COLLECTION COCU. Je deviens volontairement la pute de notre patron (4/8)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Je deviens volontairement la pute de notre patron (4/8)
Devenir la pute volontaire de Stephan mon patron, c’est déjà une situation insolite, généralement on devient la maîtresse de son patron.
C’est le cas tout de même après que je l’ai sucé et qu’il m’encule à son tour alors que je viens de m’empaler sur la verge d’Igor.
En bonne élève de mon travail de pute, j’ai retenu les mots « double pénétration » qu’ils me font subir, là encore j’exagère.
Je dois plutôt dire que j’accepte pour indemniser ces deux hommes qui m’ont payé 25 000 € pour se servir de moi à leur guise.
• Ta jolie pute m’a ouvert l’appétit Stephan, si nous commentions de quoi nous substanter au roomservice, voyons ce qu’il y a à manger !
J’ai un peu mal au cul après qu’Igor m’ait dépucelé, mais c’est surtout la double pénétration mêlant début de plaisir, ce que je trouve étrange et la grosse bite de Stephan me faisant presque regretter d'avoir attendu si longtemps pour devenir sa maîtresse.
J'ai bien vu qu'il était bien monté lorsque je le suçais, ma bouche même en l’ouvrant au maximum avait du mal à le faire entrer.
Alors que dire lorsqu’il est venu derrière moi et que cherchant son chemin, j’ai senti leurs deux bites m’envoyant en l’air.
Les habitants des chambres voisines ont dû être réveillés lorsqu’ils m’ont fait hurler de plaisirs.
Je les vois s’assoir de chaque côté de la table, ou il y a une nappe et dessus une corbeille de fruits frais.
• Natacha, passe sous la table comme la bonne petite chienne que j’ai faites de toi et montres à mon copain comment tu traites mes invités pendant qu’ils mangent.
Lorsque je suis arrivée et que j’ai découvert la présence de mon patron, Igor m’a remis mon collier de chien, un nouveau genre collier étrangleur avec des anneaux métallique et des petits crochets me rentrant dans le cou dès que je déroge à ses demandes.
La laisse est elle aussi en anneaux métalliques.
Il l’a en main lorsqu’il me donne l’ordre de passer sous la table en tirant m’étranglant juste ce qu’il faut pour que j’exécute ses ordres.
Une demi-heure, je suce et je masturbe chacun d’eux pendant l’attente de la cuisson du plat que je les ai entendus commandés d’un commun accord sans pour autant me consulter.
Il est vrai que lorsqu’on a une chienne il est inutile de la consulte au moment de faire des choix, surtout lorsqu’elle a une laisse sur laquelle il suffit de tirer pour la faire obéir.
Je les entends parler des contrats que j’ai arrachés à Igor avec mes miches.
Une main passe sous la table et vient se poser sur le haut de ma tête.
Vu l’angle, c’est Stephan qui me flatte comme lorsque son maître flatte son chien, ici plutôt sa chienne.
Je me sens flattée s’il a ce geste, c’est que je suis devenue sa petite chienne chérie, je sens de nouveau ma chatte se mouiller et venir couler sur la moquette épaisse dans cet hôtel de haut luxe.
Ça frappe, « roomservice », Igor d’y d’entrer.
• Tiens mon toutou, régale-toi ?
L’autre main passe sous la nappe, alors que le garçon qui vient apporté à manger est encore là.
• Ou je signe !
Ces mots alors qu’une côtelette d’agneau arrive sur mes genoux, étant assise au sol pour me facilité ma position me brûle légèrement, mais nos jeux amoureux m’ont donné trop faim, je la dévore à pleines dents.
Il est sûr, qu’il fait cela pour montrer que je suis sous la table comme la bonne petite chienne qu’il récompense pour ses bons et loyaux services.
Vivre en chienne, on va me prendre pour une folle, mais je me fais à cette situation, surtout lorsque je sais que je vais récupérer ma mallette avec mes 25 000 € qui m’attendent au coffre de la réception.
