COLLECTION COCU. Cocu d’A à Z... (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Cocu d’A à Z... (2/3)
Ludivine, quarante ans, dix-neuf ans de mariage en vacances sur la Côte atlantique dans un hôtel les pieds dans l’eau.
Mariée et fidèle, mais légèrement frustré allant même jusqu’à simuler mes orgasmes pour abréger les pénétrations de Freddy, mon mari.
Non loin de nous, au restaurant se trouve une famille d’environ notre âge avec un fils du même âge que le nôtre, mais absent pour la première année, partie marcher dans les monts de Haute-Savoie.
À cet hôtel, ils ont leur fils comme nous avons Lucie avec nous.
Un petit besoin pressant m’oblige à m’isoler dans une petite forêt de pins attenant à l’hôtel et là contre toute attente, Yann le fils du couple me surprend et contre toute attente, il me cloue à un pin pour me faire l’amour.
Nous formons une grande table au repas suivant, mais mon amant d’un moment semble avoir des yeux pour Lucie m’oubliant complètement.
Il est vrai qu’avant de nous séparer ayant retrouvé le goût de la jouissance, je lui ai fait comprendre, qu’il valait mieux éviter que les gens apprennent que j’ai été la première, il était puceau.
Le soir, promenade tous ensemble avec une glace sur la promenade du bord de mer.
Lucie nous demande l’autorisation d’aller en boîte avec mon amant d’un coup.
Au matin, remise en forme avec un jogging sur la plage, après quelques kilomètres je souffle et j’entame la conversation avec ma fille.
Depuis son adolescence, je parle facilement avec ma fille, je pense que c’est mon rôle de mère de le faire.
• Tu as pu rentrer en boîte hier, lorsque tu es partie, j’ai repensé qu’il faut être majeur pour entrer en discothèque et tu as encore dix-sept ans !
• Ça fait huit jours qu’avec ses parents ils sont là et il s’est fait des copains.
Je suis passé dans le paquet et j’ai pu aller m’éclater.
• Jusqu’à quel point ma chérie.
• Bon, j’avais promis de t’en parler lorsque cela arriverait.
Nous avons quitté la soirée et nous sommes rentrés par la plage les pieds dans l’eau.
Dans la discothèque nous nous étions embrassés et lorsqu’il m’a couché sur le sable, je me suis laissée aller.
• Avant de sortir, tu avais bien vérifié avoir pris ta pilule, comme je t’ai appris à le faire depuis que je te l’ai fait prescrire !
• Oui, et il a mis une capote pour éviter tout problème.
Tu pourras prendre rendez-vous à notre retour chez notre gynéco pour qu’elle me pose un stérilet, je voudrais éviter de prendre du poids et arrêter de faire entrer de la chimie dans mon corps.
Étant rassuré, nous reprenons notre course avec une pointe de jalousie, après la mère, la fille.
J’ignore s’il est gars à se vanter auprès de ses copains, mais que puis-je y faire et Freddy m’a fait jouir ce matin.
De retour dans notre chambre, je vois un petit mot sur mon oreiller.
« Les femmes de service viennent faire la chambre, je prends la voiture et je pars en ville.
Je t’aime. »
Dans la brochure, j’ai vu qu’il y avait un sauna à notre disposition, malgré la chaleur extérieure, je décide d’aller éliminer les toxines de ma peau.
Je remets mon maillot de bain entourant mon corps d’une grande serviette que je trouve dans la pièce d’eau.
J’ai vu que le sauna est en sous-sol et s’atteint grâce à l’ascenseur niveau -1.
Il est là et facile à s’en servir.
Je mets la serviette sous mes fesses pour éviter la chaleur du siège ou je m’assieds.
Comme tout sauna tout est en bois, je suis là depuis cinq minutes lorsque la porte s’ouvre.
• Ludivine, toi ici, tu apprécies les saunas, je peux !
• Il y a quatre places, tu peux !
Freddy est absent !
• Je suis allée courir avec Lucie et à mon retour, j’avais un mot me disant qu’il était parti en ville.
• Comme Françoise, elle est allée au super-marcher, chercher du shampoing et d’autres petites choses qui nous manquaient.
Jacques enlève le peignoir qui le recouvre, il est nu.
• Tu gardes ton maillot, un sauna il faut le faire nu, c’est meilleur.
Tu as vu, sur la plage, Françoise était seins nus, elle est toujours seins nus.
Je veux éviter de passer pour une femme coincée, j’enlève le haut.
• Tu vois, tes seins méritent d’être libres, ils sont très beaux.
