COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge, La piscine (2/14)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge, La piscine (2/14)
Deuxième histoire écrit avec Anne ma muse, elle donne les idées, j’essaye de les mettre en forme au plus près de ses désirs.
Anne, c’est mon nom, je suis décoratrice d’intérieur.
Je viens d’entrer dans une très belle propriété en pierre du pays à deux pas de la Roche de Solutré.
Je suis venue sur ce lieu il y a quelques années dans les premiers temps où un Président venait tous les lundis de Pentecôte.
À cette occasion, j'ai appris que de nombreux ossements de chevaux avaient été trouvés à son pied.
L’histoire nous dit qu’au temps des hommes des cavernes, ils obligeaient des chevaux sauvages à gravir la pente.
Les animaux se sentant pris au piège, sautaient dans le vide, les hommes n’avaient plus qu’à redescendre pour récupérer la viande en la dépeçant sur place.
Aujourd'hui je suis là car j'ai été appelée, comme décoratrice, par Christian le propriétaire.
Ce dernier, ayant hérité de ce manoir, veut en faire un gîte et pour cela, il veut faire rénover les pièces en très mauvais état dû au très mauvais goût de sa grand-mère.
Nous sommes montées à l’étage, nous avons visité trois des chambres, chacune à un lit certainement de deux mètres de large, les clients auront de la place pour dormir.
Je lui frôle la hanche, en essayant d’entrer.
Je me verrais bien rouler dessus ce dernier lit, entre les bras de ce garçon vingt ans plus jeune que moi et qui pourrait être mon fils.
C'est vrai que je suis déjà une quinquagénaire.
Mon fils certes, mais la bosse que je vois dans son slip de bain, n’est pas celle d’un fils, mais d’un mâle dans toute la puissance de ses trente ans, et cela me fait rêver.
Je ferme les yeux avant de les rouvrir pour me concentrer sur mon travail.
J’ai un laser me permettant de prendre les dimensions des pièces, mon ordinateur et mon logiciel faisant le reste.
Quand je connecterai cet appareil, j’aurai une vision en 3D que je pourrais habiller de divers manières.
Il ne me restera plus qu’à faire divers devis, suivant les matières recouvrant les murs.
Un seul point positif dans ces chambres, les parquets, en chêne massif, certainement des lattes de 25 à 30 millimètres d’épaisseur !
De la très bonne qualité, je n’aurais qu’à le faire décaper.
Dans mon travail ce genre de parquet ayant une valeur inestimable doit être protégé et doit donc entrer dans le devis, surtout quand l’entreprise avec laquelle je travaille va défoncer ces murs pour entièrement les refaire, il est impossible de simplement le surfacer.
Une erreur de ce type et vous perdez rapidement les bénéfices escompté d’un tel chantier.
Les cotes des chambres prises, les travaux dans chaque salle de bains attenante à chaque chambre, la encore bon point pour le gîtes, noté, par chance la plomberie est en parfait état.
Les envies du propriétaire notées pour les travaux et décorations à venir, nous quittons l’étage, à droite de l’escalier sa chambre bureau, qu’il me montre rapidement, j’ai le temps de voir qu’il y a le même lit ou j’aimerais m’ébattre.
Il m’emmène dans la salle principale, belle pièce, tout en bois et tenture de luxe, la pièce attenante étant un salon bibliothèque rempli d’œuvre ayant grande valeur.
• Ma grand-mère, dans ses derniers jours, a fait refaire cette pièce ainsi que les dépendances, cuisine et autres celliers.
Contrairement aux chambres à l’étage, c’est moi qui me suis chargé de l’entreprise, j’ai évité les délires.
• Vous devriez être décorateur vu le travail réalisé.
Pourquoi vous adresser à moi et ne pas continuer avec l’entreprise qui a réalisé ces travaux.
• La retraite, le patron est parti à la retraite, il a vendu son entreprise à une connasse qui va la couler en un rien de temps.
Ça sent l’homme frustré.
Aurait-il eu une aventure avec cette connasse comme il dit, une idylle qui s'est mal terminée ?
Il faut que je fasse attention.
• Dernier point, votre budget ?
• Assez grand mais dans le domaine du raisonnable.
Ma grand-mère m’a laissé un bel héritage.
