COLLECTION COCU. Baignade dans le Chéran en Haute-Savoie (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Baignade dans le Chéran en Haute-Savoie (1/2)
Lorsque mon aventure d’un jour m’arrive, je suis seule depuis trois mois, mon mari Nicolas est parti travailler en mer du Nord et il sera encore absent pour autant de temps.
Il était au chômage lorsque cette offre de Pôle emploi lui a été faite.
Dès notre mariage, il y a trois ans, nous avons acheté un vieux chalet pour le transformer en gîte.
À quelques kilomètres du lac d’Annecy et d’Aix-les-Bains, dans ce massif des bauges, ce gîte nous avons de fortes chances de le rentabiliser très vite, car Nicolas est soudeur de métier.
Il travaillait en Suisse lorsqu’il a été licencier et avec ses indemnités nous nous sommes lancés.
Très vite, les fonds nous ont manqué et ce poste pour six mois est devenu une aubaine au prix ou il est payé.
Sa paye étant versée chaque mois sur notre compte, j’ai pu continuer les travaux de décoration de deux des cinq chambres qui sont déjà finis, principalement fenêtre triple vitrage, plomberie et chauffage.
Quand j’ai épousé Nicolas, j’habitais dans un village avec un drôle de nom, Viuz-la-Chiésaz.
Lui dans le village plus haut, Gruffy, chez c’est lui que nous avons emménagé avant que le chalet soit en état de nous accueillir.
Je dois reconnaître qu’à cette époque, j’étais loin d’être sportive à part à la piscine d’Annecy ou j’allais faire des longueurs pour me maintenir en forme.
Surtout l’hiver, dans ces années-là, j’avais souvent des rhumes ou des problèmes aux bronches.
Nicolas est sportif, course à pied, course en montagne allant même jusqu’à dormir en montagne emportant simplement un tapis de sol qu’il plaçait pour se coucher.
Ça, je lui laisse, mais des marches près du torrent le Chéran, rapidement je l’ai suivi.
Nous avions pris un petit chemin qui rapidement à border le torrent marchant le long de hauts murs de pierre.
La faune et la flore sauvage étaient devenues notre crédo et j’adorais voir les truites chassant les insectes.
Au bout de ce chemin, à l’entrer d’une gorge seulement praticable pour des spécialistes, il y a un petit havre de paix.
Comment dire, petite vasque d’eau, genre de petite piscine toujours rempli d’eau et ou nous pouvons nager sur des dizaines de mètres.
D’eau, mais d’eau très froide, surtout en cette période d’été ou l’eau remplissant cette vasque, la maintient dans les 6 à 7 degrés.
L’hiver, même par temps de neige, sauf quand le débit est trop fort, Nicolas se baigne l’eau avoisinant les 3 à 4 degrés.
Résultat difficulté pour entrer en hiver, mais pendant l’été je me baigne avec pour résultat la fin des rhumes ainsi que mes problèmes aux bronches.
Comme je l’ai dit, ça fait trois mois que je suis seule et ces bains de torrent me manquent par ces grosses chaleurs.
Pour la décoration des chambres afin de limiter les dépenses, Nicolas sait récupérer de vieux matériaux.
La chambre que je prépare est faite en planche de chêne pourrissant dans une ancienne scierie et où le pépé les lui a donnés contre deux bouteilles d’apéritif anisé très connu.
Je fixe au sol et au plafond les planches droites brutes de forme avec une dizaine de centimètres entre elles.
Lorsque je dis brute de forme, c’est que l’écorce est toujours là et je les ponce avant de les vernir.
Cet ensemble repose sur un cadre peint ou Nicolas avant de partir a placé un éclairage identique à des guirlandes de Noël de toutes couleurs, géré par une télécommande.
Chic et pas chère, mais avec un effet extraordinaire pour ceux qui vont séjourner dans ce lieu dès le mois de novembre.
Le seul problème étant la poussière, les baies vitrées donnant sur la vallée, je les ouvre, mais le courant d’air par cette chaleur m’entraine un début de mal de gorge.
Je décide d’aller me baigner aussi je chausse ma tenue de jogging et je retrouve le chemin jusqu’aux baignoires d’eau très froide.
