COLLECTION COCU. Cocu d’A à Z... (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Cocu d’A à Z... (3/3)
Je m’appelle Ludivine en vacances au bord de l’Atlantique avec mon mari Freddy et ma fille Lucie.
Quarante ans, dix-neuf ans de mariage, légèrement frustrée sexuellement mon mari semblant ailleurs depuis quelque temps.
J’ai ma part dans la distension de notre couple, car au lieu de m’exprimer, je simule lui faisant croire qu’il m’apporte la plénitude dont chaque femme a le droit.
C’est dans cette atmosphère que je rencontre Yann fils d’une famille qui comme nous est en vacances à l’hôtel.
Je me donne à lui le dépucelant, mais je lui fais comprendre que nous deux, ça a été un agréable moment, mais que son avenir est plus vers les filles de son âge qu’une vieille comme moi.
Il me prend au mot et c’est sur ma fille Lucie, qu’il porte une attaque.
Je suis très complice avec elle depuis son adolescence et ses premières règles.
Elle sait comment l’on fait des bébés et pour éviter tous problèmes, je lui ai fait prendre la pilule en attendant que son corps puisse recevoir une autre contraception.
La mère dépucelle le garçon, le garçon dépucelle sa fille et pour clore tout cela, Jacques le père dans un sauna dépucelle cette mère, mais dans son anus, par une fausse manoeuvre due à la chaleur.
Avec cette famille d’un genre étrange, je veux que cette incartade dans le sauna brise la chaîne qui semble nous lier dès le lendemain de notre arrivée par une simple envie d’un petit pipi.
J’ai mal aux fesses, je vais chercher de la pommade avant de manger, au moment de descendre de voiture, je sens mon pied glisser, les pédales, le plancher avant, sont couverts de sable.
Ou Freddy a pu aller alors qu’il est revenu avec le journal !
Pour que notre voiture ait du sable alors que comme moi il était en ville, le journal de sport qu’il avait en main lorsqu’il est arrivé le prouvant, ou a-t-il pu aller ?
J’achète la pommade avec des mini-mouchoirs en papier, j’ai vu qu’ils nous en manquaient.
Je remonte en voiture, je pose mes achats à mes côtés sur le siège avant.
Le paquet de mouchoirs glisse sur le sac donné par le réceptionniste et où se trouve la preuve de mon infidélité dans le sauna.
Les mouchoirs tombent sur le sol, je me penche, un objet briant attire mon œil.
Une gourmette en or, une plaque, « FRANÇOISE », le fermoir est cassé.
Combien je connais de Françoise ayant pu monter dans notre voiture ?
Combien de Françoise, ai-je vue revenir à l’hôtel quelques minutes après mon mari.
Et moi qui voulait que la chaîne se brise, je pense que c’est plutôt notre ménage qui risque de l’être, car un nouveau maillon semble s’être formé ce matin dans un endroit où le sol était sablonneux.
Le midi, autour de la table rien pour dire que chacun d’entre nous a la moindre chose à se reprocher ou a caché.
Seul Jacques et Lucie assis côte à côte semble rigoler pour des futilités, quant à Yann, ce sont les mouettes qui semblent avoir son attention.
Du côté de Freddy et Françoise, rien, aucun signe de connivence montrant que les deux sont amants.
Plage soleil, promenade le soir avec à la clef, ce qui devient la traditionnelle glace et le retour à l’hôtel où tout semble normal.
Fin de matinée coquinerie dans notre lit par Freddy comme s’il avait quelque chose à se faire pardonner.
Trois jours ou chaque matin nous revivons une parfaite lune de miel.
Chaque fois nos voisins doivent ce dire que j’ai des élans bruyants sous la charge de mon mari, bref le bonheur, la chaîne s’est enfin brisée.
Hélas, ce matin il pleut lorsque nous émergeons.
À midi, la pluie s’est arrêtée avec le changement de marée, phénomène bien connu pour les gens habitant sur cette côte.
• J’ai vu qu’il y avait une corrida non loin d’ici, la plage est mouillée et si nous allions faire un tour là-bas !
