COLLECTION CANDAULISME. Ma Femme et mon patron (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION CANDAULISME. Ma Femme et mon patron (2/2)
Lorsque j’ai accepté de venir chez Maxime, nounours pour les intimes, étant velu comme un singe et Cécile sa femme.
J’étais loin de penser que je faisais partie de ceux qui aimaient regarder sa femme se faire baiser.
Mieux, je découvre que ma femme que j’ai dépucelée le soir de nos noces était capable de se laisser pendre devant moi sans plus me poser de questions.
Je me suis endormi au bord de la piscine quand me réveillant je retrouve le trio dans la chambre.
Trio, car les positions de mes patrons et de mon aimée ce matin sur leur lit me montre que le restant de la nuit a été chaud et que Malika a rejoint le cercle des lesbiennes avec Cécile.
Comme le bon toutou que je suis devenu cette nuit, je vais préparer dans la cuisine du café et des croissants.
Tous les trois ont repris une position plus normale que celle où je les ai trouvés en entrant dans la chambre au petit matin.
Certes, à poils, mais assis appuyé à la tête du lit, Malika entre mes patrons.
• Vous voyez, j’avais bien senti l’odeur du café, Malika tu as bien fait d’épouser Sylvain, ton mari a de l’avenir.
Veux-tu que je lui dise ce que je t’ai promis cette nuit avec Cécile ?
• Arrête de le faire languir, il est si gentil avec nous.
C’est sans pudeur que Cécile prononce ces mots, mais a-t-elle tord, il me manque simplement le petit tablier blanc pour être la parfaite soubrette du couple m’employant et de ma femme.
• Demain, Malika aura ses résultats du BTS de comptabilité.
Notre garage prend de l’expansion et Cécile aimerait avoir du renfort.
Son BTS en poche, Malika va entrer dans notre entreprise, si tu en es d’accord bien entendu.
Dans un couple, c’est le mari à qui revient la décision finale.
• Je te serais éternellement reconnaissant d’embaucher Malika.
J’ai envie de lui dire aussi comme j’ai aimé la regarder se faire mettre par ta grosse queue.
Mais le café et les croissants engloutis, je vois Malika reprendre en main la verge patronale et recommencer à la sucer.
Un vrai taureau, car en quelques secondes, il bande déjà.
Cécile écarte ses cuisses comme si elle voulait me provoquer, mais en moi, je sens très bien que je veux seulement les regarder ce que je fais sans aucun scrupule.
Cécile prend la main de ma femme et place ses doigts sur sa fente.
Je regrettais d’avoir loupé le moment où Malika était devenue lesbienne, plutôt bisexuelle à la manière dont elle pompe nounours.
Je suis servi quand quittant la verge, elle se retourne pour venir mettre sa langue certainement sur le clito de notre patronne.
Je l’ai dit, ma femme est une petite poupée très souple et les deux femmes roulant sur le lit, je vois nettement la bouche de ma femme lécher la fente de Cécile.
Sans demander son reste, bien placé comme il est, Nounours prend Malika par les hanches et enfile sa verge, dans l’intimité de ma femme du moins c’est ce que je pense à ce moment.
• Tu vois, ce matin, ça rentre comme dans du beurre.
• Tu vois Maxime, tu hésitais à enculer notre petite Malika en l’absence de Sylvain, j’adore voir ta bite lui défoncer son petit cul fripon.
Merde cette nuit, en m’endormant j’ai loupé le moment ou ma femme est devenue une gouine et a pratiqué sa première sodomie.
Mais je me rattrape en les regardant et bandant.
J’ai mal à ma bite, mais c’est en fin d’après-midi lorsque nous rentrons chez nous que dès la porte de notre appartement franchi, je prends ma femme dans mes bras.
L’endroit le plus proche étant la cuisine, je la pose sur la table et sortant ma verge je la pénètre la faisant jouir comme une chienne qu’elle m’a montré être.
