COLLECTION CANDAULISME. Une petite envie pressante. (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION CANDAULISME. Une petite envie pressante. (1/1)
• Mon amour, tu savais que j’ai toujours eu envie de venir manger dans cette auberge pour mon anniversaire !
• Nous passons fréquemment devant lorsque nous rentrons de chez tes parents et je t’ai toujours vu regarder comme si tu rêvais d’y venir.
• Ce repas est délicieux, tu es aussi un homme délicieux !
Quelle chance, j’ai eue de te rencontrer, il y a vingt ans à la fac, !
Vingt ans de bonheur où je te l’assure tu as été le seul à me combler.
• À te combler ?
Y a-t-il d’autres choses que j’ignore ?
• Arrête de jouer sur les mots, tu sais que lorsque tu as ce genre d’humour, j’ai envie de t’étrangler.
• Fais mon amour, étrangle-moi, sous tes doigts !
Au moment de mourir, j’aurais une dernière érection et là où mon sperme coulera sur la terre, une mandragore poussera.
• À ta bonne santé, si en rentrant, tu fais pousser des mandragores, je pourrai les arroser tellement ma chatte mouille.
• Que me dis-tu là, c’est la première fois depuis que nous nous sommes dépucelés que je t’entends parler de « ta chatte qui mouille ! »• C’est vrai, j’ai du mal à dire des mots un peu outranciers quand nous faisons l’amour.
• C’est bête, j’aurais beaucoup aimé que tu en dises, surtout quand ma pine est en toi.
• Oh ! mon chéri, quel vilain mot, je suis incapable de le répéter.
• Dis, pine !
• Non, c’est mal, que dirait ta fille si elle entendait sa mère dire « pine » !
• Tu vois, tu l’as dit !
• Non, tu te fais des idées si tu crois me faire dire « pine ».
• Bon, c’est fait, maintenant qu’as-tu entre les jambes ?
• Une culotte, de couleur rose, si tu as bien vu quand je me suis préparée.
• Et dans cette culotte rose ?
• Tu veux me faire dire que j’ai un vagin ou une chatte.
• Tu vois c’est facile, tu viens de dire « chatte et vagin ».
• Non, ces mots, tu crois les avoir entendus, mais je refuse de dire que ma chatte va recevoir ta pine lorsque nous serons de retour à la maison.
Jusqu'où va la mauvaise foi de ma femme, est-ce les deux verres de champagne qu’elle a bu qui altèrent ses pensées ?
Dit-elle réellement ces mots ignorant qu’elle les a prononcés ?
Nous sortons du restaurant, en ce mois de septembre, je sais que je vais lui faire l’amour divinement dès que nous serons dans notre Chambre.
Mais, hélas, avec un certain manque dans notre sexualité.
J’avais prévu lors de ce repas, de lui suggérer de la voir se lâcher dans nos relations.
En plus, Katy, notre fille, est chez son copain où je sais qu’elle baise depuis un mois.
Baise pour ma fille, moi aussi j’accepte de parler de mots orduriers :C’était en août pendant nos dernières vacances en Andalousie, berceau de la famille de Claudine où nous louons une villa depuis plus de dix ans.
Ludo est le fils de nos voisins près de Málaga alors que nous sommes tous des Yvelines.
C’est au retour de la plage où je m’étais coupé légèrement le pied qu’entendant du bruit dans la salle, une fraction de seconde, j’ai surpris ma fille avec ce mec dans une position entièrement équivoque.
Elle était dans une posture que j’aimerais que ma femme prenne, la levrette.
Je suis ressorti, moi seul ai su que je les avais vus, gardant la vision de la queue du garçon entrant et sortant du vagin de notre progéniture.
Par chance, j’ai pu aller dans la salle de bains prendre une trousse de secours.
Je me suis désinfecté et mis un pansement avant de faire retour vers Claudine qui se faisait bronzer, sans qu’ils me remarquent, j’aurais été mal à l’aise.
