COLLECTION COCU. Le journal intime de madame (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Le journal intime de madame (2/2)
Je suis un homme heureux, je suis un homme comblé, Jennifer ma femme, coche toutes les cases qu’un mec peut espérer de sa moitié.
Ça c’était avant de trouver par coup de chance, son journal intime caché dans l’armoire normande entre deux piles de draps dans la chambre d’amie.
Je cherchais une cachette pour le porte-clefs en étain acheté auprès de l’hôtesse dans la bijouterie ou j’avais acheté il y a dix ans sa bague de fiançailles.
Qui sont les couillons qui ont défini la liste des cadeaux potentiels en mettant l’étain pour la dixième année ?
Dix ans d’amour, ça aurait mérité mieux, hors les diamants pour le début d’un amour et après soixante ans de vie commune, autre chose, type rubis ou émeraude, mais fidèle à cette liste elle m’a fait choisir un porte-clefs.
Trouvant ce cadeau dessuait la pose de bornes pour recharge de voiture électrique par notre copropriété m’a donné une idée, je décide dans l’anneau d’y passer la clef d’une voiture de ce type.
C’est là entre deux piles de draps que je découvre ce que les femmes appellent leur « journal intime ».
Étant architecte, j’ai un bureau à domicile, il y a un petit cadenas, c’est là que j’arrive à l’ouvrir avec un tournevis de précision qui se trouvait au fond d’un tiroir venant de mon grand-père.
« Comme je l’ai écrit le 20, c’est fait, Sophie a un amant black à grosse queue.
Hier Luc et Jacques étant parti pour deux jours Sophie m’a invité à prendre le thé, comme nous le faisons fréquemment à tour de rôle.
Il était là, beau dans son regard qui d’un coup m’a transpercé jusqu’au plus profond de mon slip, je mouillais littéralement.
Je mouille littéralement lorsque Luc s’occupe de mon intimité, mais là, mais là... »
Je suis entièrement scotchée, ma femme semble s’être faite séduire par cet homme black, là n’est pas mon courroux, noir ou blanc, le résultat étant le même, je suis cocu.
Qui est vraiment ce type, à ce moment de son récit j’ignore tout sauf que son regard la faisait ruisseler.
« Adan touareg dans son costume bleu, était devant moi, j’ai compris pourquoi mon amie lui avait cédé.
Il en va de même pour moi et lorsqu’il se retrouve nu, sa verge me fait plus qu’envie.
Sophie me prend la main et me la pose sur cette turgescence d’une longueur inimaginable.
- Fidèle jusqu’à la mort. –
Comment mon cerveau m’a-t-il recadré, je l’ignore, mais mon serment m’est revenu et j’ai fait machine arrière après un effort surhumain.
J’aurais dû fuir, mais lorsque Sophie a ri de mon retrait par fidélité à Luc et a pris ma place, ou plutôt retrouvée la sienne avec son amant pour la première fois j’ai joué les voyeuses.
Je suce régulièrement Luc, mais voir mon amie à moins d’un mètre le faire, j’étais au milieu d’un porno sans y participer tout en y participant.
Je vais être fidèle à la réalité... »
J’ai failli être cocu, mais Jennifer s’est reprise, mais ces derniers mots me replongent dans mon tourment « fidèle à la réalité »
Ce retrait était-il de courte durée et les prochaines lignes m’apporteront telle l’étendue de son infidélité.
« J’aime regarder ce que je vois lorsque sa bouche entoure cette verge et la fait rentrer au plus profond de sa gorge. »
Ouf, je viens d’échapper au pire, j’étais à deux doigts de récupérer la clef avec son porte-clefs en étain et de les jeter à la poubelle.
« Une bite entrant dans la chatte lisse de tout poil alors que Luc lorsque je lui ai demandé, a choisi de me faire garder ma touffe blonde.
Lorsque vous regardez un film X avec des actrices, c’est loin de la puissance des images que cela vous renvoie dans le réel.
Et que dire lorsqu’un orgasme la traverse, cette queue noire perforant ce vagin blanc, ça a une puissance érotique que je vous souhaite de vivre un jour.
Je dois reconnaitre, que dès mon retour à la maison, comme je l’ai dit, Luc étant absent, une bonne partie de la nuit, j'ai regardé ces actrices sur mon portable se faire défoncer.