• Merci, tu as accepté que je réalise un grand nombre de mes fantasmes de jeune fille.
Je fais jouir ma femme et je jouis en même temps.
Je sais maintenant que pendant ce week-end, j’ai été un parfait candaulisme en ayant recherché ce mot sur l’ordi que nous avons acheté grâce au travail que ma femme a pris dans le garage.
Le samedi suivant nounours et Cecile sont pris et nous allons chez mes beaux-parents.
Pendant le repas, Adeline ma belle-mère copie conforme de ma femme en un peu plus vieille tortille son cul pour aller chercher les plats.
Je me prends à penser si cette parfaite épouse est aussi une salope voir plus que sa fille capable avec mon accord de se faire défoncer comme elle l’a faite le week-end précédent.
C’est le soir, nous avons un peu trainé demain ces dimanches, je roule quand je vois une boîte que j’ai toujours voulu venir voir ce qu’il se passait.
Une place sur le parking, je me gare, nous entrons.
• Amuse-toi.
Pour s’amuser, elle s’amuse, je me suis arrêté devant un club échangiste.
Je suis assis au bar, Malika est à quelques mètres, une belle rousse l’embrasse à pleine bouche.
Je les vois se diriger vers un couloir sombre, je les suis, une alcôve, Malika me montre qu’elle aime les femmes, mais aussi les verges la défonçant quand deux mecs bien montés viennent les prendre.
Malika me montre la dernière étape qu’elle est capable de franchir surtout en me regardant, les deux sabreurs délaissent la belle rousse partant vers un couple non loin de la banquette où je la regarde se faire baiser.
Cette étape, c’est une prise en double pénétration qu’elle me montre.
Comme avec nounours et Cécile, c’est dès que nous sommes chez nous que dès l’entrée franchie, je la baise autant que la baiser est possible.
Les jours passent, à l’atelier, je vois souvent par la fenêtre permettant à nos patrons de voir qui arrivent, Malika dans une situation sans aucune équivoque.
Nounours là baise au moins deux à trois fois par jour dès que l’occasion se présente.
À aucun moment je m’offusque d’être cocu par celui qui fait vivre notre couple, dès notre retour après le travail Malika se donne éperdument.
Un jour, je suis dans la réserve à pièces usagées, mais pouvant encore servir.
J’ai demandé à Malika, la différence entre deux pièces neuves ou usagées, après le budget que je sais possible pour un client.
À temps perdu, qui sont rares, nous récupérons ces pièces non sécurité qui nous permet d’aider nos clients qui en sont reconnaissants.
Ce sont surtout des vieilles voitures rares, mises en épaves.
Nous les désossons ce qui nous permet d’élargir notre clientèle collectionneuse et qui trouve tous chez nous.
Le rétro, les jantes ou autre levier de boîte de vitesses avec pommeau en bois rare.
C’est pour nous que je cherche un rétro de la vieille Ford Cortina rouge de 1970.
J’ai remonté ce modèle, il y a deux mois et malencontreusement Malika a arraché le rétro en sortant du chemin de forêt où je l’avais conduit en sortant du club échangiste.
Malika avait tellement été ma petite salope qu’il m’avait été impossible d’attendre la maison pour lui enfiler ma queue.
Dans nos ébats, j’étais sur le siège conducteur sur le siège et dans cet espace restreint, c’est Malika qui s’est retrouvée à la place du conducteur après que je l’ai fait hurler de plaisir de baiser.
La voir se faire sauter par plusieurs partenaires masculins et féminins avait décuplé le plaisir de la prendre.
Je monte donc dans la réserve, Malika, c’est donc que je suis là lorsque j’entends la porte s’ouvrir.
• Malika, je t’ai demandé de monter jusqu’ici, car je sais que tu trompes Sylvain avec nounours.
Je suis puceau et je veux que tu m’aides à le perdre, je te jure ce sera la seule fois où je te demanderais de faire l’amour pour éviter de prendre des risques dans ton couple.
