COLLECTION COCU. La femme de l’entraîneur des U18 (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. La femme de l’entraîneur des U18 (3/3)
Qu’elle peut être cette voix qui m’interpelle, une voix féminine ?
La femme qui la prononce, m’est inconnue, pourtant, j’ai l’impression de la connaitre, oui la coiffure !
Cheveux blonds, de grandes boucles blondes, mais portées avec de grandes lunettes blanches.
Cette jolie femme porte un tailleur écru et des chaussures élégantes à talons mi-hauts.
• Qui êtes-vous, c’est vous qui êtes mon maître chanteur ?
• Réveille-toi, Ludivine, regarde-moi et je suis sûr que tu te souviendras de moi, si tu le désir, je peux te prêter mes lunettes !
L’air, mais aussi la voix, je finis par trouver qui est cette femme.
• Tu es Gwendeline, la sœur de Sylvain, es-tu de retour ?
• Oui, Sylvain ton amant, mais de quoi me parles-tu en me traitant de maître chanteur ?
J’ai reçu un message de mon frère pour une surprise m’attendant dans cette salle, je devais passer par l’entrée de la cuisine.
Je suis venue, car c’est mon anniversaire et je pensais qu’il avait organisé une soirée dans cette salle.
J’ai pensé que j’avais raison lorsque j’ai entendu la musique.
J’allais franchir la porte de la cuisine pour entrer dans cette salle, lorsque je t’ai vu essayer de faire de la gymnastique, surtout nue.
Mais pourquoi me traites-tu de maître chanteur ?
Comme je vois qu’elle sait pour son frère, je joue cartes sur table et je lui explique mon parcours jusqu’à mon arrivée dans cette salle.
Elle éclate de rire et fait une chose très surprenante pour moi.
Je me suis assise sur un tas de tapis de sol, un peu cramé de ce que le message me demandait de faire.
• Je vais, moi aussi, voir si j’ai encore qu’elles restent du temps où je te mettais la honte.
Soit rassurée, je suis revenue quelquefois voir mes parents et mon frère après l’aventure dont tu as dû avoir l’écho.
J’évitais de me faire reconnaitre, mais je t’ai vu faire avec tes pieds ce que je suis dans l’impossibilité de faire, même avec mes mains.
Chacun son truc, toi c’est le foot et moi c’était la gym.
Elle commence à ôter un à un ses vêtements se retrouvant dans la même tenue que moi.
• Tu as osé faire ce que j’ai toujours voulu faire, la gymnastique nue !
Elle s’élance vers la poutre, ses fesses dodelinant de droite et de gauches, mais sans la moindre trace de cellulite.
Nous, les femmes approchant de la trentaine, nous devons faire attention à ce qui peut paraître un détail.
Je m’appelle Gwendeline, dans mon adolescence, j’ai connu Ludivine, nous partagions le même vestiaire et en tant que fille, comme peuvent le faire les garçons, nous partagions les mêmes douches.
Je m’éveillais à la sexualité et comme l’on dit, qui aime bien, châtie bien.
Un jour, je venais de la battre de nouveau et je venais d’enlever mon juste au corps pour aller me doucher.
Il y avait une glace dans le vestiaire et malgré la buer, j’ai vu Ludivine prendre mon voile de tissus et porter mon entrejambe à son nez.
J’étais aux anges, je sentais que j’étais attiré par mon sexe plus que par ces garçons qui commençaient à faire les coqs autour de nous.
Lorsqu’elle m’a rejoint dans les douches, aussi nue que moi, j’ai vu qu’elle était un peu en avance dans ce que maman m’avait dit ma transformation.
Elle commençait à avoir des petits seins fripons commençant à pointer et des poils sur ce que j’appelais sa minette, nos minettes.
Aujourd’hui, le jour de mes vingt-sept ans, je parle plus simplement de chattes, de cons, de vagins que ce mot enfantin « minette ».
La saison se terminait et nous étions aux portes des vacances de printemps.
Je pensais pouvoir faire comprendre à Ludivine, que si elle aimait l’odeur que ma minette avait posée sur l’entrejambe de mon juste au corps, il lui était possible de goûter à ma source.
C’est là que j’ai appris que Ludivine arrêtait la gym pour s’inscrire au club de foot.