• Jacques, y aura-t-il des mises à mort ou est-ce des courses à la cocarde ?
• Ce sera de vrais mise à mort, avec du sang et des larmes suivant la grosseur des couilles à manger dans les restaurants alentour selon qui mourra ce soir.
Jacques fait son malin, mais il y a bien longtemps que j’ai entendu cette histoire belge avec les couilles du taureau ou de l’homme dans son costume de lumière.
• Maman, je peux y aller avec papa, je voudrais voir ce spectacle, ça doit être passionnant.
• Lucie, moi je t’emmène, je te ferais sentir et comprendre toute la magie entre le taureau et le matador avec les différences partie menant à la mise à mort.
• Ludivine, je t’en supplie, je connais Yann, il est aussi passionné que son père, reste avec moi, je viendrais te chercher et nous irons faire un tour dans les magasins, j’aime chiner.
Voilà comment se reforme un maillon supplémentaire une nouvelle fois sans que je le prémédite, même si c’est un peu moi quand même suite à ma demande à Françoise lorsqu’elle vient dans notre chambre qui la déclenche.
• Françoise, peux-tu me dire comment ta gourmette s’est retrouvée dans notre voiture ?
De plus, peux-tu me dire pourquoi notre voiture était pleine de sable ?
C’est là que la réaction de Françoise est étonnante, elle fond en larmes et me tombe dans les bras.
• Lorsque tu m’as vu revenir quand tu étais sur ton balcon, j’arrivais d’un petit chemin tranquille ou j’avais rejoint Freddy , nous avons fait l’amour dans votre voiture, c’est là que le fermoir a dû casser.
Nous avons le même âge et le temps des contorsions étant dépassé, il m’a demandé de sortir et il m’a prise sur le capot.
Voilà comment le sable s’est retrouvé dans l’habitat de votre voiture.
De retour j’ai vu que j’avais perdu ma gourmette, persuadée que c’était à cause des assauts fougueux de ton mari.
Je voulais trouver un motif demain matin pour retourner dans le chemin et la retrouver.
Je lui rends sa gourmette, nous sommes dans les bras l’une de l’autre.
Dans nos explications sur la tromperie avec mon mari, sa main s’est portée sur mon sein qui réagit pour la première fois sous les assauts d’une femme.
• Tu sais, j’ignore les rapports que tu entretiens avec ta fille, mon garçon, moi, me dit tout, avec mon mari aussi.
Avec Freddy, je t’ai fait cocu, tu pourrais croire que c’est par vengeance alors que tu as dépucelé mon petit Yann.
Avec Jacques, nous sommes libertins et j’avais envie de ton mari comme tu as accepté de te servir du mien dans le sauna.
• T’a-t-il dit qu’il m’a enculé.
• Oui, il m’a parlé du dérapage non contrôlé, nous en avons rigolé.
Embrasse-moi, j’ai autant envie de toi que j’avais envie de ton mari.
Je peux te faire une confidence, sur le capot de la voiture, il m’a enculé, je me fais régulièrement enculer et j’aime ça, j’ai fini par y prendre du plaisir.
Je vois que tu as de la pommade adoucissante dans ce tube sur ta de nuit, veux-tu que je te la passe ?
Enlève ton peignoir et allonge-toi
Françoise est arrivée un peu plus tôt qu’attendu, je suis toujours en peignoir.
J’allais me mettre de la pommade lorsqu’elle a frappé.
Je l’ai posé et je suis allée ouvrir, c’est vrai que mon cul me brûle, j’exécute son injonction me retrouvant les fesses en l’air.
Une bite du mari un doigt de François quand sa langue vient le remplacer, mais dans ma chatte.
Je sens que je dégouline pour cette première avec une femme, mais elle en veut plus et s’allongeant, c’est moi qui lui écarte les jambes pour lécher sa chatte épilée.
Lorsque nous nous sommes fait bien jouir dans un très beau 69, nous allons nous doucher et nous descendons faire notre promenade lèche-vitrine.
