COLLECTION COCU. Cocu, mais quelle chance (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION COCU. Cocu, mais quelle chance (2/2)
C’est dans sa baignoire que je saute pour la première fois ma belle-mère femme de mon père trois jours après avoir appris que Pierre mon patron était aussi mon père.
Étrange famille, surtout après que je viens de la baiser, elle veut que j’en séduise une autre.
Rose, la jeune fille Colin dont je suis secrètement amoureux, mais à ce jour inaccessible pour moi, surtout quand j’ai appris que mon ennemi juré Charles-Antoine fils de bonne famille allait l’épouser.
• Demain, c’est samedi, malgré la maladie, de son mari, Marie-Louise mon amie viendra prendre le thé avec Rose, sa fille, elle seule conduit.
Tu y assisteras et tu suivras mes directives.
Je quitte la baignoire d’Odette et je vais à la filature, me faisant féliciter par tout le personnel, il est vrai que je suis leur représentant.
C’est samedi, sortant de l’hôpital où elles sont allées en début d’après-midi, notre château se trouvant entre leur castel et le lieu où se repose son père, Rose arrive.
Mon cœur fait un saut, lorsqu’elle saute de sa voiture allemande, elle est en pantalon et blouse blanche.
Comme je l’ai dit, elle ignore que je l’aime, bien que j’aie nettement l’impression que son mariage s’est arrangé entre les deux familles.
Ça se fait dans ce monde de fric, pour preuve mon père et Odette ainsi que Marie-Louise et Firmin Colin.
Nous allons dans le petit salon boire le thé et nous installons.
Colinette fait le service.
• Marie-Louise, je t’ai demandé de venir boire le thé malgré les problèmes que rencontre ta famille.
Il faut que je te parle d’un projet urgent qui me tient à cœur.
• Tu aurais dû faire venir Charles-Antoine, pour ce genre de décision, c’est à lui que Firmin a donné les pleins pouvoirs.
Je bois le thé, préférant un whisky, mais je bois ma tasse d’un seul trait faisant sourire Rose.
• Serge, nous allons avoir une conversation inintéressante pour Rose, profitez du beau temps pour aller vous promener dans le parc.
Nous quittons le salon, j’aurais bien aimé entendre ce que ces deux femmes ont à se dire.
• Serge, attends-moi, je dois aller aux toilettes, je sais où elles sont.
J’allais fermer la porte du salon, je la laisse entrouverte.
Je vais pouvoir entendre comment ma maîtresse va s’arranger pour que Marie-Louise future jolie petite veuve accepte que je prenne la place de Charles-Antoine dans le lit de sa fille.
Après mariage, il va de soi.
• Marie-Louise, tu sais que je suis toujours directe dans mes propos.
Je voudrais que Serge épouse Rose, je sais que depuis longtemps, notre fils est amoureux de ta fille.
Sa raison sociale l’empêchait de lui déclarer sa flamme, mais maintenant que je l’ai fait intégrer notre famille, je suis sûr que tu peux faire changer les choses.
Je te demande ça au nom de notre amitié qui se sera terminée différemment si nos familles avaient accepté notre amour.
Ce serait nous qui aurions réuni nos deux noms sur les façades de nos entreprises, faisant de nos affaires le leader dans notre région des filatures et tisseries.
• Mais nous avons donné notre accord à Charles-Antoine et il dirige déjà nos usines avec ce qui arrive à Firmin.
• Après Firmin la cheffe c’est toi, ce qui s’est fait un jour, se défera demain.
• Arrête de me mettre ta main entre les cuisses, crois-tu que j’ai oublié les jeux de notre jeunesse.
Bon d’accord, tu as raison, je asssss !
Il semble qu’Odette donne du plaisir à celle avec qui elle devait se gougnotter dans sa jeunesse.
• Bon, Rose m’a dit, ahhhh ! continue, attention s’ils revenaient.
Rose m’a dit que l’autre soir lorsqu’ils sont rentrés de boîte, Charles-Antoine a voulu la sauter dans sa voiture.
Tu sais comment je suis pointilleuse avec la robe blanche le jour de leur mariage.
Rose sait qu’elle doit se marier vierge, je vais casser ce mariage pour ce prétexte et dans quelques semaines, nous annoncerons leur mari...
J’entends des pas venant d’un couloir où les toilettes se trouvent.
