COLLECTION CANDAULISME. Une petite envie présente. (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION CANDAULISME. Une petite envie présente. (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2021 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION CANDAULISME. Une petite envie présente. (1/1)
• Mon amour, tu savais que j’ai toujours eu envie de venir manger dans cette auberge pour mon anniversaire !
• Nous passons fréquemment devant lorsque nous rentrons de chez tes parents et je t’ai toujours vu regarder comme si tu révais d’y venir.
• Ce repas est délicieux, tu es un homme délicieux !
Quelle chance j’ai eue de te rencontrer, il y a vingt ans à la fac !
Vingt ans de bonheur où je te l’assure tu as été le seul à me combler.
• À te combler, il y en a d’autres qui t’ont apporté des choses que j’ignore.
• Arrête de jouer sur les mots, tu sais que lorsque tu as ce genre d’humour, j’ai envie de t’étrangler.
• Fais mon amour, étrangle-moi, sous tes doigts au moment de mourir, j’aurais une dernière érection et là où mon sperme coulera sur la terre, une mandragore poussera.
• À ta bonne santé, si en rentrant, tu fais pousser des mandragores, je pourrais les arroser tellement je mouille.
• Que me dis-tu là, c’est la première fois depuis que nous nous sommes dépucelés que tu emploies le mot mouillé !
• C’est vrai, j’ai du mal à exprimer des mots un peu outranciers quand nous faisons l’amour.
• C’est bête, j’aurais beaucoup aimé que tu en dises, surtout quand ma pine est entrée fortement en toi.
• Oh ! mon chéri, quel vilain mot, je suis incapable de le répéter.
• Dis, pine !
• Non, c’est mal, que dirait ta fille si elle entendait sa mère dire pine !
• Tu vois tu l’as dit !
• Non, tu te fais des idées si tu crois me faire dire pine.
• Bon, c’est fait, maintenant qu’as-tu entre les jambes ?
• Une culotte, rose si tu as bien vu quand je me suis préparée.
• Et dans cette culotte rose ?
• Tu veux me faire dire que j’ai un vagin ou une chatte.
• Tu vois c’est facile, tu viens de dire chatte et vagin.
• Non, ces mots, tu crois les avoir entendues, mais je refuse de dire que ma chatte va recevoir ta pine lorsque nous serons de retour à la maison.

Jusqu’on va la mauvaise fois de ma femme, est-ce les deux verres de champagne qu’elle a bu qui altèrent ses pensées ?
Dit-elle réellement ces mots ignorant qu’elle les a prononcées ?
Nous sortons du restaurant, en ce mois de septembre, je sais que je fais lui faire l’amour dans notre lit divinement, mais avec un certain manque dans notre sexualité.
J’avais prévu lors de ce repas, de lui faire part d’aimer la voir se lâcher dans nos relations surtout que notre fille Katy est chez son copain, car je sais qu’ils couchent ensemble depuis un mois.
C’était en août pendant nos vacances en Andalousie, berceau de la famille de Salomé où nous louons une villa depuis plus de dix ans.
Ludo est le fils de nos voisins près de Malaga alors que nous sommes tous des Yvelines.
C’est en rentrant de la plage où je m’étais coupé légèrement le pied qu’entendant du bruit dans la salle, une fraction de seconde, j’ai surpris ma fille avec ce garçon dans une position toute équivoque.
Elle était dans une position que j’aimerais que ma femme prenne, la levrette.
Je suis empressé de ressorti, moi seul ai su que je les avais vus.
Par chance, j’avais mes clefs de voiture et à l’intérieur une trousse de secours, je me suis désinfecté et mis un pensement avant de faire retour vers Salomé qui se faisait bronzer.
Claude et Julia était avec elle, ce sont les parents de Ludo.

Nous reprenons la voiture, j’ai fait attention à ce que j’aie bu, inutile de perdre mon permis, ma raison sociale et le pognon qui va avec.