Dès la reprise de la saison, j’ai été entraîné par notre entraîneur et deux de mes copines dans ce qui finira par être le scandale de notre cité.
• Les filles, vous êtes doué toutes les trois, voulez-vous avoir une chance d’intégrer l’équipe de France ?
Cette proposition allait accélérer certaines connaissances de ce que j’avais pour les garçons.
Lorsque la femme du moniteur de gym nous a surpris les mains dans les braguettes de trois vieux messieurs, le scandale a éclaté.
Les journaux ont parlé de pénétration, de fellations, mais je sais que j’ai dû me contenter de passer ma main dans leur braguette et de les masturber jusqu’à ce qu’un jus poisseux arrose nos mains.
Certes, Yolande la femme de l’entraîneur nous a surpris les hommes avachis calés au fond de leurs fauteuils, nous à leurs pieds, nus.
Elle était rentrée plus tôt pour faire une surprise à son mari.
Avec l’expérience de ma vie depuis, je pense qu’après la masturbation, la fellation et la pénétration auront été notre lot, mais le scandale a tout arrêté.
J’étais une pestiférée, car certaines rumeurs ont couru que c’était nous les jeunes filles qui avions provoqué ces vieux messieurs.
Ma carrière en équipe de France, c’est trouvé avorté et mes parents m’ont envoyé chez ma tante à Paris, la sœur de maman étant coiffeuse.
J’ai été à l’école jusqu’à seize ans et après j’ai commencé comme shampooineuse chez Tata Pauline.
C’est Sylvana sa première coiffeuse qui m’a appris la coupe en même temps qu’elle m’a fait découvrir les plaisirs féminins.
À ce jour et à jamais, je suis vierge de tous sexes masculins, mais je connais par cœur, comment satisfaire une femme.
Sylvana m’a fait connaître un bar à gouine parisien.
Je parle de gouine alors que dans le milieu lesbien, ce mot nous le haïssons.
Comme je l’ai dit, à Ludivine, c’est incognito que je suis revenue dans notre cité et que je voyais celle qui était devenue l’amant de mon frère cocufier son mari.
Et voilà que je reçois ce message, me demandant de venir dans ce gymnase.
J’allais vers la poutre lorsque j’ai remarqué, comme dans le vestiaire de notre jeunesse, Ludivine, saisissant ma petite culotte et la porter à son nez, voire ses lèvres.
Je suis trop loin pour voir la différence, mais je prends une décision.
Je me place sur le tapis pour en faire sa diagonale, je vois Ludivine face à moi reposant rapidement mon voile intime.
Je m’élance, saut périlleux, roulade avant, saut périlleux et réception complètement foirée atterrissant, dans les bras de celle que je convoite.
Elle me reçoit, je sais amortir le choque, pour la première fois, je loupe mon exercice, mais ma bouche et mes mains savent être persuasives.
Le reste de l’après-midi, je le passe à aimer mon premier béguin.
Ma chatte est aux anges, comme la sienne lorsque nous nous positionnons en 69.
Ce que j’aime dans les rapports féminins c’est lorsque nos chattes se frottent, car nous avons croisé nos jambes.
J’ai un clito bien dimensionné alors qu’elle a une petite boule en haut de son vagin.
Ils savent trouver leur plaisir surtout que je trouve le point sensible de Ludivine.
J’ai toujours trouvé le point sensible de mes partenaires, levées dans le bar lesbien.
À Paris, les gouines sont facile à trouver, mais peu fidèle et jusqu’à mon retour ici, j’en ai eu légion.
Ses seins, ce sont ses seins sont ses points sensibles, il faut dire qu’ils se sont bien développés depuis qu’il pointait dans le vestiaire de notre jeunesse.
Le temps file, il faut nous séparer, hélas, il faut nous séparer.
C’est moi Coach, je voulais punir ma femme qui m’avait ignominieusement trompée lors de la soirée barbecue, après qu’ils m’aient bourré avec la pompe à bière.
Je connaissais les puceaux de mon équipe et je voulais qu’un à un elle les dépucelle plutôt que d’être l’amant de ce petit con de Sylvain.
Je savais bien des choses sur ma femme !
Mais lorsque j’ai su que Gwendeline était de retour, au lieu d’un gang bang final l’offrant à tous ces jeunes de mon équipe d’U18, c’est elle qui sera la fin de notre aventure.
