COLLECTION CANDAULISME. Qui m’aurait dit que j’aime le regarder baiser (3/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION CANDAULISME. Qui m’aurait dit que j’aime le regarder baiser (3/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION CANDAULISME. Qui m’aurait dit que j’aime le regarder baiser (3/3)
• Explique-moi mon chéri ?

C’est les mots que je prononce lorsque je suis dans les bras de mon mari après la vision que j’ai eue de Jules se faisant sodomiser.

• Il est temps que je m’explique sur ma vie avant notre rencontre et notre mariage ma chérie, j’ai été un peu trop personnelle sur cette affaire.
Dans nos familles, tu sais que la façade doit être toujours parfaite, il faut savoir effacer les scandales.
À seize ans, j’ai rencontré Louis, fils de nos paysans exploitant l’une des fermes de notre famille.
La campagne raisonnait de notre amour, mais mon père l’a su.
Le bail des parents de Louis venant à expiration, mon père a refusé de le renouveler.
Ils sont partis, mais l’amour de ma jeunesse, ayant mal supporté notre rupture a pris sa Mobylette et a foncé sur la route jusqu’à ce qu’il rentre dans un camion.
Il repose au cimetière et je suis celui qui dépose une rose blanche chaque anniversaire de sa mort sur sa tombe.
Mes parents se sont arrangés pour me faire rencontrer une jeune fille de bonne famille.
C’est toi ma chérie et je te promets qu’à part cette rose, je t’aime.
Lorsque j’ai senti que Christian avait des envies de me prendre comme Louis le faisait, je me suis laissé faire.
Ça devait être le souvenir du passé et comme il est peu recommandé de faire l’amour avant ta guérison, j’ai aimé retrouver les sensations de ma jeunesse.

Comment lui avouer que de le voir se faire enculer m’a apporté un plaisir plus grand que lorsque sa queue venait en moi ?
Je m’endors avec une idée derrière la tête, je la mets en pratique deux jours plus tard.

• Chéri, va mettre ton smoking, nous avons une invitée ce soir.

Bien sûr, il veut savoir qui viendra, mais je tiens bon et vers 20 heures, j’ai mis les petits plats dans les grands, cuisinée malgré ma fatigue, j’ai eu mes rayons ce matin.

• Sophie entre, Jules a souhaité que je t’appelle lorsque je lui ai expliqué que l’autre week-end, il t’a laissé pratiquement en plan alors que nous espérions qu’il t’ôte ton hymen.
C’est dommage, ce soir il pleut, sinon nous aurions pu reprendre là où vous êtes séparés alors que j’espérais plus.
• Attends, Alice, tu avais invité notre belle amie pour que je lui fasse l’amour devant toi !
• Oui, comme tu l’as faite avec nos amis Ariella et Christian l’autre jour.
Aujourd’hui, c’est moi qui prends les choses en mains, je suis maîtresse de vos jeux et je serais enchantée de vous voir faire des choses avant de prendre l’apéro.
Pour commencer, Sophie, je voudrais que tu sortes la bite de mon mari pour le sucer sans le faire décharger.
Ce sera comme l’on dit une mise en bouche avant ton dépucelage au moment du dessert.
Faite comme si j’étais absente, je vais dans la cuisine arroser mon poulet aux chanterelles qui cuit au four.
Je vous le rappelle, je suis maîtresse de cette soirée à commencer par ce que nous allons manger !

Bien sûr, je passe dans la cuisine, un jour, j’ai vu que sous un certain angle, une glace placée dans la salle me permettait de voir sans que l’inverse soit vrai.
Sophie s’agenouille devant Jules et un à un fait sauter les boutons et finit par sortir la verge de sa cachette.
J’ignore où elle a appris à sucer des bites, puisqu’elle est vierge, un peu comme Jules m’ayant caché son homosexualité de jeunesse et le décès de son amant et non moins copain d’enfance.
Lorsqu’elle lui caresse les couilles, ma main retrouve de nouveau ma chatte en se glissant dans ma petite culotte.
Je suis aux anges, mais j’ai les jambes flageolantes lorsque je la vois sucer toute la longueur du sexe de mon mari.
Je prends une chaise et je m’assieds, évitant de perdre une miette de ce moment divin où un homme rencontre sexuellement une femme pour la première fois.
Je vois Jules tenir la tête de mon amie et contrairement à ce que je lui ai demandé, déchargé sur les amygdales de Sophie.
La coquine déglutie, elle vient de réaliser ce que j’ai toujours évité de faire avec la verge familiale, boire le sperme à la source.
Je jouis en même temps que Jules, mais simplement à les regarder faire.

• À table, Jules sert une coupe de champagne à Sophie, les amuse-bouche sont chauds comme ce que tu viens d’avaler ma chérie.

Sophie devient rouge pivoine, ça tombe bien, c’est la période et j’en ai cueilli quelques branches pour les mettre dans un vase au centre de notre table.