J'ai été dans l'obligation de changer les draps les ayant maculés de ma cyprine en plongeant les doigts dans ma chatte. »
Deux fois ouf, Jennifer s’est simplement masturbée alors qu’elle avait tout loisir de me tromper.
Je sais qu’elle se doigte, ça lui arrive même lorsque nous faisons l’amour.
Je la fais jouir, mais alors que je m’inquiétais de la sentir se tortiller, elle m’a avoué que certaines fois, sa jouissance était si longue que lorsque j’éjaculais et que je me retirais des frissons la traversais encore, alors elle se finissait à doigts mouillés.
Bonjour, il est temps que j’intervienne, je m’appelle Jennifer la femme de Luc, j’ai une amie Sophie, depuis notre plus tendre enfance, je devrais dire notre adolescence, nous sommes amantes.
Nous avons réalisé l’exploit de faire l’amour ensemble sans que nos maris ne l’apprennent et même tout notre entourage.
Nous savons être patientes pour nous retrouver, jusqu’à ce que nous soyons seules. Exemple dans un ascenseur nous nous caressons en nous embrassant quelques secondes avant l’ouverture des portes.
Bien sûr ce qui fut le cas l’autre jour, nous nous aimons dans le lit de l’une ou de l’autre.
Sophie m’a fait tellement mouiller que lorsqu’elle est partie, je suis allé récupérer des draps pour les changer.
Sous le drap que j’avais saisi, j’ai senti une épaisseur et j’ai trouvé une clef avec un porte-clefs en étain.
J’ai compris que je venais de trouver une partie du cadeau que Luc allait me faire pour mon anniversaire, vu la marque d’une voiture.
Deux draps au-dessous, j’ai récupéré mon journal intime, le premier celui que j’ai presque terminé.
J’ai très vite vu que le journal avait été ouvert, à de petites éraflures sur la dorure du cadenas.
J’ai ainsi su que Luc l’avait certainement lu alors j’ai trahi la réalité des lignes écrites à l’intérieur depuis ce moment.
La vraie vérité, c’est dans mon nouveau journal intime que je les écrits.
Celui-là, je le cache dans le propre bureau de Luc, derrière les livres de sa bibliothèque qui servent à influencer les visiteurs et que je suis la seule à savoir qu’aucun d’eux n’a été ouvert.
Bien sûr, je finis l’autre ventant la femelle vertueuse que je suis.
Du moins, j’arrive à lui faire croire lorsque l’on lit les lignes de ce nouveau journal intime.
« 21, hier Sophie m’a fait venir pour prendre le thé.
Je pensais que nous allions nous brouter les chattes à l’abri des regards des autres, mais qu’elle surprise de me retrouver devant son amant, ce magnifique black aux yeux bleus qui m’ont fait craquer lorsqu’il s’est mis nu.
Luc peut toujours s’accrocher, une verge de plus de trente centimètres, même l’acteur le mieux monté des films que je dévore peut s’accrocher, elle est fantasmagorique.
Comme je l’ai écrit dans mon autre journal, Sophie m’a mis ma main sur cette pine d’âne et s’est moi qui me suis baissée pour la prendre dans ma bouche, rendant par ce geste mon mari cocu.
Il m’a fait relever et s’est occupé de me sortir mes seins de mon corsage m’ayant retiré ma veste de tailleur à la Chanel.
Mes seins, je trouve que Luc les a toujours délaissés, alors qu’ils aiment pointer fièrement lorsqu’ils sont caressés.
C’est le point fort de Sophie, mais c’est naturel, je lui caresse les seins, elle me caresse les miens.
Je lui suce les pointes de ses seins, elle en fait de même sur les miens.
Mais je m’égare, entre Sophie et Adan ces lignes lui sont consacrées.
Mes seins cela dure le temps de bien me les faire bander et de m’exciter au plus haut point.
Je mouille d’envie d’avoir dans ma bouche cette verge qui me fascine, par sa longueur et le fait qu’elle soit noire.
Je reviens à ce que je veux faire croire à mon mari, c’est sciemment que je parle de la couleur noire soi-disant sans attrait pour moi dans la version édulcorée de mes tromperies.