Je suis dans la salle de projection du nouveau gymnase lorsque mon portable sonne.
Un instant, cette sonnerie me fait peur, l’on t’elles entendu, je me dépêche de décrocher.
• Coach, c’est monsieur le maire, mon équipe et moi souhaiterions vous rencontrer pour négocier un accord pour un nouveau contrat...
C’est moi, Ludivine, vous vous souvenez !
La vie est drôle, ça fait presque un an que Gwendeline est notre voisine, elle a acheté le salon de coiffure en ville et la maison voisine de la nôtre.
Coach est monté des U18 en U19 avec son équipe.
La mairie lui a octroyé une grosse augmentation, un seul départ dans un club pro, Sylvain.
Il s’est trouvé une jeune mannequin, c’est mieux pour son standing, il faut dire que son nouveau club le paye bien.
Mes amours avec Coach ?
Beau fixe, surtout depuis que nous vivons presque exclusivement en trio.
Gwendeline est plus souvent dans mon lit que seul dans le sien.
Coach est là aussi, c’est le cas ce soir.
Je suce la chatte de mon amante, pendant qu’il me prend en levrette.
L’accord s’est fait rapidement lorsqu’il a vu qu’il risquait de se retrouver seul.
Un seul point pour que notre trio fonctionne, pas touche à Gwendeline lorsque nous baisons.
De toute façon, il vieillit et je le vois mal satisfaire deux salopes comme nous.
À oui, une dernière chose, non plusieurs.
La première, c’est que ça a fait jaser dans la cité lorsque les gens ont appris qu’un trio s’était formé avec celle qui avait déjà mis le feu à la commune dans une histoire de ballet rose.
Le maire de l’époque ayant dû démissionner et un moment, nous avons cru que le salon de coiffure allait se vider.
Oh ! que non, si vous saviez le nombre de vieilles putes voulant voir la dégénérée se bousculer pour prendre un rendez-vous, vous seriez étonnés.
Depuis cet arrangement entre nous, mon maître chanteur a oublié de se manifester.
Qui a quitté notre entourage ?
Sylvain, mon amant comme l’ait sa sœur maintenant.
Un moment j’ai eu des doutes, ce doit être lui qui nous quittant a arrêté ses chantages.
Un dernier point, j’ai annoncé à Gwendeline que j’avais vu deux barres en pissant sur un stylo.
Demain, nous annonçons à Coach qu’il va être papa, pour cela, nous l’avons invité au restaurant, à son âge, il va être aux anges.
Eh ! oui, c’est moi qui ai joué les maîtres chanteurs envers ma femme.
Oui, moi Coach, j’ai eu de gros doutes sur la fidélité de ma femme après qu’elle ait été complice des garçons lors de la soirée barbecue.
J’avais de l’hypertension montante dans mon équipe entre les puceaux et ceux qui avaient su trouver une salope du genre de ma femme.
En la faisant les dépuceler, j’achetais la paix de mon vestiaire et c’est cela qui cette année faite de mes gars une équipe soudée surtout avec la perte de mon meilleur élément.
Certes, accepter d’être cocu pour acquérir d’être tranquille dans la gestion de mon équipe, certains diront que c’était cher payé.
Après toutes ces épreuves, j’avais prévu de me découvrir dans un gang bang ma femme passant dans les mains de tous mes gars.
Sylvain est venu me dire que sa sœur était en ville et souhaitait reprendre le salon de coiffure de mamy Rosette.
Je savais la jeunesse de ma femme avec cette jeune fille du temps de leur éveil sexuel.
J’ai changé mon plan, qui a bien fonctionné, car maintenant nous sommes deux à nous occuper d’elle.
Même lorsque Gwendeline fait l’amour à ma femme Ludivine, je prends mon pied sans trop me fatiguer.
Mon père m’a toujours dit, « qui veut voyager loin ménage sa monture. »
C’est ce que je fais même si ça choque de nombreuses personnes.
J’ignore si l’avenir sera plus radieux que maintenant, mais si nécessaire, je pourrais ressortir le maître chanteur pour ramener ma blanche brebis dans le droit chemin.
La femme qui la prononce, m’est inconnue, pourtant, j’ai l’impression de la connaitre, oui la coiffure !
