COLLECTION COCU. Je cocufie mon DAB. (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION COCU. Je cocufie mon DAB. (1/2)
Le titre de mon histoire peut paraître ambigu si on le prend dans son aspect premier.
Si je cocufie mon vieux on peut penser que j’ai des mœurs anormales ce qui est loin d’être le cas, je suis un garçon de 22 ans dépucelé normalement pour un garçon de mon âge.
Depuis que j’ai réussi à avoir mes premiers rapports sexuels avec une jeune femme rencontrée dans une boîte de nuit, j’ai eu une maîtresse à qui j’aurais dû penser depuis longtemps, la femme du pavillon voisin de mes parents.
La fille de la boîte était de passage et couchait chez une copine, j’ai donc moi aussi couché chez la copine.
Baise classique pour un jeune homme qui pensait qu’une femme devait prendre des positions impossibles comme dans les films pornos que je regardais dans ma chambre, allant les chercher dans le garage ou mon père les planquait.
J’ai appris à pratiquer l'acte sexuel avec Janine la voisine à qui j’avais ramené Louloute sa caniche naine fugueuse à cause d’un gros labrador à qui elle avait décidé d’aller conter fleurette.
Louloute était en chaleur et je suis arrivé à temps car elle avait trouvé la solution en étant sur une marche de notre perron, ce qui a évité à Janine de payer le vétérinaire.
Elle a voulu me remercier et malgré ses 40 ans et un mari, elle a vite trouvé comment le faire, la première fois c’est sur leur canapé lieu chéri du mari qui se vantait d’avoir économisé sous après sous pour se payer ce monument tout en cuir vert avec boiserie à l’ancienne.
Nous avons rapidement changé de lieu de jeu car c’était l’été et les fesses de Janine collaient au cuir commençant à le faire déteindre.
Nous préférions le guéridon en marbre qui malgré le froid que cela lui procurait c’est vite avéré n’être qu’en stuque.
Un matin nous avons entendu sa voiture arriver pensant être tranquille encore une heure, le scandale a éclaté du moins c’est ce que j’ai pensé car me sauvant par l'arrière les gueulantes que j’entendais de ma chambre m’a fait penser qu’il avait découvert le pot aux roses et était en train de l’assassiner.
Je l’ai vu repartir sans venir chez nous me défoncer la figure, prenant mon courage à deux mains j’ai refranchi la haie pour retrouver Janine en larmes.
J’ai compris qu’au moment de l’arrivée du mari je suis parti précipitamment quittant la chaise où nous étions assis du moins moi avec elle sa chatte enfoncée sur ma verge.
La chaise en ébénisterie est tombée et c’est fracasser en trois morceaux malgré le prix qu’il y avait mis.
Par sécurité nous nous sommes retranchés à l’étage avec le risque pour moi d’être obligé de sauter sur le toit de la terrasse pour descendre sur la pelouse de plusieurs mètres en contrebas, mais quand on aime on évite de penser à ces détails.
Nous avons continué pendant une paire de mois sans de nouvelles anicroches jusqu’au moment où Janine m’a annoncé avec des sanglots dans la voix qu’ils déménageaient pour partir à plus de 100 kilomètres.
Comme l’on dit une de perdu et zéro retrouvé, j’avais appris à bien baiser mais je devais le reconnaître, mes études de médecine étaient loin de m’apporter la femme sachant satisfaire mes désirs.
C’est quelques semaines plus tard que j’ai constaté des changements notoires chez mon père, retour à la maison à point d’heure, reprise du jogging le samedi et même le dimanche lui qui rechignait quelques mois plus tôt à venir faire du sport avec moi.
C’est pendant les vacances d’été où je travaillais pour lui que j’ai eu la certitude que maman devait avoir une concurrente, il avait une entreprise de peinture papier peint ravalement de façade.
Il a plusieurs camions avec les équipes de deux qui vont avec.
Lui s’occupe de la clientèle et prend son Audi pour aller faire des contrats.
Il a une secrétaire qui est partie en vacances et que je remplace en partie étant plus enclin à m’occuper des chiffres que du logiciel de traitement de texte.
À ce point de mon aventure il faut que je dise que j’ai perdu ma grand-mère paternelle il y a 8 mois et qu’étant fils unique mon père a hérité de son pavillon assez près de chez nous, il l’a mis en vente et il nous a appris que c’était fait un jeune couple l’avait acheté.
Dans le tiroir de son bureau je trouve un livre de comptes, pas mal le chiffre d’affaires du DAB l’entreprise tourne font la caisse, je comprends mieux pourquoi nous vivons dans une villa grand style comparé à celle de Mamy.
