COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge. L’ascension de la Roche de Solutré (14/14)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge. L’ascension de la Roche de Solutré (14/14)
Deuxième histoire écrit avec Anne ma muse, elle donne les idées, j’essaye de les mettre en forme au plus près de ses désirs.
• Je suis votre Maître, Anne et Océane.
• Oui, Maître Christian.
Je croyais n’avoir qu’un seul Maître, Christian, me baisant devant mon mari plus vieux que moi ce qui lui a entraîné une impuissance sexuelle.
Là, en ce moment au haut de la tour, c’est un autre amant, pas un Maître, qui me laboure la chatte jusqu’à éclater, atteinte par la jouissance et la sienne, en regardant mon Maître et mon mari discuter, en m’attendant près de la voiture.
• Nous avons été fous, Daniel, mais je te remercie, tu es un merveilleux amant, dommage que ta femme n’ait pas su vieillir et que tu te sentes frustré.
• Ne parle pas d’elle, je sais que je devrais la quitter, Anne, je le fais si tu viens avec moi.
Avec ton don pour la décoration et mes qualités de travailleur, nous ferions un malheur jusqu’à Lyon.
• Tu m’as très bien baisé Daniel et je sais que chaque fois que nous le pourrons, nous recommencerons.
Un jour, j’ai dit oui à Renaud malgré notre différence d’âge, et puis il a eu des ennuis de santé ayant entraîné des soucis d'ordre sexuel.
Tu n’es pas idiot, tu as dû comprendre que le gîte que nous rénovons à certaines particularités.
• Oui, ce sera un site naturiste, ça se dit dans le village, ils ont un peu peur que ce soient des pervers qui viennent ici.
• Détrompe-les, ils verront que ce manoir leur apportera plus de bien que de mauvais.
• Les naturistes ne sont pas des pervers, ils aiment simplement vivre nus, mais ils seront couverts lorsqu’ils sortiront de ces murs.
Que mon amant, grâce à notre prudence quand ils sont là, leur a caché que je suis soumise à Maître Christian me rassure.
Que les voisins de ce lieu sadomasochiste pensent que c’est un gite naturiste, me confirme ce que pensait Océane et qui devait déjà courir même dans les villages voisins est une bonne chose, comme le dit le dicton, « pour vivre heureux vivons cachés. »
• Je rejoins mon mari et notre hôte.
Bonne journée, je pars tranquille, vous avez votre plan de travail pour le reste de la journée avec tes ouvriers.
Je redescends jusqu’à la chambre et la salle de bains.
Je cours dans les escaliers comme si j’étais encore une midinette ayant quitté son premier flirt.
Je pose ma culotte, je prends un gant et je me lave rapidement, j’ai déjà perdu trop de temps.
Mais je dois nettoyer mes lèvres qui sont poisseuses.
J’hésite à prendre mon sac à main, je prends un paquet de mouchoirs que je garde dans ma main.
• Anne, que faisais-tu, on a failli attendre !
• Vous connaissez les femmes, elles croient toujours avoir le temps, je me suis un peu pomponnée, je voulais être belle pour vous faire honneur.
Surtout que Daniel m’a dit qu’Océane allait nous rejoindre, la concurrence sera rude à vos yeux.
S’ils savaient que j’ai la chatte remplie du sperme de Daniel mon nouvel amant. Discrètement je lève la tête pour voir où cela s’est passé, il en encore en haut, il me regarde penché sur les créneaux.
En pensant à ce que nous venons de faire, j’en mouille.
Je prends conscience que je viens d’appeler mon chef de chantier par son prénom.
Il faut que je fasse diversion.
• Regardez, voyez comme je suis tête en l’air.
Pour cette journée champêtre, j’avais décidé d’avoir la liberté de mes mains, j’avais laissé mon sac à main.
J’étais presque sortie de la maison quand j’ai pris conscience qu’il me manquait une pochette de mouchoir en papier à mettre dans ma poche de jean. Je suis retournée en chercher un dans mon sac de sport.
Je montre le paquet de mouchoirs gardé dans ma main que j’essaye de glisser avec difficulté dans ma poche.
Mon jean est si serré, que j’ai du mal.
• Donne, je vais le mettre dans ma poche de survêtement, nous avons couru jusqu’au sommet de la Roche de Solutré et sommes redescendu, pour notre jogging, mes poches sont grandes.
Mon mari m’est inutile sur le plan baise, il m’est utile côté porte mouchoir en papier.