Là où nous baignons, il y a un carré d’herbe tendre éclairé par le soleil de 14 à 16 heures, après, le soleil tourne et la fraicheur descend très vite entre ces pierres et l’eau.
Nous avons pris l’habitude de nous baigner nue et machinalement sans m’en rendre compte, je fais de même.
Un bain 10 à 15 minutes, je sens que tous les pores de ma peau s’ouvrent évacuant toutes les toxines.
Je suis au soleil depuis quelque temps, lorsque je décide d’aller faire trempette.
La chaleur du soleil m’oblige à descendre très lentement dans l’eau alors que Nicolas y aurait été franchement.
Dans cette baignoire naturelle à l’endroit le plus profond, l’eau m’arrive un peu plus haute que ma chatte épilée.
Je finis par me tremper avant de commencer à nager dans les 15 à 20 mètres de long sur 5 de large.
Dans la piscine, je fais au bas mot, une trentaine, de longueurs.
Là, je finis rapidement par m’asseoir sur le gros caillou, que j’ai frappé avec mon pied, la première fois où nous nous sommes baignés.
L’eau est au-dessus de mes jolis seins.
Oui, sans être amoureuse de ma personne, j’aime mes seins, Nicolas aussi, leur forme de poire me plaise lorsque je les regarde dans la glace.
Certaines de mes amies refusent les leurs et ont espoir de pouvoir s’en faire faire des neuf siliconés.
Les miens je les ai tout de suite acceptés lorsqu’ils ont commencé à pousser.
C’est à ce moment que dans le virage quelques mètres plus bas, j’entends quelqu’un marcher dans l’eau.
Avant d’avoir le temps de remonter sur la berge je vois un pêcheur de truite remonter vers moi.
Je sais que c’est un pêcheur, car en plus de sa canne, il est en pantalon cuissarde avec lorsqu’il s’approche, un chapeau avec des mouches piquées dessus.
Mon seul réflexe, c’est de me croiser les bras sur ma poitrine alors que mes seins sont sous l’eau.
• Alors, on prend le frais, vous avez raison, mais pour moi c’est la pêche à la ligne pendant mes vacances.
Attendez, je viens vous rejoindre.
En moins de temps qu’il en faut pour le dire, il pose sa canne, fait tomber les bretelles de son pantalon de pécheur avec bottes intégrées et m’apparaît en boxer.
Combien, la quarantaine bien tassée, mais certainement sportif, car il a un ventre plat.
Nicolas a des abdos plus prononcés, mais il est plus jeune.
Il rentre dans l’eau et se mouille directement comme le fait mon mari.
Mari, enfin simplement pacsé Nicolas est un farouche adversaire de tout ce qui est conventionnel.
• J’ai froid, je voudrais sortir et je suis nue, voulez-vous vous retourner ?
• Vous rigolez, j’ai la chance de tomber sur une sirène m’avouant qu’elle est nue.
Depuis que je remonte ce torrent, j’ai fait chou blanc, la vision de votre joli corps va compenser le fait d’être bredouille.
Je pourrais l’envoyer promener, mais j’ai trop froid et je dois reconnaitre que la nudité est loin de me poser problème.
Je me lève, montrant la beauté de mon corps, il me suit et lorsque je m’assieds frissonnante par le froid, il en fait de même à mon côté.
• Le soleil, ça fait du bien, je vois que vos seins sont tétanisés par le froid.
Ils sont magnifiques, j’adore leur forme de poire, au fait je m’appelle Nicolas.
Je suis à deux doigts d’éclater de rire, Nicolas en chasse un autre, même si l’un est plus jeune que l’autre, en tout bien tout honneur, il va sans dire.
Dans la continuité de ses paroles, sa main vient caresser mon sein droit, le plus rapproché.
Est-ce les trois mois d’isolement, abandonné par l’autre Nicolas celui de la mer du Nord, je sens que le froid du torrent fait place à la chaleur de cette main.
Avant mon Nicolas, j’ai eu de fréquents amants, certaines dans ces petits villages des débuts de montagnes me disaient chaude lapine.
Ils se trompaient, dès que j’ai été défloré par un copain de classe, je me suis empressée d’aimer le sexe.