Je feuillette les pages quand un chiffre m’interpelle, la somme est énorme dans la colonne des dépenses, il a dû faire un gros investissement ce qui augmente d’autant le chiffre d’affaires de l’année.
Pendant deux jours j’essaye de savoir à quoi correspondait cet investissement en discutant avec certains de ses gars sans prendre trop de risques, aucuns n’ont vu un changement important dans leur travail.
J’ai pensé qu’il avait remplacé la flotte de ses camionnettes mais rien de tel.
J’oublie le livre pour reprendre ma tache de classement quand je découvert une chose étonnante, il me demande d’aller chercher son portefeuille dans sa boîte à gants car il était au téléphone.
Je suis rentré à quatre pattes côté conducteur sa voiture étant rangée le long d’un mur côté passager, je trouve son larfeuille mais en me redressant pour ressortir je vois un sac entre les sièges arrière.
Intrigué j’écarte le haut de ce sac publicitaire et à l’intérieur je vois un martinet et des menottes.
Mon père fait dans le sado-maso, est-il actif ou passif, c’est son affaire mais je veux savoir jusqu'où maman porte des cornes, protection d’un fils envers sa mère.
Dans l’après-midi il part comme il le fait souvent, va-t-il se faire fouetter, j’emprunte la camionnette de secours, je le suis et je le vois ouvrir le portail automatique d’un pavillon, celui de Mamy, sans savoir pourquoi alors qu’il l’a vendu, il semble y avoir fait des travaux et ceux qu’il va rencontrer sont peut-être les acheteurs.
Une chose m’intrigue, pourquoi entre-t-il avec la télécommande, je l’ignore mais je suis fermement décidé à le découvrir.
Je rentre pour éviter les questions et le lendemain alors qu’il est parti dans la ville voisine je retourne au pavillon, j’y ai passé des journées entières depuis ma plus tendre enfance quand mes parents travaillaient pour se payer le confort de leur vie.
J’en connais tous les recoins, les cachettes et à l’arrière du pavillon comment rentrer à l’intérieur sans que personne ne me remarque et ne le sache.
À l'arrière par le jardin du père Léon il est facile de sauter la clôture grâce à son cerisier qui était une source de conflit entre Mamy et lui.
Dès que j’ai été en âge de comprendre j’ai compris que ces bagarres l’obligeant à venir chez elle veuve de longue date étaient prétextes à m’envoyer à la cave où j’avais mon train électrique que papa m’avait construit pendant qu’ils allaient dans sa chambre effeuiller la marguerite.
Il faisait cela à l’ancienne car un jour ayant soif je suis remonté et suis allé dans la cuisine, je l’ai vu sortir de la chambre de grand-mère sa verge dégoulinante de sperme, la rentrant dans son pantalon où il avait seulement ouvert sa braguette.
Il a pris la porte sans me voir et comme pour retourner dans ma cave je devais passer devant la porte de la chambre ouverte de la chambre, j'ai vu ses grosses fesses à l’air couché sa poitrine sur le lit et les jambes encore écartées reposantes au sol, elle a bougé et je me suis enfui dans mon trou.
Le père Léon est mort comme Mamy mais le cerisier est là et je saute au sol toujours aussi agile grâce au sport.
Les nouveaux propriétaires ont refait le mur en façade mais pas la partie arrière, je reconnais la trape à deux vantaux qu’il y a bien longtemps servait à faire entrer les sacs de charbon pour le chauffage, bien sûr il y a bien longtemps que le charbon a été remplacé par le gaz de ville mais la trape est resté en l’état.
J’ai plus de difficulté que les autres fois à enlever les deux gonds mais j’arrive à basculer les deux vantaux plus facilement que quand j’étais petit grâce à mes muscles actuels.
Je saute dans le réduit et je passe dans le petit couloir où je trouve la lumière qui mène vers l’escalier allant vers l’étage, je monte et quand j’ouvre la porte à mon habitude j’éteins la lumière, le nombre de claque sur les fesses que j’ai prises parce que j’avais oublié d’éteindre, étant toujours bien ancré dans ma tête
À part la cuisine où il semble que quelqu’un se prépare à manger, rien n’a changé, la chambre de Mamy est dans l’état, la salle de bain semble utilisée et une femme doit se servir de parfum que je n’ai jamais senti dans la maison.
Je vais pour redescendre quand j’entends clairement le portail se déclencher, les propriétaires reviennent, je file dans la cave et je rejoins celle par lequel je suis entré,
Il me faut attendre derrière la porte pour analyser si je peux sortir et remettre les vantaux en place sans risquer de me faire prendre.