Joignant le geste à la parole, il me flatte le sein, ma pointe s’érige.
Il est fou, ce sont des points de mon corps qui sont ultrasensibles.
Il se lève.
• Tu sais, je te trouve très bandante...
Avant que je réponse, il avance sa verge, un peu comme l’a fait son fils et il s’approche de ma bouche.
Inutile de comparer, pour la troisième fois en peu de temps trois différentes verges entrent dans ma bouche.
Hier, avec Freddy, je pouvais invoquer la frustration.
Avec son père, ayant joui avec Freddy lorsque nous avons fait l’amour, je me découvre être une belle salope qui ayant fauté une foi, récidive sans plus se poser de questions.
• Arrête, je vais jouir, je vais te faire l’amour.
Le sauna fonctionne, je suis en eau, Sylvain aussi.
Il place, son peignoir sur le bas se calle le dos le long du siège.
• Empale-toi, c’est toi qui vas rythmer notre coït.
Je place mes genoux de chaque côté de lui en faisant attention que mes jambes reposent bien sûr le tissu, le sauna est au maxi de sa température.
Il cible ma chatte et c’est moi qui le fais entrer jusqu’à ses couilles.
Ça fait plusieurs allers-retours que je monte et que je descends quand ma jambe touche le bois me faisant ressentir la chaleur intense.
Je me soulève plus que de raison, la sueur le fait glisser et l’impensable se produit.
• Aie !
• Merde, j’ai dérapé, je suis dans ton...
• Cul !
• Tu l’as déjà fait avec Freddy !
• Non, et avec personne d’autre.
• Merde, je suis le premier, attends, je sens qu’une petite partie de ma bite est entrée, je vais te reprendre normalement.
• Pourquoi normalement, je commence à apprécier ?
C’est sur ce banc de sauna dans cet hôtel de bord de mer les pieds dans l’eau que je subis, non, je pratique ma première sodomie.
J’ai dépucelé le fils, le père me dépucelle le trou du cul.
Nous remontons dans les chambres, nous sommes dans l’ascenseur.
• Il va sans dire que c’était un accident, pas un mot à ma femme.
• Et à mon mari, s’il savait que je me suis fait démonter l’anus, j’ignore sa réaction.
Il descend, ils sont à l’étage inférieur et je retrouve ma chambre.
La douleur de la pénétration se fait ressentir, dans l’action, ça passait, j’ouvre la trousse de secours de vacances, le tube de pommade adoucissante est là, je regarde la date de péremption deux ans.
Déjà deux ans que dans les Pyrénées que Sylvain est tombé en marchant dans un sentier et s’était fait mal m’obligeant de passer à la pharmacie à notre retour à l’hôtel.
Et la voiture que Freddy a prise, je sors de la salle de bain, une serviette autour de mes seins.
La porte-fenêtre est ouverte, je m’assieds dans une chaise à notre disposition.
Il est plus de onze heures lorsque je vois notre voiture arriver, c’est facile de la reconnaître, elle est jaune orangée.
Je me lève, j’ôte ma serviette à part la mer, et sur le voilier qui s’y trouve, je peux rester nue et je me prépare rapidement, il est encore temps de me rendre à la pharmacie.
Un nouveau bruit de moteur, j’ai mis ma petite culotte et j’ai ma robe à la main, je m’approche.
Françoise vient d’arriver dans la voiture de leur famille, elle me voit, me fait un signe amical.
Freddy entre et vient m’embrasser un léger parfum arrive à mes narines, mais j’évite d’être suspicieuse, car mon anus me brûle.
• Je me suis fait mal à la cheville, je vais en ville chercher de la pommade.
• Il y en a dans la trousse de secours !
• Elle est périnée, il m’en faut une neuve.
Destin, quand tu nous tiens, je descendant le réceptionniste m’interpelle.
• Madame, ceci doit être à vous, un employé l’a trouvé en nettoyant le sauna, Nous sommes prévenus quand des clients sont dans le sauna et nous le faisons nettoyer après chaque passage.
Il était dans le coin et par chance il vous avait vu avec sur la plage, bonne promenade.
Je le remercie, c’est dans un sac discret qu’il a mis la preuve de ma déviation sexuelle qui me brule le cul.
Inutile que je regarde, dans ma précipitation à quitter Jacques, je me vois nouer ma serviette autour de mes seins sans penser à mon maillot de bain.
Je monte dans notre voiture, je démarre et quelques minutes après je m’arrête devant une pharmacie.
Au moment de descendre, je vois qu’aux pédales, il y a du sable, ou a pu aller Freddy...