J’ai un peu fait brûler notre carte bleue.
Dans une cabine où j’essayais une robe de vacances, pour compléter notre après-midi festive, nous nous sommes caressés.
Lorsque je suis ressorti, ma petite culotte était dans le sac avec la robe.
Françoise venait de me faire connaitre les balades le cul à l’air.
Nous nous sommes arrêtées dans un café pour prendre un rafraichissement.
• Que fais-tu tu es folle ?
• Regarde discrètement derrière toi, vois-tu ce brun avec sa femme ?
• Il est quelconque !
• Bien sûr, mais je viens d’écarter les jambes pour lui monter ma nudité.
J’adore m’exhiber en toute impunité, il est avec sa femme, ce soir c’est elle qui va profiter de mon exhibition, tu vois cet homme se lever et me dire ou et quand ?
Et toi que fais-tu ?
• J’en ai un du même genre dans ma ligne de mire, c’est vrai ça m’excite de m’exposer avec cette foule autour de nous.
Je referme mes cuisses, je veux éviter un scandale, mais je vois l’homme se lever et venir vers nous et passant près d’un serveur lui demander.
• Les toilettes s’il vous plait.
Françoise se met à rigoler.
• Assume, suis-le tu sais où il t’attend.
Nous nous levons, je paye profitant que le serveur est près de nous et nous filons comme deux friponnes que nous sommes et que je me sens devenue.
Nous récupérons la voiture et nous rentrons et dinons en tête à tête.
Lorsque je rejoins ma chambre, ils ont dû chercher à manger des couilles après la corrida.
Je sens Freddy rentrer.
C’est le dernier jour et la dernière glace sur la promenade.
• Et si pour finir notre séjour nous allions en boîte !
• C’est impossible, Lucie est trop jeune et contrairement à l’un et l’autre soir, si nous savons que nous sommes en infraction, nous serions mal à l’aise.
De plus, demain nous rentrons et il nous faut faire la route, je vous connais, vous serez dans l’impossibilité de conduire et je pense que Françoise ou moi seront dans l’impossibilité de conduire avant que vous décuitiez.
Ouf, je pense que le séjour va s’arrêter en brisant cette chaîne infernale qui a frappé ma famille.
Par chance, Lucie, si elle s’est fait enlever son pucelage par un jeune comme elle, a échappé à cette chaîne de débauche.
Nous retournons vers nos voitures, lorsqu’un petiot caillou entre dans ma sandale.
Je m’arrête pour l’ôter les autres avançant sans voir mon arrêt.
Lorsque je repars, je suis à deux mètres de Lucie et de Jacques qui marchent côte à côte.
La main de Jacques vient empaumer la fesse de ma fille.
Je pense qu’elle va lui mettre une baffe, mais contre toute attente, elle dégage la sienne et la plaque sur le cul de Jacques.
J’ai dû louper un évènement de ces drôles de vacances.
Si ma fille lui plaque cette main, c’est que quelque chose s’est passé entre eux, est-ce lors de la corrida ?
Ont-ils pris des saunas ensemble comme j’en ai pris un et me faire enculer, même si c’était par méprise ?
Jacques a-t-il rejoint ma fille dans sa chambre une de ces nuits, je l’ignore, mais il est temps que ces vacances se finissent, les maillons de la chaîne sont complets.
Je passe une mauvaise nuit prenant conscience de ce que j’ai fait.
• Au revoir, les amis, vous avez notre numéro de téléphone, on s’appelle.
Freddy, tu verras avec Ludivine et Lucie pour la proposition dont je t’ai parlé hier en marchant.
• On a encore cinq minutes, Freddy dit moi de quoi s’agit-il ?
• Nos amis ont réservé une grande villa au Maroc à Essaouira, ils voudraient que nous nous y retrouvions l’an prochain.
• Mon chéri, tu le fais exprès, tu pouvais lui donner la réponse directement.
Pour nos vingt ans de mariage, je t’ai toujours dit que j’aimerais aller en Grèce là où est née ma grand-mère.
Mes amis, nous envisagerons autre chose plus tard bonne route.