De quoi envisager la vie que nous allons avoir, je pense, trouver une maison plus grande où mes filles auraient chacune leur chambre ce qui est loin d’être possible là où nous habitons.
Je dévore ma côtelette, dommage qu’elle soit petite, mais d’autres suivent, du moins, un peu de viande sur le manche de la côtelette, c’est Stephan qui mange les siennes et me les jette.
Ils me prennent vraiment pour un gentil toutou à ses pépères.
• Assez manger, suce-nous, on va encore profiter de toi jusqu’à demain matin, tes filles sont bien gardées, ton mari à 10 000 pieds survole l’Atlantique et toi tu dois encore gagner le fric que l’on te donne.
Si j’ignorais encore ma condition de pute, après cette tirade, nul doute, je suis devenue l’escorte de ces messieurs.
Encore quelques heures, à les sucer, les faire bander me faire prendre par où ils le désirent avant qu’Igor siffle la fin de la récré.
• Viens Natacha, je vais te déposer, j’ai ma voiture au parking de l’hôtel.
Je vais pour me diriger du lit où Igor m’a déchargé dans l’anus une dernière fois, espérant prendre une douche réparatrice, mais on m’intime l’ordre de m’habiller et de quitter la chambre conduite par mon patron.
Je reçois un dernier ordre, à tout moment je dois garder mon collier étrangleur concrétisant ma position de chienne.
À moi une nouvelle fois de trouver un motif auprès de Steve lorsqu’il sera de retour d’où me vient ce collier et surtout pourquoi je dois l’avoir toujours à mon cou, jours et nuit.
Je passe par la réception, l’employé est différent de celui que j’ai vu lorsque j’ai amené la mallette au coffre.
• Les côtelettes étaient bonnes !
À ces mots, si je doutais encore, c’est le garçon qui est venu apporter la table sur roulettes, venant du roomservice, il a compris ma présence lorsque l’on m’a jeté une côtelette.
Je le suis dans la pièce derrière le bureau, les chaussures que j’ai vues en étant sous la table sont les mêmes.
En attendant la signature du bordereau, il est certain qu’il sait que j’étais la chienne de service auprès du client de la chambre et de Stephan mon patron.
Voiture, rues et je me retrouve devant notre petit pavillon de banlieue.
• Putain, tu as ramassé, si j’avais su, j’aurais trouvé un motif au boulot pour découvrir la petite salope que tu es.
Dire que Steve doit ignorer qu’il a un diamant brut dans les mains.
C’est certain, à part me prendre à la missionnaire et simplement se contenter de décharger dans ma chatte, s’il avait eu de l’imagination, ce serait lui le premier qui m’aurait enculé.
• Je te dirais bien de me sucer une dernière fois avant que nous nous retrouvions à nos postes dans l’entreprise, mais il commence à avoir du mouvement dans ton quartier et je dois directement aller travailler pour mettre en place ce que tu as fait signer à Igor.
• Mes filles vont bientôt se réveiller et je dois les conduire à l’école surtout que tu as envoyé Steve au bout du monde et que je dois m’en occuper.
• Tu regrettes son petit voyage !
• Avec cette mallette en main, comment pourrais-je regretté ma nuit, même si j’ai quelques douleurs au cul.
• Ça va passer, j’ai enculé bon nombre des salopes que j’ai niquées, elles finissent toutes par en redemander.
Soit sans crainte, la jeune fille que l’agence t’a envoyée est à ton service jusqu’à ce que tu décides de lui dire de rentrer, elle va s’occuper de tes filles.
D’ailleurs les voilà, le vrai portrait de leur mère.
Corinne et Camille sortent suivis d’une jeune fille, Corinne montre la direction de l’école et je les vois s’éloigner.
J’ai envie de descendre pour les rejoindre et les embrasser, mais mon visage me tire lorsqu’ils ont déchargé sur mon visage et comme on l’a vu, j’ai été dans l’impossibilité d’aller me rafraichir.
