COLLECTION COCU. By-cœur Allemands. Fin de la Saison I (3/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION COCU. By-cœur Allemands. Fin de la Saison I (3/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. By-cœur Allemands. Fin de la Saison I (3/6)
Les seins de Karine dans ma bouche, l’un après l’autre.
Sa chatte dégoulinante comme à nos plus beaux jours.
Dans nos meilleurs moments, avant nos mariages, nos grossesses et notre soumission à nos hommes, j’étais souvent dessous.
C’est encore le cas ce soir.

• Schnaps.

Le goulot d’une bouteille écarte le vagin de mon amie et fait couler dans ma gorge, ce qui devient un divin nectar mélangé à la cyprine de Karine.

• Schnaps.

J’ignore qui nous abreuve, j’écarte ma tête et j’ouvre ma bouche.
J’entends le liquide couler dans une autre bouche que la mienne.
Mon amie est, elle aussi abreuvée.

• Prosit.
• Prosit.
• Prosit.

J’entends des verres s’entrechoquer.
S’ils nous approvisionnent directement à la bouteille, ils boivent, eux aussi.
Que veut dire « prosit », je l’ignore, je regarderais sur mon portable.
J’ai d’autres chats à fouetter et surtout une chatte que je dois honorer.
Les cendres finissant de cuire notre repas, je vois une ombre me voiler ma vision.
C’est une verge noire qui prend Karine.
Ma langue entre en contact, pendant que mon amie commence à chanter son plaisir.
Nul doute que Sylvano avait une nouvelle fois l’envie de se vider les couilles et que vu notre position, c’est elle qui l’a reçu.
Une bite noire, j’ai presque du ressentiment.
On dit tellement de bien d’une bite noire surtout de la manière ou le by-cœur est monté.
Je me lamente, mais Karine et surtout sa langue est toujours aussi efficace que dans notre jeunesse.
Si nos hommes avaient été là dans les transats que je sors l’été avaient été là sur la terrasse quand nous hurlons de plaisir, ils auraient su qu’ils avaient épousé de fieffer salopes.
Il va sans le dire, que s’ils avaient été là, cette orgie sous le cerisier, même pas en rêve.
Quand il décharge, au moment où il se retire, du sperme mélangé aux sécrétions me coule dans ma bouche.
C’est nettement plus salé que le schnaps, mais j’aime bien.
Pendant tout ce temps, les cordes de la guitare sont toujours pincées par Lucas.
C’est loin d’être Manitas de Plata, mais c’est bien tout de même.
Karine étant relevée, Sylvano me tend la main pour m’aider, moi aussi.
Je me retrouve collée contre sa poitrine sa verge touchant mon abricot.
Je sens une fraction de seconde que l’éjaculation, dans l’intimité de ma petite salope, est loin de pouvoir me prendre à mon tour.
Il s’assied sur la balançoire, me faisant venir sur ses genoux.
Karl me passe une saucisse blanche, je joue à la mère nourricière avec le black allemand.
Je mange un morceau, ses grosses lèvres attrapent la saucisse avant de croquer à belles dents.
La viande cuite, le barbecue artisanal a été ôté et des buches ont été placées qui commence à crépiter et à nous chauffer.
Nous sommes en montagne, non loin des pistes de ski que nous dévalons l’hiver.
Jules a eu sa première étoile cette année pour le jour de Noël.
Karine, cette année s’est engueulée avec Mario.
Je l’ai un peu aidé, c’était quelques jours avant ce putain de virus, dix-neuvième du nom.
Je sais , c’est ce que je pensais au début avant d’apprendre que dix-neuf, voulait dire 2019.
Pour Mario, passé Noël loin de la Mama, s’était inenvisageable même si les pistes de ski le tentaient.
Bien sûr, il a gagné, ce que veulent nos hommes, on connaît la suite.
Ce doit être l’alcool qui remplit de nouveau ma bouche, qui brouille mon esprit, c’est « ce que la femme veut », qui ce dit.
C’est le cas chez moi, pas pour le Portugais.
Mais revenons à l’étoile de ski de Jules.
Moi, les étoiles, les chamois ou autre breloque, je m’en fiche, j’aime glisser sur les pistes enneigées.
En attendant, nous avons fini de déguster et après une bonne gorgée de schnaps, je fais sucer mes doigts à mon chevalier servant.
Je tends la main vers Lucas, qui comprend que je veux jouer.
Lorsque j’étais petite, mon grand-père jouait de la guitare, elle doit être rangée dans le grenier ou s’entasse pleine de vieilleries.
Au village, à quelques kilomètres, pour le 15 août, les dames de la paroisse organisent une grande braderie avec buvette pour leurs œuvres.
Si avec les enfants, nous faisions un grand tri, nous pourrions faire quelques sous.
L’étang, c’est bien, mais vu l’exposition de notre maison, devant la maison sans déraciner le cerisier, nous pourrions faire construire une piscine.
Je prends la guitare et je plaque quelques accords.
Je sens nettement que le feu couve.
Pas celui des bûches entre les pierres, mais sous mes fesses.
J’ai bien mangé, j’ai bien bu, j’ai bien joué ce que je sais jouer.
La guitare rendue à son propriétaire, je tourne ma tête et j’offre mes lèvres à la verge se tendant sous mes fesses.
C’est à ce moment que la planche de la balançoire cède sous notre poids nous propulsant les quatre fers en l’air.