J’entends la porte palière s’ouvrir au bout d’un certain temps et le bruit de la porte de la cave où se trouvait mon train électrique s’ouvrir seul endroit que j’ai oublié de visiter.
J’entrebâille ma porte pour mieux entendre et voir le couloir qui y en sort.
• Oh, Maître, c’est vous, je vous ai entendu arriver et j’attendais que vous veniez.
• Pourtant petite salope, je suis descendu rapidement.
• J’ai peur est-il possible qu’il y ait des rats, j’ai peur de ces bêtes protégées moi.
La voix est celle de mon père mais l’autre m’est inconnue celle d’une femme à la voix douce.
• il y a longtemps que tu les as entendus ?
• Dix minutes environ.
• Tu sais ces vieilles maisons sont remplies de craquements et autres bruits de tuyauteries.
• Mais.
• Tu cherches à te faire flageller, tu sais que j’ai horreur que tu me contraries, je vois que tu aimes ce que nous faisons et je suppute que tu me provoques volontairement.
Viens, c’est l’heure de manger, cette nuit tu auras tous loisirs d’entendre des bruits j’ai un repas chez des amis et ton Maître te laissera avec toutes tes peurs.
J’ai eu peur moi aussi qu’il vienne visiter la petite cave mais ce que je vois est surprenant en restant sobre dans mon analyse et mes propos.
• Avance petite chienne, j’ai préparé ta pattée.
J’ai envie de me frotter les yeux, je vois sortir de la cave une jeune fille aux cheveux coupés en brosse d'un joli blond, nue à quatre pattes un collier de chien autour du cou.
Bref je vois de dos mon père en tenue de mâle dominant sur sa soumise qui semble accepter sa condition, il tient la cravache que j’ai vue dans la voiture et tous le long des marches qui doivent lui agresser les genoux il la flagelle lui marquant certainement les fesses car les coups sont fortement assénés et j’entends des petits cris chaque fois qu’il la touche.
Il referme la porte palière, je sors hors de mon trou, je remets les vantaux en place sans oublier les gonds, je saute sur le bidon retourné qui sert à brûler les herbes folles et je retourne à l’atelier, mon père à dit qu’il serait absent ce soir et toute la nuit je pense que je vais refaire le chemin inverse à la tombée de la nuit…
Si je cocufie mon vieux on peut penser que j’ai des mœurs anormales ce qui est loin d’être le cas, je suis un garçon de 22 ans dépucelé normalement pour un garçon de mon âge.
Depuis que j’ai réussi à avoir mes premiers rapports sexuels avec une jeune femme rencontrée dans une boîte de nuit, j’ai eu une maîtresse à qui j’aurais dû penser depuis longtemps, la femme du pavillon voisin de mes parents.
La fille de la boîte était de passage et couchait chez une copine, j’ai donc moi aussi couché chez la copine.
Baise classique pour un jeune homme qui pensait qu’une femme devait prendre des positions impossibles comme dans les films pornos que je regardais dans ma chambre, allant les chercher dans le garage ou mon père les planquait.
J’ai appris à pratiquer l'acte sexuel avec Janine la voisine à qui j’avais ramené Louloute sa caniche naine fugueuse à cause d’un gros labrador à qui elle avait décidé d’aller conter fleurette.
Louloute était en chaleur et je suis arrivé à temps car elle avait trouvé la solution en étant sur une marche de notre perron, ce qui a évité à Janine de payer le vétérinaire.
Elle a voulu me remercier et malgré ses 40 ans et un mari, elle a vite trouvé comment le faire, la première fois c’est sur leur canapé lieu chéri du mari qui se vantait d’avoir économisé sous après sous pour se payer ce monument tout en cuir vert avec boiserie à l’ancienne.
Nous avons rapidement changé de lieu de jeu car c’était l’été et les fesses de Janine collaient au cuir commençant à le faire déteindre.
Nous préférions le guéridon en marbre qui malgré le froid que cela lui procurait c’est vite avéré n’être qu’en stuque.
Un matin nous avons entendu sa voiture arriver pensant être tranquille encore une heure, le scandale a éclaté du moins c’est ce que j’ai pensé car me sauvant par l'arrière les gueulantes que j’entendais de ma chambre m’a fait penser qu’il avait découvert le pot aux roses et était en train de l’assassiner.
Je l’ai vu repartir sans venir chez nous me défoncer la figure, prenant mon courage à deux mains j’ai refranchi la haie pour retrouver Janine en larmes.