Dans la vraie version hard, chaque fois que je vais faire les boutiques du centre commercial, ces vigiles blacks, la plupart du temps si je m’écoutais je me ferais prendre à voler pour qu’ils m’emmènent dans leur réduit me fouiller à corps.
Je suis indécrottable ce qui est écrit, est écrit et je parle encore de mon autre journal intime de celle que je voudrais être alors que je suis ne parfaite salope.
Si vous voyez Sophie, demandé lui, c’est la mieux placée pour savoir que lorsque je veux quelque chose j’arrive toujours à mes fins.
C’est moi dans notre adolescence lorsque des poils ont commencé à pousser sur nos chattes, je l’ai forcé à se dénuder afin de les compter.
On compte et l’on finit par, comme je l’ai dit, devenir l’amante du mercredi.
Donc, une verge, deux bouches qui se caressent les langues lorsqu’elle se rencontre et s’est moi, la plus délurée, qui m’allonge les jambes écartées pour me faire brouter par les grosses lèvres d’Adan qui trouve de suite mon clito.
Je pars au quart de tour et lorsqu’il se redresse pour me pénétrer, c’est la main de Sophie que je sens qui me l’introduit bien profondément en moi.
Il est à genoux entre mes jambes, il va de soi que la longueur de la bite que je reçois, même si je suis bien profonde, est loin d’entrer intégralement.
Voyant la position de mon amie, immanquablement elle lui suce les couilles et la partie non introduite en moi.
Heureusement que j’écris ces lignes après la sauterie de haute volée que nous faisons avec mes amants homme et femme, car vous n’auriez que des Oh ! et des Ah ! de satisfaction du plaisir que je prends à me faire pilonner jusqu’à l’orgasme qui a duré, duré, duré, duré, duré.
Comment être fidèles à son serment lorsque vous jouissez ainsi, nous n’avons qu’une vie et elle est précieuse pour l’amputer d’un tel plaisir ?
Lorsque j’ai repris mes esprits, c’est Sophie qui se fait prendre en levrette, je suis à deux doigts d’aller moi aussi sucer verge et chatte, quand ma bouche trouve celle de mon amie et son orgasme, durant, durant et durant encore, c’est sur mes lèvres que je le ressens.
« Oh ! qu’il est chou, une voiture électrique, je suis comblée, hélas au moment où il me l’offre, Germaine notre femme de service étant encore là, ainsi que Sophie et Laurent, sinon je crois que je le serais donnée à lui avec gourmandise . »
Ces lignes, c’est pour le soft, dans le hard, j’écris !
Germaine notre femme de service venant de partir, avant le gâteau et les cadeaux que nous nous faisons, nous nous sommes isolées avec Sophie.
Quel meilleur endroit que notre salle de bains pour fermer la porte sans besoin de la fermer à clef.
Je suis assise sur la tablette entre nos deux lavabos et Sophie m’ayant posé mes jambes sur ses épaules me broute en me mettant sa main sur ma bouche, car elle sait que je suis très expansive lorsqu’elle me fait jouir.
C’est ce qui se produit, je pars au quart de tour.
La porte s’est ouverte et nos hommes nous sont apparus hilares.
• Tu vois, je t’avais bien dit que nous avions épousé des salopes qui aiment autant leurs chattes que nos bites.
Mesdames à nous de jouer, Laurent occupe-toi de Jennifer, si tu le permets depuis le temps qu’on en parle, baise là, je vais sauter Sophie.
Que dire de plus, qu’écrire de plus ?
En ce moment, Luc et Laurent sont assis, nus, sur un canapé dans la boîte échangiste qu’ils nous ont fait connaitre après la fête pour nos dix ans de mariage.
Nous connaissons l’histoire de l’étain pour les dix ans que Luc nous raconte m’offrant en plus ma voiture électrique.
Ma copine et moi nous sommes les attractions de la soirée.
Sophie se fait prendre par deux blacks, moi je suis aux mains d’un couple lui me défonçant alors que madame me caresse les seins et me les suces comme j’aime.
Je regarde nos hommes satisfaits de la tournure que notre mariage prend, pardons, nos mariages ont pris.
Luc m’aurait-il caché quelques secrets entre lui et son copain Laurent.
Ce que je vois, Luc ayant la main sur la verge de Laurent le masturbant avant de plonger littéralement dessus et de l’enfourner pour lui faire une fellation.
