COLLECTION COCU. L’associé de mon mari, cocu heureux. La suite (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION COCU. L’associé de mon mari, cocu heureux. La suite (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-12-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION COCU. L’associé de mon mari, cocu heureux. La suite (1/1)
• Chéri, merci pour ton colis avec le portable pré-payé, caché à l’intérieur.
Si je t’appelle c’est, car cela a marché.
Enfin, nous allons reprendre nos après-midi au téléphone, ça me manquait.
Cinq ans de frustration depuis que j’ai surpris Alexandre étant en train de te violer et que j’ai réussi à prendre un de mes clubs de golf dans mon sac près de la porte d’entrée.

Je m’appelle Jennifer la femme de Jean, j’avais un amant Alexandre l’associé de mon mari.
Nous profitions de jeudi de débauche faisant croire à mon mari, qui avait été mal servi par la nature, que je remplaçais son petit sexe par un gode.
En réalité pendant qu’il était à son bureau, Alexandre lui faisant croire qu’il allait chez des clients et se retrouvait dans notre lit conjugal.
J’ai vite pris l’habitude de tromper celui à qui j’avais juré fidélité allant même jusqu’à faire des enfants avec mon amant.
Alexandre était un vrai coucou, il me baisait et c’est son copain qui élevait ses progénitures.
Pour moi, je faisais deux coups en un, avec la grosse verge de mon amant et le sperme qui me fécondait, la petite bite de mon mari étant dans l’incapacité d’entrer assez loin en moi.
Je vais vous faire une confidence, celle que j’ai oubliée de faire au juge qui a instruit l’affaire de meurtre de Jean et qui lui vaut dix ans de prison.
Lorsque je l’ai vu grâce à une glace me montrant notre couloir et la porte d’entrée s’ouvrir, j’ai crié au viol alors que j’avais un énième orgasme et qu’Alexandre déchargeait en moi.
Mon amant croyant que c’était un nouveau jeu pour moi, m’a même dit.

• Salope, tu aimes que je te baise et comme la petite queue de ton mari est dans l’impossibilité de te satisfaire, j’aime te violer.

Au procès, c’est Jean qui l’a répété, comme il l’avait fait à la juge d’instruction qui a instruit son affaire.
J’ai voulu me dédouaner lui faisant croire à un viol sans penser que dans notre entrée Jean avait son sac de golf.
Le coup de club fer 5 qu’il lui a asséné, lui a éclaté le crâne, le tuant sur le coup.
Un joli swing, mieux que ceux que nous faisions chaque dimanche matin même sous la pluie.

• Reconnaissez-vous ce fer pris dans votre sac près de l’entrée et que la police a retrouvé dans vos mains ?
• Oui, c’est celui que j’ai pris avant de fracasser la tête de mon pote se disant mon ami, qui violait impunément ma pauvre femme, j’ai vu rouge.
• Madame, la juge, monsieur Jean a vu rouge, mais regarez, sur ce club fer 5, pièce à conviction numéro 1, ce sont les cheveux et le sang de ce pauvre garçon qui l’ont rougi.

Jean, à cause de cette pièce à conviction, en a pris pour dix ans, car le jury populaire a considéré que tuer mon amant avec un fer 5 était une attaque disproportionnée.
Alexandra est née neuf mois plus tard, le coup reçu ayant propulsé le sperme d’Alexandre au fond de mon vagin et qui a percuté mon utérus, mes ovaires et ses spermatozoïdes m’ont fécondé.
Un peu comme le pendu qui bande et éjacule une dernière fois lorsque la corde lui sert le quiqui.
Je sais, Alexandre m’avait déjà donné Louis.
Au parloir alors que mon ventre s’arrondissait, j’ai réussi à faire croire à Jean qu’elle était de lui.
Il voulait qu’elle s’appelle Louison dès que je lui ai dit que c’était une fille.
J’ai tenu bon et en mémoire de son père, à l’état civil lorsque je l’ai déclaré, j’ai dit qu’elle s’appelait Alexandra, un peu en mémoire de son père.
Ironie du sort, ce sont tous les jeudis que je me rends au parloir voire celui qui pense toujours m’avoir sauvé d’un viol.
Il était con et cocu avant et encore plus depuis qu’il est incarcéré.

• Ma chérie écarte bien tes jambes que je te bouffe ta chatte.

Oui, c’est avec Marie, la juge d’instruction de l’affaire de mon mari que je continue ma vie.
J’avais eu une expérience lesbienne avec Susy, une copine de lycée avant de » rencontrer Jean et de l’épouser.
Lorsque Marie pour compléter son dossier m’a vu, nous avons eu ce que l’on appelle un coup de foudre.
C’est lors de ma troisième visite au palais qu’elle m’a proposé, hors de tout cadre légal, de dîner avec moi.
J’étais arrivée après mon travail et il faisait nuit lorsqu’il a été le moment de rentrer chacune chez soi.
Resto entre deux femmes et retour chez moi, je m’arrondissais déjà et Marie, aimais cette période, car elle rêvait d’enfants, mais les godes que je lui enfilais étaient dans l’impossibilité de la féconder.
Le plus drôle dans tout cela, c’est que j’avais récupéré les clubs de golf, sans la pièce à conviction numéro 1 et je les remis à leur place près de l’entrée.
Le fer 5 se trouve présentement dans les caves du palais de justice dans la pièce des pièces à conviction.
Marie y va de temps en temps pour diverses affaires, entre deux léchages de nos vagins, elle m’a dit que c’était la caverne d’Ali Baba.
On y trouve de tous, même des pétards ou des barrettes de shit, il lui arrive d’en faire disparaitre quelques-unes pour son usage personnel.
Un autre moment insolite, pour faire plus vrai auprès de Jean, c’est ensemble avec Alexandre que nous avions commandé le godemichet qui se mettait dans une ceinture pour nos jeudis coquins.