Une grande partie des vignes entourant la propriété est à moi, c’est un viticulteur qui les exploite jusqu’à la commercialisation, j’empoche simplement les bénéfices.
En plus, j’ai touché une grosse assurance à la suite du décès de mes parents sur une autoroute aux Pays-Bas, ils se rendaient chez des amis à Amsterdam.
La route ayant été coupée par un poids lourd, ils n’ont pas souffert.
Mais attention, je sais la valeur des choses.
• Comptez sur moi, vous m’avez dit avoir eu de bons renseignements sur mon travail, je vais éviter de vous décevoir.
Mais dites-moi, vous m’avez parlé que vous sortiez de votre piscine, j’aimerais la voir, cela me donnerait une idée de l’ensemble de votre domaine.
• Suivez-moi, je vais vous la montrer.
Nous passons par la cuisine qui est nickel, tout est en ordre, pour passer par une porte donnant sur l’arrière.
Le terrain est travaillé pour que ce côté soit de plein pied, je n’avais pas remarqué les trois fenêtres sont des portes fenêtres.
Les clients pourront aller et venir par ces ouvertures sans faire le tour du manoir.
La piscine est devant moi, une vingtaine de mètres de long sur six à sept mètres de large.
Piscine à débordement, avec transats déjà en place, prêts à recevoir les premiers clients qui arriveront au début de l’été.
Christian a tout prévu, barbecue dans un coin pour des soirées sympathiques, auvent protégeant un grand frigo à l’américaine.
Une desserte ouverte me montre de la vaisselle et surtout des flûtes pour le champagne.
Plusieurs tables entourées de quatre chaises nous tendent les bras.
• Je vous offre une coupe de champagne, je pense que nous venons de bien travailler.
• Merci mais avec cette chaleur montante, ce serait bête d’ouvrir une bouteille pour deux coupes.
Christian éclate de rire.
• J’ai reçu un invité ce midi et nous avons ouvert une bouteille, il existe des procédés modernes pour conserver les bouteilles entamées sans dénaturer le produit.
Il sort la bouteille d’un armoire lui avoir enlevé une sorte de tuyau et nous sert.
J’ai déjà parlé de ma nullité en technique moderne, je me garde bien de lui demander pourquoi ce tuyau.
Je bois une gorgée, frappé à point, les bulles sauvegardées.
Mon regard se porte sur l’eau de la piscine d’un bleu profond.
Que j’aimerais plonger une tête dans ces premiers jours de soleil.
• La piscine est-elle chauffée ?
• Nous sommes au centre de la France et je souhaite ouvrir mon gite de mai à septembre.
C’est donc nécessaire que je chauffe.
Voulez-vous profiter de cette onde claire ?
Onde claire, que c’est bien dit.
• Vous m’auriez prévenue, je serais venue en maillot.
• Le gite que je souhaite ouvrir n’a pas besoin que les clients aient des maillots.
• Vous m’intriguez, vous voulez créer une maison pour naturistes ?
• Mieux que cela, pour couples libertins.
• Des couples libertins, échangistes ...
Comment peut-on avoir une telle idée à votre jeune âge ?
• Je vais vous étonner mais sans pouvoir tout vous dire, mes grands parents et parents étaient échangistes.
Mes parents sont morts pour rejoindre un couple qu’ils avaient rencontré pendant des vacances.
Ce couple était passé par notre pays, ils les avaient reçus dans cette maison.
Je me laisse tenter bien que je sois habillée comme une femme qui travaille, mais comme je l’ai dit très sélecte.
Je retire ma veste et ma jupe, j'enlève mon chemisier fin et fleuri.
Je retire donc mes vêtements jusqu’au soutien gorge, mais je garde mon string rouge. C'est ainsi que je me dirige vers les marches.
Un doigt de pied, puis deux, l’eau est agréable.
Je plonge pensant en même temps que je suis une femme et que je vais être toute décoiffée.
Heureusement, Christian est mon seul client que je dois voir cette après-midi, après je vais rejoindre mon impuissant de mari pour la soirée et la nuit.
Je fais deux longueurs m’appliquant dans un crawl le plus parfait possible.
N’est-il pas champion de natation !
Quand je passe à sa hauteur, je remarque qu'il s’est assis sur la margelle, les pieds dans l’eau.
Je vois que je dois lui faire de l’effet, il a baissé son maillot de bain et sans gêne, il se masturbe.
