COLLECTION CANDAULISME. Qui m’aurait dit que j’aime le regarder baiser (2/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION CANDAULISME. Qui m’aurait dit que j’aime le regarder baiser (2/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2023 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION CANDAULISME. Qui m’aurait dit que j’aime le regarder baiser (2/3)
C’est loupé.
Je voulais que Jules, mon mari, fasse l’amour à ma copine Sophie devant moi, raté.
J’y ai pourtant cru lorsqu’elle a subi une crampe dans notre piscine et qu’elle a failli se noyer.
En preu chevalier, mon mari nageant devant elle la prit dans ses bras musclés et l’a ramenée sur la terre ferme.
Dans la panique, Sophie avait perdu son soutien lolos nous montrant ses seins fort beau qui plus est.
J’aurais espéré qu’il en profite, alors qu’elle était allongée sur notre pelouse pour lui enlever son bas de Bikini et la dépuceler.
Eh oui, à vingt-trois ans, mon amie m’a fait la confidence qu’elle était doublement vierge.
De la chatte et de son signe du Zodiac.
Ce couillon, j’allais écrire ce « con », se relève et part chercher du digestif pour remettre mon amie en pleine forme.
Sa bite aurait pu lui faire le même effet et surtout m’aurait rasséréné sur la suite de sa vie si je disparais.
En effet, je suis sous chimiothérapie, ce qui me fatigue énormément, car l’on m’a détecté un cancer du sein.
Il va falloir trouver une autre solution à mon problème.
C’est là que je pense à Internet.

• Chez vous ou chez nous ?
• Chez nous le week-end prochain, la météo prévoit du beau temps, nous pourrons rester au bord de la piscine.

Ariella et Christian, un couple de notre âge.
C’est avec Ariella que je discute, d’abord sur un site de rencontres par clavier interposé et de vive voix sur nos portables.
Que dire à Jules, j’ai invité un couple rencontré sur Internet et qui sont des libertins ?
C’est voué à l’échec, il refusera de les recevoir.
Nous tombons d’accord sur un scénario où j’ai connu Ariella dans ma jeunesse et de passage dans notre région elle s’est souvenue de moi et a souhaité me retrouver.
Elle a l’habitude de ce monde du libertinage, le reste viendra de lui-même.
Même le fait que je sois passive, nous réglons le problème et comme pour le reste, elle est sûre que ça suivra.
Ça marche, je vois leur voiture franchir le portail de notre propriété.
Élégante, Ariella s’habille plus jeune que moi, elle doit trouver ses affaires dans les rayons pour jeunes filles, ce qui lui permet de trouver des vêtements plus tendance jeune.
Elle est en cuissardes, on dirait D’Artagnan.
Chemisier blanc sur des seins où l’on voit ses aréoles, un vrai pousse au viol et une mini, très mini, très très mini, Christian, lui est habillé sport.

• Votre voiture est très silencieuse.
• Oui, c’est une électrique le dernier modèle d’Audi.
• Messieurs, si vous commencez à parler bagnole, avec Alice, nous partons au restaurant, Christian donne moi les clefs !

Directe, Ariella relève ses grosses lunettes de soleil nous montrant ses magnifiques yeux vairons à tendance verts.

• Jules, votre piscine est magnifique, tu permets, Christian a horreur de la clim et avec cette chaleur, je coule de partout.

Pour être directe, c’est direct, surtout quand joignant le geste à la parole elle fait tomber ses vêtements qu’elle place sur le dossier d’une des chaises et ses cuissardes.
J’ai déjà vu qu’elle avait les seins libres lorsque nous nous sommes embrassés comme peuvent le faire de vieilles amies.
Alors que je reprends place sur mon transat que j’ai quitté lorsque je les ai entendus arriver, lorsqu’elle enlève ses cuissardes et pantalon trois quarts, sa chatte est libre de tous sous-vêtements.
Jules semble étonné, mais je le connais, il fera tout pour me faire plaisir, c’est ma copine et lorsqu’elle court vers la piscine nue comme un ver de terre, il enlève ses vêtements et la suis.

« Je m’occuperais du reste ».

Ce sont quelques mots que nous avions échangés.
Alors que Christian vient me rejoindre s’assayant près de moi sur la pelouse, mon mari et ma soi-disant amie nagent comme Jules l’avait fait avec Sophie.
La différence, c’est qu’elle est plus sportive que Sophie et qu’elle tient la distance.
C’est après quelques allées et retours que Jules rend les armes, mais la coquine fait encore un tour et lorsqu’elle arrive à sa hauteur, elle finit ses bras autour de son cou.
Je me demandais comment elle allait s’y prendre, je comprends au mouvement de sa main sous l’eau et au regard de Jules, qu’elle s’attaque déjà à sa verge.
Mon homme me regarde, mon sourire lui montre que j’accepte qu’il aille plus loin et je le vois prendre les lèvres de mon amie de jeunesse.
Une vraie salope, aurais-je eu le courage d’en faire autant, mais voir mon mari baiser avec une autre me fait un effet très positif.
J’aime regarder mon mari avec une autre que moi, inversant les rôles du candaulisme souvent venant des hommes offrant leurs femmes aux jeux érotiques d’autres hommes.
Christian pour sa part me montre que de voir sa femme dans les bras de Jules lui fait de l’effet, je vois son pantalon se tendre, le pauvre chou semble à l’étroit dans son carcan.
Il fait un geste de la main, vers moi, je l’arrête.

