COLLECTION COCU. Je deviens volontairement la pute de notre patron (1/8)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION COCU. Je deviens volontairement la pute de notre patron (1/8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Je deviens volontairement la pute de notre patron (1/8)
• Chérie, le chauffe-eau foutu, la machine à lavé qu’il a fallu faire réparer, je viens de faire les comptes nous allons dépasser notre découvert autorisé et nous retrouver avec un maximum d’agios à payer.
Les emprunts impossibles d’y penser, aucune banque pour nous prêter le moindre sou, là aussi nous sommes aux taquets.
• Si tu me dis cela je te connais depuis dix ans et deux enfants, tu dois déjà avoir une solution.
• J’ai peur de t’en parler.
• Dis toujours, je te promets d’examiner ta proposition avec le maximum de sérieux.
• En es-tu sûr, je commence à bien te connaitre ?
• Aller accouche, quelle solution as-tu trouvée ?
• Tu me promets de rester calme.
• Tu me fais peur pour prendre autant de précaution, que vas-tu nous infliger ?
• Tant pis je me lance.
J’ai trouvé un site sir Internet ou des hommes proposent d’aider des couples comme le nôtre dans une situation difficile en passant une soirée avec la maîtresse de maison pour 1 000 €.
• Salop, tu me demandes de faire la pute, du fric tu vas en avoir, mais à me donner pour la pension alimentaire pour moi et tes deux enfants, je vais voir un avocat et je divorce.
• Mon cœur, je rigolais, tu sais que j’adore cela, c’est de « l’humour » comme j’aime à dire.
Non, peux-tu aller voir notre patron et lui demander 500 € d’avance sur ta propre paye.
J’en ai demandé une il y a deux mois et elle sera tirée ce mois-ci.
• De l’humour, tu sais que ton humour complétement loufoque, j’ai de plus en plus de mal à le supporter.
• Promis ma chérie, je ferais attention la fois prochaine.
• Pour l’avance de paye je suis d’accord j’irai demain.
• Viens, allons-nous coucher, cette journée avec tous nos ennuis m’a épuisé.

Une fois couché j’ai eu droit au cul tourné mais j’ai l’habitude pour un oui ou pour un non elle fait la gueule, en plus, ses migraines sont de plus en plus fréquentes.
Je sens qu’elle rumine, à quoi peut-elle penser ?

Je suis courroucé, comme Steve a-t-il pu penser, je dis bien simplement penser qu’il pouvait me demander de me prostituer même pour rigoler.
La prostitution est très grave pour nous les femmes entraînées par des salopards à vendre leur corps.
Pour lui faire voir que je suis en colère quand il sort de la salle de bain il me trouve « le cul tourné » comme il dit chaque fois que nous nous disputons.
Le matin rebelotte petit déjeuner avec Camille et Corinne nos jumelles âgées de dix ans, pas le moindre mot entre nous.

• Maman mes chaussures me fond mal, mon pied a encore grandi.
• Et moi, je voudrais des supports lolos comme mes copines, il commence à pousser.

L’atmosphère est lourde seule les filles qui se chamaillent se font entendre comme chaque matin en plus des besoins qu’elles expriment même si pour les soutiens-gorge Camille a bien du temps avant que sa poitrine nous pose ce genre de soucis, je rappelle qu’elle a dix ans.
Je vois que Steve se retient de leur mettre une gifle, car il sait ce que je pense des parents violant et il tourne les talons.
Après avoir déposé les filles à leur école nous prenons le chemin de notre boîte de plasturgie où Steve est chef des approvisionnements et moi petite secrétaire au service du personnel.
Notre boîte est très petite et nous nous connaissons tous, car le matin nous prenons un café en commun offert par Stéphan notre patron que nous tutoyons tous.
Je suis entré dans la boîte avec un peu de piston bien sûr aidé par mon mari en intérim pendant les vacances.
Comme la femme que je remplaçais avait trouvé chaussure à son pied sur la côte elle à décider de s’installer là-bas avec son enfant.
Stéphan occupant aussi les fonctions de DRH, vu la grosseur de l’entreprise il occupe les deux fonctions.

• Stéphan je peux te parler !
• Oui viens dans mon bureau, j’ai cinq minutes à t’accorder.