• Steve sera là demain matin, prend tout ton temps, prend ta journée tu l’as bien mérité.
Débarrassé des corvées familiales et de mon mari jusqu’à demain, je suis dans notre salle de bain et je fais couler l’eau chaude à la bonne température avant de m’installer et de prendre mon bain.
Du fond de l’armoire à pharmacie, j’ai sorti mon canard plongeur qui sait trouver ma chatte et qui me picore le clito dès qu’il l’a trouvé.
J’adore ce jouet, acheté sur Internet, de là ou je suis, je vois les liasses de billets que j’ai sortis de la mallette sur notre lit.
125 billets de 200 jetés en vrac sur notre lit, c’est impressionnant pour une femme qui comme moi manque régulièrement d’argent pour satisfaire mes envies.
Les femmes honnêtes regarderaient-elles leur portable pour chercher une maison plus grande, surtout que lorsque nous l’avons quitté Igor m’a rappelé qu’il aurait rapidement du travail pour moi.
Suis-je devenue une belle salope après ce que les hommes m’ont fait subir, mais en plus du canard qui a trouvé son chemin, je me caresse les seins eux aussi si sensibles comme l’est mon clitoris ?
Je finis mon bain et je me couche, les filles mangent à la cantine, au prix que nous payons, ça leur fait un bon repas chaud, pas trop cher, depuis nos problèmes de fric avant que je devienne une pute.
Lorsque je me réveille et que je suis prête, je range mes billets et les cache dans le grenier.
Je sors, je veux voir une maison que j’ai vue sur Internet.
Elle est belle, je vais prendre rendez-vous pour la visiter dès que je le peux.
Je prends un sandwich et un café, je vois une boutique près de la table où je me suis assise.
« Tatouages et piercings. »
J’entre.
• Bonjour, j’aimerais que vous me perciez les seins pour y mettre des piercings...
Fin de la première partie.
Un ou deux petits textes et je vous proposerais la fin de l’histoire.
C’est le cas tout de même après que je l’ai sucé et qu’il m’encule à son tour alors que je viens de m’empaler sur la verge d’Igor.
En bonne élève de mon travail de pute, j’ai retenu les mots « double pénétration » qu’ils me font subir, là encore j’exagère.
Je dois plutôt dire que j’accepte pour indemniser ces deux hommes qui m’ont payé 25 000 € pour se servir de moi à leur guise.
• Ta jolie pute m’a ouvert l’appétit Stephan, si nous commentions de quoi nous substanter au roomservice, voyons ce qu’il y a à manger !
J’ai un peu mal au cul après qu’Igor m’ait dépucelé, mais c’est surtout la double pénétration mêlant début de plaisir, ce que je trouve étrange et la grosse bite de Stephan me faisant presque regretter d'avoir attendu si longtemps pour devenir sa maîtresse.
J'ai bien vu qu'il était bien monté lorsque je le suçais, ma bouche même en l’ouvrant au maximum avait du mal à le faire entrer.
Alors que dire lorsqu’il est venu derrière moi et que cherchant son chemin, j’ai senti leurs deux bites m’envoyant en l’air.
Les habitants des chambres voisines ont dû être réveillés lorsqu’ils m’ont fait hurler de plaisirs.
Je les vois s’assoir de chaque côté de la table, ou il y a une nappe et dessus une corbeille de fruits frais.
• Natacha, passe sous la table comme la bonne petite chienne que j’ai faites de toi et montres à mon copain comment tu traites mes invités pendant qu’ils mangent.
Lorsque je suis arrivée et que j’ai découvert la présence de mon patron, Igor m’a remis mon collier de chien, un nouveau genre collier étrangleur avec des anneaux métallique et des petits crochets me rentrant dans le cou dès que je déroge à ses demandes.
La laisse est elle aussi en anneaux métalliques.
Il l’a en main lorsqu’il me donne l’ordre de passer sous la table en tirant m’étranglant juste ce qu’il faut pour que j’exécute ses ordres.