• Chérie, peux-tu t’arrêter, j’aurais dû aller aux toilettes avant de quitter le restaurant, impossible que j’arrive à la maison pour me soulager.
• Bien sûr, il y a un terrain vague sur la droite à deux cents mètres je m’y arrête.

Je fais la manœuvre, Salomé s’empresse de descendre.
Mes phares sont allumés, je pense qu’elle va rester non loin de sa portière.
Contrairement à ce que je pense, je la vois s’avancer dans leur champ.
Elle se place face à moi, soulève sa jupe, descend sa culotte qu’elle enlève carrément.
Elle s’agenouille et je vois rapidement un jet d’urine sortir de sa chatte.
Je bande comme un malade, est-ce bien la femme qui avait du mal à dire pine qui s’expose devant moi et qui urine.
La dernière goutte évacuée, elle se relève et là, l’impensable se produit, une ombre est derrière elle.
Elle la pousse vers notre voiture où elle pose ses mains sur le capot.
Impossible qu’elle accepte un sexe en elle alors qu’elle refuse la levrette.
Il est vrai que pour moi c’était un fantasme et que je suis toujours resté réservé.
Le mouvement de son corps et les petits cris qui sortent de sa bouche son sens équivoque, un mec la laboure.
En ce début septembre, il fait encore très chaud, l’été indien et comme elle refuse la clim, ce sont les fenêtres ouvertes que nous nous sommes arrêtées.

• Oui, allez-y, pinez-moi, je suis une salope qui espérait un gros sexe comme le vôtre dans sa chatte poilue.
Regardez, ce pauvre mec au volant de sa voiture, il regarde quand vous me baisez et je suis sûr qu’il bande.
Putain, ça fait des années que je me retiens de lui dire que j’en ai mare qu’il me saute comme une vieille alors que ma cramouille avait envie de grosses bites comme la vôtre.
Ah ! Ah ! Ah !

Les coups de bite qu’elle prend l’ont rapprochée me renvoyant l’image de son regard où ses yeux sont révulsés.
Je suis sûr qu’elle a un orgasme dévastateur, ses cris de plaisir me le confirment.
Je suis à deux doigts de sortir mon sexe pour me masturber et d’éjaculer, mais je vois le gars se reculer la libérant sortant des phares sans se montrer.
C’est le claquement de sa portière qui me dit qu’elle est m’a rejoint.
Je repars, sans que l’un ou l’autre d’entre nous s’exprime sur ce qui vient de se produire.
Dix minutes et nous sommes à la maison.
Porte ouverte, dans le vestibule, je prends Salomé dans mes bras et je la plaque le long du mur.
Je suis dans un état d’excitation telle, que je la soulève sans sentir qu’elle est lourde.

• Christian, repose-moi, je vais aller me laver, j’ai la chatte qui coule de mon excitation et du sperme de celui qui m’a prise comme une bête.
• Non, surtout pas, je veux que mon sexe baigne dans le résultat de ton initiative qui ouvre des horizons pour notre couple.
• Alors vas-y, je suis une truie, qui veut se faire saillir.

Le temps de nous dire ça, je l’ai reposé, c’est en levrette que je la positionne avant de la mettre comme la chienne que je viens de découvrir.
Vingt ans que je la cherche et c’est le soir de ses quarante ans que je la trouve.

• Tu aimes ma pine et si je te la mettais dans le cul, j’ai envie de te sodomiser !
• Chéri, je t’ouvre les portes à la luxure en m’étant donné à cet inconnu, mais peux-tu attendre encore un peu pour la sodomie.
Ah ! Ah ! Ah !

