COLLECTION COCU. La femme de l’entraîneur des U18 (1/3) - histoire érotique

Merde, quelle heure est-il, c’est vrai la pendule que nous avons achetée dans le Jura avec Ludivine, se trouve derrière moi.
Pour la voir, il me faut tourner la tête, mais ma tête, si je la bouge, elle va exploser, quelle cuite.
Comment me suis-je retrouvé sur mon canapé, mes gars ont dû me porter ?
Seize gars, tous plus virils les uns que les autres.
Seize gars que j’ai vus changés tout au long de la saison débutée en septembre et jusqu’à ce jour.
J’ai vu ces gringalets avoir de la barbe qui a commencé à leur pousser.
Aujourd’hui, ils sont devenus de vrais hommes.
Pour leur montrer l’exemple, lorsque, l’entraînement se terminait, je me mettais nu et allais sous les douches.
J’en vois certains qui vont couper.
Les histoires « Entre-nous les hommes » en tant que mâle dominant, je les laisse à d’autres.
Non, c’est une histoire vraie de cocufiage entre des hommes et des femmes.
À ce moment de mon récit, il est trop tôt pour parler de cocufiage.
J’ai simplement mal à la tête quand notre carillon sonne les onze coups pour les onze heures, encore du matin.
Quel a été le début de cette soirée mémorable ?
À oui, champion de Bourgogne - Franche-comté, catégorie U18 pour la première fois pour notre petite ville !
Ça fait dix ans que ces putains de Rhône-Alpes Auvergne l’emportaient.
La coupe est là, c’est nous qui l’avons cette année, ma vue s’améliorant, elle est devant moi sur la table de notre salon.
Merde que le temps m’a paru long !
J’avais doublé mes postes défensifs, match nul zéro à zéro, à la fin du temps réglementaire et des prolongations.
Nous devions être les deuxièmes à tirer les pénaltys.
J’avais donné des ordres précis.

• Corentin, quand Benoît leur meilleur joueur tirera son penot, il te regardera.
Il aura un mouvement des yeux pour te faire croire qu’il va tirer à droite, son cerveau est si rapide qu’il tirera à gauche. »

C’est le conseil que j’ai donné à Corentin notre gardien après avoir visionné les cassettes de nos dernières défaites et aussi d’autres contre d’autres adversaires !
L’étude des vidéos est primordiale dans mon milieu, c’est le seul moyen de s’améliorer en plus des entrainements de plus en plus poussés.
Mouvement des yeux, il tire à droite, Corentin arrête.

• Merci coach de m’avoir parlé de ses yeux.
C’est bien vu de savoir comment il ferait, ses yeux ont eu un mouvement vers la gauche, j’ai plongé à droite sans réfléchir.
• Sylvain, tu es capitaine, tu tires tu marques et nous niquons ces futurs pros et nous emportons la coupe.

Sylvain tire au centre, le gardien reste sans bouger, il a les jambes légèrement écartées, petit pont sur pénalty à nous la coupe.
Ça, c’était il y a quinze jours, ce samedi soir, pour les récompenser, je leur ai organisé un barbecue dans le jardin de la villa que le club me fournit avec Ludivine ma femme.

J’ai presque quarante ans, Ludivine vingt-six, c’est mon deuxième mariage, je veux tout faire pour le réussir.
Entraîneur depuis quatre ans, tous m’appellent Coach, même ma femme.
J’entraînais l’équipe féminine du patelin voisin, c’était ma capitaine, nous avons fini troisième du championnat, moi premier à la coucher dans mon lit.
Elle était pucelle et faisait baver tous les jeunes mâles de la région.
Ils tournaient autour d’elle comme une meute de chiens sentant la femelle en chaleur.
Ils ont essayé de courir vite, j’ai couru plus vite que ces jeunes blancs becs.