• Je suis prête, nous pouvons aller profiter du parc par ce beau soleil.
Nous descendons les marches et remontons une allée, j’ai bien envie de dépuceler celle que je dois séduire, vengeance sur celui qui depuis la maternel a fini par me considérer comme une merde.
• Serge, que fais-tu, pourquoi me prends-tu par la taille, je suis fiancée ?
• Ça te déplaît, moi j’aime bien, dans quelques jours, tu seras mariée et comme toutes les femmes de ton milieu, tu prendras un amant, puis deux, puis trois et toute ta vie tu seras une femme frustrée.
Quelle connerie, cette histoire de robe blanche avec une pucelle à l’intérieur le jour de son mariage.
Et si Charles-Antoine avait d’autres penchants qui feront de toi la risée de toute la région et de nos filatures !
• Tu sais quelque chose, l’autre jour, je suis allée voir mon père à l’hôpital, au détour d’un couloir, je l’ai vu avec un étudiant en médecine, il lui parlait de très près.
Lorsqu’il m’a vu, ils se sont éloignés précipitamment.
• Loin de moi l’idée de dénigrer, chacun sa vie, mais lorsque nous allons au club de foot, aucun de nous trainons seuls dans les douches quand il est là !
• Est-il homosexuel ?
Nous venons de prendre une contre allée nous cachant du château.
Je me suis déjà promené dans ce coin, je sais que les bosquets sont profonds et que l’herbe est tendre.
• Arrête de me parler de lui, marie-toi avec, la suite tu le découvriras par toi-même et tu te diras quelle conne et tu prendras ton premier amant.
Je prends Rose par le cou et sa bouche accepte la mienne.
La retenant je la couche sur cette herbe que j’ai dit tendre, est-ce elle ou moi qui ai sorti ma queue, les choses se sont faites naturellement.
Le plus dur pour sa première, c’est son pantalon, nous éclatons de rire quand enfin il quitte ses jambes atterrissant sur le buisson où je l’ai balancé.
Pour sa petite culotte, je commence par la mordiller avant de la lécher lui apportant par ma bouche, son premier plaisir par un homme.
Je me coule sur elle, on se regarde, je prends ma verge en main évitant de la serrer de trop près et je plonge en elle, un nouvel hymen vient de passer de vie à trépa.
• Vive la mariée, vive la mariée.
Nous recevons du riz sur la tête malgré les injonctions du curé qui va devoir se battre avec les pigeons nichant dans le clocher.
Le curé, comment peut-il être aveugle alors que ce soir, la mariée vivra une autre nuit d’amour avec dans son ventre le fils qui va naitre dans six mois.
Il y a trois mois, lorsque j’ai couché Rose sur l’herbe tendre, mon coup fut gagnant.
Le premier, le deuxième, je suis incapable de le dire, vu le nombre de fois que nous nous sommes revus alors que Charles-Antoine ait été éconduit.
Le mariage obligatoire rapidement dans ces circonstances dans ces familles de bourges a été compromis par Firmin qui à quelques heures est passé de vie à trépas.
Une chambre froide à la morgue de l’hôpital et un acte de décès délivré trois jours après que nous nous soyons dit « oui » et ni vu ni connu, j’ai épousé Rose et nous avons enterré Firmin.
Nous sommes passées de rires aux larmes comme ils savent si bien le faire dans ce milieu bourge que je viens d’intégrer.
Odette me direz-vous ?
Odette, dès le soir où j’ai dépucelé ma future, m’a reçu dans son bain.
Elle m’a nettoyé la queue au savon pour commencer et après l’avoir passé à la douchette, c’est dans sa bouche que j’ai terminé.
• Mon cœur, je suis contente que tu sois là, j’avais peur que découvrant Rose, tu m’oublies dans tes pensées.
• Ma chérie, j’aime Rose, mais je sais à qui je dois tout ce bonheur, si tu veux de moi, même lorsque Rose vivra au château, nous trouverons le moyen de trouver un moment lorsque nous aurons envie l’un de l’autre.
Avec Odette, tout est d’équerre lorsqu’il y en a pour un, il y en a pour deux.
• Odette, dis-moi, j’ai vu Marie-Louise arriver dans sa voiture lorsque je suis allé à l’usine, au retour sa voiture était là et le salon de thé vide, vous avez repris vos habitudes de jeunesse ?