Je monte en voiture, satisfaite d’avoir brisé définitivement, du moins je l’espère briser ce lien avec cette famille qui a fait que j’ai cocufié Freddy d’A à Z.
Quarante ans, dix-neuf ans de mariage, légèrement frustrée sexuellement mon mari semblant ailleurs depuis quelque temps.
J’ai ma part dans la distension de notre couple, car au lieu de m’exprimer, je simule lui faisant croire qu’il m’apporte la plénitude dont chaque femme a le droit.
C’est dans cette atmosphère que je rencontre Yann fils d’une famille qui comme nous est en vacances à l’hôtel.
Je me donne à lui le dépucelant, mais je lui fais comprendre que nous deux, ça a été un agréable moment, mais que son avenir est plus vers les filles de son âge qu’une vieille comme moi.
Il me prend au mot et c’est sur ma fille Lucie, qu’il porte une attaque.
Je suis très complice avec elle depuis son adolescence et ses premières règles.
Elle sait comment l’on fait des bébés et pour éviter tous problèmes, je lui ai fait prendre la pilule en attendant que son corps puisse recevoir une autre contraception.
La mère dépucelle le garçon, le garçon dépucelle sa fille et pour clore tout cela, Jacques le père dans un sauna dépucelle cette mère, mais dans son anus, par une fausse manoeuvre due à la chaleur.
Avec cette famille d’un genre étrange, je veux que cette incartade dans le sauna brise la chaîne qui semble nous lier dès le lendemain de notre arrivée par une simple envie d’un petit pipi.
J’ai mal aux fesses, je vais chercher de la pommade avant de manger, au moment de descendre de voiture, je sens mon pied glisser, les pédales, le plancher avant, sont couverts de sable.
Ou Freddy a pu aller alors qu’il est revenu avec le journal !
Pour que notre voiture ait du sable alors que comme moi il était en ville, le journal de sport qu’il avait en main lorsqu’il est arrivé le prouvant, ou a-t-il pu aller ?
J’achète la pommade avec des mini-mouchoirs en papier, j’ai vu qu’ils nous en manquaient.
Je remonte en voiture, je pose mes achats à mes côtés sur le siège avant.
Le paquet de mouchoirs glisse sur le sac donné par le réceptionniste et où se trouve la preuve de mon infidélité dans le sauna.
Les mouchoirs tombent sur le sol, je me penche, un objet briant attire mon œil.
Une gourmette en or, une plaque, « FRANÇOISE », le fermoir est cassé.
Combien je connais de Françoise ayant pu monter dans notre voiture ?
Combien de Françoise, ai-je vue revenir à l’hôtel quelques minutes après mon mari.
Et moi qui voulait que la chaîne se brise, je pense que c’est plutôt notre ménage qui risque de l’être, car un nouveau maillon semble s’être formé ce matin dans un endroit où le sol était sablonneux.
Le midi, autour de la table rien pour dire que chacun d’entre nous a la moindre chose à se reprocher ou a caché.
Seul Jacques et Lucie assis côte à côte semble rigoler pour des futilités, quant à Yann, ce sont les mouettes qui semblent avoir son attention.
Du côté de Freddy et Françoise, rien, aucun signe de connivence montrant que les deux sont amants.
Plage soleil, promenade le soir avec à la clef, ce qui devient la traditionnelle glace et le retour à l’hôtel où tout semble normal.
Fin de matinée coquinerie dans notre lit par Freddy comme s’il avait quelque chose à se faire pardonner.
Trois jours ou chaque matin nous revivons une parfaite lune de miel.
Chaque fois nos voisins doivent ce dire que j’ai des élans bruyants sous la charge de mon mari, bref le bonheur, la chaîne s’est enfin brisée.
Hélas, ce matin il pleut lorsque nous émergeons.
À midi, la pluie s’est arrêtée avec le changement de marée, phénomène bien connu pour les gens habitant sur cette côte.
• J’ai vu qu’il y avait une corrida non loin d’ici, la plage est mouillée et si nous allions faire un tour là-bas !