C’est à ce moment que je pense qu’ils sont peut-être allés dans la chambre pour faire quelques ablutions, après avoir couru jusqu’au sommet de l’endroit où je crains qu’il ait toujours le projet de me tuer.
• Mais dites-moi, vous êtes-vous douchés ?
• Hélas, ce matin, quand nous avons vu arriver Daniel, du moins c’est le nom qu’il nous a donné, Océane lui a demandé de te prévenir pour ta voiture.
Il nous a vus nous préparer à partir au village et après faire notre course à pied vu nos joggings.
Il nous a prévenus que l’eau serait coupée à notre retour. Mesdames, vous supporterez notre odeur d’ours mal léché jusqu’à ce soir.
• Dépêchez, Océane va nous attendre, vite, vite, vite, en voiture, j’ai faim moi.
Pourquoi leur dire que j’ai mangé des viennoiseries accompagné d’un bon café avec Daniel, avant d’aller baiser deux fois avec cet homme et me faire remplir de sperme que je sens dans ce jean très moulant mettant en valeur mon cul de femme ayant pris un peu d’âge ?
• Quelle mauvaise foi, tu as raison nous avons faim nous aussi.
Anne, je revis, ce matin mon diabète avait presque disparu lors de mon contrôle.
Est-ce que sa queue va se retendre de nouveau si le problème qui avait déclenché son impuissance disparaît ?
Ce n’est pas le moment de vérifier.
Nous retrouvons cinq minutes après Océane qui attend sur le parking.
Nous nous bisons.
• Dis donc, tu dormais à poing fermé ce matin quand avec les hommes nous avons bougé.
Inutile de lui expliquer que depuis que j’ai émergé, je me suis bien rattrapée même si c’est avec mon sexe.
Le repas est sympa, plein de décontraction, l’auberge a un joli cadre, nous mangeons dehors vu ce beau soleil de mai, à quelques mètres de nous un cerisier est en fleur.
• Nous sommes entre nous, puis-je prendre la parole Maître ?
• Maître voyez comme elle apprend vite et respecte bien son contrat de soumise.
• Parlez sans crainte, votre Maître vous écoute.
• Voulez-vous dépuceler Océane votre promise dès ce soir ?
• Parlez soumise Anne, je vous écoute avec deux fois plus d’attention que d’habitude, c’est oui d’avance.
En prononçant ces mots, il prend la main qu’Océane qui est posée sur la table, ils sont en face de nous.
Ils se regardent avec tellement d’intensité que j’ai peur qu’ils ne se brûlent vu l’intensité qu’ils déploient.
• Voilà, Océane a une sœur et un cousin restés en Guadeloupe sous le joug d’un beau-père tyrannique, ils souhaitent venir en France pour le fuir.
Alors voilà, j’ai eu une idée.
À partir de là, je développe mon idée sans leur cacher la particularité du cousin.
• Voilà Maître, vous savez tout, la balle est dans votre camp, vous cherchez du personnel discret.
Océane, tu nous assures qu’ils seront très discrets et que le projet de notre Maître, surtout dans sa cave, ne sera pas un obstacle.
• S’il s’agit d’assurer le service entre vous et vos invités, aucun problème, je saurai leur expliquer dès demain je dois avoir ma sœur, je me porte garante.
• Anne, nous sommes montées visiter le dessus des garages où habitait Berthe la nounou de son papa, je me mets dès demain au travail, cela me fera faire plus d’exercices et me permettra de retrouver ma forme.
Ne t’en fais pas pour mon cœur, je saurais me ménager mon amour.
Christian m’aidera et nous ferons les quelques transformations dans la cave par la même occasion comme je lui ai suggéré avant d’aller gravir cette roche que nous voyons là-bas.
Nous regardons en tournant la tête, mon regard croise la tour du manoir.
J’allais dire merde, restons poli, mince même si c’est loin, je vois très nettement les créneaux ou j’étais appuyée pendant que Daniel me sexait.
Je sens que son sperme toujours en moi se réchauffe à cette vision et cette pensée.
• Tout est dit, Orlane et Mérédith peuvent prendre l’avion, Anne pourras-tu nous rendre service et aller à Lyon les chercher avec Océane ?
Nous les hommes nous aurons du pain sur la planche pour être prêt. En attendant champagne.
• Hors de question messieurs, je vous propose de gravir la roche de Solutré, il fait encore chaud et à cette époque, nous seront seuls pour admirer le paysage.
C’est main dans la main que nous gravissons la pente menant au sommet.