Claude et Julia était avec elle, ce sont les parents de Ludo.
Dans ce repas, si elle a bien bu, nous reprenons la voiture, j’ai fait attention à ma consommation.
Inutile de perdre mon permis et perdre ma raison sociale ainsi que le pognon qui va avec.
• Chérie, peux-tu t’arrêter, j’aurais dû aller aux toilettes avant de quitter le restaurant, impossible d’arriver à la maison pour me soulager.
• Bien sûr, il y a un terrain vague sur la droite à deux cents mètres, je m’arrête !
Je fais la manœuvre, Claudine s’empresse de descendre.
Mes phares sont allumés, je pense qu’elle va rester non loin de sa portière.
Contrairement à ce que je pense, je la vois s’avancer dans mon champ de vision.
Elle se place face à moi, soulève sa jupe, descend sa culotte qu’elle enlève carrément.
Elle s’agenouille et je vois rapidement un jet d’urine sortir de sa chatte.
Je bande comme un malade, est-ce bien la femme qui avait du mal à dire « pine » qui s’expose devant moi en urinant.
La dernière goutte évacuée, elle se lève et là, l’impensable se produit, une ombre est derrière elle.
Cette ombre la pousse vers notre voiture où elle pose ses mains sur le capot.
Impossible qu’elle accepte un sexe en elle alors qu’elle refuse la levrette !
Il est vrai que pour moi c’était un fantasme et que je suis toujours resté réservé.
Le mouvement de son corps et les petits cris sortant de sa bouche sont sans équivoque, un mec la laboure.
En ce début septembre, il fait encore très chaud, l’été indien et comme elle refuse la clim, ce sont les fenêtres ouvertes que nous nous sommes arrêtés.
• Oui, allez-y, pinez-moi, je suis une salope qui espérait un gros sexe comme le vôtre dans ma chatte poilue.
Regardez, ce pauvre mec au volant de sa voiture, il regarde quand vous me baisez et je suis sûr qu’il bande.
Putain, ça fait des années que je me retiens de lui dire que j’en ai marre qu’il me saute comme une vieille alors que ma cramouille avait envie de grosses bites.
Ah ! Oh ! Ah !
Les phares, malgré celui qui la laboure la rapprochant, me renvoient l’image de son regard où ses yeux sont révulsés.
Je suis sûr qu’elle a un orgasme dévastateur, ses cris en sont la preuve.
Je suis à deux doigts de sortir mon sexe pour me masturber et d’éjaculer, mais je vois le gars se reculer la libérant.
C’est sa portière qui me dit qu’elle m’a rejoint.
Je repars, sans que l’un ou l’autre d’entre nous s’exprime sur ce qui vient de se passer.
Dix minutes et nous sommes à la maison.
Porte ouverte, je prends Claudine dans mes bras et je la plaque le long du mur.
Je suis dans un état d’excitation telle, que je la soulève sans sentir qu’elle est légèrement lourde.
• Christian, repose-moi, je vais aller me laver, j’ai la chatte qui coule de mon excitation et du sperme de celui qui m’a prise comme une bête.
• Non, surtout pas, je veux que mon sexe baigne dans le résultat de ton initiative qui ouvre des horizons pour notre couple.
• Alors vas-y, je suis une truie, qui veut se faire saillir.
Le temps de nous dire ça, je l’ai reposé, c’est en levrette que je la positionne avant de la mettre comme une chienne que je viens de découvrir.
Vingt ans que je la cherche et c’est le soir de ses quarante ans que je la trouve.
• Tu aimes ma pine et si je te la mettais dans ton cul, j’ai envie de te sodomiser !
• Chéri, je t’ouvre les portes à la luxure en m’étant donné à cet inconnu, mais peux-tu attendre encore un peu pour la sodomie.
Ah ! ah ! ah !
Dans les phares sur le capot de la voiture, j’entendais ses cris de plaisir, là, l’orgasme qui la traverse, je le sens au bout de ma queue.
