COLLECTION COCU. Cocu, mais quelle chance ! (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION COCU. Cocu, mais quelle chance ! (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION COCU. Cocu, mais quelle chance ! (1/2)
Aujourd’hui madame Odette, la patronne des établissements Tisserant où je travaille, a réuni un conseil d’administration exceptionnel avec pour ordre du jour, bizarre, aucun sur la convocation.
Je m’appelle Serge, 25 ans fils de Solange, jeune employée des filatures Tisserant, nous ayant quitté depuis peu d’un cancer des ovaires.
Étant sans emploi à cette période, je me suis vu proposer un poste de mécanicien sur machine, métier que ma mère désirait me voir embrassé.
J’ai bien compris que c’était par compassion pour ma mère que ce poste m’a été proposé, mais le travail étant rare dans ce nord de la France, je me suis empressé de l’accepter.
Il y a peu, j’ai été sollicité en recevant une lettre anonyme à postuler pour le poste de représentant du personnel au conseil d’administration.
J’ignorais de qui cette lettre venait, mais sentant là la possibilité de glander une partie de mon temps, j’ai accepté.

Lorsque je rentre dans la salle du conseil, dans le château de la famille Tisserant, accolé aux filatures.
Filatures créées par le grand-père de madame Odette la patronne, mariée à Pierre la cinquantaine comme elle, une chose semble étrange.
En temps normal, à chaque conseil où j’ai assisté sans prendre la parole bien sûr, au bout de table là où les patrons se tiennent, deux chaises et deux dossiers, devant eux.
Aujourd’hui trois chaises et trois dossiers.
Je sais que les temps sont durs dans le monde de la filature et j’ai bien peur que la patronne nous annonce l’arrivée d’un administrateur qui va prendre la direction de l’entreprise.
Qui dit administrateur, dit licenciement et comme je suis le plus jeune embauché sauf veine de cocu, je vais être dans la charrette ?
Tous s’installent, je sais que les patrons ont ouvert leur capital et que les 6 personnes qui sont là, possèdent 30 % de la société Tisserant, les 70 autres restant propriété de madame Odette.
Parmi eux, Charles-Antoine, mon pote de maternel, nous avons le même âge, mais ennemi dès que nous avons grandi.
C’est le fils d’une grosse famille bourgeoise et à ce titre, il est fiancé à Rose des fileries et tisseries Colin.
À ce titre, ils possèdent 10 des 30 % de notre société et ils ont la plus grosse part en rapport des cinq autres.
C’est la deuxième fois qu’il représente son futur beau-père alité à l’article de la mort.
Lorsque celui-ci aura épousé Rose et que le patriarche sera mort, il héritera de la société Colin, avec une chance de cocu, l’argent appelant l’argent.
Avec ses dents de carnassier, de l’autre côté de la table à l’autre bout de la grande table du conseil, il me toise déjà en terrain conquis sur notre entreprise et, hélas, sur Rose, que j’ai toujours aimé.

• Bonjour à tous, je vous ai réuni à ce jour, pour vous annoncer des décisions que nous avons prises avec Pierre, le directeur de notre société et bien sûr mon époux.
Tous, vous savez, que j’ai désespérément essayé d’avoir un fils, mais cela m’a été refusé.

Il se dit dans le pays et dans le monde des filatures que cette grande dame, principalement par la taille et la beauté de sa jeunesse à pratiquer l’adultère afin d’essayer de trouver le mâle qui lui ferait un gosse.
Dans ces familles cathos, l’insémination leur était interdite par risque de péché mortel, mais force a été de constater qu’elle avait vendu son âme au diable sans résultat probant.

• Par chance, mon mari a été compter fleurette à plusieurs jeunes filles de notre région et de notre filature, l’une d’elles lui a donné un fils.
Devant vous un dossier que je vous demanderai d’ouvrir seulement lorsque je vous le dirai.
Ce fils est parmi nous, tout au bout de la table et travaille depuis peu dans notre entreprise, Serge lève-toi.

La foudre me serait tombée sur la tête, ma stupeur aurait été la même.
J’ai désespérément recherché qui était mon père, surtout après la mort de maman, sans succès me heurtant à un mur.
À l’autre bout de la table, juste avant les places du paradis, je vois Charles-Antoine se liquéfier, ses plans seraient-ils compromis pour la première fois depuis que je sais que Rose serait à lui.

• Si je reconnais la tromperie de mon mari ayant pour conséquence la naissance de ce jeune homme, c’est après l’avoir étudié dans son travail, je sais qu’il sera l’homme de notre situation.
Viens t'asseoir à ma gauche, ton père étant à ma droite.
Ouvrez le dossier, vous y trouverez deux documents.

Je remonte la table, pour venir m'asseoir à la gauche du bon Dieu.
Au passage, je toise Charles-Antoine que je sens dans ses petits souliers de tapette, j’ai oublié de dire que lorsque nous faisions du foot, il avait plus qu’un œil traînant vers nos attributs masculins.
Il était le gardien de but de notre équipe, comme tout ce qu’il semble faire, c’était une passoire nous faisant perdre la plupart de nos matchs.
Un jour, il s’est blessé et l'entraîneur m'a demandé de le remplacer, car pour une fois, ayant marqué deux buts, nous pouvions gagner.
Je l’ai fait et j’ai tout arrêté, à son retour Charles-Antoine est devenu le remplaçant et moi le titulaire faisant monter notre équipe de deux divisions.