Mariée et fidèle, mais légèrement frustré allant même jusqu’à simuler mes orgasmes pour abréger les pénétrations de Freddy, mon mari.
Non loin de nous, au restaurant se trouve une famille d’environ notre âge avec un fils du même âge que le nôtre, mais absent pour la première année, partie marcher dans les monts de Haute-Savoie.
À cet hôtel, ils ont leur fils comme nous avons Lucie avec nous.
Un petit besoin pressant m’oblige à m’isoler dans une petite forêt de pins attenant à l’hôtel et là contre toute attente, Yann le fils du couple me surprend et contre toute attente, il me cloue à un pin pour me faire l’amour.
Nous formons une grande table au repas suivant, mais mon amant d’un moment semble avoir des yeux pour Lucie m’oubliant complètement.
Il est vrai qu’avant de nous séparer ayant retrouvé le goût de la jouissance, je lui ai fait comprendre, qu’il valait mieux éviter que les gens apprennent que j’ai été la première, il était puceau.
Le soir, promenade tous ensemble avec une glace sur la promenade du bord de mer.
Lucie nous demande l’autorisation d’aller en boîte avec mon amant d’un coup.
Au matin, remise en forme avec un jogging sur la plage, après quelques kilomètres je souffle et j’entame la conversation avec ma fille.
Depuis son adolescence, je parle facilement avec ma fille, je pense que c’est mon rôle de mère de le faire.
• Tu as pu rentrer en boîte hier, lorsque tu es partie, j’ai repensé qu’il faut être majeur pour entrer en discothèque et tu as encore dix-sept ans !
• Ça fait huit jours qu’avec ses parents ils sont là et il s’est fait des copains.
Je suis passé dans le paquet et j’ai pu aller m’éclater.
• Jusqu’à quel point ma chérie.
• Bon, j’avais promis de t’en parler lorsque cela arriverait.
Nous avons quitté la soirée et nous sommes rentrés par la plage les pieds dans l’eau.
Dans la discothèque nous nous étions embrassés et lorsqu’il m’a couché sur le sable, je me suis laissée aller.
• Avant de sortir, tu avais bien vérifié avoir pris ta pilule, comme je t’ai appris à le faire depuis que je te l’ai fait prescrire !
• Oui, et il a mis une capote pour éviter tout problème.
Tu pourras prendre rendez-vous à notre retour chez notre gynéco pour qu’elle me pose un stérilet, je voudrais éviter de prendre du poids et arrêter de faire entrer de la chimie dans mon corps.
Étant rassuré, nous reprenons notre course avec une pointe de jalousie, après la mère, la fille.
J’ignore s’il est gars à se vanter auprès de ses copains, mais que puis-je y faire et Freddy m’a fait jouir ce matin.
De retour dans notre chambre, je vois un petit mot sur mon oreiller.
« Les femmes de service viennent faire la chambre, je prends la voiture et je pars en ville.
Je t’aime. »
Dans la brochure, j’ai vu qu’il y avait un sauna à notre disposition, malgré la chaleur extérieure, je décide d’aller éliminer les toxines de ma peau.
Je remets mon maillot de bain entourant mon corps d’une grande serviette que je trouve dans la pièce d’eau.
J’ai vu que le sauna est en sous-sol et s’atteint grâce à l’ascenseur niveau -1.
Il est là et facile à s’en servir.
Je mets la serviette sous mes fesses pour éviter la chaleur du siège ou je m’assieds.
Comme tout sauna tout est en bois, je suis là depuis cinq minutes lorsque la porte s’ouvre.
• Ludivine, toi ici, tu apprécies les saunas, je peux !
• Il y a quatre places, tu peux !
Freddy est absent !
• Je suis allée courir avec Lucie et à mon retour, j’avais un mot me disant qu’il était parti en ville.
• Comme Françoise, elle est allée au super-marcher, chercher du shampoing et d’autres petites choses qui nous manquaient.
Jacques enlève le peignoir qui le recouvre, il est nu.
• Tu gardes ton maillot, un sauna il faut le faire nu, c’est meilleur.
Tu as vu, sur la plage, Françoise était seins nus, elle est toujours seins nus.
Je veux éviter de passer pour une femme coincée, j’enlève le haut.
• Tu vois, tes seins méritent d’être libres, ils sont très beaux.
Joignant le geste à la parole, il me flatte le sein, ma pointe s’érige.
Il est fou, ce sont des points de mon corps qui sont ultrasensibles.
Il se lève.
• Tu sais, je te trouve très bandante...