• Jules ici, Sophie à ses côtés, moi je suis en face, j’aurais moins de chemin à faire pour aller en cuisine.
Une nouvelle fois, je vous rappelle que je veux tout voir de ce qui va se passer et que je vais vous imposer.
Jules pose ta main sur la cuisse de Sophie à la lisière de sa petite culotte.
• Alice, j’ai honte, ce doit être la maladie qui te fait tourner la tête ?
• Ma maladie, elle me rend clairvoyante, si Jules reste sans sa dose de sexe, il va faire ce qu’il faut pour l’avoir, là je me sentirais cocufier.
Alors que si c’est moi qui dirige ses besoins, je resterais celle qui aura apporté à mon mari ce que je suis dans l’impossibilité de lui donner.
Glisse ta main et caresse lui le clito, la table me cache ce que tu vas lui faire, mais à la figure que tu vas me montrer Sophie, je saurais qu’il te donne du plaisir.

Jules a compris le jeu et mon amie aussi, sa main par sous la table et quelques secondes après Sophie commence à haleter.
J’en fais de même avec ma propre main sans trop insister, je veux métriser mes émotions.

• Attention Jules un seul doigt, tu dois sentir que ça te résiste, tu défloreras son hymen à la fin du repas.
Vie la chance que tu as d’être le premier comme, tu l’as été pour moi.
• Chéri, je t’aime, comme j’aime ce que je fais à Sophie, dommage que j’ai perdu du temps la première fois en sortant de la piscine !

Sophie doit avoir un clito bien sensible, car elle se pince les lèvres au fur et à mesure que le plaisir doit monter en elle.
Je décide d’arrêter ce petit jeu, il faut savoir attendre pour que le plaisir soi plus grand et surtout plus fort.
On sait bien que l’amour, ça donne faim, les mains revenues sur la table, je vais chercher le poulet.
De petit regard complice me montre que le futur couple est dans l’attente de mes ordres pour continuer.
Je m’amuse de la situation et jusqu’au dessert un macaron géant au café.
J’ai tout préparé sauf ce dessert que j’ai acheté à la pâtisserie du coin.
La serveuse m’a demandé des nouvelles de ma santé, les situations se propagent vite dans notre petit quartier résidentiel.
Alors vient le moment de faire entrer Sophie dans le monde des femmes dépucelées.
Je place les assiettes, verres et couverts sur la desserte à côté du reste du macaron.

• Déshabilliez-vous, Jules il va falloir reprendre le sport dès que je le pourrais, tu commences à avoir des poignées d’amour ?
Sophie va sur le canapé et couche toi les cuisses écartées.

Le futur couple s’exécute et Sophie me montre sa chatte rasée de prés, elle a dû le faire elle-même comme moi je garde un triangle de poils très ras chez mon esthéticienne chaque semaine.
Avant ma maladie, j’allais un jour par semaine à mon salon de beauté et je me faisais coiffer.
Le temps passé dans les mains de Gilles, ma coiffeuse est du temps gagné, elle me rase les quelques cheveux qu’ils me restent avant qu’elle me remette mon turban.

• Jules, Sophie t’a fait une fellation, bouffe lui la chatte, toi, je vois que tu bandes déjà.

Je donne les ordres, ils s’exécutent, j’avance ma chaise avant de m’assoir et d’assister à ce spectacle me montrant que mon mari est capable de baiser une autre femme que moi.
Ça me rassure, si l’issue de ma maladie m’est fatale, ce couple aura peut-être envie de se reformer et mon mari pourra refaire sa vie.
C’est moi qui prends la verge familiale et qui la place à l’orer du vagin de mon amie.
Au moment où elle entre, après une grande poussée, je vois quelques gouttes de sang sortir entre verge et cavité vaginale.
Sophie est une femme maintenant.

Voilà mon histoire pourrait s’arrêter là classiquement.
Je suis morte, ils ont refait leur vie après un temps de veuvage assez long sans trop quand même.
Mais il y a une autre fin à mon aventure.
Je gagne la course contre la maladie, mais dans cette période j’ai découvert ma vraie nature, même si avec Jules nous avons repris nos jeux amoureux.
J’aime, non, j’adore voir mon mari et nos amis faire l’amour.
Je suis mœlleusement installée sur un canapé en velours rouge dans le club échangiste qu’Ariella et Christian fréquentaient avant de venir batifoler dans notre piscine.
Sophie est là aussi ainsi que Franck et Sofiane d’autres échangistes qui ont partagé notre piscine et mon mari alors que je me délectais à les regarder.

• Inutile, de venir essayer de me sauter, je regarde mon mari avec ses amis et amies, je suis candaulisme.
• Ça fait deux fois qu’avec Jeannine, ma femme, c’est la rousse qui se fait enculer par votre mari, Jules je crois, nous venons dans ce club !
• Oui, vous avez raison sur mon mari !
• Je suis aussi candaulisme, j’adore voir Jeannine faire l’amour avec d’autres, je vous propose de voir notre plaisir ensemble, vous me tiendrez compagnie.

Un candaulisme au masculin ou « une » au féminin étant plus rare, Jeannine et Charles viennent chez nous comme nous allons chez eux.
Tout notre petit monde s’ébat alors que j’avais une sainte frayeur que Jules me pleur si je me retrouvais dans une petite urne.
Le trop-plein, c’est de l’anus de Jules que je le vois, lorsque le sperme sort du méga sexe d’Amadou.
C’est un autre nouvel ami, qui vient de l’enculer pour son plus grand plaisir à deux mètres de moi.

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