COLLECTION COCU. Jamais deux fois sans trois (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION COCU. Jamais deux fois sans trois (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Jamais deux fois sans trois (1/1)
Comment me présenter ?
Arsène, 38 ans au moment où mon histoire m'arrive.
1 mètre 80 pour 72 kilos, je fais très attention à ma ligne.
Blond légèrement ondulé naturellement, les yeux bleus, une tête d’ange.
Plusieurs des femmes, dans ma vie, disent que mes yeux bleus sont si clairs qu’ils sont aussi profonds que l’océan.
Hélas, j’ai un petit problème à la limite de la tare, je suis timide.
J’ai connu charnellement ma première femme à dix-huit ans, je me suis fait presque violer par une salope mariée qui m’a incité à la baiser.
Ça peut paraître étrange, mais si avant j’avais su qu’elle avait dit oui à un autre, j’aurais gardé mon pucelage.
J’ai eu quelques aventures, avec des jeunes femmes sans avenir pour moi, je cherchais le grand amour, elles cherchaient à s’amuser.
Et à un peu plus de 24 ans , il y a eu Carole.
Exactement la femme que je cherchais.
Assez grande, assez longiligne à qui j’ai pu donner le bon dieu sans confession.
Certes, dès notre deuxième rencontre elle m’avouait avoir couché avec son prof de sport l’année de son bac.
Même si j’ai des principes, le pucelage était aléatoire dans ma façon de voir la vie.
Une erreur de parcours avant d’accepter qu’un homme vous passe la bague au doigt, pour moi c’était acceptable.
C’est peut-être ma sœur qui m’a influencé, elle se croyait amoureuse d’un garçon et s’est donnée à lui avant le mariage.
Vu le résultat et le fait qu’il s’est carapaté en courant lorsqu’il l’a su, mon beau-frère qu’elle a épousé et qui a élevé la fille de ce fumier, me fait dire qu’une erreur peut être toujours possible.
Carole, donc, qui s’est perdue dans mes yeux, mais au bout de deux ans sur la bite d’un bellâtre pratiquant la même salle de sport qu’elle.
Lorsqu’elle a fait sa valise, la voiture de son séducteur étant garée devant ce que je pensais être notre chez-nous pour la vie.
Elle m’a dit que sur tous les plans j’étais un homme parfait, mais que malgré cela elle me quittait.

Un an a passé, je continuais mon travail avec acharnement, ça marchait plutôt bien étant dans l’architecture.
Un an après donc, j’ai reçu une invitation à un vernissage par une artiste peintre qui exposait ses œuvres.
Ce que j’ignorais c’est que c’est moi qui avais dessiné les plans de sa villa dans l’ouest parisien, car c’était un cabinet qui s’était occupé du suivi des travaux.
Je lui ai été présenté et elle m’a invité à venir passer quelque temps le week-end suivant dans sa maison.
Le week-end s’est transformé en mois et même deux années supplémentaires dès que nous nous sommes mariés.
Dans mes plans, il y avait son atelier où elle recevait ses modèles, surtout des hommes, mais aussi des femmes.
Si quelqu’un dit que c’était parce que c’était avec une autre femme l’ayant surprise à se bouffer la chatte que j’ai divorcé, les gens se trompent, un mec, ça aurait été du pareil au même.
Bref, j’ai fait ma valise, mais comme elle était bien plus riche que moi, j’ai divorcé sans perdre trop de plumes.
Comme l’on dit, on a divorcé à l’amiable.

Quelque temps sont passés, j’ai dessiné puis construit ma maison assez futuriste sans m’inquiéter que les rares femmes que je rencontrais semblaient insensibles à ma personne.
Ma timidité bien sûr.

Dans cette maison, j’avais un bureau qui me permettait de travailler en voyant les arbres, ce qui était très agréable.
J’avais décidé de vivre en ermite, me rendant simplement chez mes clients ou a mon bureau parisien où je côtoyais du monde.
Pour entretenir ma maison, j’avais une bonne très portugaise, malgré qu’elle soit bretonne.
Portugaise, car elle travaillait ayant toujours très chaud et me montrait les touffes qu’elle avait sous les bras.
Non, aucune méprise, certes, une femme moche aurait pu régler mon problème avec les femmes, mais une femme le double de mon âge, très peu pour moi.
De toute façon, fidèle à mes principes, elle était mariée et les femmes mariées nous savons bien que j’évite.