Pour une fois, c’est lui qui est dessous, le feu et l’alcool, la bouteille ayant encore circulé avant notre accident me chauffe le sang.
Il me faut une verge, ça tombe bien, j’en ai une qui vient de finir dans ma main.
C’est avec délice que ma main et ma bouche branle et suce ce pieu que je regrettais être dans ma copine.
L’homme est jeune et a des réserves, il bande magnifiquement.
Je le veux en moi et quand je l’enfourche, je dois repousser le morceau droit de la balançoire qui semble vouloir continuer à jouer avec nous.
Un morceau de roi, aussi bien dans ma bouche que dans mon sexe qui se distant et le laisse entrer facilement tellement je mouille.
Ai-je déjà autant mouillé dans ma jeune vie, je suis sûr que non.
Je suis une chienne, je suis tout ce que l’on veut, même une soumise quand il me bascule pour me prendre en missionnaire et que mes jambes viennent le bloquer dans son dos.
J’ai le feu au cul, pour deux raisons.
La verge de mon amant et les flammes qui redoublent, des buches ayant dû être rajoutées par l’un de nos chevaliers servants.
Je baise sans aucun scrupule pour le cocu qui doit se morfondre à Créteil dans sa tour en attendant le départ demain matin.
De son côté, Karine, avec plus d’expérience que moi s’occupent des trois autres.
Karl est dessous, elle entre lui et Otto.
Merde, pardon, ma copine se fait enculer !
Elle aurait dû m’en parler, nous nous sommes toujours tout dit depuis notre rencontre.
C’est à ce moment que Lucas pose sa guitare et s’avance vers moi.
Ma bouche, c’est ma bouche qu’il veut, me faire baiser en faisant une fellation, qui pourrait le croire.
Pourtant, c’est avec délice que je le fais entrer jusqu’aux couilles.
Quand je jouis, ma bouche étant aspergée de sperme, rideau, je m’écroule de fatigue après la route et la soirée.
Fini les étoiles du ciel, bonjours celle dans ma tête.

« Hello, le soleil brille. »C’est ma sonnerie de portable.
J’avance la main pour m’en saisir.
J’ai du mal à ouvrir les yeux, mais le mal de crâne est intense.
Quelle gueule de bois, le schnaps, c’est bon, mais en moindre dose.
Devant mes yeux, une chatte, bien sûr, facile à la reconnaître, celle de Karine.
Sa main se pose sur ma main, m’empêchant de le saisir.

• Jannine, il est dix-heures, ton portable sonne depuis neuf heures.
Qui à part ton mari peut t’appeler, comme Mario le fait depuis huit heures.
C’est un lève-tôt et il a dû tout finir de préparer leur voyage comme il le fait quand nous allons voir ma salope de belle-mère.
Que vas-tu lui dire avec ton haleine de chacal et ta bouche pâteuse ?
Je me suis beurré la gueule au schnaps !
S’il te demande où as-tu eu cet alcool peu répandu dans tes montagnes !
Tu lui diras que c’était avec quatre by-cœur allemands qui nous ont baisés toute la nuit.
• Non, bien sûr.
J’ai soif, quelles folies.
Les Allemands ?
• J’ai entendu les motos démarrer à huit heures au moment du premier appel de Mario.
• Ils sont partis.
Heureusement, tu nous vois les présenter à nos maris et à nos enfants !
Alors, voilà ce que nous allons faire.

Nous nous levons, je prépare un café bien noir pendant qu’elle fait couler un bain.
Nous le prenons et nous nous lavons.
Pas de méprise chacune de notre côté, inutile de recommencer des jeux dangereux.

• Viens, il faut que nous allions au village, je viens de voir que j’avais oublié de prendre ma pilule, hier au soir.
• Mince-moi aussi.
• Il faut que nous prenions la pilule du lendemain, ça m’est arrivé plusieurs fois après avoir baisé avec mes amants.
Mais appelons nos maris maintenant, tu es en état de répondre.

Je reprends mon portable.
Aucun réseau.

• Ça arrive de temps en temps, nous sommes en montagne.
• Allons au village, nous essayerons en route.
• Attends, il me reste à démarrer une machine à laver avec nos affaires d’hier.
• Tu peux tout laver à 40 pour les miennes.

La machine démarrée, je prends le volant, peu sûr que mon corps ait évacué les degrés d’alcool, mais Karine, c’est pire.

• Sylvain ?
• Enfin !
Que faisiez-vous, ça fait plus d’une heure que l’on roule ?

Que m’a conseillé Karine quand on a trompé son mari.
Savoir mentir...


Dans quelques jours, la Saison II, le temps de finir de l’écrire.

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