Inutile d’écrire dans mon « journal intime hard » pour comprendre la face cachée de nos maris.
Ça c’était avant de trouver par coup de chance, son journal intime caché dans l’armoire normande entre deux piles de draps dans la chambre d’amie.
Je cherchais une cachette pour le porte-clefs en étain acheté auprès de l’hôtesse dans la bijouterie ou j’avais acheté il y a dix ans sa bague de fiançailles.
Qui sont les couillons qui ont défini la liste des cadeaux potentiels en mettant l’étain pour la dixième année ?
Dix ans d’amour, ça aurait mérité mieux, hors les diamants pour le début d’un amour et après soixante ans de vie commune, autre chose, type rubis ou émeraude, mais fidèle à cette liste elle m’a fait choisir un porte-clefs.
Trouvant ce cadeau dessuait la pose de bornes pour recharge de voiture électrique par notre copropriété m’a donné une idée, je décide dans l’anneau d’y passer la clef d’une voiture de ce type.
C’est là entre deux piles de draps que je découvre ce que les femmes appellent leur « journal intime ».
Étant architecte, j’ai un bureau à domicile, il y a un petit cadenas, c’est là que j’arrive à l’ouvrir avec un tournevis de précision qui se trouvait au fond d’un tiroir venant de mon grand-père.
« Comme je l’ai écrit le 20, c’est fait, Sophie a un amant black à grosse queue.
Hier Luc et Jacques étant parti pour deux jours Sophie m’a invité à prendre le thé, comme nous le faisons fréquemment à tour de rôle.
Il était là, beau dans son regard qui d’un coup m’a transpercé jusqu’au plus profond de mon slip, je mouillais littéralement.
Je mouille littéralement lorsque Luc s’occupe de mon intimité, mais là, mais là... »
Je suis entièrement scotchée, ma femme semble s’être faite séduire par cet homme black, là n’est pas mon courroux, noir ou blanc, le résultat étant le même, je suis cocu.
Qui est vraiment ce type, à ce moment de son récit j’ignore tout sauf que son regard la faisait ruisseler.
« Adan touareg dans son costume bleu, était devant moi, j’ai compris pourquoi mon amie lui avait cédé.
Il en va de même pour moi et lorsqu’il se retrouve nu, sa verge me fait plus qu’envie.
Sophie me prend la main et me la pose sur cette turgescence d’une longueur inimaginable.
- Fidèle jusqu’à la mort. –
Comment mon cerveau m’a-t-il recadré, je l’ignore, mais mon serment m’est revenu et j’ai fait machine arrière après un effort surhumain.
J’aurais dû fuir, mais lorsque Sophie a ri de mon retrait par fidélité à Luc et a pris ma place, ou plutôt retrouvée la sienne avec son amant pour la première fois j’ai joué les voyeuses.
Je suce régulièrement Luc, mais voir mon amie à moins d’un mètre le faire, j’étais au milieu d’un porno sans y participer tout en y participant.
Je vais être fidèle à la réalité... »
J’ai failli être cocu, mais Jennifer s’est reprise, mais ces derniers mots me replongent dans mon tourment « fidèle à la réalité »
Ce retrait était-il de courte durée et les prochaines lignes m’apporteront telle l’étendue de son infidélité.
« J’aime regarder ce que je vois lorsque sa bouche entoure cette verge et la fait rentrer au plus profond de sa gorge. »
Ouf, je viens d’échapper au pire, j’étais à deux doigts de récupérer la clef avec son porte-clefs en étain et de les jeter à la poubelle.
« Une bite entrant dans la chatte lisse de tout poil alors que Luc lorsque je lui ai demandé, a choisi de me faire garder ma touffe blonde.
Lorsque vous regardez un film X avec des actrices, c’est loin de la puissance des images que cela vous renvoie dans le réel.
Et que dire lorsqu’un orgasme la traverse, cette queue noire perforant ce vagin blanc, ça a une puissance érotique que je vous souhaite de vivre un jour.
Je dois reconnaitre, que dès mon retour à la maison, comme je l’ai dit, Luc étant absent, une bonne partie de la nuit, j'ai regardé ces actrices sur mon portable se faire défoncer.