Cheveux blonds, de grandes boucles blondes, mais portées avec de grandes lunettes blanches.
Cette jolie femme porte un tailleur écru et des chaussures élégantes à talons mi-hauts.
• Qui êtes-vous, c’est vous qui êtes mon maître chanteur ?
• Réveille-toi, Ludivine, regarde-moi et je suis sûr que tu te souviendras de moi, si tu le désir, je peux te prêter mes lunettes !
L’air, mais aussi la voix, je finis par trouver qui est cette femme.
• Tu es Gwendeline, la sœur de Sylvain, es-tu de retour ?
• Oui, Sylvain ton amant, mais de quoi me parles-tu en me traitant de maître chanteur ?
J’ai reçu un message de mon frère pour une surprise m’attendant dans cette salle, je devais passer par l’entrée de la cuisine.
Je suis venue, car c’est mon anniversaire et je pensais qu’il avait organisé une soirée dans cette salle.
J’ai pensé que j’avais raison lorsque j’ai entendu la musique.
J’allais franchir la porte de la cuisine pour entrer dans cette salle, lorsque je t’ai vu essayer de faire de la gymnastique, surtout nue.
Mais pourquoi me traites-tu de maître chanteur ?
Comme je vois qu’elle sait pour son frère, je joue cartes sur table et je lui explique mon parcours jusqu’à mon arrivée dans cette salle.
Elle éclate de rire et fait une chose très surprenante pour moi.
Je me suis assise sur un tas de tapis de sol, un peu cramé de ce que le message me demandait de faire.
• Je vais, moi aussi, voir si j’ai encore qu’elles restent du temps où je te mettais la honte.
Soit rassurée, je suis revenue quelquefois voir mes parents et mon frère après l’aventure dont tu as dû avoir l’écho.
J’évitais de me faire reconnaitre, mais je t’ai vu faire avec tes pieds ce que je suis dans l’impossibilité de faire, même avec mes mains.
Chacun son truc, toi c’est le foot et moi c’était la gym.
Elle commence à ôter un à un ses vêtements se retrouvant dans la même tenue que moi.
• Tu as osé faire ce que j’ai toujours voulu faire, la gymnastique nue !
Elle s’élance vers la poutre, ses fesses dodelinant de droite et de gauches, mais sans la moindre trace de cellulite.
Nous, les femmes approchant de la trentaine, nous devons faire attention à ce qui peut paraître un détail.
Je m’appelle Gwendeline, dans mon adolescence, j’ai connu Ludivine, nous partagions le même vestiaire et en tant que fille, comme peuvent le faire les garçons, nous partagions les mêmes douches.
Je m’éveillais à la sexualité et comme l’on dit, qui aime bien, châtie bien.
Un jour, je venais de la battre de nouveau et je venais d’enlever mon juste au corps pour aller me doucher.
Il y avait une glace dans le vestiaire et malgré la buer, j’ai vu Ludivine prendre mon voile de tissus et porter mon entrejambe à son nez.
J’étais aux anges, je sentais que j’étais attiré par mon sexe plus que par ces garçons qui commençaient à faire les coqs autour de nous.
Lorsqu’elle m’a rejoint dans les douches, aussi nue que moi, j’ai vu qu’elle était un peu en avance dans ce que maman m’avait dit ma transformation.
Elle commençait à avoir des petits seins fripons commençant à pointer et des poils sur ce que j’appelais sa minette, nos minettes.
Aujourd’hui, le jour de mes vingt-sept ans, je parle plus simplement de chattes, de cons, de vagins que ce mot enfantin « minette ».
La saison se terminait et nous étions aux portes des vacances de printemps.
Je pensais pouvoir faire comprendre à Ludivine, que si elle aimait l’odeur que ma minette avait posée sur l’entrejambe de mon juste au corps, il lui était possible de goûter à ma source.
C’est là que j’ai appris que Ludivine arrêtait la gym pour s’inscrire au club de foot.
Dès la reprise de la saison, j’ai été entraîné par notre entraîneur et deux de mes copines dans ce qui finira par être le scandale de notre cité.
• Les filles, vous êtes doué toutes les trois, voulez-vous avoir une chance d’intégrer l’équipe de France ?
