COLLECTION COCU. Je deviens volontairement la pute de notre patron (2/8)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION COCU. Je deviens volontairement la pute de notre patron (2/8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Je deviens volontairement la pute de notre patron (2/8)
J’ai accepté de déjeuner mercredi midi avec mon patron et un ou des clients afin d’aider ma boîte à garder, voire amplifier son personnel.
Avec cette acceptation, je permets à Steve mon mari d’atteindre le sommet de ses espérances professionnelles dans notre boîte.
Chef de... Steve a toujours rêvé d’atteindre ce poste.
De retour à la maison, je lui vends une belle histoire qui gobe sans le moindre moment de doute, il faut dire que depuis notre mariage et même avant le mensonge m’est en horreur.
Ça été plus facile que prévu, surtout que pour le poste, c’est Stéphan notre patron qui lui annoncera cette bonne nouvelle.

• Non chérie, fais ce que tu as à faire avec Stéphan.
Il a été assez gentil de nous offrir les 500 € dont nous avions besoin au lieu de les retenir sur ta paye.
Il faudra savoir lui rendre la pareille s’il a besoin de toi ou de moi.
Pas la peine de prendre une nounou, j’ai des R.T.T à prendre.
Je serais ici mercredi après-midi et pour une fois j’emmènerais les filles au cinéma cela coûtera moins cher que le zoo.
• Non, Stéphan m’a proposé de faire des heures supplémentaires et j’ai accepté.
Va au zoo, tu adores cela et nos filles aussi.
• C’est gentil mon cœur, je saurais m’en souvenir.

Autant de crédulité cela fait peine à voir surtout que je lui donne 500 en liquide et que je garde le reste que j’ai accepté pour ce repas.
Mercredi matin coiffeuse, je sors de là complétement transformer.
Surtout qu’en partant après mon mari je suis sortie dans ma nouvelle tenue de travail.
Chemisier blanc bouton ouvert jusqu’à la limite de la vallée de mes seins sans soutien bien sûr et tailleur rose, jupe ras mes fesses.

• Monsieur Igor, je vous présente mademoiselle Natacha ma nouvelle chargée de communication.
• Madame permettez-moi de vous dire que vous êtes très belle.
Stéphan trop de monsieur, depuis que nous nous connaissons appelle-moi Igor.
J’adore le tutoiement et le vouvoiement dans votre langue contrairement à l’anglais que je parle couramment et où le « you » est impersonnel.

Le repas se passe bien, Stephan a proposé les places non sans certaines arrière-pensées, je suis à côté du pigeon lui en face de nous.
Je prends des notes comme si cela allait me servir plus tard dans mon travail.
Sans oublier d’avoir un bon mot pour ce Russe et surtout faire ce qu’il faut pour que mes seins plusieurs fois se trouvent bien placés pour que le client s’aperçoive qu’ils sont libres.
Je sens même sa jambe venir frotter la mienne et devenir de plus en plus insistante.
J’ai failli avoir un mouvement de recul, mais comme son pied vient toucher mes bottes neuves, j’accepte ce contact.

• Igor il va falloir que je te quitte ce repas a été succulant et bien sûr vous êtes mon invité, je vous laisse avec Natacha qui va prend en note les points de détail.
As-tu une idée du nombre de pièces que nous pourrions fabriquer ?
• Je suis sûr de 10 000, bien que j’en aie besoin de 20 000, mais il faut savoir éviter de mettre tous ses œufs dans un même panier, demain je dois voir ton concurrent.
• À toi de voir mais c’est 20 000 pièces nous intéresse, nous avons la capacité de les fabriquer dans les délais qui sont les tiens.

En sortant ce dernier chiffre de sa bouche, mon patron me regarde avec insistance.
Stéphan se lève me baise la main salut Igor et quitte le restaurant en passant régler la note.
Igor se lève et m’entraîne vers le bar où il m’offre un cognac.