Nicolas a su me satisfaire, Nicolas, l’autre avec son bob sur la tête va me satisfaire depuis le temps que je suis abandonnée.
Ce qui me rassure, c’est qu’il a dit qu’il était en vacances, donc certainement de passage.
C’est moi qui mets ma main sur son pénis au travers du boxer.
Je sens qu’il bande et ce que je finis par avoir dans ma main en même temps que ses lèvres, viennent sur les miennes, finissant de me convaincre de me laisser faire.
Plus gros que la bite de mon Nicolas régulier.
Je quitte sa bouche et me penchant je remplace sa langue par cette bite qui me fait envie, car je sens que ma chatte s’humidifie.
Dans le mouvement que j’ai fait, sa main est obligée de quitter mon sein, mais comme, lorsque j’écarte mes cuisses, ses doigts sont sur mon clito, je suis gagnante au change.
Il me caresse, je lui suce les couilles, j’ai une grande bouche et je lui fais une gorge profonde lorsque je sens ma chatte avoir une drôle de réaction.
Je sens des petits jets de ma cyprine fuser vers le torrent.
J’ai déjà été femme fontaine avec l’un de mes amants, jamais avec Nicolas, le cocu, mais pour celui qui déclenche les grandes eaux, ce doit être la première fois.
• Si on m’avait dit...
Et as-moi, j’étais simplement venue passer un début de mal de gorge.
Il bascule et entre en moi, je suis comblée, je suis à deux doigts de jouir directement.
Mais j’arrive à me calmer, voulant profiter de cette verge qui me laboure, le plus longtemps possible.
Je vais repartir, lorsqu’il me quitte, mais c’est pour mieux m’aider à me retourner et de me mettre en levrette avant de me reprendre pour une folle chevauchée.
Si dans ces montagnes de la bauge, les cerfs au printemps brame avant de faire des saillis, c’est nous qui faisons entendre notre plaisir dans cette gorge sortant de nos gorges.
Je m’écroule, mes avant-bras étant dans l’impossibilité de me soutenir.
• Merci, belle inconnue, je retourne à Albi sur Chéran, tu auras été la plus belle prise de ma vie, je te souhaite une belle et bonne vie...
Il était au chômage lorsque cette offre de Pôle emploi lui a été faite.
Dès notre mariage, il y a trois ans, nous avons acheté un vieux chalet pour le transformer en gîte.
À quelques kilomètres du lac d’Annecy et d’Aix-les-Bains, dans ce massif des bauges, ce gîte nous avons de fortes chances de le rentabiliser très vite, car Nicolas est soudeur de métier.
Il travaillait en Suisse lorsqu’il a été licencier et avec ses indemnités nous nous sommes lancés.
Très vite, les fonds nous ont manqué et ce poste pour six mois est devenu une aubaine au prix ou il est payé.
Sa paye étant versée chaque mois sur notre compte, j’ai pu continuer les travaux de décoration de deux des cinq chambres qui sont déjà finis, principalement fenêtre triple vitrage, plomberie et chauffage.
Quand j’ai épousé Nicolas, j’habitais dans un village avec un drôle de nom, Viuz-la-Chiésaz.
Lui dans le village plus haut, Gruffy, chez c’est lui que nous avons emménagé avant que le chalet soit en état de nous accueillir.
Je dois reconnaître qu’à cette époque, j’étais loin d’être sportive à part à la piscine d’Annecy ou j’allais faire des longueurs pour me maintenir en forme.
Surtout l’hiver, dans ces années-là, j’avais souvent des rhumes ou des problèmes aux bronches.
Nicolas est sportif, course à pied, course en montagne allant même jusqu’à dormir en montagne emportant simplement un tapis de sol qu’il plaçait pour se coucher.
Ça, je lui laisse, mais des marches près du torrent le Chéran, rapidement je l’ai suivi.
Nous avions pris un petit chemin qui rapidement à border le torrent marchant le long de hauts murs de pierre.
La faune et la flore sauvage étaient devenues notre crédo et j’adorais voir les truites chassant les insectes.