Sans me contredire, elle m’a serré dans ses bras et nous nous sommes embrassés, aucun mal à se faire du bien.
Surtout qu’elle vient sur moi à califourchon, sa chatte aimant toujours aussi goulument mon pieu.
Pour Charles-Antoine, après ses déboires, il s’est engagé dans la marine.
Ceux qui connaissent le tonneau savent que ce sera son lieu favori dans les prochaines années, par la bonde, il pourra sucer des bites.
Aujourd’hui, nous avons une grande fête au château, nous fêtons la sortie de notre nouveau produit dans divers tons de l’arc-en-ciel.
C’est moi qui l’ai initié, en plus de mon fils, c’est un peu mon enfant à mon père et à moi.
Nous sommes dans les jardins, ou un buffet et un parquet ont été placés et un orchestre est là pour amuser les convives.
• Belle-maman, votre fille, donnant la tétée à notre fils, le temps de votre veuvage étant terminé, voulez-vous danser avec moi ?
• Avec plaisir Serge, il faut savoir tourner la page dans sa vie.
Merde, je bande en dansant ce slow langoureux.
• Dites-moi Marie-Louise, j’aurais un nouveau projet à vous proposer ?
• Aujourd’hui c’est la fête et il y a du monde.
Demain quatorze heures vient me voir dans ma serre à orchidées, tu sais que c’est ma passion depuis la mort de Firmin, il faut bien s’occuper.
J’y suis allé, la salope, c’est sur la table pleine de terre où ses fleurs sont rempotées que je l’ai baisé.
Aucune difficulté, elle est là sans sa culotte.
Mes deux belles-mères, ma femme entre parenthèses à cause de notre enfant, je veux marquer ma mainmise sur une partie de mon harem.
• Odette, ma chérie, tu m’as demandé d’épouser Rose pour le bien de nos entreprises, je l’ai fait.
Je peux t’avouer quelque chose.
• Je sais, tu es l’amant de Marie-Louise et sachant que nous baisons ensemble toutes les deux, tu veux que...
• Je vous vois baiser tout en vous baisant !
• Demain, elle sera là, je sais comment faire pour qu’elle accepte.
Voilà, la messe est dite, deux maîtresses de vraies salopes comme l’est la majorité des dames de la haute et une femme qui a su me donner un fils et que j’aime.
J’ai vraiment eu une chance de cocu.
Étrange famille, surtout après que je viens de la baiser, elle veut que j’en séduise une autre.
Rose, la jeune fille Colin dont je suis secrètement amoureux, mais à ce jour inaccessible pour moi, surtout quand j’ai appris que mon ennemi juré Charles-Antoine fils de bonne famille allait l’épouser.
• Demain, c’est samedi, malgré la maladie, de son mari, Marie-Louise mon amie viendra prendre le thé avec Rose, sa fille, elle seule conduit.
Tu y assisteras et tu suivras mes directives.
Je quitte la baignoire d’Odette et je vais à la filature, me faisant féliciter par tout le personnel, il est vrai que je suis leur représentant.
C’est samedi, sortant de l’hôpital où elles sont allées en début d’après-midi, notre château se trouvant entre leur castel et le lieu où se repose son père, Rose arrive.
Mon cœur fait un saut, lorsqu’elle saute de sa voiture allemande, elle est en pantalon et blouse blanche.
Comme je l’ai dit, elle ignore que je l’aime, bien que j’aie nettement l’impression que son mariage s’est arrangé entre les deux familles.
Ça se fait dans ce monde de fric, pour preuve mon père et Odette ainsi que Marie-Louise et Firmin Colin.
Nous allons dans le petit salon boire le thé et nous installons.
Colinette fait le service.
• Marie-Louise, je t’ai demandé de venir boire le thé malgré les problèmes que rencontre ta famille.
Il faut que je te parle d’un projet urgent qui me tient à cœur.
• Tu aurais dû faire venir Charles-Antoine, pour ce genre de décision, c’est à lui que Firmin a donné les pleins pouvoirs.
Je bois le thé, préférant un whisky, mais je bois ma tasse d’un seul trait faisant sourire Rose.
• Serge, nous allons avoir une conversation inintéressante pour Rose, profitez du beau temps pour aller vous promener dans le parc.
Nous quittons le salon, j’aurais bien aimé entendre ce que ces deux femmes ont à se dire.
• Serge, attends-moi, je dois aller aux toilettes, je sais où elles sont.