J'ai été dans l'obligation de changer les draps les ayant maculés de ma cyprine en plongeant les doigts dans ma chatte. »
Deux fois ouf, Jennifer s’est simplement masturbée alors qu’elle avait tout loisir de me tromper.
Je sais qu’elle se doigte, ça lui arrive même lorsque nous faisons l’amour.
Je la fais jouir, mais alors que je m’inquiétais de la sentir se tortiller, elle m’a avoué que certaines fois, sa jouissance était si longue que lorsque j’éjaculais et que je me retirais des frissons la traversais encore, alors elle se finissait à doigts mouillés.
Bonjour, il est temps que j’intervienne, je m’appelle Jennifer la femme de Luc, j’ai une amie Sophie, depuis notre plus tendre enfance, je devrais dire notre adolescence, nous sommes amantes.
Nous avons réalisé l’exploit de faire l’amour ensemble sans que nos maris ne l’apprennent et même tout notre entourage.
Nous savons être patientes pour nous retrouver, jusqu’à ce que nous soyons seules. Exemple dans un ascenseur nous nous caressons en nous embrassant quelques secondes avant l’ouverture des portes.
Bien sûr ce qui fut le cas l’autre jour, nous nous aimons dans le lit de l’une ou de l’autre.
Sophie m’a fait tellement mouiller que lorsqu’elle est partie, je suis allé récupérer des draps pour les changer.
Sous le drap que j’avais saisi, j’ai senti une épaisseur et j’ai trouvé une clef avec un porte-clefs en étain.
J’ai compris que je venais de trouver une partie du cadeau que Luc allait me faire pour mon anniversaire, vu la marque d’une voiture.
Deux draps au-dessous, j’ai récupéré mon journal intime, le premier celui que j’ai presque terminé.
J’ai très vite vu que le journal avait été ouvert, à de petites éraflures sur la dorure du cadenas.
J’ai ainsi su que Luc l’avait certainement lu alors j’ai trahi la réalité des lignes écrites à l’intérieur depuis ce moment.
La vraie vérité, c’est dans mon nouveau journal intime que je les écrits.
Celui-là, je le cache dans le propre bureau de Luc, derrière les livres de sa bibliothèque qui servent à influencer les visiteurs et que je suis la seule à savoir qu’aucun d’eux n’a été ouvert.
Bien sûr, je finis l’autre ventant la femelle vertueuse que je suis.
Du moins, j’arrive à lui faire croire lorsque l’on lit les lignes de ce nouveau journal intime.
« 21, hier Sophie m’a fait venir pour prendre le thé.
Je pensais que nous allions nous brouter les chattes à l’abri des regards des autres, mais qu’elle surprise de me retrouver devant son amant, ce magnifique black aux yeux bleus qui m’ont fait craquer lorsqu’il s’est mis nu.
Luc peut toujours s’accrocher, une verge de plus de trente centimètres, même l’acteur le mieux monté des films que je dévore peut s’accrocher, elle est fantasmagorique.
Comme je l’ai écrit dans mon autre journal, Sophie m’a mis ma main sur cette pine d’âne et s’est moi qui me suis baissée pour la prendre dans ma bouche, rendant par ce geste mon mari cocu.
Il m’a fait relever et s’est occupé de me sortir mes seins de mon corsage m’ayant retiré ma veste de tailleur à la Chanel.
Mes seins, je trouve que Luc les a toujours délaissés, alors qu’ils aiment pointer fièrement lorsqu’ils sont caressés.
C’est le point fort de Sophie, mais c’est naturel, je lui caresse les seins, elle me caresse les miens.
Je lui suce les pointes de ses seins, elle en fait de même sur les miens.
Mais je m’égare, entre Sophie et Adan ces lignes lui sont consacrées.
Mes seins cela dure le temps de bien me les faire bander et de m’exciter au plus haut point.
Je mouille d’envie d’avoir dans ma bouche cette verge qui me fascine, par sa longueur et le fait qu’elle soit noire.
Je reviens à ce que je veux faire croire à mon mari, c’est sciemment que je parle de la couleur noire soi-disant sans attrait pour moi dans la version édulcorée de mes tromperies.
Dans la vraie version hard, chaque fois que je vais faire les boutiques du centre commercial, ces vigiles blacks, la plupart du temps si je m’écoutais je me ferais prendre à voler pour qu’ils m’emmènent dans leur réduit me fouiller à corps.