• Natacha permet moi de t’appeler Natacha, même si ce nom je suis sûr est un pseudonyme.
Je sais que chaque fois qu’un contrat est à signer Stéphan vient avec une escorte qui me met ses seins sous le nez comme tu l’as fait tout le repas.
Cette fois il m’a gatté, j’ai 2 000 € en liquide pour monter dans ma chambre passer le reste de l’après-midi avec toi.
• Igor, je vous promets que je suis une secrétaire de la société de Stéphan ou mon mari est lui aussi employé.
Vous vous trompez si vous croyez que je suis une escorte, je suis une femme mariée avec deux jeunes jumelles, regardez mon alliance.
• Natacha, pas à moi, la pute mariée on me l’a fait presque à chaque fois.
Tu as de la chance de me faire bander d’accord 3 000.
• Mais je vous assure !
• Dernière offre 3 000 et 20 000 pièces pour l’entreprise.

Quelle folle je suis quand je saute du siège ou je suis assise et que je regarde Igor droit dans les yeux.

• D’accord, mais dans ta chambre tu me donnes l’argent et surtout le contrat pour la commande avant que j’ouvre mon chemisier.
• Petite vicieuse, tu penses à tous, je bande déjà, à vous les jolies petites femmes de Pigalle.
Je comprends pourquoi Stephan t’a choisi, il va falloir que tu me donnes ton numéro quand j’aurais besoin d’une fille de ta trempe, je ferais appel à toi.

Quand il formule cette proposition nous sommes déjà dans l’ascenseur et comme s’il voulait tâter la marchandise ses mains sont déjà sur mes fesses.
Au lieu de le repousser j’avance mon bassin pour sentir son bas-ventre.
L’argent voilà le moment où j’aurais définitivement basculé après être rentré dans la chambre d’Igor.
Mais je me sens déjà dans la peau du personnage que j’ai choisi de jouer en acceptant celui de Stéphan et surtout devenir volontairement la pute de mon patron.
L’argent qui me fait entrer dans le monde des putes ou des courtisanes alors que s’il y a de l’hypertension entre Steve et moi nos deux filles auraient dû m’aider à rester dans le droit chemin suivi depuis mon mariage.
Que devrais-je faire dans trois minutes quand il aura fini d’ouvrir la porte de ma déchéance ?
La porte de ma déchéance, Steve l’a ouverte en me proposant 1 000 € d’un pseudo client trouvé sur Internet qui voulait me baiser même si c’était pour lui de l’humour !
S’il a pensé à cette solution pour rembourser nos dettes, c’est certainement que dans son cerveau à voir sa femme gagner de l’argent avec son cul le travaillait.

• Entre Natacha, je vais chercher le contrat que tu pourras amener à Stéphan comme un trophée.
Mais j’espère que pour cette somme et le risque que je prends avec la commande totale, tu es une belle salope.

Mon dieu, que sais-je faire avec un homme !
Avec le mien c’est facile, nous nous couchons, j’éteins la lumière, je le masturbe pendant qu’il m’embrasse et j’écarte les cuisses dégageant ma chatte qu’il pénètre et après quelques coups avant et arrière, il éjacule.

• Tiens voilà l’argent et le contrat que j’ai signé en ajoutant le nombre de pièces, la salle de bains est là, vas te laver.

Si j’ignore ce que je dois faire quand je reviendrais dans la chambre dans ce havre de paix qu’est la salle de bains j’enlève mes vêtements lentement pour faire durer le temps.
J’allais dire le plaisir, me vendre pour nous sortir de la panade, est loin d’être un plaisir à ce moment.
J’entre dans la baignoire, j’ouvre la pomme d’eau et me savonne la chatte.
Je me rince et je me sèche, je mets deux doigts dans mon vagin et je trouve ma grotte sèche, aucune sécrétion, je retourne vers la chambre comme si j’allais à l’abattoir.
Lorsque je rentre dans la chambre, il est nu, plutôt bien foutu.

• Où vas-tu, j’aime qu’une pute me lave la queue, viens.

Je retourne d’où je viens et je prends le savon le faisant mousser dans mes mains.
Je dois être une pro de longue date car avec la mousse je lui masse la verge avec un certain plaisir.
Je la vois se tendre, je la rince sentant que quelque chose à changer dans ma chatte.
Je passe derrière le dos d’Igor pour me remettre deux doigts, je mouille, rincée je vais pour la sécher.

