’appelle Charles-Louis, frère du dépositaire des lois de la famille de Charles-Henri, comme tous les garçons de ma famille, on m’a élevé dans notre collège suisse.
Je suis devenue gynécologue, j’ai deux fonctions depuis mes diplômes.
Prenons le cas de Marie-Françoise, elle a été condamnée à devenir la pute de notre famille, impossible qu’elle se reproduise, celle qui baise hors de nos règles sont des fruits pourris.
La ligature de ses trompes, c’est moi qui m’en suis chargé, ce que j’ai fait sans aucun scrupule, Charles-Henri et moi sommes les dépositaires de nos règles.
Le deuxième cas, c’est sa Sœur, Marie-Céline, elle a eu la chance que ses deux amants, lui donne un fils Charles-Antoine.
Afin qu’elle puisse vivre sa vie sexuelle en étant épanoui et surtout pour le bonheur de mon frère qui adore la regarder se faire baiser après le petit problème de sexe constaté après sa naissance, je lui ai, à elle aussi pratiqué cette ligature.
Je suis à ce titre, le généalogiste de nos familles.
J’ai remonté tous les liens entre les uns ou les autres, c’est moi qui décide de qui épouse qui.
Mon jugement est sans appel, c’est le cas de Charles-Antoine, je viens de lui choisir une épouse, Anne-Catherine, jolie petite blonde issue d’une des plus belles lignées venant de ceux qui ont échappé à la révolution.
Elle est l’aînée d’une famille de six sœurs.
Anne-Laure leur mère baise avec Louis-Albert fils d’une bonne lignée lui aussi et Gaspard leur serviteur.
Elle veut un garçon pour le nom de leur famille, j’en ai parlé à Charles-Henri, Louis-Albert même s’il baise tout de qui bouge, il aimerait voir sa femme se faire sauter par d’autres.
Je m’appelle Charles-Henri, depuis la mort de mon père, je suis le chef de ce que l’on peut appeler un clan, celui des maîtres du monde, tous nos mariages ont pour but de garder le pouvoir à tous les échelons.
Je suis le dernier d'une certaine lignée issue de la révolution et où les nantis de France se sont regroupés pour reprendre le pouvoir même dans notre république.
Le dernier, car dès ma nomination, j’ai fait changer quelques règles, dès mon adolescence, j’ai bien vu que j’avais un problème.
Mon frère Charles-Louis se vantait d’envoyer des cartes postales dans ses draps et le matin était fier de me présenter sa verge se présentant droite comme un I.
J’ai rapidement compris que pour moi le sexe se faisait par les yeux, je présentais toujours un profil bas.
Nous nous marions et nous reproduisions entre cousins et cousines faisans de nous des familles de tarés.
Nos anciens étaient conscients du problème, mais sans trouver de solution.
J’ai demandé à Charles-Louis d’essayer au mieux de tracer la généalogie de nos familles et descendances.
Il est rapidement venu me voir pour me dire qu’il était dépassé.
J’ai eu l’idée de faire dépuceler nos femmes jusqu’au premier mâle par le même amant, cela limitait les naissances consanguines, sans les aplanir complètement.
La ligature des trompes afin qu’elles puissent baiser autant qu’elles le souhaitent, a été une idée de mon frère, Depuis qu’il est jeune, c’est un queutard, il avait envie de ma femme, j’étais plutôt pour, ça restait dans la famille.
Il fallait ouvrir notre système afin de mélanger le sang à la naissance de nos enfants, qui mieux que nos serviteurs connaissant nos turpitudes pouvaient nous rendre ce service.
Avant ils regardaient en fermant les yeux.
J’ai eu du mal à faire comprendre aux membres de la direction que c’était eux notre planche de salut.
Depuis à ce que j’en sais dans nos suivis par Charles-Louis, plus aucun de nos garçons ne présente cette tare, tous bandent.
Je suis dans mon fauteuil, je regarde une partie de ma famille s’éclater, j’adore celui qui porte mon nom, même si je sais ce qu’il en ait de notre filiation.
Il est un mâle flamboyant, ma belle-sœur dont nous avons fait la pute de notre famille peut en témoigner.
Les enfants pour elle, c’est terminé, mais les orgasmes par sa prise en double pénétration, sont légion.
Une pensée me vient, le père et le fils baisent peut-être notre salope ensemble.
• Mes amis, j’ai une annonce à vous faire, surtout à toi mon fils, samedi prochain, Hector et Solange organiseront notre soirée ou ta future épouse te sera présentée.
Tu me donneras le nom de ton témoin, pour que Charles-Henri puisse donner son accord.
C’est lui qui la déflorera, j’ai une petite idée pour le serviteur qui sera l’heureux élu, que la fête soit grande.
Je m’appelle Chris71, Charles-Antoine m’a contacté pour me suggérer l’histoire de sa famille, j’espère que vous vous retrouvez dans tous ces prénoms composés.
Pour ma part mon cerveau explose.
Si vous avez des amis qui donnent un prénom composé à leur enfant, posé vous la questions de ce qu'ils étaient avant la révolution.
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