COLLECTION CANDAULISME. Le jeune bourge, la bourge et le mari cocu (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION CANDAULISME. Le jeune bourge, la bourge et le mari cocu (1/1)
• Bonjours Jean-charles, que me vaut ta visite.
Jean-Charles est le fils d’un couple de nos amis.
Marie-Anne, sa mère est membre de mon club de bridge.
• Je viens de la part de Charles-Antoine, j’étais avec lui à Londres et ayant fini mon stage, je reviens poursuivre mes études à Paris.
Il m’a dit avoir un livre sur Freud dans sa chambre qui va m’être utile et m’a demandé de passer le chercher.
• Mon fils, Charles-Antoine, je l’ai eu au téléphone hier au soir et il a oublié de me dire que vous passeriez.
Mais entrez, sans problème, surtout que j’ai eu l’impression de le déranger dans un moment intime, entrez.
Oui, à droite dans le salon, je vais nous faire servir un café si ma bonne est encore là.
Elle doit finir à 14 heures, il faut dire qu’elle est à notre service depuis 7 heures pour le levé de mon mari ou elle lui prépare son petit déjeuner.
Mon fils vous a-t-il dit s’il risque de nous ramener une jolie petite Anglaise ?
Je semble vous choquer, je comprends que vous souhaitez rester discret, c’est votre copain.
Je m’appelle Marie-Charlotte, j’ai 41 ans, du vague à l’âme et si je m’écoutais, je sauterais sur ce garçon d’une vingtaine d’années comme mon fils.
Lorsqu’il passe devant moi, il me semble fort appétissant.
• Je m’excuse, je suis une invétérée pipelette, je vous pose des questions sans vous donner le temps de répondre.
• Aucunement madame, Charles-Antoine, votre fils, étudie très dur, sauf hier.
Il a accepté de se rendre à une soirée où j’étais invité et comme je rentrais en France, il m’était impossible d’y aller.
Je sonne ma bonne qui nous apporte une cafetière avec deux tasses, du lait dans un petit pot et une coupelle de sucre en tout genre.
Quand il est assis sur le canapé, moi dans mon fauteuil les jambes croisées, comme maman m’a appris, je vois la bosse que fait son sexe dans son pantalon.
Ce serait indécent qu’il se promène la bite au vent devant une dame qu’il rencontre pour la première fois.
Je me prends à rêver que si j’avais de l’audace, je me lèverais, je caresserais sa bosse pour tâter la marchandise à travers le pantalon.
Je déferais la ceinture pour faire glisser, pantalon avec boxer ou slip avant de prendre sa putain de queue pour me la fourrer dans la bouche.
Ces mots grossiers « queue », « fourrer » et « sexe », c’est pour casser mon éducation comme toute fille de bonne famille dont je suis le parfait spécimen.
J’ai épousé Charles-Henri, le jour de mes vingt ans et depuis il me rend parfaitement heureuse malgré quelques fantasmes dont celui que je viens d’exprimer dans ma tête de parler avec des mots orduriers.
Charles-Henri banquier de son état m’apporte le bien matériel et du plaisir une fois de temps en temps.
Il est peu porté sur le sexe.
Un fils et une vingtaine d’années de vie tranquille dans ce bel appartement près de la place de l’étoile.
• Pardon, vous m’avez dit !
• Vous aviez l’air dans vos pensées, je vous demandais d’aller me chercher le livre que je suis venu chercher.
• Oui, troisième porte à droite dans le couloir en sortant de ce salon.
Allez-y seul, j’aime boire mon café presque tiède à l’opposer de vous qui l’avez bu bouillant.
Mon dieu, qu’il est grand, quand il a sonné et que je suis allée ouvrir, quand il est passé près de moi, sa taille m’avait paru normale.
Il quitte le salon marchant comme un fauve me faisant une nouvelle fois rêver.
Non, vingt ans de fidélité et de bonne manière, pourquoi les balayer pour un simple moment de plaisir surement éphémère.
Quel jeune homme de bonne famille, vu les bonnes manières qu’il affiche s’amouracherait d’une vieille bourge de quarante ans et copain de son fils de surcroit.
C’est aller devant une masse d’emmerde.
Pardon, « emmerde » heureusement que c’est dans ma tête, car dans une heure à mon club de bridge je serais virée si j’employais de tels mots.