Il est impossible qu’une femme puisse simuler quand son corps se tord de plaisir et que je sens ma bite être inondée par des petits jets de cyprine qu’elle expulse.
Dans la nuit nous avons refait l’amour deux fois, elle, levant sa jambe et moi par-derrière.
Et au petit matin, dans un classique missionnaire, où ses jambes sont venues entourer ma taille.
Je l’aurais bien prise dans notre baignoire, mais j’en aurais été bien incapable.
Je me suis lavé seul pendant qu’elle dormait encore.
Habillé, je suis sorti chercher le pain et des croissants qu’elle avait bien mérités.
Je me suis arrêté me souvenant que sa petite culotte était restée sur place dans le terrain vague.
Elle brillait par son absence.
Le reste du dimanche nous avons récupéré des folies de notre nuit.
Aucun mot sur ce qui était arrivé sur le petit terrain vague où sera bientôt construit un immeuble de quatre étages.
Dans l’après-midi, Katy est de retour de chez les parents de son copain que je sais être son amant.
• Papa, maman, Claude et Julia m’ont demandé de vous remettre ce petit paquet !
• Un cadeau de la part des parents de ton ami, ça c’est gentil.
• Mon fiancé, plus ami !
Maman regarde Ludo, m’a emmené au restaurant hier au soir et au dessert s’est agenouillé.
Il m’a offert le diamant de sa grand-mère, je le porte parce que je l’ai accepté.
Nous allons nous marier l’été prochain.
Claudine tombe en larmes en étreignant sa fille.
Je suis à deux doigts d’en faire autant.
• Je vais me doucher, nous avons eu une fin de nuit agitée, Ludo et moi.
Si, les jeunes ont eu une nuit agitée que dire de la nôtre.
Claudine ouvre le paquet, à l’intérieur, surprise, la petite culotte laissée sur le champ d’honneur avec une lettre.
« Mes amis, Julia et moi vous écrivons quand nos enfants nous ont dit ce matin qu’ils avaient décidé de se marier.
Nous sommes donc des parents libres après l’éducation que nous avons donnée à notre fils.
En avance sur vous, car les jeunes couchaient ensemble chez nous après nous avoir demandés notre autorisation.
Nous avions découvert que sur le terrain vague ou vous vous êtes arrêtés hier au soir, des couples aimaient s’exhiber et pratiquer l’échangisme.
Hier quelle surprise lorsque nous avons reconnu votre voiture et Claudine venir dans les phares pour uriner en s’exhibant.
Nous avons conclu que vous étiez comme nous des échangistes.
Christian, je prends le risque de te dire, que c’est moi qui ai fait l'amour à Claudine pour mon plus grand plaisir et le sien quand j’ai senti son corps vibrer et qu'elle a joui.
Quand Julia se donne à d’autres et que je regarde, je prends mon pied comme jamais avant.
Pour fêter leurs fiançailles, Ludo et Katy partent pour Cabourg voir la mère de Julia qui vit là-bas.
Si vous le voulez, nous vous invitons samedi soir à la maison, vers vingt heures.
Ils annoncent de la chaleur et je ferai un dernier barbecue au bord de notre piscine.
Nous serons six couples avec vous et Julia me dit qu’elle aura beaucoup de plaisir à faire l’amour avec toi Christian, car hier, elle a pris son pied, mais rêve de faire la même chose avec toi.
Si notre demande est vaine, restons amis simplement pour nos enfants.
Claude et Julia. »
C’est le samedi, Claudine à mise sa jolie petite robe à fleurs qui la moule divinement.
Je l’ai vu se préparer après avoir été à son institut de beauté se faire tailler le tablier.
Elle est nue sous cette robe, quand nous sonnons à la grille de cette maison très isolée.
Que la fête commence.
J’oubliais, le mercredi soir, c’est près de notre piscine, que j’ai dépucelé le cul de mon amoureuse.