Marie adore que je la prenne en levrette, lui enfonçant au plus profond de son vagin, sans qu’elle le sache l’objet censé me donner du plaisir.
Chaque fois que c’est elle qui m’enfile avec, j’ai un regard dans la glace qui m’a sauvé de mon adultère.
Surtout que je sais que mon mari est bien au chaud au fond de sa cellule.
Je vais être franche, j’aurais pu le dédouaner devant Marie, en répondant à certaines de ses questions dans une autre direction que celle qui l’a fait condamner.
Je connais une autre femme se faisant appeler La chipie, je suis sûr que si elle savait tout ce que j’ai pu mentir, elle dirait que je suis une fieffée salope.
La chipie, c’est un peu dommage, je suis trop loin d’elle, elle est dans le sud et moi dans le nord, car sans me le dire, elle semble, elle aussi une fieffée salope.
Je me verrais bien tromper Marie avec elle, dans les contacts que j’ai avec elle, elle aussi doit être une salope de première.
J’ai un regret, la verge grosse et noueuse d’Alexandre, lorsque Marie me sodomise, elle adore me sodomiser lorsque je suis en levrette.
Mais à choisir, cette dernière devant sécher dans sa tombe, le gode est un engin de remplacement certes mieux que les trois centimètres que me proposait Jean.

• Bonjour, je viens vous apporter un colis pour Noël !
• Entrez, je vais aller vous chercher quelques pièces de monnaie.

C’est un peu la conversation que j’ai eue avec Rodolphe le jeune livreur en survêtement.
Hélas, ce matin, j’oublie que Marie me l’a emprunté pour payer le pain, c’est moi qui lui ai donné, j’avais trop de monnaie.
Je me souviens que j’ai dit regretté la verge d’Alexandre, il me reste une proposition à faire à mon livreur pour le remercier d’avoir monté six étages.

• Jeune homme, j’aurais bien voulu vous donner une petite pièce, mais mon amie est partie avec mon porte-monnaie.
Si vous avez cinq minutes, je vous propose de vous sucer, ça me ferait bien plaisir.

Je sais La Chipie, même une petite sucette, tu aimerais que je lui fasse mettre une capote.
Il faut toujours que tu sois pressée !

• Mon dieu, tu es monté comme un taureau, la sucer, c'est bien, mais l’avoir dans ma chatte, ce sera mieux, viens dans ma chambre.

Ça fait deux mois que je baise avec Aurélien, c’est le nom que sa maman lui a donné.
Ça fait deux mois, qu’il me prend comme une bête, sans que Marie soit au courant.
Ça fait deux mois que mon amant met les capotes que j’avais achetées au début de mes relations avec Alexandre.
La Chipie, tu es satisfaite, je baise avec protection.

• Aurélien aujourd’hui on va épicer nos jeux.
Mon mari est en voyage d’affaires, il va m’appeler sur mon portable, tu vois ce gode sur ma table de nuit.
Nous allons lui faire croire que je joue avec alors que ce sera toi qui me défonceras.
Tu me baises sans un mot.

Voilà, j’ai retrouvé mes moments de bonheur.
Alexandre semble sorti de son cercueil.
Il me prend en levrette, mon dieu qu’une vraie bote est bonne, mieux que ce gode.
C’est à ce moment que je vois dans la glace la porte de l’appartement s’ouvrir et Marie entrer.
Elle entend les râles de ma jouissance montant en moi.

• Marie vient vite m’aider, ce livreur est en train de me violer.

Ça a marché une fois pourquoi pas deux ?
Je vois Marie prendre un club de golf, sans être certaine, le fer 5 que j’ai racheté.
Avec Marie, nous allons faire un parcours tous les dimanches pour entretenir notre forme.
Elle entre dans notre chambre, amorce son swing et frapp...

C’est de mon cercueil que je vous envoie ce message, ça a marché une fois, mais pas deux.
Pendant que j’y pense avant que mon esprit finisse par me quitter, bon Noël à tous et principalement pour La Chipie.
Mais bien sûr bon Noël aussi à Wafae...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Ah voilà une bonne rigolade...
Merci Chris

Cyrille

Histoire Libertine
C’était la chipie et je persiste merci Chris.

Histoire Erotique
Elles est très drôle cette petite nouvelle... Je me suis mise a rire. Merci

Non merci à vous chère lectrice d'aimer ce que j'écris...

Histoire Libertine
Merci Chris.



Texte coquin : COLLECTION COCU. L’associé de mon mari, cocu heureux. La suite (1/1)
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