Cette proposition allait accélérer certaines connaissances de ce que j’avais pour les garçons.
Lorsque la femme du moniteur de gym nous a surpris les mains dans les braguettes de trois vieux messieurs, le scandale a éclaté.
Les journaux ont parlé de pénétration, de fellations, mais je sais que j’ai dû me contenter de passer ma main dans leur braguette et de les masturber jusqu’à ce qu’un jus poisseux arrose nos mains.
Certes, Yolande la femme de l’entraîneur nous a surpris les hommes avachis calés au fond de leurs fauteuils, nous à leurs pieds, nus.
Elle était rentrée plus tôt pour faire une surprise à son mari.
Avec l’expérience de ma vie depuis, je pense qu’après la masturbation, la fellation et la pénétration auront été notre lot, mais le scandale a tout arrêté.
J’étais une pestiférée, car certaines rumeurs ont couru que c’était nous les jeunes filles qui avions provoqué ces vieux messieurs.
Ma carrière en équipe de France, c’est trouvé avorté et mes parents m’ont envoyé chez ma tante à Paris, la sœur de maman étant coiffeuse.
J’ai été à l’école jusqu’à seize ans et après j’ai commencé comme shampooineuse chez Tata Pauline.
C’est Sylvana sa première coiffeuse qui m’a appris la coupe en même temps qu’elle m’a fait découvrir les plaisirs féminins.
À ce jour et à jamais, je suis vierge de tous sexes masculins, mais je connais par cœur, comment satisfaire une femme.
Sylvana m’a fait connaître un bar à gouine parisien.
Je parle de gouine alors que dans le milieu lesbien, ce mot nous le haïssons.
Comme je l’ai dit, à Ludivine, c’est incognito que je suis revenue dans notre cité et que je voyais celle qui était devenue l’amant de mon frère cocufier son mari.
Et voilà que je reçois ce message, me demandant de venir dans ce gymnase.
J’allais vers la poutre lorsque j’ai remarqué, comme dans le vestiaire de notre jeunesse, Ludivine, saisissant ma petite culotte et la porter à son nez, voire ses lèvres.
Je suis trop loin pour voir la différence, mais je prends une décision.
Je me place sur le tapis pour en faire sa diagonale, je vois Ludivine face à moi reposant rapidement mon voile intime.
Je m’élance, saut périlleux, roulade avant, saut périlleux et réception complètement foirée atterrissant, dans les bras de celle que je convoite.
Elle me reçoit, je sais amortir le choque, pour la première fois, je loupe mon exercice, mais ma bouche et mes mains savent être persuasives.
Le reste de l’après-midi, je le passe à aimer mon premier béguin.
Ma chatte est aux anges, comme la sienne lorsque nous nous positionnons en 69.
Ce que j’aime dans les rapports féminins c’est lorsque nos chattes se frottent, car nous avons croisé nos jambes.
J’ai un clito bien dimensionné alors qu’elle a une petite boule en haut de son vagin.
Ils savent trouver leur plaisir surtout que je trouve le point sensible de Ludivine.
J’ai toujours trouvé le point sensible de mes partenaires, levées dans le bar lesbien.
À Paris, les gouines sont facile à trouver, mais peu fidèle et jusqu’à mon retour ici, j’en ai eu légion.
Ses seins, ce sont ses seins sont ses points sensibles, il faut dire qu’ils se sont bien développés depuis qu’il pointait dans le vestiaire de notre jeunesse.
Le temps file, il faut nous séparer, hélas, il faut nous séparer.
C’est moi Coach, je voulais punir ma femme qui m’avait ignominieusement trompée lors de la soirée barbecue, après qu’ils m’aient bourré avec la pompe à bière.
Je connaissais les puceaux de mon équipe et je voulais qu’un à un elle les dépucelle plutôt que d’être l’amant de ce petit con de Sylvain.
Je savais bien des choses sur ma femme !
Mais lorsque j’ai su que Gwendeline était de retour, au lieu d’un gang bang final l’offrant à tous ces jeunes de mon équipe d’U18, c’est elle qui sera la fin de notre aventure.
Je suis dans la salle de projection du nouveau gymnase lorsque mon portable sonne.
Un instant, cette sonnerie me fait peur, l’on t’elles entendu, je me dépêche de décrocher.