Grâce à tous ce que nous avons faits et que nous allons faire, nous sommes repartis pour vingt ans, minimum !
Un conseil à tous ceux qui hésitent, osez !!!
• Nous passons fréquemment devant lorsque nous rentrons de chez tes parents et je t’ai toujours vu regarder comme si tu rêvais d’y venir.
• Ce repas est délicieux, tu es aussi un homme délicieux !
Quelle chance, j’ai eue de te rencontrer, il y a vingt ans à la fac, !
Vingt ans de bonheur où je te l’assure tu as été le seul à me combler.
• À te combler ?
Y a-t-il d’autres choses que j’ignore ?
• Arrête de jouer sur les mots, tu sais que lorsque tu as ce genre d’humour, j’ai envie de t’étrangler.
• Fais mon amour, étrangle-moi, sous tes doigts !
Au moment de mourir, j’aurais une dernière érection et là où mon sperme coulera sur la terre, une mandragore poussera.
• À ta bonne santé, si en rentrant, tu fais pousser des mandragores, je pourrai les arroser tellement ma chatte mouille.
• Que me dis-tu là, c’est la première fois depuis que nous nous sommes dépucelés que je t’entends parler de « ta chatte qui mouille ! »• C’est vrai, j’ai du mal à dire des mots un peu outranciers quand nous faisons l’amour.
• C’est bête, j’aurais beaucoup aimé que tu en dises, surtout quand ma pine est en toi.
• Oh ! mon chéri, quel vilain mot, je suis incapable de le répéter.
• Dis, pine !
• Non, c’est mal, que dirait ta fille si elle entendait sa mère dire « pine » !
• Tu vois, tu l’as dit !
• Non, tu te fais des idées si tu crois me faire dire « pine ».
• Bon, c’est fait, maintenant qu’as-tu entre les jambes ?
• Une culotte, de couleur rose, si tu as bien vu quand je me suis préparée.
• Et dans cette culotte rose ?
• Tu veux me faire dire que j’ai un vagin ou une chatte.
• Tu vois c’est facile, tu viens de dire « chatte et vagin ».
• Non, ces mots, tu crois les avoir entendus, mais je refuse de dire que ma chatte va recevoir ta pine lorsque nous serons de retour à la maison.
Jusqu'où va la mauvaise foi de ma femme, est-ce les deux verres de champagne qu’elle a bu qui altèrent ses pensées ?
Dit-elle réellement ces mots ignorant qu’elle les a prononcés ?
Nous sortons du restaurant, en ce mois de septembre, je sais que je vais lui faire l’amour divinement dès que nous serons dans notre Chambre.
Mais, hélas, avec un certain manque dans notre sexualité.
J’avais prévu lors de ce repas, de lui suggérer de la voir se lâcher dans nos relations.
En plus, Katy, notre fille, est chez son copain où je sais qu’elle baise depuis un mois.
Baise pour ma fille, moi aussi j’accepte de parler de mots orduriers :C’était en août pendant nos dernières vacances en Andalousie, berceau de la famille de Claudine où nous louons une villa depuis plus de dix ans.
Ludo est le fils de nos voisins près de Málaga alors que nous sommes tous des Yvelines.
C’est au retour de la plage où je m’étais coupé légèrement le pied qu’entendant du bruit dans la salle, une fraction de seconde, j’ai surpris ma fille avec ce mec dans une position entièrement équivoque.
Elle était dans une posture que j’aimerais que ma femme prenne, la levrette.
Je suis ressorti, moi seul ai su que je les avais vus, gardant la vision de la queue du garçon entrant et sortant du vagin de notre progéniture.
Par chance, j’ai pu aller dans la salle de bains prendre une trousse de secours.
Je me suis désinfecté et mis un pansement avant de faire retour vers Claudine qui se faisait bronzer, sans qu’ils me remarquent, j’aurais été mal à l’aise.
Claude et Julia était avec elle, ce sont les parents de Ludo.