Une demi-heure, je suce et je masturbe chacun d’eux pendant l’attente de la cuisson du plat que je les ai entendus commandés d’un commun accord sans pour autant me consulter.
Il est vrai que lorsqu’on a une chienne il est inutile de la consulte au moment de faire des choix, surtout lorsqu’elle a une laisse sur laquelle il suffit de tirer pour la faire obéir.
Je les entends parler des contrats que j’ai arrachés à Igor avec mes miches.
Une main passe sous la table et vient se poser sur le haut de ma tête.
Vu l’angle, c’est Stephan qui me flatte comme lorsque son maître flatte son chien, ici plutôt sa chienne.
Je me sens flattée s’il a ce geste, c’est que je suis devenue sa petite chienne chérie, je sens de nouveau ma chatte se mouiller et venir couler sur la moquette épaisse dans cet hôtel de haut luxe.
Ça frappe, « roomservice », Igor d’y d’entrer.
• Tiens mon toutou, régale-toi ?
L’autre main passe sous la nappe, alors que le garçon qui vient apporté à manger est encore là.
• Ou je signe !
Ces mots alors qu’une côtelette d’agneau arrive sur mes genoux, étant assise au sol pour me facilité ma position me brûle légèrement, mais nos jeux amoureux m’ont donné trop faim, je la dévore à pleines dents.
Il est sûr, qu’il fait cela pour montrer que je suis sous la table comme la bonne petite chienne qu’il récompense pour ses bons et loyaux services.
Vivre en chienne, on va me prendre pour une folle, mais je me fais à cette situation, surtout lorsque je sais que je vais récupérer ma mallette avec mes 25 000 € qui m’attendent au coffre de la réception.
De quoi envisager la vie que nous allons avoir, je pense, trouver une maison plus grande où mes filles auraient chacune leur chambre ce qui est loin d’être possible là où nous habitons.
Je dévore ma côtelette, dommage qu’elle soit petite, mais d’autres suivent, du moins, un peu de viande sur le manche de la côtelette, c’est Stephan qui mange les siennes et me les jette.
Ils me prennent vraiment pour un gentil toutou à ses pépères.
• Assez manger, suce-nous, on va encore profiter de toi jusqu’à demain matin, tes filles sont bien gardées, ton mari à 10 000 pieds survole l’Atlantique et toi tu dois encore gagner le fric que l’on te donne.
Si j’ignorais encore ma condition de pute, après cette tirade, nul doute, je suis devenue l’escorte de ces messieurs.
Encore quelques heures, à les sucer, les faire bander me faire prendre par où ils le désirent avant qu’Igor siffle la fin de la récré.
• Viens Natacha, je vais te déposer, j’ai ma voiture au parking de l’hôtel.
Je vais pour me diriger du lit où Igor m’a déchargé dans l’anus une dernière fois, espérant prendre une douche réparatrice, mais on m’intime l’ordre de m’habiller et de quitter la chambre conduite par mon patron.
Je reçois un dernier ordre, à tout moment je dois garder mon collier étrangleur concrétisant ma position de chienne.
À moi une nouvelle fois de trouver un motif auprès de Steve lorsqu’il sera de retour d’où me vient ce collier et surtout pourquoi je dois l’avoir toujours à mon cou, jours et nuit.
Je passe par la réception, l’employé est différent de celui que j’ai vu lorsque j’ai amené la mallette au coffre.
• Les côtelettes étaient bonnes !
À ces mots, si je doutais encore, c’est le garçon qui est venu apporter la table sur roulettes, venant du roomservice, il a compris ma présence lorsque l’on m’a jeté une côtelette.
Je le suis dans la pièce derrière le bureau, les chaussures que j’ai vues en étant sous la table sont les mêmes.
En attendant la signature du bordereau, il est certain qu’il sait que j’étais la chienne de service auprès du client de la chambre et de Stephan mon patron.