Il y a une voiture au musée qui va ouvrir ses portes pour cet été retraçant l’histoire de la roche des hommes qui faisaient monter les chevaux pour les précipiter en bas et remplir leurs estomacs.
Au sommet, nous regardons le paysage, un petit bois cache le manoir et ma tour, ouf de là ce matin, ils ne pouvaient pas voir ce que je faisais avec Daniel.
C’est vrai, c’est moi qui les voyais à son pied pendant que je prenais le mien.
Je m’allonge sur une pierre plate pour récupérer et je ferme mes yeux.
Je sens que l’on défait un à un, les boutons de mon chemisier.
Je sens avec délice, le soleil chauffer mes seins nus, avant qu’une bouche n vienne se poser sur la fraise de celui à sa portée.
J’ouvre les yeux, Océane est à mon côté et c’est elle qui a pris cette initiative. Elle a en bouche un téton elle le mordille.
Je me redresse et me lève, ne me sentant pas encore prête à appartenir à une femme, surtout avec la chatte remplie du sperme de mon amant du matin.
• Renaud et moi nous allons redescendre, vous laissant seuls pour vivre le moment que je vous ai fait retarder.
Quel plus bel endroit que ce carré d’herbe venant de sortir de l’hiver pour faire de votre soumise votre femme.
L’un comme l’autre, vous aurez un souvenir impérissable, je le pense, de ce moment unique dans la vie d’une femme.
Prenez votre temps, nous vous attendrons à la voiture avant d’aller boire cette bouteille de champagne.
Je prends Renaud par la main comme pour la montée, je serais bien restée pour voir le moment où le sexe de Christian rejoindra le sexe d’Océane car à ce moment il n’y aura ni maître ni soumise, mais seulement deux êtres qui s’aiment, ayant envie l’un de l’autre.
Voilà, nous arrivons au terme de la première saison de l'histoire vécue depuis que j’ai décidé de créer mon entreprise.
• Anne, tu diras à ton auteur, que nos aventures dans cette cave, il pourra les conter à ses lecteurs dès que nous les aurons vécus.
Ce que tu peux leur dire, c’est que pour la première fois depuis des mois, voyant ces jeunes se prenant dans leurs bras, ma queue a légèrement frétillé.
• Chris71, tu as entendu Renaud, es-tu prêt à écrire à nos lecteurs la saison 2 ?
• Une histoire de sadomasochisme dans une cave, avec des Maîtres et des soumises, quels auteurs de HDS refuserait ce défi ?
• Oui, bien sûr...
• Je suis votre Maître, Anne et Océane.
• Oui, Maître Christian.
Je croyais n’avoir qu’un seul Maître, Christian, me baisant devant mon mari plus vieux que moi ce qui lui a entraîné une impuissance sexuelle.
Là, en ce moment au haut de la tour, c’est un autre amant, pas un Maître, qui me laboure la chatte jusqu’à éclater, atteinte par la jouissance et la sienne, en regardant mon Maître et mon mari discuter, en m’attendant près de la voiture.
• Nous avons été fous, Daniel, mais je te remercie, tu es un merveilleux amant, dommage que ta femme n’ait pas su vieillir et que tu te sentes frustré.
• Ne parle pas d’elle, je sais que je devrais la quitter, Anne, je le fais si tu viens avec moi.
Avec ton don pour la décoration et mes qualités de travailleur, nous ferions un malheur jusqu’à Lyon.
• Tu m’as très bien baisé Daniel et je sais que chaque fois que nous le pourrons, nous recommencerons.
Un jour, j’ai dit oui à Renaud malgré notre différence d’âge, et puis il a eu des ennuis de santé ayant entraîné des soucis d'ordre sexuel.
Tu n’es pas idiot, tu as dû comprendre que le gîte que nous rénovons à certaines particularités.
• Oui, ce sera un site naturiste, ça se dit dans le village, ils ont un peu peur que ce soient des pervers qui viennent ici.
• Détrompe-les, ils verront que ce manoir leur apportera plus de bien que de mauvais.
• Les naturistes ne sont pas des pervers, ils aiment simplement vivre nus, mais ils seront couverts lorsqu’ils sortiront de ces murs.
Que mon amant, grâce à notre prudence quand ils sont là, leur a caché que je suis soumise à Maître Christian me rassure.
Que les voisins de ce lieu sadomasochiste pensent que c’est un gite naturiste, me confirme ce que pensait Océane et qui devait déjà courir même dans les villages voisins est une bonne chose, comme le dit le dicton, « pour vivre heureux vivons cachés. »
• Je rejoins mon mari et notre hôte.
