COLLECTION COCU. By-cœur Allemands. Saison I (2/3) - histoire érotique

C’est par-dessus l’épaule de Karl, l’un des quatre pilotes allemands des Harley dont un trick qui nous ont conduits près du point d’eau au bas de la pente où se trouve notre maison de vacances que je vois Karine batifoler avec trois d’entre eux.
Nous sommes venues une journée en avance avec Karine, ma copine rondouillarde afin d’ouvrir et de préparer la maison pour le mois de vacances que nous prenons tous les six pour la première fois depuis nos mariages.
Sylvain et Mario arrivant demain avec nos enfants, Jules devant voir le dentiste ce samedi à 16 heures.
Six, deux couples avec chacun un enfant.
Jules pour moi et Carole pour elle, étant venus égayer nos couples.
Le covid19 ayant bousculé les plans de tous, c’est dans notre maison du Cantal que je rencontre ces quatre hommes qui nous conduisent à l’étang.
Hésitant à me montrer nue devant tous ces garçons, je les regarde restant près de la moto qui m’a amené.
Karl se méprend croyant que j’ai mes règles, comprend que c’est par pudeur et commence à déboutonner mon chemisier avant que nos bouches se rejoignent.
J’ai fait la route, mes seins restés nus pour me permettre de mieux respirer par cette canicule refusant de mettre la clim, car je suis allergique.
Réveille-toi Jeanine, tu es en train de tromper Sylvain comme le fait Karine, embrassant et caressant les trois hommes qui l’entreprennent.

• Viens allons à l’eau, je vais enlever le reste.

C’est ce que je trouve pour reculer l’échéance.
Je garde, ma petite culotte rose avec un cœur marqué « LOVE ».
C’est Sylvain qui me l’a offerte un jour où nos esprits étaient coquins.
Je suis fidèle, mais je sais que c’est provisoire, ce qui devrait me choquer, c’est qu’ils soient quatre contre deux.
Sylvano, le black quitte ses copains et ma copine afin de se rapprocher de nous et m’aider à progresser dans l’eau vaseuse.
Deux pour elle, deux pour moi, c’est loin de me rassurer, mais le contact de l’eau fraîche aplani tous mes scrupules.
Par cette chaleur, c’est divin.
Ma chatte s’échauffant revient à température normal, mais ma main sur la verge de ce beau gosse, me montre l’effet que je leur fais.
Dès que je le peux, je pars nager passant près de Karine qui est déjà entrain de pomper Otto et Lucas.
Je retarde ma sortie, mais le froid me prend.
C’est Karl qui me récupère, Karine est sur la berge, Lucas dans sa chatte et Otto se faisant pomper.
Il m’emporte sur la berge près de mon amie et je sens ma culotte être arrachée.
Quand sa verge entre en moi, je trouve que j’ai cédé un peu vite, mais très rapidement je reprends le dessus.
Le dessus, car c’est ma position favorite.
Karl le comprend et m’aide à rouler, nos sexes toujours soudés.
Otto s’avance vers moi et me tend la bouteille.
Je crois que c’est de l’eau.

• Schnaps Jeanine.

Je manque de m’étouffer, mais le sexe de Karl en moi et l’alcool exaspèrent mes sens et quand Sylvano me présente sa verge, je deviens comme Karine une bête de sexe.
J’avale et pour nettoyer mes amygdales en même temps qu’un orgasme me traverse, je reprends cette boisson qui me donne des envies de sexe.
Ma chatte remplie, je prends ce que je viens de faire avec philosophie.
Karine, la salope qu’elle est, bien que je lui ressemble, va se taire.
Tout c’est passé dans la nature, alors c’est les idées sereines que toujours nue, je remonte derrière Karl sur sa moto pour remonter la pente.
Les hommes ont remis leurs bottes, en plus de nos affaires, nous avons les jeans.
Je passe ma main manquant de nous faire chuter après une embardée quand je la pose sur la bite qui vient de me pénétrer et de décharger.
De retour sous le cerisier, j’entraîne Karine dans la maison.
C’est à ce moment que le portable posé sur la table sonne.
C’est celui de Karine l’ayant posé avant de sortir s’exhiber.

• Oui !
Non, nous étions en train de nous balancer auprès du cerisier, mon portable était en charge sur le meuble dans la maison.
Sylvain est près de toi !
Vous mangez, toutes les affaires sont au 3e, vous allez passer la nuit ensemble.
Dis à Sylvain que des campeurs ont pris des pierres et du bois rangé le long du mur pour faire un feu de camp.
Ils ont déplacé quatre ballots de paille.
Y-en a qui sont loin de se gêner.
Vous remettrez tout en l’état quand vous arriverez.
Merci.
Bises à tous, les gars évités de nous faire un petit si vous couchez ensemble.
Un peu d’humour, on vous laisse, on va dîner et se coucher chacune dans nos chambres les garçons.
Pour Jules, ça s’est bien passé, le dentiste lui a mis un pansement, il a rendez-vous le mercredi de la rentrée.
Ma fille vous a obligé à ce que le dentiste lui vérifie les dents, bien sûr, tout va bien, ça l’a calmé.
Bonne route, demain.