Dans les phares sur le capot de la voiture, j’entendais ses cris de plaisir, là l’orgasme qui la traverse, je le sens au bout de ma queue.
Il est impossible qu’une femme puisse simuler quand son corps se tord de plaisir et que je sens ma queue être inondée par des petits jets de cyprine qu’elle expulse.
Dans la nuit nous avons refait l’amour deux fois, elle sur le côté levant sa jambe et moi par-derrière.
Au petit matin, c’est dans un classique missionnaire, où ses jambes entourent ma taille que je la baise.
Une dernière fois, je l’aurais bien prise dans notre baignoire, mais j’en aurais été bien incapable.
Je me suis lavé, seul, pendant qu’elle dormait encore.
Habillé je suis sortie chercher le pain et des croissants qu’elle avait bien mérités.
Je me suis arrêté me souvenant que sa petite culotte était restée sur place sur les lieux de sa transformation.
Elle brillait par son absence.

Le reste du dimanche nous avons récupéré des folies de notre nuit.
Aucun mot sur ce qui était arrivé sur le petit terrain vague où bientôt sera construit un immeuble de quatre étages.
Dans l’après-midi, Katy est de retour de chez les parents de son copain que je sais être amant.

• Papa, maman, Claude et Julia m’ont demandé de vous remettre ce petit paquet !
• Un cadeau de la part des parents de ton ami, ça c’est gentil.
• Mon fiancé, maman, regarde Ludo, m’a emmené au restaurant hier au soir et au dessert s’est agenouillé.
Il m’a offert le diamant de sa grand-mère, je le porte parce que je l’ai accepté.
Nous allons nous marier l’été prochain.

Salomé tombe en larmes en étreignant sa fille.
Je suis à deux doigts d’en faire autant.

• Je vais me doucher, nous avons eu une fin de nuit agitée, Ludo et moi.

Si, les jeunes ont eu une nuit agitée que dire de la nôtre.
Salomé ouvre le paquet, à l’intérieur, surprise, la petite culotte rose laissée sur le champ d’honneur avec une lettre.

« Mes amis, Julia et moi vous écrivons quand nos enfants nous ont dit ce matin qu’ils avaient décidé de se marier.
Nous sommes donc des parents libres après l’éducation que nous leur avons donnée.
En avance sur vous, car les jeunes couchaient ensemble chez nous.
Ils nous avaient demandé notre autorisation.
Il y a peu, nous avions découvert que sur le terrain vague ou vous vous êtes arrêtés hier au soir, des couples aimaient s’exhiber et pratiquer l’échangisme.
Hier qu’elle surprise lorsque nous avons reconnu votre voiture et Salomé venir dans les phares pour uriner en s’exhibant.
Nous avons conclu que vous étiez comme nous des échangismes.
Christian, je prends le risque de te dire, que c’est moi qui ai fait l'amour à Salomé pour mon plus grand plaisir et le sien quand j’ai senti son corps vibré et qu'elle a joui.
Quand Julia se donne à d’autres et que je regarde, je prends mon pied comme jamais avant.
Pour fêter leurs fiançailles, Ludo et Katy partent pour Cabourg voir la mère de Julia qui vit là-bas.
Si vous le voulez, nous vous invitons samedi soir à la maison, vers vingt heures.
Ils annoncent de la chaleur et je ferais un dernier barbecue au bord de notre piscine.
Nous serons quatre couples avec vous et Julia me dit qu’elle aura beaucoup de plaisir de faire l’amour avec toi Christian, car hier, elle a pris son pied, mais rêve de faire la même chose avec toi.
Si notre demande est vaine, restons amis simplement pour nos enfants.
Claude et Julia. »
Le samedi arrive, Salomé à mise sa jolie petite robe à fleurs qui la moule divinement.
Je l’ai vu se préparer après avoir été à son institut de beauté se faire tailler le tablier.
Elle est nue sous cette robe, quand nous sonnons à la grille de cette maison très isolée.
Que la fête commence.

J’oubliais, le mercredi soir, c’est près de notre piscine, que j’ai dépucelé le cul de mon amoureuse.
Grâce à tous ce que nous avons faits et que nous allons faire, nous sommes repartis pour vingt ans d’amour.

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