Son sexe me semble grand et dur, comparé à celui de mon homme du temps ou il bandait, grand à la mesure de sa taille.
Me fait-il entrer dans le monde des libertins, moi qui suis sérieusement en manque ?
C’est à ce moment que je vais faire une chose inouïe pour moi.
Je change ma route, j’ai pied à sa hauteur, je saute littéralement sur ce pieu qui me tend les bras.
Ma bouche est accueillante, un gode c’est sympa, mais une verge c’est autre chose.
Je prends mon temps, je le tiens fermement pour éviter qu’il s’échappe, je le sors de ma bouche pour caresser les pointes de mes seins en y frottant ce beau sexe.
Mes tétons courts et épais n’ont jamais aussi bandé.
Avant Renaud, comme je l’ai dit, j’ai eu de nombreux amants, mais mes seins étaient loin d’avoir leur développement actuel, sans être plate, j’avais des seins en forme de poire de taille 90A.
Avec l'âge ma poitrine a gonflé et en ce moment j'ai des soutiens-gorge, selon la marque de taille 90D ou 95C, mais je l’ai déjà dit.
Je reprends ce pieu dans ma bouche, mais en partant du gland bien plus fort que celui de mon homme quand il en était encore un et en descendant jusqu’aux testicules que je flatte de ma main.
• C’est bien ma belle, je vois que tu sais faire de magnifiques pipes, continue, lèche mon filet, c’est divin.
Je continue, je deviens folle, il me hisse à son côté, c’est trop tôt, j’ai des scrupules, je suis gênée et ai des frissons allant même jusqu’à aimer lui dire.
• Viens me lécher, je suis sûre que malgré ton jeune âge, tu dois savoir satisfaire les femmes, attention à mon âge on est exigeante !
Il saute à l’eau, je suis placée comme il l’était, je n’ai qu’à écarter mes cuisses pour lui offrir mon abricot bien juteux après qu’il m’ait arraché mon string rouge.
Cela doit être érotique pour lui !
À cette époque, de l’année, ce sont plutôt les premières fraises à quoi je devrais penser.
Pourtant sa langue s'occupe de mon clitoris après avoir écartée mes lèvres vaginales qui sont longues et fines, bien visibles puisque je suis glabre.
Mon clitoris que seul mon gode caressait ces derniers temps depuis les problèmes de mon Renaud.
Pourtant, je l’ais souvent sollicité, pour qu’il me caresse de ses doigts et de sa langue, je me suis heurtée à un refus catégorique, trouvant ça dégradant pour l’homme qu’il n’est plus.
Christian, lui, l’est pleinement.
Même si sa verge est dans l’eau, je ne la vois pas, mais quand je l’avais dans ma bouche, je l’ai bien vue et sentie.
Je suis à deux doigts de prendre mon pied, prenant conscience que je suis sur le point de tromper entièrement Renaud.
Je me lève d’un coup, arrosant le visage du jeune homme d’une giclée de cyprine.
La honte m'envahit, je ne sais plus quoi faire, je deviens incontrôlable.
• Je suis folle, que fais-je...
Je t’envoie les devis le plus tôt possible, j’espère que tu ne m’en voudras pas.
Je remets mes chaussures, j’ai laissé mon slip au bord de la piscine.
Je ramasse mes affaires que je serre sur mon corps, je récupère mes clefs de voitures tout en contournant le manoir.
En courant, je fais tomber mon soutien-gorge, j’ai déjà abandonné mon string, je me rachèterais un ensemble.
Mieux, je m’en ferais offrir un par Renaud, mon acte de bravoure vaudra bien ce petit sacrifice, même s’il va falloir que je taise mon début de tromperie.
Quand j’arrive devant le portail, il est en train de s’ouvrir.
Je me rends compte, quand je le franchis que nous nous sommes tutoyés sans aucun problème, je suis à deux doigts de faire demi-tour.
Mais je me souviens de mon serment de mariage.
J’arrête ma voiture dans un chemin creux pour remettre mes habits, ma jupe, mon chemisier ma veste, un instant je cherche mes sous-vêtements.
Je me vois mal entrer nue dans Mâcon !
Sans oublier chez moi ou mon mari m’attend même si ce n’est pas pour me satisfaire, ce soir, je vais essayer de me finir avec mon gode alors que j’avais une jolie queue à ma disposition.