• Christian, Ariella t’a prévenu, tu vois mon turban, je fais des rayons, j’ai fait une séance aujourd’hui et ça me fatigue énormément.
Va les rejoindre, je suis bien, sur mon transat, à ce que je vois, Ariella saura s’occuper de vous deux.

Christian se lève se met nu, ils sont là ou ils ont pied, ils les rejoignent, j’ai le temps de voir sa verge qui en d’autres temps et avec l’accord de Jules m’aurait peut-être intéressé.
Je mesure, le chemin fait depuis le pensionnat et les rigueurs familiales, mais la maladie et la peur que Jules me reste fidèle alors que j’aurais rejoint le haut delà, me donnent des ailes.
Jules, semble se reprendre lorsque Christian arrive à la hauteur de ce que j’espère être bientôt des amants.
Il revient jusqu’aux marches et beaux avec sa force de l’âge vient vers moi.

• Chérie, ton amie est directe, il semble que ce soit des libertins.
J’ai failli craquer, depuis la découverte de ton problème de santé, l’amour physique nous est interdit, car les rayons te fatiguent.
Tu sais comme j’aime te faire l’amour chaque fois que nous le pouvons.

Jules est assis me montrant sa verge toujours bandant malgré l’eau froide.
Je pose ma main dessus.

• Chéri, je veux bien te masturber pour te faire éjaculer, mais reconnais que ce serait frustrant pour toi.
J’ai bien vu que mon amie t’intéresse, va les rejoindre, je suis bien là à vous regarder.

Mon mari se relève, m’embrasse sur le front et retourne vers l’eau, flamberge au vent.
Semblant attendre, Ariella est dans les bras de son mari, Jules vient se coller à elle.
Je suis un peu frustré, il semble que leurs jeux de mains et de sexes se passent sous l’eau.
Ariella pense-t-elle à moi, elle embrasse tour à tour les deux garçons, se dégage et sort de l’eau suivie de ses deux étalons.
Jules a été le premier homme que j’ai vu nu, d’un coup je multipliais ce nombre par deux.
Je sais que des hommes peuvent avoir des tailles différentes, ces deux-là pourraient être jumeaux.
Ariella rejoignant les marches la première, elle se pose suivie de Jules qui se couche à ses côtés l’attrapant par les hanches.
Christian les rejoint, c’est à ce moment que l’impensable se produit, obligeant ma main à rejoindre ma chatte par-dessus mon maillot de bain une pièce.
Je m’attendais à ce qu’il se place derrière sa femme, mais c’est derrière mon homme qu’il se positionne.
Tour à tour, Jules embrasse Ariella puis Christian.
Je vois très bien la main de ce dernier contourner mon mari et venir lui caresser la verge.
Les trois semblent dans leur monde, moi je rentre dans le mien nouveau pour moi.
Celui du candaulisme féminin prenant plaisir, les surplombant à voir mon mari écarter une jambe pour que Christian le pénètre.
De son côté, la main d’Ariella rejoint la verge de Jules ou elle doit retrouver la main de son mari.
C’est en plein brouillard que je vois Jules se faire sodomiser me montrant qu’il est pédé.
Je comprends mieux pourquoi il a refusé de baiser Sophie, mais ça m’interroge sur notre mariage, pourquoi moi j’ai réussi à le mettre dans mon lit le jour de notre mariage.
Ariella soulève sa jambe libre et les deux s’emboîtent parfaitement.
Mes doigts contournent le tissu et je retrouve mes habitudes de pensionnat lorsque je m’isolais dans les toilettes pour me procurer une brève décharge sur mon clito.
Je voulais que Jules continue sa vie après moi, je crois que quelque chose l’a rattrapé alors que j’en ignore tout.
Christian semble avoir eu toutes les facilités du monde à faire céder mon mari sous ses coups de boutoir qui doivent se répercuter dans le sexe d’Ariella lorsque les cris de plaisir des trois se font entendre.
Je vois et j’entends, je vois et je suis surprise de cette découverte, Jules est à voile et à vapeur.
Ou ai-je entendu cette expression ?
Annie, mon amie de pensionnat ?
Non, aucun souvenir de moment entre nous où des mots ont été prononcés, certainement dans un film, voire porno, Jules me les ayant fait découvrir depuis que nous avons Canal du samedi soir.
Les amants se séparent, Jules va au buffet me préparer une assiette avant que la soirée se termine, complètement différente de ce que j’avais imaginé.
Le couple parti avec des promesses de nous revoir, j’ai pris mon bain sous la douche lorsque Jules me rejoint dans notre lit et ce blotti dans mes bras.

• Explique-moi mon chéri...

Les avis des lecteurs

Merci je ne maitrise pas la publication

Histoire Erotique
Ouais Jules, explique toi et vite!

Histoire Erotique
Toujours aussi bien



Texte coquin : COLLECTION CANDAULISME. Qui m’aurait dit que j’aime le regarder baiser (2/3)
Histoire sexe : Une rose rouge
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