Voiture, rues et je me retrouve devant notre petit pavillon de banlieue.
• Putain, tu as ramassé, si j’avais su, j’aurais trouvé un motif au boulot pour découvrir la petite salope que tu es.
Dire que Steve doit ignorer qu’il a un diamant brut dans les mains.
C’est certain, à part me prendre à la missionnaire et simplement se contenter de décharger dans ma chatte, s’il avait eu de l’imagination, ce serait lui le premier qui m’aurait enculé.
• Je te dirais bien de me sucer une dernière fois avant que nous nous retrouvions à nos postes dans l’entreprise, mais il commence à avoir du mouvement dans ton quartier et je dois directement aller travailler pour mettre en place ce que tu as fait signer à Igor.
• Mes filles vont bientôt se réveiller et je dois les conduire à l’école surtout que tu as envoyé Steve au bout du monde et que je dois m’en occuper.
• Tu regrettes son petit voyage !
• Avec cette mallette en main, comment pourrais-je regretté ma nuit, même si j’ai quelques douleurs au cul.
• Ça va passer, j’ai enculé bon nombre des salopes que j’ai niquées, elles finissent toutes par en redemander.
Soit sans crainte, la jeune fille que l’agence t’a envoyée est à ton service jusqu’à ce que tu décides de lui dire de rentrer, elle va s’occuper de tes filles.
D’ailleurs les voilà, le vrai portrait de leur mère.
Corinne et Camille sortent suivis d’une jeune fille, Corinne montre la direction de l’école et je les vois s’éloigner.
J’ai envie de descendre pour les rejoindre et les embrasser, mais mon visage me tire lorsqu’ils ont déchargé sur mon visage et comme on l’a vu, j’ai été dans l’impossibilité d’aller me rafraichir.
• Steve sera là demain matin, prend tout ton temps, prend ta journée tu l’as bien mérité.
Débarrassé des corvées familiales et de mon mari jusqu’à demain, je suis dans notre salle de bain et je fais couler l’eau chaude à la bonne température avant de m’installer et de prendre mon bain.
Du fond de l’armoire à pharmacie, j’ai sorti mon canard plongeur qui sait trouver ma chatte et qui me picore le clito dès qu’il l’a trouvé.
J’adore ce jouet, acheté sur Internet, de là ou je suis, je vois les liasses de billets que j’ai sortis de la mallette sur notre lit.
125 billets de 200 jetés en vrac sur notre lit, c’est impressionnant pour une femme qui comme moi manque régulièrement d’argent pour satisfaire mes envies.
Les femmes honnêtes regarderaient-elles leur portable pour chercher une maison plus grande, surtout que lorsque nous l’avons quitté Igor m’a rappelé qu’il aurait rapidement du travail pour moi.
Suis-je devenue une belle salope après ce que les hommes m’ont fait subir, mais en plus du canard qui a trouvé son chemin, je me caresse les seins eux aussi si sensibles comme l’est mon clitoris ?
Je finis mon bain et je me couche, les filles mangent à la cantine, au prix que nous payons, ça leur fait un bon repas chaud, pas trop cher, depuis nos problèmes de fric avant que je devienne une pute.
Lorsque je me réveille et que je suis prête, je range mes billets et les cache dans le grenier.
Je sors, je veux voir une maison que j’ai vue sur Internet.
Elle est belle, je vais prendre rendez-vous pour la visiter dès que je le peux.
Je prends un sandwich et un café, je vois une boutique près de la table où je me suis assise.
« Tatouages et piercings. »
J’entre.
• Bonjour, j’aimerais que vous me perciez les seins pour y mettre des piercings...
Fin de la première partie.
Un ou deux petits textes et je vous proposerais la fin de l’histoire.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
il y a huit chapitre la suite demain
Dommage qu'il est pas de suite à cette histoire, car c'était une belle histoire, qui donnait plusieurs scénarios possibles sur les futures aventures de Natacha.
superbe histoire