Stéphan, notre âge, beau gosse mais célibataire endurci, avec lui, ses conquêtes sont légion et avec Steve nous avons arrêté de savoir avec qui il est à un moment « T »car quand nous en imprimons une, le lendemain elle a déjà dégagé.

• Natacha, assieds-toi qu’as-tu à me demander ?
• Steve et moi avons de petits ennuis avec notre chauffe-eau et la machine à laver et la fin de mois est difficile, pourrais-tu me faire une avance sur mon salaire de 500 €.

Stéphan semble réfléchir me regardant de temps en temps.

• Il y a quelques jours, c’était Steve pour 1 000 €, aujourd’hui c’est toi pour 500.
Le mois prochain vous serez tous les deux pour venir me demander une somme X, car si je cède à ta demande en plus des réparations, vous serez dans l’impossibilité de boucler votre budget.
Vous êtes dans une spirale dont vous aurez du mal à vous sortir et qui va vous contraindre à vendre votre joli pavillon avec sa piscine que vous vous êtes fait installer.
Dans la région vous devez vous servir trois fois dans l’année.

Je baisse la tête voyant qu’il va refuser, mais sachant qu’il a raison et que Steve et aussi moi, nous sommes trop dépensiers et pour me donner bonne conscience, nos filles aussi.

• J’ai peut-être une solution, quand je te regarde si tu t’habillais un peu plus sexy, j’ai peut-être une autre proposition à te faire.
De temps en temps je vais au restaurant avec des clients et chaque fois j’emmène de jolies filles que je paye juste pour m’accompagner.
J’ai constaté qu’à chaque fois que je suis seul, les contrats tombent à l’eau ou sont d’un montant très inférieur à ce que mes renseignements m’ont donné.
Quand je suis avec ces jolies femmes il suffit qu’elles mettent leur avantage un peu en avant et chaque fois bingo le contrat est signé avec un bous à la clef.
• Vous vous êtes donné le mot, Steve hier soir m’a fait croire que pour nous en sortir il avait trouvé un homme qui pour 1 000 € voulait passer la soirée avec moi.
Il a fini par me dire que c’était de l’humour et qu’il fallait que je vienne te voir et te demander une avance de 500 €.
• Je vois, je connais l’humour de ton mari, il en est saoulant par moments.
Si lui te proposait 1 000 € pour coucher et que ce soit de l’humour, je suis très sérieux, je te propose 2 000 € simplement pour manger dans un très bon restaurant et faire gagner à la boîte de gros contrats
Nous pourrons garder le personnel pendant deux ans, voire embaucher une personne supplémentaire.
De plus je sais que Steve lorgne sur la place de Benoit qui part à la retraite, je dois prendre la décision dans les jours prochains, son nom pourrait venir en haut de la pile de mes favoris.
• Quand as-tu un repas pour signer des contrats ?
• Mercredi midi, je crois que je préfère vous aider plutôt que de donner cette somme à une fille que je verrais une fois, qui va le dépenser dans des chaussures comme la dernière que j’ai emmené et qui m’a avouées avoir 200 paires de chaussures.
• 200 paires, moi qui dois m’arranger avec trois paires plus mes bottes pour l’hiver.
Elle ça fait deux fois que je change les semelles pour éviter les frais, mais pour mercredi c’est impossible j’ai les filles à aller chercher et l’après-midi je les garde.
• Laisse-moi réfléchir, il serait idiot que cet argent soit perdu pour vous.
Je sais, je connais une association qui règle ce genre de problème et une nounou ira chez toi à 12 heures, elle les fera manger et les emmènera au zoo du bois de Vincennes aux frais de la boîte bien sûre.
• Oui mais Steve va l’apprendre.
• Dis-lui que j’ai besoin d’une secrétaire pour prendre des notes avec le client que nous rencontrerons et que je t’ai demandé de m’accompagner, tu es la seule de disponible.
• Il va avoir des doutes que la situation soit plus ambiguë, car tu pourrais emmener Colette ta secrétaire.
• Tu m’ennuies Natacha, je te propose de vous aider en t’emmenant à un simple repas d’affaires et tu sembles trouver des faux-fuyants pour refuser.
Tiens, je joue cartes sur table, une fille louée à une agence nous coûte 5 000 €, si c’est toi qui viens, j’aurais une femme que j’ai toujours trouvée très jolie auprès de moi qui aidera son couple dans la merde et aussi son entreprise.