J’ai compris qu’au moment de l’arrivée du mari je suis parti précipitamment quittant la chaise où nous étions assis du moins moi avec elle sa chatte enfoncée sur ma verge.
La chaise en ébénisterie est tombée et c’est fracasser en trois morceaux malgré le prix qu’il y avait mis.
Par sécurité nous nous sommes retranchés à l’étage avec le risque pour moi d’être obligé de sauter sur le toit de la terrasse pour descendre sur la pelouse de plusieurs mètres en contrebas, mais quand on aime on évite de penser à ces détails.
Nous avons continué pendant une paire de mois sans de nouvelles anicroches jusqu’au moment où Janine m’a annoncé avec des sanglots dans la voix qu’ils déménageaient pour partir à plus de 100 kilomètres.
Comme l’on dit une de perdu et zéro retrouvé, j’avais appris à bien baiser mais je devais le reconnaître, mes études de médecine étaient loin de m’apporter la femme sachant satisfaire mes désirs.
C’est quelques semaines plus tard que j’ai constaté des changements notoires chez mon père, retour à la maison à point d’heure, reprise du jogging le samedi et même le dimanche lui qui rechignait quelques mois plus tôt à venir faire du sport avec moi.
C’est pendant les vacances d’été où je travaillais pour lui que j’ai eu la certitude que maman devait avoir une concurrente, il avait une entreprise de peinture papier peint ravalement de façade.
Il a plusieurs camions avec les équipes de deux qui vont avec.
Lui s’occupe de la clientèle et prend son Audi pour aller faire des contrats.
Il a une secrétaire qui est partie en vacances et que je remplace en partie étant plus enclin à m’occuper des chiffres que du logiciel de traitement de texte.
À ce point de mon aventure il faut que je dise que j’ai perdu ma grand-mère paternelle il y a 8 mois et qu’étant fils unique mon père a hérité de son pavillon assez près de chez nous, il l’a mis en vente et il nous a appris que c’était fait un jeune couple l’avait acheté.
Dans le tiroir de son bureau je trouve un livre de comptes, pas mal le chiffre d’affaires du DAB l’entreprise tourne font la caisse, je comprends mieux pourquoi nous vivons dans une villa grand style comparé à celle de Mamy.
Je feuillette les pages quand un chiffre m’interpelle, la somme est énorme dans la colonne des dépenses, il a dû faire un gros investissement ce qui augmente d’autant le chiffre d’affaires de l’année.
Pendant deux jours j’essaye de savoir à quoi correspondait cet investissement en discutant avec certains de ses gars sans prendre trop de risques, aucuns n’ont vu un changement important dans leur travail.
J’ai pensé qu’il avait remplacé la flotte de ses camionnettes mais rien de tel.
J’oublie le livre pour reprendre ma tache de classement quand je découvert une chose étonnante, il me demande d’aller chercher son portefeuille dans sa boîte à gants car il était au téléphone.
Je suis rentré à quatre pattes côté conducteur sa voiture étant rangée le long d’un mur côté passager, je trouve son larfeuille mais en me redressant pour ressortir je vois un sac entre les sièges arrière.
Intrigué j’écarte le haut de ce sac publicitaire et à l’intérieur je vois un martinet et des menottes.
Mon père fait dans le sado-maso, est-il actif ou passif, c’est son affaire mais je veux savoir jusqu'où maman porte des cornes, protection d’un fils envers sa mère.
Dans l’après-midi il part comme il le fait souvent, va-t-il se faire fouetter, j’emprunte la camionnette de secours, je le suis et je le vois ouvrir le portail automatique d’un pavillon, celui de Mamy, sans savoir pourquoi alors qu’il l’a vendu, il semble y avoir fait des travaux et ceux qu’il va rencontrer sont peut-être les acheteurs.
Une chose m’intrigue, pourquoi entre-t-il avec la télécommande, je l’ignore mais je suis fermement décidé à le découvrir.
Je rentre pour éviter les questions et le lendemain alors qu’il est parti dans la ville voisine je retourne au pavillon, j’y ai passé des journées entières depuis ma plus tendre enfance quand mes parents travaillaient pour se payer le confort de leur vie.
J’en connais tous les recoins, les cachettes et à l’arrière du pavillon comment rentrer à l’intérieur sans que personne ne me remarque et ne le sache.
À l'arrière par le jardin du père Léon il est facile de sauter la clôture grâce à son cerisier qui était une source de conflit entre Mamy et lui.