Le bridge, c’est lundi et vendredi le reste du temps, c’est lecture avec les livres que j’achète chez mon libraire qui m’aide dans mes choix et qui finit par avoir l’inconvénient de prendre de la place.
• Je l’ai trouvé, Charles-Antoine a de la chance de posséder autant de livres.
Pourquoi dire à ce garçon que ces livres, c’est moi qui les entasse une fois que je les ai lus?
À deux ou trois par semaine, tous lus ou les mettre et surtout c’est un budget même si mère m’a appris à être économe et que Charles-Henri à la fin du mois reçoit de forts émoluments.
Émoluments car en plus de son salaire, il touche de gros dividende de ses actions boursières.
À ce jeu pour couple riche, il faut reconnaître qu’il touche sa bille.
Mon Dieu que j’aime employer des mots venus du peuple dans ma tête, « toucher sa bille » en fait parti.
« Se caresser le poireau », j’ai entendu ces mots dans la bouche de Charles-Henri, un soir où j’avais traîné dans mon bain avant de le rejoindre dans notre lit et qu’il m’a dit.
• Dépêchez Marie-Charlotte, j’en ai mare de me caresser le poireau !
C’était dans les premières années de notre mariage et j’ai failli lui refuser l’entrée de ma chatte, mon garage à bite.
Ça recommence, ce jeune homme chamboule mes sens et ma vie, bien qu’il ait une tenue exemplaire, comment puis-je employer le mot de « chatte » ou de « garage à bite » ?
• Au revoir, merci et excusez pour le dérangement.
Nous sommes devant la porte d’entrée que je viens d’ouvrir, il passe à me frôler, ma chatte dégouline.
Je sais, j’ai encore employé le mot de « chatte », mais une chatte est une chatte et une mouille est une mouille.
Mon Dieu que je me dévergonde.
• Revenez chercher des livres si vous le désirez, quand vous voulez, ils sont à votre disposition Jean-Charles.
Je ferme la porte sur mes envies me traitant de conne.
Quand il est passé près de moi, sentant son eau de toilette, certainement achetée dans une grande parfumerie des Champs Élysées, ma petite culotte mouille encore plus que tout à l’heure.
Je retourne dans mon salon, j’ai du vague à l’âme, je dors oubliant qu’aujourd’hui j’avais bridge.
Le lendemain 14 heures 30 ça sonne.
Ma bonne vient de partir, j’ai toujours du vague à l’âme ayant passé une nuit affreuse ayant dormi trois heures hier après le passage de Jean-Charles.
Chaque fois que je fermais les yeux de grosses bites, toutes plus grosses les unes que les autres venaient se présenter à ma bouche, et une après l’autre, elles refusaient d’y entrer.
• Jean-Charles, vous ici, déjà ?
Mais vous êtes devenu fou, un garçon si bien élevé hier.
Je suis plaquée contre le mur face à la porte de mon vestibule.
Je voudrais me débattre, mais je coule littéralement.
Ma chatte est en feu.
En un instant, j’efface vingt ans, que dis-je, une vie entière de fidélité quand je l’embrasse fougueusement sur la bouche, jouant la vierge effarouchée.
« Nous » car c’est par fusion qu’elles se retrouvent comme si elles s’étaient manquées depuis des lustres.
• Viens.
Séparation le temps d’aller jusqu’à ma chambre, baiser le long d’un mur un jour je franchirais le pas.
Mon peignoir me quitte en chemin et arrivé à l’endroit où je veux me donner à sa jeune fouge, je lui arrache presque ses vêtements.
Nous roulons sur le lit, comment, je l’ignore, ce que je sais c’est que j’ai enfin sa queue dans ma bouche et que je sens qu’il écarte les lèvres de ma chatte.
Premier frisson adultérin deuxième une fraction de seconde après.
Combien de temps, dans la fouge de sa jeunesse, mon jeune amant me baise.
Impossible à dire, lorsque j’entends.
• Tu y viens enfin Marie-Charlotte, je désespérais de te voir baiser par un autre que moi.
Charles-Henri est assis dans le fauteuil que j’ai mis là trouvant que ça faisait chic un fauteuil dans une chambre.
Il a mon peignoir sur ses genoux.
• Jean-Charles, inutile de fuir, continuez à baiser ma salope de femme.
C’est marrant de venir faire un petit bonjour à sa femme en passant devant chez soi.
J’ai été étonné de trouver la porte de son logement ouverte et le peignoir de sa femme en chemin dans le couloir menant à votre chambre.