Pauvre petit con, c’est Alain, le jeune apprenti en alternance finissant sa dernière année qui vient d’entrer avec ma femme.
Elle sait que je venais là et avait certainement eu affaire à ce jeune puceau qui l’avait entreprise.
Elle sait donc que je suis là, ils ont refermé la porte et Alain, beau garçon il est vrai la tient fermement le long du mur, il a pris du muscle depuis le premier jour où je l’ai vu arriver.
Il a ouvert sa cote de travail et a sorti son sexe, je vois Malika lui offrir sa bouche et sa main saisir sa verge.
Je suis aux anges de voir ma petite femme aux mains calleuses, comme les miennes, d’Alain avec ce nouveau partenaire.
Il lui bouffe les seins autant que sa bouche.
Malika porte ce matin-là un short ras sa moule certainement plus facile quand le gros nounours veut la baiser.
Son short tombe à ses pieds, ce matin lorsqu’elle s’est habillée, j’ai bien vu qu’elle mettait short et débardeur sans soutien-gorge, mais avec une petite culotte.
Elle la met juste lorsqu’elle a ses règles, nounours la baise dans ces périodes, les grandes eaux rouges, moi j’évite, c’est loin d’être mon truc.
Lorsque avec sa main il écarte la culotte de ma belle, je sais que pour son dépucelage, Alain va se retrouver à baigner dans une mer de couleur rouge.
Comme avec mon patron, Alain la soulève écarte le tissu sans voir la serviette périodique et perd sa rondelle dans la chatte de mon épouse.
Je suis si prêt que derrière mon casier où se trouve le rétro que j’ai trouvé je la regarde aussi intensément qu’elle me regarde.
Ils finissent leur affaire et quittent la pièce.
Je descends, sors par l’arrière et je reviens par l’avant comme si je travaillais à l’extérieur.
Alain est là et je vois par la fenêtre que Malika de retour dans le bureau.
• Alain, que t’arrive-t-il, tu as tes ours, ta cote est pleine de sang !
Alain baisse ses yeux et constate la tache que ses ébats avec mon épouse à laisser en souvenir de son dépucelage.
Je passe mon chemin, retourant à ma caisse remonter mon rétro.
Voilà, j’arrive presque à l’épilogue de ma vie avec ma femme, aimant se faire baiser par tout ce qui bouge, mais la plupart du temps lorsque je peux regarder.
Nous sommes au bord de la piscine de nounours et de Cécile, Malika enceinte de moi.
Je vois les septiques se demander comment sais-je que l’enfant est de moi !
Sans en avoir parlé, Malika a refusé tout acte sexuel avec un autre que moi avant d’avoir ses règles et après que nous ayons baisé autant que je le pouvais sa période terminée.
Nous sommes donc au bord de la piscine de mes patrons, pardons associés.
Nounours jouait au loto sans jamais rien gagner.
Bigo, quatre millions d’euros.
Ils ont acheté une villa sur la côte avec piscine et pris leur retraite, me cédant le garage contre un modeste loyer, plus que modeste d’ailleurs.
J’ai un seul problème pour le moment, regarder ma femme se faire baiser, surtout avec le bébé.
Soyez sans crainte, je vais pouvoir assouvir mes besoins de candaulisme, chaque mois, Adeline sa maman nous a promis de garder bébé pour que nous ayons une soirée en amoureux.
Il va sans dire que nous retournerons à notre club échangiste que j’ai fait connaitre à Alain.
J’ai aussi embauché Michelle, sa fiancée qui remplace Cécile et se gouine avec Malika elle aussi adepte de l’échangisme, c’est dans le club qu’Alain l’a encontré.
Je vous laisse, Malika vient de reprendre son travail après sa grossesse et Alain vient de lui demander, de venir l’aider à trouver une pièce dans la réserve, il l’a cherché sans la trouver.
Le spectacle pour un mari candaulisme est de retour.