Un jour où j’étais à Paris, un couple la cinquantaine est venu avec leur fille, un vrai laideron, elle s’est perdue dans mes yeux bleus et le soir elle acceptait de venir dîner au restaurant.
Elle a respecté les codes et deux jours plus tard , nous sommes passés à ma chambre.
Dans cette pièce pour seule lumière le jour ou la nuit un plafond de verre nous a permis de compter les myriades d’étoiles après avoir fait l’amour.

Comme l’on dit, je vivais heureux surtout lorsque Astride m’a donné un fils Jules, après notre mariage bien sûr.
Je pensais avoir trouvé la clef du bonheur même si lorsque nous sortions chez des amis, je voyais bien la façon dont les autres femmes me regardaient avec de la réprobation dans leur regard.
Un si beau garçon avec une femme si moche.

Jules grandissait dans notre maison élevée par sa nourrice anglaise et tout était pour le mieux ça soulageait ma femme décoratrice qui m’aidait dans mon travail.
Nous nous complétions à merveille, je dessinais et je construisais et elle décorait avec son bon goût.
J’avais des chantiers de logements et de bureaux à travers toute la France.
Souvent elle me relayait une fois la maison où les bureaux construits elle les décoraient.
J’étais sur un chantier à Bourges quand je me suis souvenu qu’elle était à Nevers, moins d’une heure de route avec ma voiture puissante.
Au lieu de retourner à Paris, j’ai décidé de venir voir son travail.
Je suis arrivé devant l’immeuble que j’avais construit une voiture d’un peintre se trouvait garé devant.
J’ai reconnu le nom de la petite entreprise qui avait gagné l’appel d’offres et à ses côtés la voiture de ma femme.
Je suis rentré, personne au premier et deuxième.
C’est au troisième que du bruit m’a intrigué.
Des halètements, des ouis encore et des cris d’homme prenant son plaisir.
J’ai approché prudemment et lorsque j’ai vu, j’ai vu.
Astride aux mains avec deux hommes un vieux et un jeune Comme des bêtes au sol, directement sur la moquette.
Astride à quatre pattes pilonnées en levrette par le vieux et le jeune devant elle à se faire sucer.
Elle relâchait la bite pour respirer et envoyer ses « ouis encore » à qui voulait l’entendre.
Dont moi, une vraie chienne lubrique.
J’aurais dû intervenir, deux fois déjà j’avais été cocu.
Une troisième, même une quatrième ils sont deux à s’occuper d’elle.
Je me sentais comme un con, j’ai tourné les talons, j’ai repris ma voiture.
J’étais bien décidé à son retour à Paris de lui dire ce que je l’avais vu faire et la foutre à la porte.
Les kilomètres défilants, je me suis calmé et j’ai analysé la situation.

• Bonjour mon amour, ton voyage s’est bien passé !
J’avais fini plus tôt que prévu, j’ai failli venir te retrouver à Bourges, mais un empêchement de dernière minute m'a obligé à rester une nuit de plus à me morfondre dans ma chambre d’hôtel.

Elle s’est assise sur mes genoux et elle m’a embrassé avec tellement d’amour que j’avais dû mal voir.
Une nuit supplémentaire à Nevers avec qui les deux peintes ou un autre amant ?
Elle m’a fait l’amour comme elle savait si bien le faire à chaque retour de ses voyages.
Notre fils nous a rejoints et nous avons passé une soirée en famille très tranquille et baillant d’amour.

Je sais, je voulais virer Astride comme j’avais viré les deux autres femmes m’ayant cocufié.
Mais en roulant, j’ai réfléchi et la suite m’a donné raison, ma femme a toujours répondu à mes envies sexuelles que je pourrais dire normaux.
Si les femmes sentent le besoin de plus que ce que nous leur apportons, pourquoi les freiner dans leurs envies.
Je suis resté avec ma femme et mon fils sachant que chaque fois qu’elle partait pour une décoration, ce sont ses fesses que certains décoraient.
À aucun moment, elle m’a donné l’impression de vouloir faire son baluchon.
J’étais à deux doigts de lui proposer de se faire baiser devant moi, mais devenir candaulisme très peu pour moi.
Elle part, elle doit se faire baiser et elle me revient, c’est con la vie, nous sommes heureux chaque fois qu’elle nous revient.

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