Ça a dû être la précipitation que vous avez dû avoir à venir baiser.
Marie-Charlotte, continuez à sucer notre invité.
Je rêve dès le lendemain de nos épousailles de vous trouver dans cette situation et surtout depuis ma naissance de Charles-Antoine.
Continuez à vous faire plaisir.
Si vous en êtes d’accord, surtout toi Jean-Charles, je vous guiderais dans mes fantasmes de faire à ma femme ce que je suis dans l’impossibilité de lui faire par timidité.
Jean-Charles regarde, ma salope a compris que je veux me voir la baiser à travers toi.
Elle a recommencé à te pomper.
Dès que tu es prêt et que tu juges qu’elle mouille assez prend là en levrette.
Juste la chatte pour ce jour, demain ou dans les jours prochain tu la sodomiseras.
Je suis sûr que la chienne qui sommeille en elle se réveillera dès que tu lui défonceras le cul.
Merci mon Dieu, Charles-Henri aime autant que moi les mots orduriers.
Sodomie, c’est le mot satanique que j’aime entendre même si j’ai une petite appréhension.
Appréhension qui pourrait être plus grande pendant ces deux mois de vacances que nous nous accordons entre Jean-Charles jeune bourge, Marie-Charlotte bourge et Charles-Antoine cocu heureux au bord de la piscine de notre villa de Juan-les-Pins.
Jean-charles me sodomise à me faire hurler de plaisir les jambes relevées dégageant mon anus.
Sur le transat voisin Charles-Henri nous regarde s’astiquant le poireau.
Alors que de l’autre côté de notre trio formé pour un long moment, Charles-Antoine suce la verge d’Harry.
Non, pas le prince.
Harry rencontré lors de la soirée où il avait remplacé mon amant et avec lequel il a décidé de faire sa vie en Angleterre après leurs vacances près de nous.
Harry capitaine de l’équipe d’Angleterre de criquet et magnifique noir à la bite démesuréeJe prends énormément de plaisir à me faire sodomiser depuis que Charles-Henri en a donné l’autorisation à mon amant.
Par compte, j’ai mal pour mon fils quand je le vois s’enfoncer ce pieu noir dans le cul.
Bref, une famille de bourges sachant satisfaire leurs fantasmes les plus intimes.
Jean-Charles est le fils d’un couple de nos amis.
Marie-Anne, sa mère est membre de mon club de bridge.
• Je viens de la part de Charles-Antoine, j’étais avec lui à Londres et ayant fini mon stage, je reviens poursuivre mes études à Paris.
Il m’a dit avoir un livre sur Freud dans sa chambre qui va m’être utile et m’a demandé de passer le chercher.
• Mon fils, Charles-Antoine, je l’ai eu au téléphone hier au soir et il a oublié de me dire que vous passeriez.
Mais entrez, sans problème, surtout que j’ai eu l’impression de le déranger dans un moment intime, entrez.
Oui, à droite dans le salon, je vais nous faire servir un café si ma bonne est encore là.
Elle doit finir à 14 heures, il faut dire qu’elle est à notre service depuis 7 heures pour le levé de mon mari ou elle lui prépare son petit déjeuner.
Mon fils vous a-t-il dit s’il risque de nous ramener une jolie petite Anglaise ?
Je semble vous choquer, je comprends que vous souhaitez rester discret, c’est votre copain.
Je m’appelle Marie-Charlotte, j’ai 41 ans, du vague à l’âme et si je m’écoutais, je sauterais sur ce garçon d’une vingtaine d’années comme mon fils.
Lorsqu’il passe devant moi, il me semble fort appétissant.
• Je m’excuse, je suis une invétérée pipelette, je vous pose des questions sans vous donner le temps de répondre.
• Aucunement madame, Charles-Antoine, votre fils, étudie très dur, sauf hier.
Il a accepté de se rendre à une soirée où j’étais invité et comme je rentrais en France, il m’était impossible d’y aller.
Je sonne ma bonne qui nous apporte une cafetière avec deux tasses, du lait dans un petit pot et une coupelle de sucre en tout genre.
Quand il est assis sur le canapé, moi dans mon fauteuil les jambes croisées, comme maman m’a appris, je vois la bosse que fait son sexe dans son pantalon.
Ce serait indécent qu’il se promène la bite au vent devant une dame qu’il rencontre pour la première fois.
