COLLECTION COCU. Je deviens volontairement la pute de notre patron (6/8)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION COCU. Je deviens volontairement la pute de notre patron (6/8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Je deviens volontairement la pute de notre patron (6/8)
• Natacha, tu dors, je sais que je suis partie un petit peu longtemps.

Je mets quelques secondes à reposer pied sur terre, surtout que je suis dans l’avion de retour vers Paris après qu’Igor m’est fait rencontrer un émir dans son palais près de Doha au Qatar.
J’ignore quel contrat d’armement le cadeau que je semble avoir été va nous rapporter.
De mon côté je le sais, de nombreux gros billets qui arriveront directement sur mon compte en banque.
Ils vont nous aider à mener grande vie avec Steve mon mari, même si pour les gagner j’ai dû devenir la pute de Stephan mon patron.
Stephan et Igor, le premier qu’il m’a forcé à séduire, même si le pognon et la promotion pour mon mari, ont ôté une grande partie au mot « forcé. »
Ondine, oui, c’est la jeune fille que je viens de rencontrer dans mon avion de retour et qui vient de partir vers les toilettes après m’avoir appris qu’elle aussi était une escorte, une pute.
Elle s’est une pute, moi-même si je me fais payer, je sais maintenant que c’est pour le bien des ouvriers de notre patron Stephan que je vends mon corps à des investisseurs potentiels.
Je regarde ma montre en or massif, ça fait plus de trente minutes que nous avons décollé et que l’hôtesse nous a proposé une couverture.
Elle, ma montre, c’est mon premier client post Igor, qui me l’a offert à l’aéroport de Rome, ville où je m’étais rendu pour rencontrer le patron d’une grosse boîte de sports mécaniques.
J’ignore les liens entre les voitures ou motos de course et les fusils mitrailleurs ou tanks que nos pièces anodines permettent de fabriquer, mais comme ces à ça qu’elles servent, il doit bien y en avoir une.
Contrairement à la rivière de diamants, je l’ai gardé, la montre, car elle est magnifique et elle renforce mon personnage de femme prêt à tous pour que ces contrats soient signés.
La rivière, je préfère qu’elle coule en beaux billets que dans un coffre à attendre une occasion de les mettre autour de mon cou ou j’ai déjà mon collier de chien étrangleur qui a permis à Ondine de voir que moi aussi j’étais soumise.

Ondine prend place sur son siège après m’avoir passé sa chatte à hauteur des yeux.
Une tache me montre qu’elle a dû se faire baiser, nul doute, c’est du sperme.
Lorsqu’elle est passée devant moi pour se rendre à l’arrière de l’avion, cette tache je l’aurais vue et pourtant c’est loin d’avoir été le cas.
Depuis que j’ai cédé à Stephan puis à Igor, cette substance un peu visqueuse qui est sortie de la bite de mes amants, j’ai appris à la connaitre, surtout lorsqu’ils prennent ma bouche pour un réceptacle.
Ondine de nouveau installée a mis la couverture devant nous et se penche à mon oreille pour éviter que nos voisins puissent entendre ses propos.

• Fredy, mon client, qui est plusieurs rangs après nous, vient de me baiser dans les toilettes.
Peux-tu passer ta main entre mon sein et mon soutien gorge, c’est là que je les aie mis, sors-les !

Ma main dans la culotte d’un zouave, je m’égare, ma main glisse sur sa poitrine et en plus de son sein que j’ai tendance à caresser plus que de raison, je sens du papier.
Papier monnaies lorsque ma main sort des billets, je les compte, cinq de cent.

• Je t’explique, je sortais des toilettes, ayant fait mon pipi après la peur du décollage même si ta main m’a bien aidé, il était là m’attendant.
Il m’a repoussé dans ce petit réduit et à commencer à m’embrasser.
Mon instinct a repris le dessus une fois la stupeur passée.
Je lui ai dit qu’il m’avait payé pendant le congrès, mais que s’il voulait me baiser, il me fallait une rallonge.
Il a sorti de sa poche intérieure de sa veste une grosse liasse de billets, des gros violets de 500, je sais reconnaitre leur couleur et aussi des jaunes de 200 et enfin des verts de 100.
Il devait avoir trois ou quatre mille euros sur lui, en voilà 500, tu les as dans la main et tu te doutes malgré l’espace restreint ce que nous avons fait jusqu’à ce qu’il décharge et que discrètement nous ressortions pour rejoindre nos places.

J’ai connu des salopes, depuis que j’ai accepté d’avoir mon collier étrangleur, marque de soumission à Stephan et Igor, j’en suis même une.
Mais de là à baiser les fesses en l’air comme le dit Dutronc dans sa chanson, il faut déjà être vicieux.

• Tu peux remettre ta main, mon sein a aimé.

Sa bouche est si près de mon oreille.
Les voisins ou regardent le film sur le dossier de devant, ou dorment comme nous devrions le faire.
Ma main lui ayant rendu ses billets qu’elle prend le temps de les remettre dans son sac repart à l’aventure bien cachée par la couverture et pour la première fois de ma vie, je le caresse en embrassant ses lèvres.
Ma soif de vie et surtout de dépenses m’entraine vers un nouveau terrain celui des aventures féminines, c’est doux, c’est tendre surtout lorsque la main d’Ondine se pose sur ma jambe gainée de soie.
Depuis que je suis pute et pour le plus grand plaisir de mon amant et patron, je m’habille femme du monde avec porte-jarretelles et des bas de soie, mais toujours très sexy.
Mes voyages forment la jeunesse comme ont dit, mais aussi ma garde robe.
Dès mon retour et surtout après qu’Igor est vendu mes diamants, je connais déjà la boutique où il y a un joli petit ensemble avec sac et chaussures, hors de prix mais que j’aurais plaisir à m’offrir.