J’allais fermer la porte du salon, je la laisse entrouverte.
Je vais pouvoir entendre comment ma maîtresse va s’arranger pour que Marie-Louise future jolie petite veuve accepte que je prenne la place de Charles-Antoine dans le lit de sa fille.
Après mariage, il va de soi.
• Marie-Louise, tu sais que je suis toujours directe dans mes propos.
Je voudrais que Serge épouse Rose, je sais que depuis longtemps, notre fils est amoureux de ta fille.
Sa raison sociale l’empêchait de lui déclarer sa flamme, mais maintenant que je l’ai fait intégrer notre famille, je suis sûr que tu peux faire changer les choses.
Je te demande ça au nom de notre amitié qui se sera terminée différemment si nos familles avaient accepté notre amour.
Ce serait nous qui aurions réuni nos deux noms sur les façades de nos entreprises, faisant de nos affaires le leader dans notre région des filatures et tisseries.
• Mais nous avons donné notre accord à Charles-Antoine et il dirige déjà nos usines avec ce qui arrive à Firmin.
• Après Firmin la cheffe c’est toi, ce qui s’est fait un jour, se défera demain.
• Arrête de me mettre ta main entre les cuisses, crois-tu que j’ai oublié les jeux de notre jeunesse.
Bon d’accord, tu as raison, je asssss !
Il semble qu’Odette donne du plaisir à celle avec qui elle devait se gougnotter dans sa jeunesse.
• Bon, Rose m’a dit, ahhhh ! continue, attention s’ils revenaient.
Rose m’a dit que l’autre soir lorsqu’ils sont rentrés de boîte, Charles-Antoine a voulu la sauter dans sa voiture.
Tu sais comment je suis pointilleuse avec la robe blanche le jour de leur mariage.
Rose sait qu’elle doit se marier vierge, je vais casser ce mariage pour ce prétexte et dans quelques semaines, nous annoncerons leur mari...
J’entends des pas venant d’un couloir où les toilettes se trouvent.
• Je suis prête, nous pouvons aller profiter du parc par ce beau soleil.
Nous descendons les marches et remontons une allée, j’ai bien envie de dépuceler celle que je dois séduire, vengeance sur celui qui depuis la maternel a fini par me considérer comme une merde.
• Serge, que fais-tu, pourquoi me prends-tu par la taille, je suis fiancée ?
• Ça te déplaît, moi j’aime bien, dans quelques jours, tu seras mariée et comme toutes les femmes de ton milieu, tu prendras un amant, puis deux, puis trois et toute ta vie tu seras une femme frustrée.
Quelle connerie, cette histoire de robe blanche avec une pucelle à l’intérieur le jour de son mariage.
Et si Charles-Antoine avait d’autres penchants qui feront de toi la risée de toute la région et de nos filatures !
• Tu sais quelque chose, l’autre jour, je suis allée voir mon père à l’hôpital, au détour d’un couloir, je l’ai vu avec un étudiant en médecine, il lui parlait de très près.
Lorsqu’il m’a vu, ils se sont éloignés précipitamment.
• Loin de moi l’idée de dénigrer, chacun sa vie, mais lorsque nous allons au club de foot, aucun de nous trainons seuls dans les douches quand il est là !
• Est-il homosexuel ?
Nous venons de prendre une contre allée nous cachant du château.
Je me suis déjà promené dans ce coin, je sais que les bosquets sont profonds et que l’herbe est tendre.
• Arrête de me parler de lui, marie-toi avec, la suite tu le découvriras par toi-même et tu te diras quelle conne et tu prendras ton premier amant.
Je prends Rose par le cou et sa bouche accepte la mienne.
La retenant je la couche sur cette herbe que j’ai dit tendre, est-ce elle ou moi qui ai sorti ma queue, les choses se sont faites naturellement.
Le plus dur pour sa première, c’est son pantalon, nous éclatons de rire quand enfin il quitte ses jambes atterrissant sur le buisson où je l’ai balancé.
Pour sa petite culotte, je commence par la mordiller avant de la lécher lui apportant par ma bouche, son premier plaisir par un homme.
Je me coule sur elle, on se regarde, je prends ma verge en main évitant de la serrer de trop près et je plonge en elle, un nouvel hymen vient de passer de vie à trépa.
• Vive la mariée, vive la mariée.