Je me prends à rêver que si j’avais de l’audace, je me lèverais, je caresserais sa bosse pour tâter la marchandise à travers le pantalon.
Je déferais la ceinture pour faire glisser, pantalon avec boxer ou slip avant de prendre sa putain de queue pour me la fourrer dans la bouche.
Ces mots grossiers « queue », « fourrer » et « sexe », c’est pour casser mon éducation comme toute fille de bonne famille dont je suis le parfait spécimen.
J’ai épousé Charles-Henri, le jour de mes vingt ans et depuis il me rend parfaitement heureuse malgré quelques fantasmes dont celui que je viens d’exprimer dans ma tête de parler avec des mots orduriers.
Charles-Henri banquier de son état m’apporte le bien matériel et du plaisir une fois de temps en temps.
Il est peu porté sur le sexe.
Un fils et une vingtaine d’années de vie tranquille dans ce bel appartement près de la place de l’étoile.
• Pardon, vous m’avez dit !
• Vous aviez l’air dans vos pensées, je vous demandais d’aller me chercher le livre que je suis venu chercher.
• Oui, troisième porte à droite dans le couloir en sortant de ce salon.
Allez-y seul, j’aime boire mon café presque tiède à l’opposer de vous qui l’avez bu bouillant.
Mon dieu, qu’il est grand, quand il a sonné et que je suis allée ouvrir, quand il est passé près de moi, sa taille m’avait paru normale.
Il quitte le salon marchant comme un fauve me faisant une nouvelle fois rêver.
Non, vingt ans de fidélité et de bonne manière, pourquoi les balayer pour un simple moment de plaisir surement éphémère.
Quel jeune homme de bonne famille, vu les bonnes manières qu’il affiche s’amouracherait d’une vieille bourge de quarante ans et copain de son fils de surcroit.
C’est aller devant une masse d’emmerde.
Pardon, « emmerde » heureusement que c’est dans ma tête, car dans une heure à mon club de bridge je serais virée si j’employais de tels mots.
Le bridge, c’est lundi et vendredi le reste du temps, c’est lecture avec les livres que j’achète chez mon libraire qui m’aide dans mes choix et qui finit par avoir l’inconvénient de prendre de la place.
• Je l’ai trouvé, Charles-Antoine a de la chance de posséder autant de livres.
Pourquoi dire à ce garçon que ces livres, c’est moi qui les entasse une fois que je les ai lus?
À deux ou trois par semaine, tous lus ou les mettre et surtout c’est un budget même si mère m’a appris à être économe et que Charles-Henri à la fin du mois reçoit de forts émoluments.
Émoluments car en plus de son salaire, il touche de gros dividende de ses actions boursières.
À ce jeu pour couple riche, il faut reconnaître qu’il touche sa bille.
Mon Dieu que j’aime employer des mots venus du peuple dans ma tête, « toucher sa bille » en fait parti.
« Se caresser le poireau », j’ai entendu ces mots dans la bouche de Charles-Henri, un soir où j’avais traîné dans mon bain avant de le rejoindre dans notre lit et qu’il m’a dit.
• Dépêchez Marie-Charlotte, j’en ai mare de me caresser le poireau !
C’était dans les premières années de notre mariage et j’ai failli lui refuser l’entrée de ma chatte, mon garage à bite.
Ça recommence, ce jeune homme chamboule mes sens et ma vie, bien qu’il ait une tenue exemplaire, comment puis-je employer le mot de « chatte » ou de « garage à bite » ?
• Au revoir, merci et excusez pour le dérangement.
Nous sommes devant la porte d’entrée que je viens d’ouvrir, il passe à me frôler, ma chatte dégouline.
Je sais, j’ai encore employé le mot de « chatte », mais une chatte est une chatte et une mouille est une mouille.
Mon Dieu que je me dévergonde.
• Revenez chercher des livres si vous le désirez, quand vous voulez, ils sont à votre disposition Jean-Charles.
Je ferme la porte sur mes envies me traitant de conne.
Quand il est passé près de moi, sentant son eau de toilette, certainement achetée dans une grande parfumerie des Champs Élysées, ma petite culotte mouille encore plus que tout à l’heure.
Je retourne dans mon salon, j’ai du vague à l’âme, je dors oubliant qu’aujourd’hui j’avais bridge.
Le lendemain 14 heures 30 ça sonne.