• Jacques, y aura-t-il des mises à mort ou est-ce des courses à la cocarde ?
• Ce sera de vrais mise à mort, avec du sang et des larmes suivant la grosseur des couilles à manger dans les restaurants alentour selon qui mourra ce soir.
Jacques fait son malin, mais il y a bien longtemps que j’ai entendu cette histoire belge avec les couilles du taureau ou de l’homme dans son costume de lumière.
• Maman, je peux y aller avec papa, je voudrais voir ce spectacle, ça doit être passionnant.
• Lucie, moi je t’emmène, je te ferais sentir et comprendre toute la magie entre le taureau et le matador avec les différences partie menant à la mise à mort.
• Ludivine, je t’en supplie, je connais Yann, il est aussi passionné que son père, reste avec moi, je viendrais te chercher et nous irons faire un tour dans les magasins, j’aime chiner.
Voilà comment se reforme un maillon supplémentaire une nouvelle fois sans que je le prémédite, même si c’est un peu moi quand même suite à ma demande à Françoise lorsqu’elle vient dans notre chambre qui la déclenche.
• Françoise, peux-tu me dire comment ta gourmette s’est retrouvée dans notre voiture ?
De plus, peux-tu me dire pourquoi notre voiture était pleine de sable ?
C’est là que la réaction de Françoise est étonnante, elle fond en larmes et me tombe dans les bras.
• Lorsque tu m’as vu revenir quand tu étais sur ton balcon, j’arrivais d’un petit chemin tranquille ou j’avais rejoint Freddy , nous avons fait l’amour dans votre voiture, c’est là que le fermoir a dû casser.
Nous avons le même âge et le temps des contorsions étant dépassé, il m’a demandé de sortir et il m’a prise sur le capot.
Voilà comment le sable s’est retrouvé dans l’habitat de votre voiture.
De retour j’ai vu que j’avais perdu ma gourmette, persuadée que c’était à cause des assauts fougueux de ton mari.
Je voulais trouver un motif demain matin pour retourner dans le chemin et la retrouver.
Je lui rends sa gourmette, nous sommes dans les bras l’une de l’autre.
Dans nos explications sur la tromperie avec mon mari, sa main s’est portée sur mon sein qui réagit pour la première fois sous les assauts d’une femme.
• Tu sais, j’ignore les rapports que tu entretiens avec ta fille, mon garçon, moi, me dit tout, avec mon mari aussi.
Avec Freddy, je t’ai fait cocu, tu pourrais croire que c’est par vengeance alors que tu as dépucelé mon petit Yann.
Avec Jacques, nous sommes libertins et j’avais envie de ton mari comme tu as accepté de te servir du mien dans le sauna.
• T’a-t-il dit qu’il m’a enculé.
• Oui, il m’a parlé du dérapage non contrôlé, nous en avons rigolé.
Embrasse-moi, j’ai autant envie de toi que j’avais envie de ton mari.
Je peux te faire une confidence, sur le capot de la voiture, il m’a enculé, je me fais régulièrement enculer et j’aime ça, j’ai fini par y prendre du plaisir.
Je vois que tu as de la pommade adoucissante dans ce tube sur ta de nuit, veux-tu que je te la passe ?
Enlève ton peignoir et allonge-toi
Françoise est arrivée un peu plus tôt qu’attendu, je suis toujours en peignoir.
J’allais me mettre de la pommade lorsqu’elle a frappé.
Je l’ai posé et je suis allée ouvrir, c’est vrai que mon cul me brûle, j’exécute son injonction me retrouvant les fesses en l’air.
Une bite du mari un doigt de François quand sa langue vient le remplacer, mais dans ma chatte.
Je sens que je dégouline pour cette première avec une femme, mais elle en veut plus et s’allongeant, c’est moi qui lui écarte les jambes pour lécher sa chatte épilée.
Lorsque nous nous sommes fait bien jouir dans un très beau 69, nous allons nous doucher et nous descendons faire notre promenade lèche-vitrine.
J’ai un peu fait brûler notre carte bleue.