Quel conne, je viens de perdre un contrat juteux par mon intransigeance à tromper Renaud…
Anne, c’est mon nom, je suis décoratrice d’intérieur.
Je viens d’entrer dans une très belle propriété en pierre du pays à deux pas de la Roche de Solutré.
Je suis venue sur ce lieu il y a quelques années dans les premiers temps où un Président venait tous les lundis de Pentecôte.
À cette occasion, j'ai appris que de nombreux ossements de chevaux avaient été trouvés à son pied.
L’histoire nous dit qu’au temps des hommes des cavernes, ils obligeaient des chevaux sauvages à gravir la pente.
Les animaux se sentant pris au piège, sautaient dans le vide, les hommes n’avaient plus qu’à redescendre pour récupérer la viande en la dépeçant sur place.
Aujourd'hui je suis là car j'ai été appelée, comme décoratrice, par Christian le propriétaire.
Ce dernier, ayant hérité de ce manoir, veut en faire un gîte et pour cela, il veut faire rénover les pièces en très mauvais état dû au très mauvais goût de sa grand-mère.
Nous sommes montées à l’étage, nous avons visité trois des chambres, chacune à un lit certainement de deux mètres de large, les clients auront de la place pour dormir.
Je lui frôle la hanche, en essayant d’entrer.
Je me verrais bien rouler dessus ce dernier lit, entre les bras de ce garçon vingt ans plus jeune que moi et qui pourrait être mon fils.
C'est vrai que je suis déjà une quinquagénaire.
Mon fils certes, mais la bosse que je vois dans son slip de bain, n’est pas celle d’un fils, mais d’un mâle dans toute la puissance de ses trente ans, et cela me fait rêver.
Je ferme les yeux avant de les rouvrir pour me concentrer sur mon travail.
J’ai un laser me permettant de prendre les dimensions des pièces, mon ordinateur et mon logiciel faisant le reste.
Quand je connecterai cet appareil, j’aurai une vision en 3D que je pourrais habiller de divers manières.
Il ne me restera plus qu’à faire divers devis, suivant les matières recouvrant les murs.
Un seul point positif dans ces chambres, les parquets, en chêne massif, certainement des lattes de 25 à 30 millimètres d’épaisseur !
De la très bonne qualité, je n’aurais qu’à le faire décaper.
Dans mon travail ce genre de parquet ayant une valeur inestimable doit être protégé et doit donc entrer dans le devis, surtout quand l’entreprise avec laquelle je travaille va défoncer ces murs pour entièrement les refaire, il est impossible de simplement le surfacer.
Une erreur de ce type et vous perdez rapidement les bénéfices escompté d’un tel chantier.
Les cotes des chambres prises, les travaux dans chaque salle de bains attenante à chaque chambre, la encore bon point pour le gîtes, noté, par chance la plomberie est en parfait état.
Les envies du propriétaire notées pour les travaux et décorations à venir, nous quittons l’étage, à droite de l’escalier sa chambre bureau, qu’il me montre rapidement, j’ai le temps de voir qu’il y a le même lit ou j’aimerais m’ébattre.
Il m’emmène dans la salle principale, belle pièce, tout en bois et tenture de luxe, la pièce attenante étant un salon bibliothèque rempli d’œuvre ayant grande valeur.
• Ma grand-mère, dans ses derniers jours, a fait refaire cette pièce ainsi que les dépendances, cuisine et autres celliers.
Contrairement aux chambres à l’étage, c’est moi qui me suis chargé de l’entreprise, j’ai évité les délires.
• Vous devriez être décorateur vu le travail réalisé.
Pourquoi vous adresser à moi et ne pas continuer avec l’entreprise qui a réalisé ces travaux.
• La retraite, le patron est parti à la retraite, il a vendu son entreprise à une connasse qui va la couler en un rien de temps.
Ça sent l’homme frustré.
Aurait-il eu une aventure avec cette connasse comme il dit, une idylle qui s'est mal terminée ?
Il faut que je fasse attention.
• Dernier point, votre budget ?
• Assez grand mais dans le domaine du raisonnable.
Ma grand-mère m’a laissé un bel héritage.
Une grande partie des vignes entourant la propriété est à moi, c’est un viticulteur qui les exploite jusqu’à la commercialisation, j’empoche simplement les bénéfices.