• Coach, c’est monsieur le maire, mon équipe et moi souhaiterions vous rencontrer pour négocier un accord pour un nouveau contrat...
C’est moi, Ludivine, vous vous souvenez !
La vie est drôle, ça fait presque un an que Gwendeline est notre voisine, elle a acheté le salon de coiffure en ville et la maison voisine de la nôtre.
Coach est monté des U18 en U19 avec son équipe.
La mairie lui a octroyé une grosse augmentation, un seul départ dans un club pro, Sylvain.
Il s’est trouvé une jeune mannequin, c’est mieux pour son standing, il faut dire que son nouveau club le paye bien.
Mes amours avec Coach ?
Beau fixe, surtout depuis que nous vivons presque exclusivement en trio.
Gwendeline est plus souvent dans mon lit que seul dans le sien.
Coach est là aussi, c’est le cas ce soir.
Je suce la chatte de mon amante, pendant qu’il me prend en levrette.
L’accord s’est fait rapidement lorsqu’il a vu qu’il risquait de se retrouver seul.
Un seul point pour que notre trio fonctionne, pas touche à Gwendeline lorsque nous baisons.
De toute façon, il vieillit et je le vois mal satisfaire deux salopes comme nous.
À oui, une dernière chose, non plusieurs.
La première, c’est que ça a fait jaser dans la cité lorsque les gens ont appris qu’un trio s’était formé avec celle qui avait déjà mis le feu à la commune dans une histoire de ballet rose.
Le maire de l’époque ayant dû démissionner et un moment, nous avons cru que le salon de coiffure allait se vider.
Oh ! que non, si vous saviez le nombre de vieilles putes voulant voir la dégénérée se bousculer pour prendre un rendez-vous, vous seriez étonnés.
Depuis cet arrangement entre nous, mon maître chanteur a oublié de se manifester.
Qui a quitté notre entourage ?
Sylvain, mon amant comme l’ait sa sœur maintenant.
Un moment j’ai eu des doutes, ce doit être lui qui nous quittant a arrêté ses chantages.
Un dernier point, j’ai annoncé à Gwendeline que j’avais vu deux barres en pissant sur un stylo.
Demain, nous annonçons à Coach qu’il va être papa, pour cela, nous l’avons invité au restaurant, à son âge, il va être aux anges.
Eh ! oui, c’est moi qui ai joué les maîtres chanteurs envers ma femme.
Oui, moi Coach, j’ai eu de gros doutes sur la fidélité de ma femme après qu’elle ait été complice des garçons lors de la soirée barbecue.
J’avais de l’hypertension montante dans mon équipe entre les puceaux et ceux qui avaient su trouver une salope du genre de ma femme.
En la faisant les dépuceler, j’achetais la paix de mon vestiaire et c’est cela qui cette année faite de mes gars une équipe soudée surtout avec la perte de mon meilleur élément.
Certes, accepter d’être cocu pour acquérir d’être tranquille dans la gestion de mon équipe, certains diront que c’était cher payé.
Après toutes ces épreuves, j’avais prévu de me découvrir dans un gang bang ma femme passant dans les mains de tous mes gars.
Sylvain est venu me dire que sa sœur était en ville et souhaitait reprendre le salon de coiffure de mamy Rosette.
Je savais la jeunesse de ma femme avec cette jeune fille du temps de leur éveil sexuel.
J’ai changé mon plan, qui a bien fonctionné, car maintenant nous sommes deux à nous occuper d’elle.
Même lorsque Gwendeline fait l’amour à ma femme Ludivine, je prends mon pied sans trop me fatiguer.
Mon père m’a toujours dit, « qui veut voyager loin ménage sa monture. »
C’est ce que je fais même si ça choque de nombreuses personnes.
J’ignore si l’avenir sera plus radieux que maintenant, mais si nécessaire, je pourrais ressortir le maître chanteur pour ramener ma blanche brebis dans le droit chemin.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une histoire rondement menée avec du suspens et du sexe...
Merci pour ce moment de lecture, mon cher Chris
Cyrille
Merci pour ce moment de lecture, mon cher Chris
Cyrille
Elles ont bien raison pourquoi se contenter d’un mari quand on peut avoir 1 épouse et 1 époux. 😊
La chipie
La chipie