Dans ce repas, si elle a bien bu, nous reprenons la voiture, j’ai fait attention à ma consommation.
Inutile de perdre mon permis et perdre ma raison sociale ainsi que le pognon qui va avec.
• Chérie, peux-tu t’arrêter, j’aurais dû aller aux toilettes avant de quitter le restaurant, impossible d’arriver à la maison pour me soulager.
• Bien sûr, il y a un terrain vague sur la droite à deux cents mètres, je m’arrête !
Je fais la manœuvre, Claudine s’empresse de descendre.
Mes phares sont allumés, je pense qu’elle va rester non loin de sa portière.
Contrairement à ce que je pense, je la vois s’avancer dans mon champ de vision.
Elle se place face à moi, soulève sa jupe, descend sa culotte qu’elle enlève carrément.
Elle s’agenouille et je vois rapidement un jet d’urine sortir de sa chatte.
Je bande comme un malade, est-ce bien la femme qui avait du mal à dire « pine » qui s’expose devant moi en urinant.
La dernière goutte évacuée, elle se lève et là, l’impensable se produit, une ombre est derrière elle.
Cette ombre la pousse vers notre voiture où elle pose ses mains sur le capot.
Impossible qu’elle accepte un sexe en elle alors qu’elle refuse la levrette !
Il est vrai que pour moi c’était un fantasme et que je suis toujours resté réservé.
Le mouvement de son corps et les petits cris sortant de sa bouche sont sans équivoque, un mec la laboure.
En ce début septembre, il fait encore très chaud, l’été indien et comme elle refuse la clim, ce sont les fenêtres ouvertes que nous nous sommes arrêtés.
• Oui, allez-y, pinez-moi, je suis une salope qui espérait un gros sexe comme le vôtre dans ma chatte poilue.
Regardez, ce pauvre mec au volant de sa voiture, il regarde quand vous me baisez et je suis sûr qu’il bande.
Putain, ça fait des années que je me retiens de lui dire que j’en ai marre qu’il me saute comme une vieille alors que ma cramouille avait envie de grosses bites.
Ah ! Oh ! Ah !
Les phares, malgré celui qui la laboure la rapprochant, me renvoient l’image de son regard où ses yeux sont révulsés.
Je suis sûr qu’elle a un orgasme dévastateur, ses cris en sont la preuve.
Je suis à deux doigts de sortir mon sexe pour me masturber et d’éjaculer, mais je vois le gars se reculer la libérant.
C’est sa portière qui me dit qu’elle m’a rejoint.
Je repars, sans que l’un ou l’autre d’entre nous s’exprime sur ce qui vient de se passer.
Dix minutes et nous sommes à la maison.
Porte ouverte, je prends Claudine dans mes bras et je la plaque le long du mur.
Je suis dans un état d’excitation telle, que je la soulève sans sentir qu’elle est légèrement lourde.
• Christian, repose-moi, je vais aller me laver, j’ai la chatte qui coule de mon excitation et du sperme de celui qui m’a prise comme une bête.
• Non, surtout pas, je veux que mon sexe baigne dans le résultat de ton initiative qui ouvre des horizons pour notre couple.
• Alors vas-y, je suis une truie, qui veut se faire saillir.
Le temps de nous dire ça, je l’ai reposé, c’est en levrette que je la positionne avant de la mettre comme une chienne que je viens de découvrir.
Vingt ans que je la cherche et c’est le soir de ses quarante ans que je la trouve.
• Tu aimes ma pine et si je te la mettais dans ton cul, j’ai envie de te sodomiser !
• Chéri, je t’ouvre les portes à la luxure en m’étant donné à cet inconnu, mais peux-tu attendre encore un peu pour la sodomie.
Ah ! ah ! ah !
Dans les phares sur le capot de la voiture, j’entendais ses cris de plaisir, là, l’orgasme qui la traverse, je le sens au bout de ma queue.