En plus, j’ai touché une grosse assurance à la suite du décès de mes parents sur une autoroute aux Pays-Bas, ils se rendaient chez des amis à Amsterdam.
La route ayant été coupée par un poids lourd, ils n’ont pas souffert.
Mais attention, je sais la valeur des choses.
• Comptez sur moi, vous m’avez dit avoir eu de bons renseignements sur mon travail, je vais éviter de vous décevoir.
Mais dites-moi, vous m’avez parlé que vous sortiez de votre piscine, j’aimerais la voir, cela me donnerait une idée de l’ensemble de votre domaine.
• Suivez-moi, je vais vous la montrer.
Nous passons par la cuisine qui est nickel, tout est en ordre, pour passer par une porte donnant sur l’arrière.
Le terrain est travaillé pour que ce côté soit de plein pied, je n’avais pas remarqué les trois fenêtres sont des portes fenêtres.
Les clients pourront aller et venir par ces ouvertures sans faire le tour du manoir.
La piscine est devant moi, une vingtaine de mètres de long sur six à sept mètres de large.
Piscine à débordement, avec transats déjà en place, prêts à recevoir les premiers clients qui arriveront au début de l’été.
Christian a tout prévu, barbecue dans un coin pour des soirées sympathiques, auvent protégeant un grand frigo à l’américaine.
Une desserte ouverte me montre de la vaisselle et surtout des flûtes pour le champagne.
Plusieurs tables entourées de quatre chaises nous tendent les bras.
• Je vous offre une coupe de champagne, je pense que nous venons de bien travailler.
• Merci mais avec cette chaleur montante, ce serait bête d’ouvrir une bouteille pour deux coupes.
Christian éclate de rire.
• J’ai reçu un invité ce midi et nous avons ouvert une bouteille, il existe des procédés modernes pour conserver les bouteilles entamées sans dénaturer le produit.
Il sort la bouteille d’un armoire lui avoir enlevé une sorte de tuyau et nous sert.
J’ai déjà parlé de ma nullité en technique moderne, je me garde bien de lui demander pourquoi ce tuyau.
Je bois une gorgée, frappé à point, les bulles sauvegardées.
Mon regard se porte sur l’eau de la piscine d’un bleu profond.
Que j’aimerais plonger une tête dans ces premiers jours de soleil.
• La piscine est-elle chauffée ?
• Nous sommes au centre de la France et je souhaite ouvrir mon gite de mai à septembre.
C’est donc nécessaire que je chauffe.
Voulez-vous profiter de cette onde claire ?
Onde claire, que c’est bien dit.
• Vous m’auriez prévenue, je serais venue en maillot.
• Le gite que je souhaite ouvrir n’a pas besoin que les clients aient des maillots.
• Vous m’intriguez, vous voulez créer une maison pour naturistes ?
• Mieux que cela, pour couples libertins.
• Des couples libertins, échangistes ...
Comment peut-on avoir une telle idée à votre jeune âge ?
• Je vais vous étonner mais sans pouvoir tout vous dire, mes grands parents et parents étaient échangistes.
Mes parents sont morts pour rejoindre un couple qu’ils avaient rencontré pendant des vacances.
Ce couple était passé par notre pays, ils les avaient reçus dans cette maison.
Je me laisse tenter bien que je sois habillée comme une femme qui travaille, mais comme je l’ai dit très sélecte.
Je retire ma veste et ma jupe, j'enlève mon chemisier fin et fleuri.
Je retire donc mes vêtements jusqu’au soutien gorge, mais je garde mon string rouge. C'est ainsi que je me dirige vers les marches.
Un doigt de pied, puis deux, l’eau est agréable.
Je plonge pensant en même temps que je suis une femme et que je vais être toute décoiffée.
Heureusement, Christian est mon seul client que je dois voir cette après-midi, après je vais rejoindre mon impuissant de mari pour la soirée et la nuit.
Je fais deux longueurs m’appliquant dans un crawl le plus parfait possible.
N’est-il pas champion de natation !
Quand je passe à sa hauteur, je remarque qu'il s’est assis sur la margelle, les pieds dans l’eau.
Je vois que je dois lui faire de l’effet, il a baissé son maillot de bain et sans gêne, il se masturbe.