Au bout de ce chemin, à l’entrer d’une gorge seulement praticable pour des spécialistes, il y a un petit havre de paix.
Comment dire, petite vasque d’eau, genre de petite piscine toujours rempli d’eau et ou nous pouvons nager sur des dizaines de mètres.
D’eau, mais d’eau très froide, surtout en cette période d’été ou l’eau remplissant cette vasque, la maintient dans les 6 à 7 degrés.
L’hiver, même par temps de neige, sauf quand le débit est trop fort, Nicolas se baigne l’eau avoisinant les 3 à 4 degrés.
Résultat difficulté pour entrer en hiver, mais pendant l’été je me baigne avec pour résultat la fin des rhumes ainsi que mes problèmes aux bronches.
Comme je l’ai dit, ça fait trois mois que je suis seule et ces bains de torrent me manquent par ces grosses chaleurs.
Pour la décoration des chambres afin de limiter les dépenses, Nicolas sait récupérer de vieux matériaux.
La chambre que je prépare est faite en planche de chêne pourrissant dans une ancienne scierie et où le pépé les lui a donnés contre deux bouteilles d’apéritif anisé très connu.
Je fixe au sol et au plafond les planches droites brutes de forme avec une dizaine de centimètres entre elles.
Lorsque je dis brute de forme, c’est que l’écorce est toujours là et je les ponce avant de les vernir.
Cet ensemble repose sur un cadre peint ou Nicolas avant de partir a placé un éclairage identique à des guirlandes de Noël de toutes couleurs, géré par une télécommande.
Chic et pas chère, mais avec un effet extraordinaire pour ceux qui vont séjourner dans ce lieu dès le mois de novembre.
Le seul problème étant la poussière, les baies vitrées donnant sur la vallée, je les ouvre, mais le courant d’air par cette chaleur m’entraine un début de mal de gorge.
Je décide d’aller me baigner aussi je chausse ma tenue de jogging et je retrouve le chemin jusqu’aux baignoires d’eau très froide.
Là où nous baignons, il y a un carré d’herbe tendre éclairé par le soleil de 14 à 16 heures, après, le soleil tourne et la fraicheur descend très vite entre ces pierres et l’eau.
Nous avons pris l’habitude de nous baigner nue et machinalement sans m’en rendre compte, je fais de même.
Un bain 10 à 15 minutes, je sens que tous les pores de ma peau s’ouvrent évacuant toutes les toxines.
Je suis au soleil depuis quelque temps, lorsque je décide d’aller faire trempette.
La chaleur du soleil m’oblige à descendre très lentement dans l’eau alors que Nicolas y aurait été franchement.
Dans cette baignoire naturelle à l’endroit le plus profond, l’eau m’arrive un peu plus haute que ma chatte épilée.
Je finis par me tremper avant de commencer à nager dans les 15 à 20 mètres de long sur 5 de large.
Dans la piscine, je fais au bas mot, une trentaine, de longueurs.
Là, je finis rapidement par m’asseoir sur le gros caillou, que j’ai frappé avec mon pied, la première fois où nous nous sommes baignés.
L’eau est au-dessus de mes jolis seins.
Oui, sans être amoureuse de ma personne, j’aime mes seins, Nicolas aussi, leur forme de poire me plaise lorsque je les regarde dans la glace.
Certaines de mes amies refusent les leurs et ont espoir de pouvoir s’en faire faire des neuf siliconés.
Les miens je les ai tout de suite acceptés lorsqu’ils ont commencé à pousser.
C’est à ce moment que dans le virage quelques mètres plus bas, j’entends quelqu’un marcher dans l’eau.
Avant d’avoir le temps de remonter sur la berge je vois un pêcheur de truite remonter vers moi.
Je sais que c’est un pêcheur, car en plus de sa canne, il est en pantalon cuissarde avec lorsqu’il s’approche, un chapeau avec des mouches piquées dessus.
Mon seul réflexe, c’est de me croiser les bras sur ma poitrine alors que mes seins sont sous l’eau.
• Alors, on prend le frais, vous avez raison, mais pour moi c’est la pêche à la ligne pendant mes vacances.
Attendez, je viens vous rejoindre.