Il est impossible qu’une femme puisse simuler quand son corps se tord de plaisir et que je sens ma bite être inondée par des petits jets de cyprine qu’elle expulse.
Dans la nuit nous avons refait l’amour deux fois, elle, levant sa jambe et moi par-derrière.
Et au petit matin, dans un classique missionnaire, où ses jambes sont venues entourer ma taille.
Je l’aurais bien prise dans notre baignoire, mais j’en aurais été bien incapable.
Je me suis lavé seul pendant qu’elle dormait encore.
Habillé, je suis sorti chercher le pain et des croissants qu’elle avait bien mérités.
Je me suis arrêté me souvenant que sa petite culotte était restée sur place dans le terrain vague.
Elle brillait par son absence.
Le reste du dimanche nous avons récupéré des folies de notre nuit.
Aucun mot sur ce qui était arrivé sur le petit terrain vague où sera bientôt construit un immeuble de quatre étages.
Dans l’après-midi, Katy est de retour de chez les parents de son copain que je sais être son amant.
• Papa, maman, Claude et Julia m’ont demandé de vous remettre ce petit paquet !
• Un cadeau de la part des parents de ton ami, ça c’est gentil.
• Mon fiancé, plus ami !
Maman regarde Ludo, m’a emmené au restaurant hier au soir et au dessert s’est agenouillé.
Il m’a offert le diamant de sa grand-mère, je le porte parce que je l’ai accepté.
Nous allons nous marier l’été prochain.
Claudine tombe en larmes en étreignant sa fille.
Je suis à deux doigts d’en faire autant.
• Je vais me doucher, nous avons eu une fin de nuit agitée, Ludo et moi.
Si, les jeunes ont eu une nuit agitée que dire de la nôtre.
Claudine ouvre le paquet, à l’intérieur, surprise, la petite culotte laissée sur le champ d’honneur avec une lettre.
« Mes amis, Julia et moi vous écrivons quand nos enfants nous ont dit ce matin qu’ils avaient décidé de se marier.
Nous sommes donc des parents libres après l’éducation que nous avons donnée à notre fils.
En avance sur vous, car les jeunes couchaient ensemble chez nous après nous avoir demandés notre autorisation.
Nous avions découvert que sur le terrain vague ou vous vous êtes arrêtés hier au soir, des couples aimaient s’exhiber et pratiquer l’échangisme.
Hier quelle surprise lorsque nous avons reconnu votre voiture et Claudine venir dans les phares pour uriner en s’exhibant.
Nous avons conclu que vous étiez comme nous des échangistes.
Christian, je prends le risque de te dire, que c’est moi qui ai fait l'amour à Claudine pour mon plus grand plaisir et le sien quand j’ai senti son corps vibrer et qu'elle a joui.
Quand Julia se donne à d’autres et que je regarde, je prends mon pied comme jamais avant.
Pour fêter leurs fiançailles, Ludo et Katy partent pour Cabourg voir la mère de Julia qui vit là-bas.
Si vous le voulez, nous vous invitons samedi soir à la maison, vers vingt heures.
Ils annoncent de la chaleur et je ferai un dernier barbecue au bord de notre piscine.
Nous serons six couples avec vous et Julia me dit qu’elle aura beaucoup de plaisir à faire l’amour avec toi Christian, car hier, elle a pris son pied, mais rêve de faire la même chose avec toi.
Si notre demande est vaine, restons amis simplement pour nos enfants.
Claude et Julia. »
C’est le samedi, Claudine à mise sa jolie petite robe à fleurs qui la moule divinement.
Je l’ai vu se préparer après avoir été à son institut de beauté se faire tailler le tablier.
Elle est nue sous cette robe, quand nous sonnons à la grille de cette maison très isolée.
Que la fête commence.
J’oubliais, le mercredi soir, c’est près de notre piscine, que j’ai dépucelé le cul de mon amoureuse.
Grâce à tous ce que nous avons faits et que nous allons faire, nous sommes repartis pour vingt ans, minimum !
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