Ma bonne vient de partir, j’ai toujours du vague à l’âme ayant passé une nuit affreuse ayant dormi trois heures hier après le passage de Jean-Charles.
Chaque fois que je fermais les yeux de grosses bites, toutes plus grosses les unes que les autres venaient se présenter à ma bouche, et une après l’autre, elles refusaient d’y entrer.
• Jean-Charles, vous ici, déjà ?
Mais vous êtes devenu fou, un garçon si bien élevé hier.
Je suis plaquée contre le mur face à la porte de mon vestibule.
Je voudrais me débattre, mais je coule littéralement.
Ma chatte est en feu.
En un instant, j’efface vingt ans, que dis-je, une vie entière de fidélité quand je l’embrasse fougueusement sur la bouche, jouant la vierge effarouchée.
« Nous » car c’est par fusion qu’elles se retrouvent comme si elles s’étaient manquées depuis des lustres.
• Viens.
Séparation le temps d’aller jusqu’à ma chambre, baiser le long d’un mur un jour je franchirais le pas.
Mon peignoir me quitte en chemin et arrivé à l’endroit où je veux me donner à sa jeune fouge, je lui arrache presque ses vêtements.
Nous roulons sur le lit, comment, je l’ignore, ce que je sais c’est que j’ai enfin sa queue dans ma bouche et que je sens qu’il écarte les lèvres de ma chatte.
Premier frisson adultérin deuxième une fraction de seconde après.
Combien de temps, dans la fouge de sa jeunesse, mon jeune amant me baise.
Impossible à dire, lorsque j’entends.
• Tu y viens enfin Marie-Charlotte, je désespérais de te voir baiser par un autre que moi.
Charles-Henri est assis dans le fauteuil que j’ai mis là trouvant que ça faisait chic un fauteuil dans une chambre.
Il a mon peignoir sur ses genoux.
• Jean-Charles, inutile de fuir, continuez à baiser ma salope de femme.
C’est marrant de venir faire un petit bonjour à sa femme en passant devant chez soi.
J’ai été étonné de trouver la porte de son logement ouverte et le peignoir de sa femme en chemin dans le couloir menant à votre chambre.
Ça a dû être la précipitation que vous avez dû avoir à venir baiser.
Marie-Charlotte, continuez à sucer notre invité.
Je rêve dès le lendemain de nos épousailles de vous trouver dans cette situation et surtout depuis ma naissance de Charles-Antoine.
Continuez à vous faire plaisir.
Si vous en êtes d’accord, surtout toi Jean-Charles, je vous guiderais dans mes fantasmes de faire à ma femme ce que je suis dans l’impossibilité de lui faire par timidité.
Jean-Charles regarde, ma salope a compris que je veux me voir la baiser à travers toi.
Elle a recommencé à te pomper.
Dès que tu es prêt et que tu juges qu’elle mouille assez prend là en levrette.
Juste la chatte pour ce jour, demain ou dans les jours prochain tu la sodomiseras.
Je suis sûr que la chienne qui sommeille en elle se réveillera dès que tu lui défonceras le cul.
Merci mon Dieu, Charles-Henri aime autant que moi les mots orduriers.
Sodomie, c’est le mot satanique que j’aime entendre même si j’ai une petite appréhension.
Appréhension qui pourrait être plus grande pendant ces deux mois de vacances que nous nous accordons entre Jean-Charles jeune bourge, Marie-Charlotte bourge et Charles-Antoine cocu heureux au bord de la piscine de notre villa de Juan-les-Pins.
Jean-charles me sodomise à me faire hurler de plaisir les jambes relevées dégageant mon anus.
Sur le transat voisin Charles-Henri nous regarde s’astiquant le poireau.
Alors que de l’autre côté de notre trio formé pour un long moment, Charles-Antoine suce la verge d’Harry.
Non, pas le prince.
Harry rencontré lors de la soirée où il avait remplacé mon amant et avec lequel il a décidé de faire sa vie en Angleterre après leurs vacances près de nous.
Harry capitaine de l’équipe d’Angleterre de criquet et magnifique noir à la bite démesuréeJe prends énormément de plaisir à me faire sodomiser depuis que Charles-Henri en a donné l’autorisation à mon amant.
Par compte, j’ai mal pour mon fils quand je le vois s’enfoncer ce pieu noir dans le cul.
Bref, une famille de bourges sachant satisfaire leurs fantasmes les plus intimes.
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