Elle coupe, nous éclatons de rire, mais j’ai des états d’âme.

• Karine, ça va trop vite, te rends-tu compte, nous venons à peine d’arriver et nous nous sommes déjà fait baiser par quatre inconnus.
• Reste cool Jeanine, on a la chance de pouvoir baiser sans aucun risque que nos maris nous surprennent, si je te disais les risques que je prends certaines fois pour une partie de jambes en l’air.
• Il t’arrive souvent de tromper Mario !
• Je sais que je peux compter sur toi pour te taire.
En France, une dizaine, de fois par an.
Au Portugal pendant nos vacances si j’arrive à en ferrer un ou deux, depuis sept ans, au total une centaine.
• Tu es une pute, Karine.
• Non, j’aime le sexe tout simplement.
Ah ! si, une fois dans le village de ma belle-mère, un Anglais est venu me proposer la botte dans le café où j’étais rentrée.
Pour rire, je lui ai dit que c’était 500 €, il a ouvert son portefeuille.
Nous sommes allés dans sa chambre et nous avons fait tout ce que j’avais l’habitude de faire avec les autres gratuitement.
• Qu’as-tu fait de l’argent ?
• De retour trois jours plus tard en France, je les ai placés sur le livret de caisse d’épargne de ma fille.
À ses 18 ans, ça lui fera un joli pécule.
• Tu es immorale.
• Et toi avec tes deux mecs tout à l’heure, qu’as-tu fait de ta morale.
Allez, viens, je vais aux toilettes et nous retournons en profiter.
Pour une fois que j’évite la Mama portugaise, qui est aux petits soins pour son bébé et qui se fiche royalement de moi, car elle aurait voulu que son poussin épouse une femme avec de grosses touffes de poils sous ses aisselles.
Tu m’excuses, je me rase tous les jours et je suis blonde.
Elle peut crever la vieille salope, il ira l’enterrer sans moi.

Énervée, elle va aux toilettes, je l’imite, les garçons près du cerisier ont préparé un drôle d’engin.
Trois barres de fer, un plateau troué retenu par trois chaines.
Sous le plateau des braises faites avec le bois qu’ils ont pris le long de la maison, qui nous sert à faire du feu dans la cheminée lorsque nous venons l’hiver.
Avec un bout de bois pour éviter de se brûler, il fait tourner le plateau doucement, les saucisses blanches qui sont dessus cuisent sans risque d’être brûlé.
Quand je vois le barbecue au gaz que Sylvain a acheté, plus simple, c’est impossible de faire.

• Schnaps ?

Je vais finir alcoolique, mais boire un coup à la bouteille me fais oublier que j’ai trompé Sylvain.
M’abrutir et voir venir.
Ce qui me chagrine, ce sont les aveux de Karine sur ses propres tromperies.
Apprendre que depuis si longtemps elle trompe Mario, ça me fait mal au cœur.
Non pas qu’il soit cocu, mais qu’elle me l’ait caché.
Je m’assieds toujours nue sur la planche de la balançoire.
Ça fait des années que mon grand-père l’a installé pour ma mère.
À la regarder, j’ai l’impression que les cordes ont été changées, mais que la planche est la même.
Le long du tronc du cerisier, un des Allemand a déposé une guitare.
Pendant que Sylvano surveille la cuisson, Lucas prend la guitare et s’assoit sur une botte de paille.
Il commence à gratter.

• Tanzmädchen.
• Lucas vous demande de danser.
• Avec toi Karl.

Il éclate de rire.

• Non, vous les filles.

Karine se lève de la botte où elle était, elle aussi assise et m’aide à me lever.
Est-ce l’alcool, l’ambiance, ce qui semble être un slow, mais dès que je suis dans ses bras, de vieux souvenirs me reviennent.
Ceux du temps ou nous étions amantes avant de trouver nos maris.
Mes seins se frottant sur les seins de mon amie grâce à la danse, c’est la première fois.
Chez nous, c’était l’une ou l’autre qui se collait, sans se frotter.
Là, mes pointes de seins sont exacerbées, une telle sensation, c’est nouveau pour moi.
Ma langue trouvant la sienne c’était plus classique.
Faire l’amour avec Karine devant quatre hommes, ça frise l’exhibition.
Quand elle m’entraîne vers le sol, je me laisse aller.
Dans la nuit tombante, dans la moiteur de l’orage ayant menacé sans éclater, la main de ma maîtresse vient me caresser la chatte qui a plaisir à la retrouver.
Pourquoi avons-nous arrêté de nous caresser depuis quelques années.
Nous commençons à faire l’amour, ignorant la présence des By-cœur Allemand...