Avant que je réponse, il avance sa verge, un peu comme l’a fait son fils et il s’approche de ma bouche.
Inutile de comparer, pour la troisième fois en peu de temps trois différentes verges entrent dans ma bouche.
Hier, avec Freddy, je pouvais invoquer la frustration.
Avec son père, ayant joui avec Freddy lorsque nous avons fait l’amour, je me découvre être une belle salope qui ayant fauté une foi, récidive sans plus se poser de questions.
• Arrête, je vais jouir, je vais te faire l’amour.
Le sauna fonctionne, je suis en eau, Sylvain aussi.
Il place, son peignoir sur le bas se calle le dos le long du siège.
• Empale-toi, c’est toi qui vas rythmer notre coït.
Je place mes genoux de chaque côté de lui en faisant attention que mes jambes reposent bien sûr le tissu, le sauna est au maxi de sa température.
Il cible ma chatte et c’est moi qui le fais entrer jusqu’à ses couilles.
Ça fait plusieurs allers-retours que je monte et que je descends quand ma jambe touche le bois me faisant ressentir la chaleur intense.
Je me soulève plus que de raison, la sueur le fait glisser et l’impensable se produit.
• Aie !
• Merde, j’ai dérapé, je suis dans ton...
• Cul !
• Tu l’as déjà fait avec Freddy !
• Non, et avec personne d’autre.
• Merde, je suis le premier, attends, je sens qu’une petite partie de ma bite est entrée, je vais te reprendre normalement.
• Pourquoi normalement, je commence à apprécier ?
C’est sur ce banc de sauna dans cet hôtel de bord de mer les pieds dans l’eau que je subis, non, je pratique ma première sodomie.
J’ai dépucelé le fils, le père me dépucelle le trou du cul.
Nous remontons dans les chambres, nous sommes dans l’ascenseur.
• Il va sans dire que c’était un accident, pas un mot à ma femme.
• Et à mon mari, s’il savait que je me suis fait démonter l’anus, j’ignore sa réaction.
Il descend, ils sont à l’étage inférieur et je retrouve ma chambre.
La douleur de la pénétration se fait ressentir, dans l’action, ça passait, j’ouvre la trousse de secours de vacances, le tube de pommade adoucissante est là, je regarde la date de péremption deux ans.
Déjà deux ans que dans les Pyrénées que Sylvain est tombé en marchant dans un sentier et s’était fait mal m’obligeant de passer à la pharmacie à notre retour à l’hôtel.
Et la voiture que Freddy a prise, je sors de la salle de bain, une serviette autour de mes seins.
La porte-fenêtre est ouverte, je m’assieds dans une chaise à notre disposition.
Il est plus de onze heures lorsque je vois notre voiture arriver, c’est facile de la reconnaître, elle est jaune orangée.
Je me lève, j’ôte ma serviette à part la mer, et sur le voilier qui s’y trouve, je peux rester nue et je me prépare rapidement, il est encore temps de me rendre à la pharmacie.
Un nouveau bruit de moteur, j’ai mis ma petite culotte et j’ai ma robe à la main, je m’approche.
Françoise vient d’arriver dans la voiture de leur famille, elle me voit, me fait un signe amical.
Freddy entre et vient m’embrasser un léger parfum arrive à mes narines, mais j’évite d’être suspicieuse, car mon anus me brûle.
• Je me suis fait mal à la cheville, je vais en ville chercher de la pommade.
• Il y en a dans la trousse de secours !
• Elle est périnée, il m’en faut une neuve.
Destin, quand tu nous tiens, je descendant le réceptionniste m’interpelle.
• Madame, ceci doit être à vous, un employé l’a trouvé en nettoyant le sauna, Nous sommes prévenus quand des clients sont dans le sauna et nous le faisons nettoyer après chaque passage.
Il était dans le coin et par chance il vous avait vu avec sur la plage, bonne promenade.
Je le remercie, c’est dans un sac discret qu’il a mis la preuve de ma déviation sexuelle qui me brule le cul.
Inutile que je regarde, dans ma précipitation à quitter Jacques, je me vois nouer ma serviette autour de mes seins sans penser à mon maillot de bain.
Je monte dans notre voiture, je démarre et quelques minutes après je m’arrête devant une pharmacie.
Au moment de descendre, je vois qu’aux pédales, il y a du sable, ou a pu aller Freddy...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une bien jolie histoire de sodomie qui bien menée et partagé est un climax fabuleux, votre histoire a remué le souvenir d'une petite amie très sensuelle, amoureuse,je lui souhaite une longue vie de jouissance