Dans une cabine où j’essayais une robe de vacances, pour compléter notre après-midi festive, nous nous sommes caressés.
Lorsque je suis ressorti, ma petite culotte était dans le sac avec la robe.
Françoise venait de me faire connaitre les balades le cul à l’air.
Nous nous sommes arrêtées dans un café pour prendre un rafraichissement.
• Que fais-tu tu es folle ?
• Regarde discrètement derrière toi, vois-tu ce brun avec sa femme ?
• Il est quelconque !
• Bien sûr, mais je viens d’écarter les jambes pour lui monter ma nudité.
J’adore m’exhiber en toute impunité, il est avec sa femme, ce soir c’est elle qui va profiter de mon exhibition, tu vois cet homme se lever et me dire ou et quand ?
Et toi que fais-tu ?
• J’en ai un du même genre dans ma ligne de mire, c’est vrai ça m’excite de m’exposer avec cette foule autour de nous.
Je referme mes cuisses, je veux éviter un scandale, mais je vois l’homme se lever et venir vers nous et passant près d’un serveur lui demander.
• Les toilettes s’il vous plait.
Françoise se met à rigoler.
• Assume, suis-le tu sais où il t’attend.
Nous nous levons, je paye profitant que le serveur est près de nous et nous filons comme deux friponnes que nous sommes et que je me sens devenue.
Nous récupérons la voiture et nous rentrons et dinons en tête à tête.
Lorsque je rejoins ma chambre, ils ont dû chercher à manger des couilles après la corrida.
Je sens Freddy rentrer.
C’est le dernier jour et la dernière glace sur la promenade.
• Et si pour finir notre séjour nous allions en boîte !
• C’est impossible, Lucie est trop jeune et contrairement à l’un et l’autre soir, si nous savons que nous sommes en infraction, nous serions mal à l’aise.
De plus, demain nous rentrons et il nous faut faire la route, je vous connais, vous serez dans l’impossibilité de conduire et je pense que Françoise ou moi seront dans l’impossibilité de conduire avant que vous décuitiez.
Ouf, je pense que le séjour va s’arrêter en brisant cette chaîne infernale qui a frappé ma famille.
Par chance, Lucie, si elle s’est fait enlever son pucelage par un jeune comme elle, a échappé à cette chaîne de débauche.
Nous retournons vers nos voitures, lorsqu’un petiot caillou entre dans ma sandale.
Je m’arrête pour l’ôter les autres avançant sans voir mon arrêt.
Lorsque je repars, je suis à deux mètres de Lucie et de Jacques qui marchent côte à côte.
La main de Jacques vient empaumer la fesse de ma fille.
Je pense qu’elle va lui mettre une baffe, mais contre toute attente, elle dégage la sienne et la plaque sur le cul de Jacques.
J’ai dû louper un évènement de ces drôles de vacances.
Si ma fille lui plaque cette main, c’est que quelque chose s’est passé entre eux, est-ce lors de la corrida ?
Ont-ils pris des saunas ensemble comme j’en ai pris un et me faire enculer, même si c’était par méprise ?
Jacques a-t-il rejoint ma fille dans sa chambre une de ces nuits, je l’ignore, mais il est temps que ces vacances se finissent, les maillons de la chaîne sont complets.
Je passe une mauvaise nuit prenant conscience de ce que j’ai fait.
• Au revoir, les amis, vous avez notre numéro de téléphone, on s’appelle.
Freddy, tu verras avec Ludivine et Lucie pour la proposition dont je t’ai parlé hier en marchant.
• On a encore cinq minutes, Freddy dit moi de quoi s’agit-il ?
• Nos amis ont réservé une grande villa au Maroc à Essaouira, ils voudraient que nous nous y retrouvions l’an prochain.
• Mon chéri, tu le fais exprès, tu pouvais lui donner la réponse directement.
Pour nos vingt ans de mariage, je t’ai toujours dit que j’aimerais aller en Grèce là où est née ma grand-mère.
Mes amis, nous envisagerons autre chose plus tard bonne route.
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