Bonne journée, je pars tranquille, vous avez votre plan de travail pour le reste de la journée avec tes ouvriers.
Je redescends jusqu’à la chambre et la salle de bains.
Je cours dans les escaliers comme si j’étais encore une midinette ayant quitté son premier flirt.
Je pose ma culotte, je prends un gant et je me lave rapidement, j’ai déjà perdu trop de temps.
Mais je dois nettoyer mes lèvres qui sont poisseuses.
J’hésite à prendre mon sac à main, je prends un paquet de mouchoirs que je garde dans ma main.
• Anne, que faisais-tu, on a failli attendre !
• Vous connaissez les femmes, elles croient toujours avoir le temps, je me suis un peu pomponnée, je voulais être belle pour vous faire honneur.
Surtout que Daniel m’a dit qu’Océane allait nous rejoindre, la concurrence sera rude à vos yeux.
S’ils savaient que j’ai la chatte remplie du sperme de Daniel mon nouvel amant. Discrètement je lève la tête pour voir où cela s’est passé, il en encore en haut, il me regarde penché sur les créneaux.
En pensant à ce que nous venons de faire, j’en mouille.
Je prends conscience que je viens d’appeler mon chef de chantier par son prénom.
Il faut que je fasse diversion.
• Regardez, voyez comme je suis tête en l’air.
Pour cette journée champêtre, j’avais décidé d’avoir la liberté de mes mains, j’avais laissé mon sac à main.
J’étais presque sortie de la maison quand j’ai pris conscience qu’il me manquait une pochette de mouchoir en papier à mettre dans ma poche de jean. Je suis retournée en chercher un dans mon sac de sport.
Je montre le paquet de mouchoirs gardé dans ma main que j’essaye de glisser avec difficulté dans ma poche.
Mon jean est si serré, que j’ai du mal.
• Donne, je vais le mettre dans ma poche de survêtement, nous avons couru jusqu’au sommet de la Roche de Solutré et sommes redescendu, pour notre jogging, mes poches sont grandes.
Mon mari m’est inutile sur le plan baise, il m’est utile côté porte mouchoir en papier.
C’est à ce moment que je pense qu’ils sont peut-être allés dans la chambre pour faire quelques ablutions, après avoir couru jusqu’au sommet de l’endroit où je crains qu’il ait toujours le projet de me tuer.
• Mais dites-moi, vous êtes-vous douchés ?
• Hélas, ce matin, quand nous avons vu arriver Daniel, du moins c’est le nom qu’il nous a donné, Océane lui a demandé de te prévenir pour ta voiture.
Il nous a vus nous préparer à partir au village et après faire notre course à pied vu nos joggings.
Il nous a prévenus que l’eau serait coupée à notre retour. Mesdames, vous supporterez notre odeur d’ours mal léché jusqu’à ce soir.
• Dépêchez, Océane va nous attendre, vite, vite, vite, en voiture, j’ai faim moi.
Pourquoi leur dire que j’ai mangé des viennoiseries accompagné d’un bon café avec Daniel, avant d’aller baiser deux fois avec cet homme et me faire remplir de sperme que je sens dans ce jean très moulant mettant en valeur mon cul de femme ayant pris un peu d’âge ?
• Quelle mauvaise foi, tu as raison nous avons faim nous aussi.
Anne, je revis, ce matin mon diabète avait presque disparu lors de mon contrôle.
Est-ce que sa queue va se retendre de nouveau si le problème qui avait déclenché son impuissance disparaît ?
Ce n’est pas le moment de vérifier.
Nous retrouvons cinq minutes après Océane qui attend sur le parking.
Nous nous bisons.
• Dis donc, tu dormais à poing fermé ce matin quand avec les hommes nous avons bougé.
Inutile de lui expliquer que depuis que j’ai émergé, je me suis bien rattrapée même si c’est avec mon sexe.
Le repas est sympa, plein de décontraction, l’auberge a un joli cadre, nous mangeons dehors vu ce beau soleil de mai, à quelques mètres de nous un cerisier est en fleur.
• Nous sommes entre nous, puis-je prendre la parole Maître ?
• Maître voyez comme elle apprend vite et respecte bien son contrat de soumise.
• Parlez sans crainte, votre Maître vous écoute.
• Voulez-vous dépuceler Océane votre promise dès ce soir ?
• Parlez soumise Anne, je vous écoute avec deux fois plus d’attention que d’habitude, c’est oui d’avance.