• Suce-moi, prends-la dans ta bouche, j’adore les fellations.

Dans les premiers temps de notre mariage Steve a voulu que je le suce quand j’étais dans les derniers jours de ma grossesse, mais j’ai failli vomir.
Ça a été ma seule expérience vite interrompue pour finir par le faire éjaculer en lui manoeuvrant la verge de ma main.
Je me baisse et je le mets dans ma bouche, il me prend par les oreilles et se masturbe littéralement me faisant baver sur le sol, mais sans me donner de vomissement.
J’étais incapable de penser que j’étais capable de faire bander un homme avec ma bouche.

• Je vois que nous deux on est fait pour nous entendre.
Mets-toi à quatre pattes, attends, je reviens.

J’ai compris une chose, il paye, je dois m’exécuter, en le suçant et ayant pris son pognon, je suis une pute.
Je le vois rentrer dans la chambre revenant avec deux étranges choses dans les mains.

• Je vois que tu es une bonne petite chienne, tu mérites d’aller te promener.

Incroyable de femme mariée je passe à chienne en chaleur quand il me met un collier de chien de grande taille autour du cou et qu’il me place une laisse sur le mousqueton.

• Allée avance, on va aller au parc pour que tu fasses ton pissou.

Un fou, l’argent donne-t-elle le droit de m’abaisser comme il le fait.
C’est incroyable, je fais quelques pas sur les mains et sur les genoux, étrange, j’aime.

• Bien, au pied, oui tu apprends vite, reste à la hauteur de mes orteils.

Je reçois un coup de laisse sur les fesses ce qui me fait hurler.

• Je t’ai dit que tu devais rester à ma hauteur, viens, nous sortons.

Il ouvre la porte de la chambre, c’est impossible, il me fait sortir nue avec lui et m’emmène jusqu’aux ascenseurs.
J’ai la trouille que l’un arrive et que les portes s’ouvrent me montrant dans quelle déchéance j’accepte qu’il me mette car je peux me lever lui rendre son fric et même s’il déchire le contrat, garder ma dignité.

• C’est très bien, tu as fait un gros pipi, je te ramène à la maison.

J’ai mal aux genoux et je me souviens de l’ordre d’éviter de le dépasser sinon mes fesses vont ramasser.
Il a pris la carte d’ouverture avec lui et quand je commence à entrer, j’entends les portes de l’ascenseur s’ouvrir, à quelques secondes je me trouvais dans la situation que je craignais.

• Reste comme ça, suce, j’ai débandé.

Il me contourne et j’ouvre de nouveau ma bouche, il aime mes amygdales car il me rentre sa verge jusqu’à ses couilles.

• Je vais te dire, tu vaux tes 10 000 pièces supplémentaires, tu es la première à être aller jusqu’aux ascenseurs.
Je vais te faire travailler, tu vas devenir l’une des plus grandes escortes de Paris et surtout de Moscou car je vais te faire venir chez moi.
Maintenant, je vais te baiser en levrette...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Je suis toujours aussi fan mon cher Chris..
Je vois que je ne suis pas seul et tu le mérites...
Pour les autres, s'ils ne comprennent pas que c'est de lecture érotique, qu'ils aillent sur d'autres sites de romans à l'eau de rose...

Cyrille

Histoire Libertine
Il faut se detendre du string cocotte c'est 1 fantasme sinon va faire des commentaires sur des mecs qui se descendent des gamins mineurs ou sur des femmes qui cautionnent la prostitution dans la vie réelle.

Mais ne viens pas gacher les récits de Chris.

La chipie

Histoire Libertine
Dégueulasse et avilissant, et même si ce ne sont que des fantasmes de pervers, cela pourrait donnes des envies à des esprits faibles...

On ne peux pas faire des effets chaque fois Olga

C'était prévisible. Jusqu'où ira-t-elle?



Texte coquin : COLLECTION COCU. Je deviens volontairement la pute de notre patron (2/8)
Histoire sexe : Une rose rouge
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