• Tu mouilles salope, ton client a du bien s’amuser avec une catin comme toi, j’aimerais te bouffer la chatte, tu viens aux toilettes !

Sa main a glissé sous ma jupe et me caresse, c’est divin et en plus ça me détend du stress du voyage en avion.
Ma main libre, vient saisir sa main, non, pas pour la retirer, mais pour que ses doigts restent à caresser mon clito.
Non, je ferme mes yeux, pour mieux savourer le plaisir qui monte en moi et qu’il me faut cacher à nos voisins tellement d’un coup j’ai envie de hurler mon plaisir.

• Tu te rases belle enfant, je sens ta peau toute douce là où on s’attendrait à y trouver des poils !

Ondine à raison, mais inutile de me raser régulièrement.
Je me suis rendue dans une clinique de soins esthétique, je me suis fait traiter au laser. Maintenant, je suis tranquille avec ma pilosité, avant j’avais un vrai tablier de sapeur alors que dès que je glisse ma main sous la jupe d’Ondine, elle garde une petite touffe je pense blonde car ses cheveux semblent naturels.
Ma jolie petite pute à qui j’ai envie de lui dévorer la bouche, mais que la pudeur m’empêche de le faire dans cet avion, mouille mais sans pour autant faire baigner mes doigts dans une rivière de foutre.
Fred son client a dû employer une capote, comme moi je le fais avec mes rencontres d’un moment, de quelques heures ou comme présentement quelques jours.
Ramener des saloperies à la maison, ça foutrait ma vie en l’air alors que je suis très satisfaite des tournures qu’elle a prise après que je sois allée demander une avance sur salaire à Stephan.
C’est les yeux dans les yeux que nous exacerbons nos clitos l’une l’autre, je sens que je coule, je vais tacher mon siège, mais qu’importe cette expérience resterai à jamais dans ma mémoire et Ondine aussi.
Sept heures, c’est long, mais nous sommes à vingt minutes de nous poser en France, nous replions la couverture, barrage à nos turpitudes et m’étant excusé, je me dirige vers les toilettes.
Le client d’Ondine me dévisage avec insistance, je me soulage, je passe du papier toilettes sur ma chatte éliminant par là-même les coulures de cyprine avant de retourner vers mon siège.
Nous finissons le voyage main dans la main, par peur, non par envie de nous retrouver uni encore qu’elles instants.
Nous sommes posés sans encombre et nous avons débarqué, je vois celui qu’Ondine a appelé Fred prendre sa valise, juste avant la mienne et de l’autre côté de celle de mon amie.
Celle dans laquelle il y a le livre qui semble avoir intrigué l’employé à Doha.
Je fais un geste vers ma valise, mais galant homme, il m’aide à m’en saisir, une idée me vient, un peu folle je l’avoue mais une idée tout de même.

• Ondine, as-tu encore un peu de temps à me consacrer, il me vient une idée ?
• Bien sur Natacha, j’ai tout mon temps, pourquoi ?
• Et vous, beau ténébreux, je sais que vous baiser avec Ondine, mais à trois dans cet hôtel devant nous, accepteriez-vous et combien seriez-vous capable de mettre pour baiser une dernière fois avec deux putes, avant de retrouver votre femme ?
• 500 chacune et jusqu’à 21 heures après je prends des risques.
• 500 vous êtes loin d’être généreux, dommage Ondine, nous irons toutes seules satisfaire nos chattes dans cette chambre que nous allons prendre toutes les deux.
• Combien, voulez-vous, Ondine a vue que j’avais du liquide sur moi, j’en ai toujours lorsque je vais à l’étranger, ça évite le change et ça permet de me payer des opportunités comme celle que vous me proposez.
• 1 000 chacune et tu payes la chambre !
• D’accord, à vos conditions, j’ai toujours rêvé de voir réellement deux femmes ensemble pendant que je les baiserais, alors Natacha, permettez que je pousse votre valise.

Je prends la main d’Ondine, elle me sert les doigts me montrant sa satisfaction de gagner encore quelques pépettes non prévus dans son plan de baise au Qatar.
Rapidement nous sommes dans une chambre, peu importe comment elle est faite.
Le lit et la salle d’eau pour nous rafraichir après nous intéressent.
Un siège aussi, après que Fred nous ait donné nos mille de plus qui vont me servir pour me payer un ensemble supplémentaire lorsque je les range dans mon sac à main.

• Fred reste assis, je veux commencer par te faire voir quelles salopes tu viens de te payer pour finir notre voyage dans ces pays chauds.

Je dénude Ondine qui en fait de même, je me garde bien de dire et à Ondine et à Fred que cette chatte que je sens sur mes lèvres dégoulinant de cyprine est la première que j’honore depuis que ma sexualité s’est rappelée à mon bon souvenir.
Ondine en fait de même avec moi en 69, Fred nous regardant nous aimer après l’attente de nos caresses dans l’avion.
Fred baisse et ôte son pantalon et sa chemise me montrant le bel homme qui vient de me donner deux violets de 500 et autant à ma compagne de siège d’avions.

• Veux-tu une capote ?
• C’est très beau mes salopes, pour la capote c’est non, j’en ai toujours quelques pièces dans ma veste lorsque je voyage.
• Viens vers moi, je vais te la poser avec ma bouche, simplement à nous regarder tu bandes déjà...

Les avis des lecteurs

Merci aux uns et aux autres...

Histoire Erotique
Ohhhh comme c'est beau 😍😍😍
Merci Chris

trop bien



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Histoire sexe : Une rose rouge
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