En prononçant ces mots, il prend la main qu’Océane qui est posée sur la table, ils sont en face de nous.
Ils se regardent avec tellement d’intensité que j’ai peur qu’ils ne se brûlent vu l’intensité qu’ils déploient.
• Voilà, Océane a une sœur et un cousin restés en Guadeloupe sous le joug d’un beau-père tyrannique, ils souhaitent venir en France pour le fuir.
Alors voilà, j’ai eu une idée.
À partir de là, je développe mon idée sans leur cacher la particularité du cousin.
• Voilà Maître, vous savez tout, la balle est dans votre camp, vous cherchez du personnel discret.
Océane, tu nous assures qu’ils seront très discrets et que le projet de notre Maître, surtout dans sa cave, ne sera pas un obstacle.
• S’il s’agit d’assurer le service entre vous et vos invités, aucun problème, je saurai leur expliquer dès demain je dois avoir ma sœur, je me porte garante.
• Anne, nous sommes montées visiter le dessus des garages où habitait Berthe la nounou de son papa, je me mets dès demain au travail, cela me fera faire plus d’exercices et me permettra de retrouver ma forme.
Ne t’en fais pas pour mon cœur, je saurais me ménager mon amour.
Christian m’aidera et nous ferons les quelques transformations dans la cave par la même occasion comme je lui ai suggéré avant d’aller gravir cette roche que nous voyons là-bas.
Nous regardons en tournant la tête, mon regard croise la tour du manoir.
J’allais dire merde, restons poli, mince même si c’est loin, je vois très nettement les créneaux ou j’étais appuyée pendant que Daniel me sexait.
Je sens que son sperme toujours en moi se réchauffe à cette vision et cette pensée.
• Tout est dit, Orlane et Mérédith peuvent prendre l’avion, Anne pourras-tu nous rendre service et aller à Lyon les chercher avec Océane ?
Nous les hommes nous aurons du pain sur la planche pour être prêt. En attendant champagne.
• Hors de question messieurs, je vous propose de gravir la roche de Solutré, il fait encore chaud et à cette époque, nous seront seuls pour admirer le paysage.
C’est main dans la main que nous gravissons la pente menant au sommet.
Il y a une voiture au musée qui va ouvrir ses portes pour cet été retraçant l’histoire de la roche des hommes qui faisaient monter les chevaux pour les précipiter en bas et remplir leurs estomacs.
Au sommet, nous regardons le paysage, un petit bois cache le manoir et ma tour, ouf de là ce matin, ils ne pouvaient pas voir ce que je faisais avec Daniel.
C’est vrai, c’est moi qui les voyais à son pied pendant que je prenais le mien.
Je m’allonge sur une pierre plate pour récupérer et je ferme mes yeux.
Je sens que l’on défait un à un, les boutons de mon chemisier.
Je sens avec délice, le soleil chauffer mes seins nus, avant qu’une bouche n vienne se poser sur la fraise de celui à sa portée.
J’ouvre les yeux, Océane est à mon côté et c’est elle qui a pris cette initiative. Elle a en bouche un téton elle le mordille.
Je me redresse et me lève, ne me sentant pas encore prête à appartenir à une femme, surtout avec la chatte remplie du sperme de mon amant du matin.
• Renaud et moi nous allons redescendre, vous laissant seuls pour vivre le moment que je vous ai fait retarder.
Quel plus bel endroit que ce carré d’herbe venant de sortir de l’hiver pour faire de votre soumise votre femme.
L’un comme l’autre, vous aurez un souvenir impérissable, je le pense, de ce moment unique dans la vie d’une femme.
Prenez votre temps, nous vous attendrons à la voiture avant d’aller boire cette bouteille de champagne.
Je prends Renaud par la main comme pour la montée, je serais bien restée pour voir le moment où le sexe de Christian rejoindra le sexe d’Océane car à ce moment il n’y aura ni maître ni soumise, mais seulement deux êtres qui s’aiment, ayant envie l’un de l’autre.
Voilà, nous arrivons au terme de la première saison de l'histoire vécue depuis que j’ai décidé de créer mon entreprise.
• Anne, tu diras à ton auteur, que nos aventures dans cette cave, il pourra les conter à ses lecteurs dès que nous les aurons vécus.
Ce que tu peux leur dire, c’est que pour la première fois depuis des mois, voyant ces jeunes se prenant dans leurs bras, ma queue a légèrement frétillé.
• Chris71, tu as entendu Renaud, es-tu prêt à écrire à nos lecteurs la saison 2 ?
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