Dès que j’ai été en âge de comprendre j’ai compris que ces bagarres l’obligeant à venir chez elle veuve de longue date étaient prétextes à m’envoyer à la cave où j’avais mon train électrique que papa m’avait construit pendant qu’ils allaient dans sa chambre effeuiller la marguerite.
Il faisait cela à l’ancienne car un jour ayant soif je suis remonté et suis allé dans la cuisine, je l’ai vu sortir de la chambre de grand-mère sa verge dégoulinante de sperme, la rentrant dans son pantalon où il avait seulement ouvert sa braguette.
Il a pris la porte sans me voir et comme pour retourner dans ma cave je devais passer devant la porte de la chambre ouverte de la chambre, j'ai vu ses grosses fesses à l’air couché sa poitrine sur le lit et les jambes encore écartées reposantes au sol, elle a bougé et je me suis enfui dans mon trou.
Le père Léon est mort comme Mamy mais le cerisier est là et je saute au sol toujours aussi agile grâce au sport.
Les nouveaux propriétaires ont refait le mur en façade mais pas la partie arrière, je reconnais la trape à deux vantaux qu’il y a bien longtemps servait à faire entrer les sacs de charbon pour le chauffage, bien sûr il y a bien longtemps que le charbon a été remplacé par le gaz de ville mais la trape est resté en l’état.
J’ai plus de difficulté que les autres fois à enlever les deux gonds mais j’arrive à basculer les deux vantaux plus facilement que quand j’étais petit grâce à mes muscles actuels.
Je saute dans le réduit et je passe dans le petit couloir où je trouve la lumière qui mène vers l’escalier allant vers l’étage, je monte et quand j’ouvre la porte à mon habitude j’éteins la lumière, le nombre de claque sur les fesses que j’ai prises parce que j’avais oublié d’éteindre, étant toujours bien ancré dans ma tête
À part la cuisine où il semble que quelqu’un se prépare à manger, rien n’a changé, la chambre de Mamy est dans l’état, la salle de bain semble utilisée et une femme doit se servir de parfum que je n’ai jamais senti dans la maison.
Je vais pour redescendre quand j’entends clairement le portail se déclencher, les propriétaires reviennent, je file dans la cave et je rejoins celle par lequel je suis entré,
Il me faut attendre derrière la porte pour analyser si je peux sortir et remettre les vantaux en place sans risquer de me faire prendre.
J’entends la porte palière s’ouvrir au bout d’un certain temps et le bruit de la porte de la cave où se trouvait mon train électrique s’ouvrir seul endroit que j’ai oublié de visiter.
J’entrebâille ma porte pour mieux entendre et voir le couloir qui y en sort.
• Oh, Maître, c’est vous, je vous ai entendu arriver et j’attendais que vous veniez.
• Pourtant petite salope, je suis descendu rapidement.
• J’ai peur est-il possible qu’il y ait des rats, j’ai peur de ces bêtes protégées moi.
La voix est celle de mon père mais l’autre m’est inconnue celle d’une femme à la voix douce.
• il y a longtemps que tu les as entendus ?
• Dix minutes environ.
• Tu sais ces vieilles maisons sont remplies de craquements et autres bruits de tuyauteries.
• Mais.
• Tu cherches à te faire flageller, tu sais que j’ai horreur que tu me contraries, je vois que tu aimes ce que nous faisons et je suppute que tu me provoques volontairement.
Viens, c’est l’heure de manger, cette nuit tu auras tous loisirs d’entendre des bruits j’ai un repas chez des amis et ton Maître te laissera avec toutes tes peurs.
J’ai eu peur moi aussi qu’il vienne visiter la petite cave mais ce que je vois est surprenant en restant sobre dans mon analyse et mes propos.
• Avance petite chienne, j’ai préparé ta pattée.
J’ai envie de me frotter les yeux, je vois sortir de la cave une jeune fille aux cheveux coupés en brosse d'un joli blond, nue à quatre pattes un collier de chien autour du cou.
Bref je vois de dos mon père en tenue de mâle dominant sur sa soumise qui semble accepter sa condition, il tient la cravache que j’ai vue dans la voiture et tous le long des marches qui doivent lui agresser les genoux il la flagelle lui marquant certainement les fesses car les coups sont fortement assénés et j’entends des petits cris chaque fois qu’il la touche.
Il referme la porte palière, je sors hors de mon trou, je remets les vantaux en place sans oublier les gonds, je saute sur le bidon retourné qui sert à brûler les herbes folles et je retourne à l’atelier, mon père à dit qu’il serait absent ce soir et toute la nuit je pense que je vais refaire le chemin inverse à la tombée de la nuit…
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Merci M-J
J'adore
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