J’étais loin de penser que je faisais partie de ceux qui aimaient regarder sa femme se faire baiser.
Mieux, je découvre que ma femme que j’ai dépucelée le soir de nos noces était capable de se laisser pendre devant moi sans plus me poser de questions.
Je me suis endormi au bord de la piscine quand me réveillant je retrouve le trio dans la chambre.
Trio, car les positions de mes patrons et de mon aimée ce matin sur leur lit me montre que le restant de la nuit a été chaud et que Malika a rejoint le cercle des lesbiennes avec Cécile.
Comme le bon toutou que je suis devenu cette nuit, je vais préparer dans la cuisine du café et des croissants.
Tous les trois ont repris une position plus normale que celle où je les ai trouvés en entrant dans la chambre au petit matin.
Certes, à poils, mais assis appuyé à la tête du lit, Malika entre mes patrons.
• Vous voyez, j’avais bien senti l’odeur du café, Malika tu as bien fait d’épouser Sylvain, ton mari a de l’avenir.
Veux-tu que je lui dise ce que je t’ai promis cette nuit avec Cécile ?
• Arrête de le faire languir, il est si gentil avec nous.
C’est sans pudeur que Cécile prononce ces mots, mais a-t-elle tord, il me manque simplement le petit tablier blanc pour être la parfaite soubrette du couple m’employant et de ma femme.
• Demain, Malika aura ses résultats du BTS de comptabilité.
Notre garage prend de l’expansion et Cécile aimerait avoir du renfort.
Son BTS en poche, Malika va entrer dans notre entreprise, si tu en es d’accord bien entendu.
Dans un couple, c’est le mari à qui revient la décision finale.
• Je te serais éternellement reconnaissant d’embaucher Malika.
J’ai envie de lui dire aussi comme j’ai aimé la regarder se faire mettre par ta grosse queue.
Mais le café et les croissants engloutis, je vois Malika reprendre en main la verge patronale et recommencer à la sucer.
Un vrai taureau, car en quelques secondes, il bande déjà.
Cécile écarte ses cuisses comme si elle voulait me provoquer, mais en moi, je sens très bien que je veux seulement les regarder ce que je fais sans aucun scrupule.
Cécile prend la main de ma femme et place ses doigts sur sa fente.
Je regrettais d’avoir loupé le moment où Malika était devenue lesbienne, plutôt bisexuelle à la manière dont elle pompe nounours.
Je suis servi quand quittant la verge, elle se retourne pour venir mettre sa langue certainement sur le clito de notre patronne.
Je l’ai dit, ma femme est une petite poupée très souple et les deux femmes roulant sur le lit, je vois nettement la bouche de ma femme lécher la fente de Cécile.
Sans demander son reste, bien placé comme il est, Nounours prend Malika par les hanches et enfile sa verge, dans l’intimité de ma femme du moins c’est ce que je pense à ce moment.
• Tu vois, ce matin, ça rentre comme dans du beurre.
• Tu vois Maxime, tu hésitais à enculer notre petite Malika en l’absence de Sylvain, j’adore voir ta bite lui défoncer son petit cul fripon.
Merde cette nuit, en m’endormant j’ai loupé le moment ou ma femme est devenue une gouine et a pratiqué sa première sodomie.
Mais je me rattrape en les regardant et bandant.
J’ai mal à ma bite, mais c’est en fin d’après-midi lorsque nous rentrons chez nous que dès la porte de notre appartement franchi, je prends ma femme dans mes bras.
L’endroit le plus proche étant la cuisine, je la pose sur la table et sortant ma verge je la pénètre la faisant jouir comme une chienne qu’elle m’a montré être.
• Merci, tu as accepté que je réalise un grand nombre de mes fantasmes de jeune fille.
Je fais jouir ma femme et je jouis en même temps.
Je sais maintenant que pendant ce week-end, j’ai été un parfait candaulisme en ayant recherché ce mot sur l’ordi que nous avons acheté grâce au travail que ma femme a pris dans le garage.