En moins de temps qu’il en faut pour le dire, il pose sa canne, fait tomber les bretelles de son pantalon de pécheur avec bottes intégrées et m’apparaît en boxer.
Combien, la quarantaine bien tassée, mais certainement sportif, car il a un ventre plat.
Nicolas a des abdos plus prononcés, mais il est plus jeune.
Il rentre dans l’eau et se mouille directement comme le fait mon mari.
Mari, enfin simplement pacsé Nicolas est un farouche adversaire de tout ce qui est conventionnel.
• J’ai froid, je voudrais sortir et je suis nue, voulez-vous vous retourner ?
• Vous rigolez, j’ai la chance de tomber sur une sirène m’avouant qu’elle est nue.
Depuis que je remonte ce torrent, j’ai fait chou blanc, la vision de votre joli corps va compenser le fait d’être bredouille.
Je pourrais l’envoyer promener, mais j’ai trop froid et je dois reconnaitre que la nudité est loin de me poser problème.
Je me lève, montrant la beauté de mon corps, il me suit et lorsque je m’assieds frissonnante par le froid, il en fait de même à mon côté.
• Le soleil, ça fait du bien, je vois que vos seins sont tétanisés par le froid.
Ils sont magnifiques, j’adore leur forme de poire, au fait je m’appelle Nicolas.
Je suis à deux doigts d’éclater de rire, Nicolas en chasse un autre, même si l’un est plus jeune que l’autre, en tout bien tout honneur, il va sans dire.
Dans la continuité de ses paroles, sa main vient caresser mon sein droit, le plus rapproché.
Est-ce les trois mois d’isolement, abandonné par l’autre Nicolas celui de la mer du Nord, je sens que le froid du torrent fait place à la chaleur de cette main.
Avant mon Nicolas, j’ai eu de fréquents amants, certaines dans ces petits villages des débuts de montagnes me disaient chaude lapine.
Ils se trompaient, dès que j’ai été défloré par un copain de classe, je me suis empressée d’aimer le sexe.
Nicolas a su me satisfaire, Nicolas, l’autre avec son bob sur la tête va me satisfaire depuis le temps que je suis abandonnée.
Ce qui me rassure, c’est qu’il a dit qu’il était en vacances, donc certainement de passage.
C’est moi qui mets ma main sur son pénis au travers du boxer.
Je sens qu’il bande et ce que je finis par avoir dans ma main en même temps que ses lèvres, viennent sur les miennes, finissant de me convaincre de me laisser faire.
Plus gros que la bite de mon Nicolas régulier.
Je quitte sa bouche et me penchant je remplace sa langue par cette bite qui me fait envie, car je sens que ma chatte s’humidifie.
Dans le mouvement que j’ai fait, sa main est obligée de quitter mon sein, mais comme, lorsque j’écarte mes cuisses, ses doigts sont sur mon clito, je suis gagnante au change.
Il me caresse, je lui suce les couilles, j’ai une grande bouche et je lui fais une gorge profonde lorsque je sens ma chatte avoir une drôle de réaction.
Je sens des petits jets de ma cyprine fuser vers le torrent.
J’ai déjà été femme fontaine avec l’un de mes amants, jamais avec Nicolas, le cocu, mais pour celui qui déclenche les grandes eaux, ce doit être la première fois.
• Si on m’avait dit...
Et as-moi, j’étais simplement venue passer un début de mal de gorge.
Il bascule et entre en moi, je suis comblée, je suis à deux doigts de jouir directement.
Mais j’arrive à me calmer, voulant profiter de cette verge qui me laboure, le plus longtemps possible.
Je vais repartir, lorsqu’il me quitte, mais c’est pour mieux m’aider à me retourner et de me mettre en levrette avant de me reprendre pour une folle chevauchée.
Si dans ces montagnes de la bauge, les cerfs au printemps brame avant de faire des saillis, c’est nous qui faisons entendre notre plaisir dans cette gorge sortant de nos gorges.
Je m’écroule, mes avant-bras étant dans l’impossibilité de me soutenir.
• Merci, belle inconnue, je retourne à Albi sur Chéran, tu auras été la plus belle prise de ma vie, je te souhaite une belle et bonne vie...
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