Je suis indécrottable ce qui est écrit, est écrit et je parle encore de mon autre journal intime de celle que je voudrais être alors que je suis ne parfaite salope.
Si vous voyez Sophie, demandé lui, c’est la mieux placée pour savoir que lorsque je veux quelque chose j’arrive toujours à mes fins.
C’est moi dans notre adolescence lorsque des poils ont commencé à pousser sur nos chattes, je l’ai forcé à se dénuder afin de les compter.
On compte et l’on finit par, comme je l’ai dit, devenir l’amante du mercredi.
Donc, une verge, deux bouches qui se caressent les langues lorsqu’elle se rencontre et s’est moi, la plus délurée, qui m’allonge les jambes écartées pour me faire brouter par les grosses lèvres d’Adan qui trouve de suite mon clito.
Je pars au quart de tour et lorsqu’il se redresse pour me pénétrer, c’est la main de Sophie que je sens qui me l’introduit bien profondément en moi.
Il est à genoux entre mes jambes, il va de soi que la longueur de la bite que je reçois, même si je suis bien profonde, est loin d’entrer intégralement.
Voyant la position de mon amie, immanquablement elle lui suce les couilles et la partie non introduite en moi.
Heureusement que j’écris ces lignes après la sauterie de haute volée que nous faisons avec mes amants homme et femme, car vous n’auriez que des Oh ! et des Ah ! de satisfaction du plaisir que je prends à me faire pilonner jusqu’à l’orgasme qui a duré, duré, duré, duré, duré.
Comment être fidèles à son serment lorsque vous jouissez ainsi, nous n’avons qu’une vie et elle est précieuse pour l’amputer d’un tel plaisir ?
Lorsque j’ai repris mes esprits, c’est Sophie qui se fait prendre en levrette, je suis à deux doigts d’aller moi aussi sucer verge et chatte, quand ma bouche trouve celle de mon amie et son orgasme, durant, durant et durant encore, c’est sur mes lèvres que je le ressens.
« Oh ! qu’il est chou, une voiture électrique, je suis comblée, hélas au moment où il me l’offre, Germaine notre femme de service étant encore là, ainsi que Sophie et Laurent, sinon je crois que je le serais donnée à lui avec gourmandise . »
Ces lignes, c’est pour le soft, dans le hard, j’écris !
Germaine notre femme de service venant de partir, avant le gâteau et les cadeaux que nous nous faisons, nous nous sommes isolées avec Sophie.
Quel meilleur endroit que notre salle de bains pour fermer la porte sans besoin de la fermer à clef.
Je suis assise sur la tablette entre nos deux lavabos et Sophie m’ayant posé mes jambes sur ses épaules me broute en me mettant sa main sur ma bouche, car elle sait que je suis très expansive lorsqu’elle me fait jouir.
C’est ce qui se produit, je pars au quart de tour.
La porte s’est ouverte et nos hommes nous sont apparus hilares.
• Tu vois, je t’avais bien dit que nous avions épousé des salopes qui aiment autant leurs chattes que nos bites.
Mesdames à nous de jouer, Laurent occupe-toi de Jennifer, si tu le permets depuis le temps qu’on en parle, baise là, je vais sauter Sophie.
Que dire de plus, qu’écrire de plus ?
En ce moment, Luc et Laurent sont assis, nus, sur un canapé dans la boîte échangiste qu’ils nous ont fait connaitre après la fête pour nos dix ans de mariage.
Nous connaissons l’histoire de l’étain pour les dix ans que Luc nous raconte m’offrant en plus ma voiture électrique.
Ma copine et moi nous sommes les attractions de la soirée.
Sophie se fait prendre par deux blacks, moi je suis aux mains d’un couple lui me défonçant alors que madame me caresse les seins et me les suces comme j’aime.
Je regarde nos hommes satisfaits de la tournure que notre mariage prend, pardons, nos mariages ont pris.
Luc m’aurait-il caché quelques secrets entre lui et son copain Laurent.
Ce que je vois, Luc ayant la main sur la verge de Laurent le masturbant avant de plonger littéralement dessus et de l’enfourner pour lui faire une fellation.
Inutile d’écrire dans mon « journal intime hard » pour comprendre la face cachée de nos maris.
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