Le samedi suivant nounours et Cecile sont pris et nous allons chez mes beaux-parents.
Pendant le repas, Adeline ma belle-mère copie conforme de ma femme en un peu plus vieille tortille son cul pour aller chercher les plats.
Je me prends à penser si cette parfaite épouse est aussi une salope voir plus que sa fille capable avec mon accord de se faire défoncer comme elle l’a faite le week-end précédent.
C’est le soir, nous avons un peu trainé demain ces dimanches, je roule quand je vois une boîte que j’ai toujours voulu venir voir ce qu’il se passait.
Une place sur le parking, je me gare, nous entrons.
• Amuse-toi.
Pour s’amuser, elle s’amuse, je me suis arrêté devant un club échangiste.
Je suis assis au bar, Malika est à quelques mètres, une belle rousse l’embrasse à pleine bouche.
Je les vois se diriger vers un couloir sombre, je les suis, une alcôve, Malika me montre qu’elle aime les femmes, mais aussi les verges la défonçant quand deux mecs bien montés viennent les prendre.
Malika me montre la dernière étape qu’elle est capable de franchir surtout en me regardant, les deux sabreurs délaissent la belle rousse partant vers un couple non loin de la banquette où je la regarde se faire baiser.
Cette étape, c’est une prise en double pénétration qu’elle me montre.
Comme avec nounours et Cécile, c’est dès que nous sommes chez nous que dès l’entrée franchie, je la baise autant que la baiser est possible.
Les jours passent, à l’atelier, je vois souvent par la fenêtre permettant à nos patrons de voir qui arrivent, Malika dans une situation sans aucune équivoque.
Nounours là baise au moins deux à trois fois par jour dès que l’occasion se présente.
À aucun moment je m’offusque d’être cocu par celui qui fait vivre notre couple, dès notre retour après le travail Malika se donne éperdument.
Un jour, je suis dans la réserve à pièces usagées, mais pouvant encore servir.
J’ai demandé à Malika, la différence entre deux pièces neuves ou usagées, après le budget que je sais possible pour un client.
À temps perdu, qui sont rares, nous récupérons ces pièces non sécurité qui nous permet d’aider nos clients qui en sont reconnaissants.
Ce sont surtout des vieilles voitures rares, mises en épaves.
Nous les désossons ce qui nous permet d’élargir notre clientèle collectionneuse et qui trouve tous chez nous.
Le rétro, les jantes ou autre levier de boîte de vitesses avec pommeau en bois rare.
C’est pour nous que je cherche un rétro de la vieille Ford Cortina rouge de 1970.
J’ai remonté ce modèle, il y a deux mois et malencontreusement Malika a arraché le rétro en sortant du chemin de forêt où je l’avais conduit en sortant du club échangiste.
Malika avait tellement été ma petite salope qu’il m’avait été impossible d’attendre la maison pour lui enfiler ma queue.
Dans nos ébats, j’étais sur le siège conducteur sur le siège et dans cet espace restreint, c’est Malika qui s’est retrouvée à la place du conducteur après que je l’ai fait hurler de plaisir de baiser.
La voir se faire sauter par plusieurs partenaires masculins et féminins avait décuplé le plaisir de la prendre.
Je monte donc dans la réserve, Malika, c’est donc que je suis là lorsque j’entends la porte s’ouvrir.
• Malika, je t’ai demandé de monter jusqu’ici, car je sais que tu trompes Sylvain avec nounours.
Je suis puceau et je veux que tu m’aides à le perdre, je te jure ce sera la seule fois où je te demanderais de faire l’amour pour éviter de prendre des risques dans ton couple.
Pauvre petit con, c’est Alain, le jeune apprenti en alternance finissant sa dernière année qui vient d’entrer avec ma femme.
Elle sait que je venais là et avait certainement eu affaire à ce jeune puceau qui l’avait entreprise.