Son sexe me semble grand et dur, comparé à celui de mon homme du temps ou il bandait, grand à la mesure de sa taille.
Me fait-il entrer dans le monde des libertins, moi qui suis sérieusement en manque ?
C’est à ce moment que je vais faire une chose inouïe pour moi.
Je change ma route, j’ai pied à sa hauteur, je saute littéralement sur ce pieu qui me tend les bras.
Ma bouche est accueillante, un gode c’est sympa, mais une verge c’est autre chose.
Je prends mon temps, je le tiens fermement pour éviter qu’il s’échappe, je le sors de ma bouche pour caresser les pointes de mes seins en y frottant ce beau sexe.
Mes tétons courts et épais n’ont jamais aussi bandé.
Avant Renaud, comme je l’ai dit, j’ai eu de nombreux amants, mais mes seins étaient loin d’avoir leur développement actuel, sans être plate, j’avais des seins en forme de poire de taille 90A.
Avec l'âge ma poitrine a gonflé et en ce moment j'ai des soutiens-gorge, selon la marque de taille 90D ou 95C, mais je l’ai déjà dit.
Je reprends ce pieu dans ma bouche, mais en partant du gland bien plus fort que celui de mon homme quand il en était encore un et en descendant jusqu’aux testicules que je flatte de ma main.
• C’est bien ma belle, je vois que tu sais faire de magnifiques pipes, continue, lèche mon filet, c’est divin.
Je continue, je deviens folle, il me hisse à son côté, c’est trop tôt, j’ai des scrupules, je suis gênée et ai des frissons allant même jusqu’à aimer lui dire.
• Viens me lécher, je suis sûre que malgré ton jeune âge, tu dois savoir satisfaire les femmes, attention à mon âge on est exigeante !
Il saute à l’eau, je suis placée comme il l’était, je n’ai qu’à écarter mes cuisses pour lui offrir mon abricot bien juteux après qu’il m’ait arraché mon string rouge.
Cela doit être érotique pour lui !
À cette époque, de l’année, ce sont plutôt les premières fraises à quoi je devrais penser.
Pourtant sa langue s'occupe de mon clitoris après avoir écartée mes lèvres vaginales qui sont longues et fines, bien visibles puisque je suis glabre.
Mon clitoris que seul mon gode caressait ces derniers temps depuis les problèmes de mon Renaud.
Pourtant, je l’ais souvent sollicité, pour qu’il me caresse de ses doigts et de sa langue, je me suis heurtée à un refus catégorique, trouvant ça dégradant pour l’homme qu’il n’est plus.
Christian, lui, l’est pleinement.
Même si sa verge est dans l’eau, je ne la vois pas, mais quand je l’avais dans ma bouche, je l’ai bien vue et sentie.
Je suis à deux doigts de prendre mon pied, prenant conscience que je suis sur le point de tromper entièrement Renaud.
Je me lève d’un coup, arrosant le visage du jeune homme d’une giclée de cyprine.
La honte m'envahit, je ne sais plus quoi faire, je deviens incontrôlable.
• Je suis folle, que fais-je...
Je t’envoie les devis le plus tôt possible, j’espère que tu ne m’en voudras pas.
Je remets mes chaussures, j’ai laissé mon slip au bord de la piscine.
Je ramasse mes affaires que je serre sur mon corps, je récupère mes clefs de voitures tout en contournant le manoir.
En courant, je fais tomber mon soutien-gorge, j’ai déjà abandonné mon string, je me rachèterais un ensemble.
Mieux, je m’en ferais offrir un par Renaud, mon acte de bravoure vaudra bien ce petit sacrifice, même s’il va falloir que je taise mon début de tromperie.
Quand j’arrive devant le portail, il est en train de s’ouvrir.
Je me rends compte, quand je le franchis que nous nous sommes tutoyés sans aucun problème, je suis à deux doigts de faire demi-tour.
Mais je me souviens de mon serment de mariage.
J’arrête ma voiture dans un chemin creux pour remettre mes habits, ma jupe, mon chemisier ma veste, un instant je cherche mes sous-vêtements.
Je me vois mal entrer nue dans Mâcon !
Sans oublier chez moi ou mon mari m’attend même si ce n’est pas pour me satisfaire, ce soir, je vais essayer de me finir avec mon gode alors que j’avais une jolie queue à ma disposition.
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