Stephan se lève ouvre le coffre à combinaison et sort une liasse de billets de 500 €.
Dans sa main il y a un paquet d’argent que j’aurais du mal à gagner dans les dix prochaines années.

• J’ai une petite réserve personnelle en liquide, que je pose sur le coin de ce bureau.
Voici les 2 000 promis et 1 000 de plus pour acheter une robe et des chaussures sexy, il fait froid, tu peux te payer une nouvelle paire de bottes, j’aime beaucoup lorsque les pieds d’une femme sont ainsi gainés.
Je m’absente pendant une heure, si je reviens et que les billets soient encore sur mon bureau, as-toi de trouver une explication pour ton mari pour la raison que je t’aie refusé ta demande de 500 € d’avance.
Sinon démerde-toi pour lui dire pourquoi tu dois faire garder tes filles ce mercredi.

Je comprends que l’entretien est terminé et je quitte le bureau sans toucher à l’argent.
J’ai nettement l’impression d’être revenue à la proposition de Steve de rencontrer un homme pour 1 000 € même s’il a dit que c’était de l’humour.
D’un côté j’ai un mari qui a simplement pensé même comme je le dis avec humour que je pourrais me prostituer et de l’autre un patron qui me fait une proposition à la limite du malhonnête.

• Juliette, Steve est-il dans le coin ?
• Non Natacha, il est parti dans une entreprise à l’autre bout de Paris et m’a dit de te prévenir pour ce midi d’aller manger seule car il rentrera juste pour que vous allier récupérer vos poupettes.
• Merci Juliette.
• Pourquoi voulais-tu le voir ?
• Petit problème familial urgent, ça peut attendre.

Je retourne à mon bureau et j’essaye de me concentrer sur mon travail.
2 000 € plus 1 000, égal 3 000 pour un simple repas et des vêtements que je pourrais remettre les soirs ou maman gardent les filles pour que nous sortions en amoureux.
Et les bottes, j’en ai vu une paire « chez le chausseur sachant chaussé. »
32 minutes, j’y vais-je prends l’argent, mais sans bouger.
36 minutes, j’ai l’impression de me vendre pour du pognon.
41 minutes, si je vais au resto je sors notre couple de la merde.
54 minutes, pour sa boîte Stéphan se démerde, c’est lui le patron.
55 minites, Steve aura une promo qui veut dire augmentation de salaire, Benoit ce vieux crouton est un des mieux payé après Stephan.
59 minutes, je me lève et je retourne dans le bureau de Stéphan, la porte est fermée et je rentre presque en courant.

• Natacha, je vois que tu as choisi je rentrais les billets.
• Non, il faut qu’on parle, il reste un problème.
• Tous les problèmes se règlent.
• Voilà, 1 000 € pour la robe et les chaussures, je me débrouille, mais si tu veux que je sois plus sexy, il faut que je prenne rendez-vous chez la coiffeuse.
J’en profiterais pour changer de look et là j’y serais de notre poche.
• Bravo Natacha je vois que tu apprends vite, si j’appelle l’agence pour avoir une jeune femme pour m’accompagner, je dépense 5 000 € si c’est toi qui viens seulement 3 000 tient, 500 de plus et l’affaire est réglée entre nous.

Il dépose dans ma main, la liasse de billets, je tourne les talons avant de revenir sur mes pas.

• Au fait je prends mon après-midi pour faire les boutiques et trouver une robe et des chaussures et mon mercredi matin, car je vais prendre rendez-vous avec ma coiffeuse, pour le reste comme tu me l’as dit, je me démerde avec Steve.
• File petite coquine, je suis sûr qu’à terme, nous serons tous gagnant de ce petit arrangement.

Je quitte son bureau la liasse de billets glissée dans mon soutien-gorge, je retourne dans le mien ayant l’impression d’être devenue une autre femme.
De femme soumise, je deviens femme active de mes envies et de mes besoins, malgré deux filles et de petite patte d’oie au coin de mes yeux, je suis encore une femme pouvant séduire.

• Chéri, j’ai quelque chose à te dire…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Ah voilà une nouvelle histoire palpitante...
Merci Chris..
Vivement la suite


Cyrille

Olga qui vivra verra...

On suppose que cet arrangement va convenir au mari!



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Histoire sexe : Une rose rouge
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