Hier, dès le début de soirée, Victor, le préposé à la pompe à bière, prêté par le club m’a servi verre sur verre.
Tous voulaient trinquer avec moi et ma femme.
Il faisait chaud, le liquide frais coulait dans nos gorges de façon divine, surtout que je tenais le barbecue et les merguez ça donne soif.
Et puis rideau, je me réveille sur ce canapé avec un mal de tête carabiné.
Je me lève et en titubant légèrement je me dirige vers la cuisine.
Les cadavres et le reste des merguez que ces garçons dans la force de l’âge ont laissés sont sur la table.
Je regarde par la fenêtre, des verres en plastique jonche ma pelouse, je vais avoir un gros travail pour nettoyer tout cela.
Je trouve l’aspirine que Ludivine prend quand elle a ses règles.
J’en prends deux de 1000 avec une tasse de café que j’arrive à me faire couler, grâce à ma machine en grains.
Je semble être seul dans la maison, où vais-je trouver Ludivine ?
Suis-je bête, mes joueurs partis, elle doit être couchée au premier dans notre chambre ?
Si j’étais sur notre canapé c’est qu’elle a dû être dans l’impossibilité de me faire aller plus loin avec cet escalier à monter.
Je monte me tenant à la rampe, je suis encore un peu château branlant.
Elle est là, son joli cul tourné vers moi.
À cause de la chaleur, le drap qui la recouvrait a légèrement glissé.
Avant d’aller la caresser, je veux faire disparaître le flou qui barre mes yeux, je vais prendre une douche très froide.
Deux avantages, ma tête et mon corps redescendent à une température supportable.

• Mon amour, tu m’excuseras, ce dimanche matin, pas de croissant, je viens de me réveiller avec une gueule de bois carabinée.
• Tu as presque but un fût de bière à toi tout seul, tu as fini par t’écrouler.
Avant tu voulais danser avec moi, tu étais pendu à mon cou.
Sylvain m’a aidé à te coucher sur le canapé et la soirée s'est terminée, j’ai réussi à les faire partir non sans mal.

Je m’appelle Ludivine, j’ai épousé notre coach qui entrainait l’équipe féminine de la ville voisine, j’ai vingt-six ans.
Mon mari que tout, même moi, appelons Coach, m’a dragué puis emmené devant monsieur le maire.
Il a quarante ans, mais très vert.
Cette année, il a eu une proposition de la petite ville voisine d’entrainer les mâles U18.
Pourquoi les catégories jeunes de ma jeunesse s’appelant, poussins, minimes, cadets, juniors ont été replacés par des U14, U15, etc ?
Encore une décision pour se rapprocher de l’Europe, « Under », « en dessous de » en français.
En dessous de quatorze ans, quinze ans, etc jusqu’au U18 de grands dadais tout justes sortis de l’adolescence.

Coach a souhaité que je vienne voir le premier match de son équipe.
Il voulait mon œil d’experte pour lui dire ce qu’il devait améliorer.
J’y suis allée, c’est l’œil d’un de ses garçons plus jeune que moi que j’ai remarqué, bleu nuit, un regard qui vous transperce.
Sylvain est le meilleur joueur de son équipe et le frère de Géraldine, une de mes copines de jeunesse du temps où nous faisions de la gymnastique elle et moi.
J’ai suggéré à Coach de lui donner le capitanat.
Capitanat pour lui, amant pour moi.
Coach a une entreprise qui lui prend du temps, mais pas assez pour trouver un créneau pour entrainer ces jeunes.
Moi dans le même temps, je suis au chômage.
Il voudrait que j’aille travailler avec lui dans notre entreprise.
Moi jamais, avoir son homme au pieu et dans un bureau à son travail me stresserait, c’est un coup à divorcer.
C’est pendant les vacances de la Toussaint, que j’ai craquées avec Sylvain aux yeux bleu nuit.
Il faisait un temps de Toussaint, avec un froid de canard, Sylvain est venu rapporter les clefs des vestiaires.

• Entre, il fait un froid à fendre les pierres !
La chaleur va sortir, pense aux économies d’énergie !
J’allais prendre un café, veux-tu que je t’en offre un ?