Nous recevons du riz sur la tête malgré les injonctions du curé qui va devoir se battre avec les pigeons nichant dans le clocher.
Le curé, comment peut-il être aveugle alors que ce soir, la mariée vivra une autre nuit d’amour avec dans son ventre le fils qui va naitre dans six mois.
Il y a trois mois, lorsque j’ai couché Rose sur l’herbe tendre, mon coup fut gagnant.
Le premier, le deuxième, je suis incapable de le dire, vu le nombre de fois que nous nous sommes revus alors que Charles-Antoine ait été éconduit.
Le mariage obligatoire rapidement dans ces circonstances dans ces familles de bourges a été compromis par Firmin qui à quelques heures est passé de vie à trépas.
Une chambre froide à la morgue de l’hôpital et un acte de décès délivré trois jours après que nous nous soyons dit « oui » et ni vu ni connu, j’ai épousé Rose et nous avons enterré Firmin.
Nous sommes passées de rires aux larmes comme ils savent si bien le faire dans ce milieu bourge que je viens d’intégrer.
Odette me direz-vous ?
Odette, dès le soir où j’ai dépucelé ma future, m’a reçu dans son bain.
Elle m’a nettoyé la queue au savon pour commencer et après l’avoir passé à la douchette, c’est dans sa bouche que j’ai terminé.
• Mon cœur, je suis contente que tu sois là, j’avais peur que découvrant Rose, tu m’oublies dans tes pensées.
• Ma chérie, j’aime Rose, mais je sais à qui je dois tout ce bonheur, si tu veux de moi, même lorsque Rose vivra au château, nous trouverons le moyen de trouver un moment lorsque nous aurons envie l’un de l’autre.
Avec Odette, tout est d’équerre lorsqu’il y en a pour un, il y en a pour deux.
• Odette, dis-moi, j’ai vu Marie-Louise arriver dans sa voiture lorsque je suis allé à l’usine, au retour sa voiture était là et le salon de thé vide, vous avez repris vos habitudes de jeunesse ?
Sans me contredire, elle m’a serré dans ses bras et nous nous sommes embrassés, aucun mal à se faire du bien.
Surtout qu’elle vient sur moi à califourchon, sa chatte aimant toujours aussi goulument mon pieu.
Pour Charles-Antoine, après ses déboires, il s’est engagé dans la marine.
Ceux qui connaissent le tonneau savent que ce sera son lieu favori dans les prochaines années, par la bonde, il pourra sucer des bites.
Aujourd’hui, nous avons une grande fête au château, nous fêtons la sortie de notre nouveau produit dans divers tons de l’arc-en-ciel.
C’est moi qui l’ai initié, en plus de mon fils, c’est un peu mon enfant à mon père et à moi.
Nous sommes dans les jardins, ou un buffet et un parquet ont été placés et un orchestre est là pour amuser les convives.
• Belle-maman, votre fille, donnant la tétée à notre fils, le temps de votre veuvage étant terminé, voulez-vous danser avec moi ?
• Avec plaisir Serge, il faut savoir tourner la page dans sa vie.
Merde, je bande en dansant ce slow langoureux.
• Dites-moi Marie-Louise, j’aurais un nouveau projet à vous proposer ?
• Aujourd’hui c’est la fête et il y a du monde.
Demain quatorze heures vient me voir dans ma serre à orchidées, tu sais que c’est ma passion depuis la mort de Firmin, il faut bien s’occuper.
J’y suis allé, la salope, c’est sur la table pleine de terre où ses fleurs sont rempotées que je l’ai baisé.
Aucune difficulté, elle est là sans sa culotte.
Mes deux belles-mères, ma femme entre parenthèses à cause de notre enfant, je veux marquer ma mainmise sur une partie de mon harem.
• Odette, ma chérie, tu m’as demandé d’épouser Rose pour le bien de nos entreprises, je l’ai fait.
Je peux t’avouer quelque chose.
• Je sais, tu es l’amant de Marie-Louise et sachant que nous baisons ensemble toutes les deux, tu veux que...
• Je vous vois baiser tout en vous baisant !
• Demain, elle sera là, je sais comment faire pour qu’elle accepte.
Voilà, la messe est dite, deux maîtresses de vraies salopes comme l’est la majorité des dames de la haute et une femme qui a su me donner un fils et que j’aime.
J’ai vraiment eu une chance de cocu.
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