Elle sait donc que je suis là, ils ont refermé la porte et Alain, beau garçon il est vrai la tient fermement le long du mur, il a pris du muscle depuis le premier jour où je l’ai vu arriver.
Il a ouvert sa cote de travail et a sorti son sexe, je vois Malika lui offrir sa bouche et sa main saisir sa verge.
Je suis aux anges de voir ma petite femme aux mains calleuses, comme les miennes, d’Alain avec ce nouveau partenaire.
Il lui bouffe les seins autant que sa bouche.
Malika porte ce matin-là un short ras sa moule certainement plus facile quand le gros nounours veut la baiser.
Son short tombe à ses pieds, ce matin lorsqu’elle s’est habillée, j’ai bien vu qu’elle mettait short et débardeur sans soutien-gorge, mais avec une petite culotte.
Elle la met juste lorsqu’elle a ses règles, nounours la baise dans ces périodes, les grandes eaux rouges, moi j’évite, c’est loin d’être mon truc.
Lorsque avec sa main il écarte la culotte de ma belle, je sais que pour son dépucelage, Alain va se retrouver à baigner dans une mer de couleur rouge.
Comme avec mon patron, Alain la soulève écarte le tissu sans voir la serviette périodique et perd sa rondelle dans la chatte de mon épouse.
Je suis si prêt que derrière mon casier où se trouve le rétro que j’ai trouvé je la regarde aussi intensément qu’elle me regarde.
Ils finissent leur affaire et quittent la pièce.
Je descends, sors par l’arrière et je reviens par l’avant comme si je travaillais à l’extérieur.
Alain est là et je vois par la fenêtre que Malika de retour dans le bureau.
• Alain, que t’arrive-t-il, tu as tes ours, ta cote est pleine de sang !
Alain baisse ses yeux et constate la tache que ses ébats avec mon épouse à laisser en souvenir de son dépucelage.
Je passe mon chemin, retourant à ma caisse remonter mon rétro.
Voilà, j’arrive presque à l’épilogue de ma vie avec ma femme, aimant se faire baiser par tout ce qui bouge, mais la plupart du temps lorsque je peux regarder.
Nous sommes au bord de la piscine de nounours et de Cécile, Malika enceinte de moi.
Je vois les septiques se demander comment sais-je que l’enfant est de moi !
Sans en avoir parlé, Malika a refusé tout acte sexuel avec un autre que moi avant d’avoir ses règles et après que nous ayons baisé autant que je le pouvais sa période terminée.
Nous sommes donc au bord de la piscine de mes patrons, pardons associés.
Nounours jouait au loto sans jamais rien gagner.
Bigo, quatre millions d’euros.
Ils ont acheté une villa sur la côte avec piscine et pris leur retraite, me cédant le garage contre un modeste loyer, plus que modeste d’ailleurs.
J’ai un seul problème pour le moment, regarder ma femme se faire baiser, surtout avec le bébé.
Soyez sans crainte, je vais pouvoir assouvir mes besoins de candaulisme, chaque mois, Adeline sa maman nous a promis de garder bébé pour que nous ayons une soirée en amoureux.
Il va sans dire que nous retournerons à notre club échangiste que j’ai fait connaitre à Alain.
J’ai aussi embauché Michelle, sa fiancée qui remplace Cécile et se gouine avec Malika elle aussi adepte de l’échangisme, c’est dans le club qu’Alain l’a encontré.
Je vous laisse, Malika vient de reprendre son travail après sa grossesse et Alain vient de lui demander, de venir l’aider à trouver une pièce dans la réserve, il l’a cherché sans la trouver.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Bob, je suis content de te plaire dans mes écrits
"ma femme que j’ai dépucelée le soir de nos noces était capable de se laisser pendre devant moi sans plus me poser de questions".
J'adore comment vous introduisez votre récit. Tout simplement
Bob
J'adore comment vous introduisez votre récit. Tout simplement
Bob