Il a pris le café à planter ses yeux dans les miens.
J’étais en peignoir venant de me lever.
J’ai eu un moment de faiblesse et je me suis laissé embrasser.
Quelques minutes après, je l’entrainais sur notre canapé et son sexe, que j’avais sorti de son pantalon de survêtement, s'est retrouvé dans mon vagin.
Sylvain est jeune, mais contrairement à Coach, il sait déjà s'y faire avec les femmes. Son sexe allait en moi lentement, puis plus vite, à toute allure avant de reprendre un rythme plus lent.
Il me caressait les seins où me les léchait, chose que mon mari oublie de me faire.
Audrey, notre gardienne de but, m'a ouverte à la sexualité.
Elle me léchait la chatte, j’en faisais de même, nous frottions nos clitos nos jambes entremêlées.
Mais ce que je préférais c'était la manière dont elle s’occupait de mes seins, tout en douceur, j’aime la rudesse et mais j’apprécie la douceur de ces caresses féminines.
J’aurais pu finir gougnotte, mais deux faits simultanés se sont produits.
Elle était infidèle et a jeté son dévolu sur Carinne, notre défenderesse gauche.
Coach m’a pris mon pucelage et mis une bague à mon annulaire gauche.
Jusqu’à aujourd’hui, je lui suis restée fidèle.
Cette trahison a été suivie de bien d’autres, nous baisions avec Sylvain chaque fois que l’occasion se présentait.
Un jour je suis allée chercher Coach à leur vestiaire.
Sylvain remplissait des papiers.
Il m’a pris dans ses bras, avec tous les risques.
J’ai soulevé ma jupe et je me suis appuyée sur le bureau, il a sorti sa queue.
J’avais l’habitude de le sucer, mais présentement le temps nous était compté.
Il m’a planté directement écartant simplement ma culotte et mes grandes lèvres.
La porte s'est ouverte, nous étions pris.

• Vous êtes fous, Coach range le matériel, il m’a demandé de déposer sa tablette où il met ses notes sur son bureau.

C’était Luc l’un des milieux de terrain qui venait de rentrer.

• Dis-moi, t’es gonflé Sylvain, la femme du coach, c’est une salope !

Malheur, pas mon sein, je suis si sensible.
Le lendemain, ils venaient tous les deux chez moi, nous avons fait l’amour à trois.
J’étais vierge de mon anus, j’avais perdu ce pucelage quand ils sont repartis.
Ils ont fini par me prendre en double pénétration.
Des garçons de cet âge aiment parler de leur conquête, c’est ainsi que je me suis trouvée à organiser un barbecue pour tous les garçons quand ils ont gagné la coupe.

• Ludivine, on te promet une surprise si tu arrives à nous organiser une soirée chez toi avec le coach bien sûr.

C’est moi qui ai suggéré à Coach d’organiser un barbecue avec tous ses joueurs.
Il a trouvé l’idée sympa et nous avons tout mis en place.

Je m’appelle Sylvain !
C’est moi qui ai marqué mon tir au but, nous permettant de gagner la coupe inter-région contre l’équipe de Rhône Alpes invaincue depuis dix ans.
Un matin, je suis devenue l’amant de Ludivine, la femme du coach.
Il faut dire qu’il y a une grande différence d’âge entre eux.
L’écart avec cette femme et moi, est plus réduit qu’entre les deux éléments du couple.
La première fois je l’ai baisé chez elle en ramenant les clefs des vestiaires.
Elle baisait comme une reine, un jour, j’ai pris des risques.
Je l’ai sauté dans le bureau du coach au stade quand Luc un joueur de l’équipe est entré nous trouvant dans une situation sans aucune ambiguïté, ma queue était au fond de la chatte de cette salope.
Nous sommes repartis ensemble lui et moi.
Il était vierge et voulait, lui aussi sa part du morceau de reine que constituait Ludivine.
Il menaçait de prévenir son mari.
Elle me faisait confiance, elle a accepté de se coucher sous sa bite.
J’ignore si elle s’était déjà fait enculer !
Ce qui est certain, c’est que lorsque nous l’avons quitté, Luc était un homme, Ludivine s’était fait enculer, et j'étais devenu un sodomite.

Je vous ai dit m’appeler Ludivine, au lendemain matin du barbecue avec les joueurs de l’équipe de foot coaché par mon mari, il est venu me réveiller.
J’avais passé une nuit comme nul autre, mais craignant son réveil, j’avais tout fait pour que les moments de débauches que j’avais vécus lui soient à jamais cachés.
Une semaine se passe, mon portable sonne, c’est un message écrit avec vidéo.

• Salope, tu veux éviter que ton mari reçoive cette petite vidéo.
Rendez-vous à la clairière dans la forêt, demain 14 heures.
Je sais que tu connais, une autre voiture sera là, le conducteur te baisera sur le capot.

Sur cette vidéo, je suis dans ma chambre, j’ai la bite de Sylvain dans ma bouche.
Adrien un des autres joueurs me prend en levrette.
Sylvain me gicle dans la bouche, libérant mon cri de jouissance.
Qui a pu prendre cette vidéo, je suis piégée…