• Serge, je m’excuse de t’avoir pris matière à test ADN sans te le dire, ta maman toujours célibataire, amoureuse de Pierre, mon mari, a eu quelques amants dans cette même période.
Nous avons donc fait un test à l’étranger, tu es bien le fils de ton père.
L’autre document, c’est l’acte de paternité devant notaire, mon mari reconnaissant son fils.
Vous pouvez disposer, c’est tout pour aujourd’hui.

La femme de mon père me glisse à l’oreille.

• Reste là, j’ai des choses à te dire pour la suite de la nouvelle situation.

Tous partis, même celui que je viens de découvrir comme étant mon père, madame Odette me propose de venir vivre au château ce que j’accepte bien sûr.
Mon père, en bon directeur, me fait visiter l’usine que je connais déjà, mais c’est dans d’autres circonstances, je suis le fils du patron.
Au château, j’ai ma chambre avec tout le service de la maison.
Je décide de visiter, car j’ai entendu des talons dans le grand escalier, ma belle-mère nous ayant certainement quitté.
Je suis à l’étage des chambres, je prends conscience que celui qui vient de me reconnaître fait chambre à part et est déjà parti à la filature.
C’est un plateau avec une seule tasse vide et des placards remplis de vêtements, surtout des costumes d’hommes qui me le confirment.
J'ouvre la porte de la chambre d’en face, j’entends du bruit dans la salle de bains.
Je pense que Collinette la jeune femme de ménage, jolie blonde au joli petit cul, j’en ferais bien mon ordinaire est là.
Merde, c’est ma belle-mère, qui est dans son bain, elle me voit.

• Serge, c’est toi, entre, j’avais à te parler, viens dans mon bain avec moi.

Je tombe de haut, je suis en boxer et tee-shirt, je vois le haut de son corps, comme j’ai déjà vu ses seins dans ses tenues au décolleté plongeant qu’elle porte tous les jours.
Je comprends qu’elle ait pu séduire de nombreux hommes autres que mon père.
C’est drôle de dire mon père, il y a trois jours, j’ignorais qui il était.
J’ai des maîtresses, mais ça fait quelques semaines que je suis obligé de rester chaste, pas la moindre chatte à l’horizon.
J’enlève le haut, et lorsque je baisse le bas, ma queue se redresse encore mollement.
J’entre dans la baignoire à eau bouillonnante.
L’invitation est trop évidente, une fois que je suis installé, je commence à lui flatter les seins, ses pointes assez grosses se mettent à darder.
Sans un mot de plus, sa main plonge sous l’eau et prend ma flèche qui se redresse.

• Elle est deux fois plus grosse que celle de ton père, il y a presque deux ans que nous avons arrêté de faire l’amour, baise-moi.

Elle s’avance en même temps que moi et je me sens glisser dans son fourreau bien chaud.
Nous sommes collés l’un à l’autre, elle me passe ses bras autour du cou et je cocufie mon père en l’embrassant goulûment.
Rapidement elle s’envoie en l’air gueulant à qui veut l’entendre qu’elle aime ma queue.
La cinquantaine, il y a peu de chance que je lui fasse un gosse, lorsqu’un orgasme la traverse, je lâche mon sperme.
Son souffle retrouvé, souplement elle se retourne et vient se lover dans mes bras.
La baignoire est moderne comparée au château et la température nous permet de rester quelques instants à nous reposer jusqu’à ce qu’Odette reprenne la parole.

• Serge, dans mes plans, quand j’ai demandé à ton père de te reconnaitre, les fileries Colin était mon objectif.
Devenir ta maîtresse, ça c’était hors de mes plans et j’ai bien aimé.
• Colette, j’ai bien aimé, moi aussi.

Je lui caresse les seins d’une main, sa chatte sous l’eau de l’autre.

• Je sais que Charles-Antoine a les dents longues et a terme s’appuyant sur les 10% de celle qui sera devenue sa femme, il veut devenir le maître du jeu.
Il intrigue déjà pour avoir les 30 % qu’au fil du temps, j’ai été obligé de vendre.
Son beau-père lorsqu’il sera mort lui apportera une grosse partie de ce qui sera nécessaire pour m’absorber, car il fabrique un fil complémentaire du nôtre.
Nous pourrons fabriquer un tissu solide et moderne.
Ce qu’il ignore, c’est que des liens forts m’unissent à Marie-Louise.
Même ton père ignore que dans notre jeunesse nous avons été des amantes.
Mon père l’a su et m’a mariée de force à ton père, elle au fils Colin.
• Qu’attends-tu de moi ?
• Je veux que tu séduises Rose, sa fiancée, je me fais fort de vous marier.

Quelle femme, je viens de la baiser et elle veut que j’en séduise une autre...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très encourageant comme histoire....
Vite la suite !



Texte coquin : COLLECTION COCU. Cocu, mais quelle chance ! (1/2)
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