COLLECTION COCU. Le poulain. Début de la saison II (5/8)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION COCU. Le poulain. Début de la saison II (5/8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Le poulain. Début de la saison II (5/8)
Au début de la saison II, c’est dans le lit de Duc mon beau-père que je me trouve après qu’il m’a presque enlevé alors que je voyais Louis mon mari se mélanger avec un transsexuel.

- Je te l’avais dit, il y a des semaines que la maladie m’empêche de bander.
Ce sera mon plus grand regret avant de quitter cette terre, avoir une dernière flamberge et baiser le cul d’une jeune pouliche.
- Et si j’essayais ?
- Je pourrais te dire que tu es la femme de mon fils, mais après ce que tu as vu chez toi tout à l’heure, je vais te faire divorcer, mais c’est peine perdue, je suis foutu.

Je suis bien, c’est comme si le temps était suspendu dans la moiteur de cette journée.
Faire sortir la verge de Duc se fait naturellement, comme ma bouche qui approche de son énorme gland.

- Oh Marie, tu es douce, je sens un frémissement.

Je le lèche du haut en bas.
Bien qu’il soit mou, j’ai du mal à le mettre dans ma bouche.
Je comprends pourquoi Duc était considéré comme l’étalon de notre région.
J’en avais entendu parler, si Isabelle se morfondait au point de céder à Ludo, il savait où aller pour la remplacer.
Voir cet homme montrer sa faiblesse au croisement de sa vie me fait vouloir lui donner un dernier plaisir.
Monté vers les astres avec dans sa rétine la dernière femme qui l’ait fait jouir, quelle plus belle preuve d’amour je pourrais lui fournir surtout depuis que je sais qu’il a confiance en moi.

- Tu es une diablesse Marie, continue, ça commence à réagir, je sens mon sang bouillonner dans mes veines jusque dans la veine de mon sexe.

Pas encore tendu à fond, mais déjà bien gorgé de sang j’insiste car je veux donner à mon beau-père ce qu’il pensait être impossible pour lui une dernière fois.
Je le pompe, je le masturbe et je finis par gagner ce qu’il faut pour qu’il réussisse à me pénétrer.
J’ai peur que tout cela s’effondre si j’arrête mon action.
Me contorsionnant afin que ma main continue à monter et descendre le long de cette verge, avec l’autre j’écarte mon string.
Inutile de prendre le temps de l’enlever j’irai à la catastrophe.
Aussi je l’enjambe avant de le faire entrer en moi.
Duc voit ce que je veux faire, passe sa grosse paluche qui touche mon clitoris me faisant frissonner C’est le plus gros sexe en moi jamais entré, même s'ils ont été rare.

- Encore merci Marie, je te sens tu es chaude, mon fils est con de préférer le cul de sa tantouse.

Bien au fond de ma grotte, il me saisit par les hanches sa musculature m’aidant à m’empaler sur sa hampe.
C’est gros, ça écarte ma chatte mais ça me fait jouir.
Duc me regarde intensément, je vois son corps se tendre et d’un coup ses jets de sperme frapper mon utérus.
Je suis épuisée et je m’affaisse sur mon beau-père avant de basculer.
Il est peut-être malade mais la quantité de sperme qu’il m’a apporté montre l’homme qu’il a été.
Dans la nuit je me réveille.
Je vais aux toilettes quand je reviens dans le lit j’aimerais recommencer mais comme il a un léger ronflement je m’appuie sur son épaule massive et je dors.

Le lendemain c’est moi qui conduis le pick-up voyant la fatigue à la suite de son exploit d’hier.
Dès notre retour, il réuni la famille.

- Voilà mes dernières volontés chacun de vous recevra sa part.
- À chaque fin d’exercice que vous présentera Marie jusqu'aux 18 ans de Jules, vous toucherez la part qui vous revient.
Alain, tu as bien tout noté, tu aideras Marie.
- Oui Duc toutes tes volontés seront exécutées.

Alain c’est le notaire qui doit s’occuper de tout.

- Sonia, occupe-toi de Jules, va lui faire faire du poney.
- Je vais avec toi ma fille, puisque mon fils m’abandonne.
Je vais tout faire pour t’aider dans son éducation Marie.

Je suis Duc qui se déplace de plus en plus mal.
Nous travaillons deux heures après il faut qu’il se retire dans ses appartements.
Le foin, la paille et surtout l’avoine plats favoris des chevaux, il me faut gérer tous cela.
Mais à côté de l’homme qui a séduit mon cœur tout est facilité.
Comme prévu Ludo a disparu.
J’ai tant à faire et surtout à apprendre que le sexe est devenu secondaire.

Trois mois ont passé et Duc semble tenir le coup attendant quelque chose.
Mon divorce grâce aux appuis de Duc est prononcé rapidement me redonnant mon indépendance.
Entre nous du respect, du sentiment mais plus physique l’exploit que j’ai réussi à Dieppe, il lui serait impossible de le réitérer.
C’est dans son lit car il se lève de moins en moins que je le rejoins pour lui montrer la photo de l’écographie que je viens d’aller passer avec Sonia.

- Tu vas avoir une fille.

L’exploit est là, ayant refusé depuis le départ toute chimio ou médicament pour son mal ses spermatozoïdes ont été suffisant pour me mettre enceinte.
Par chance, avec Ludo je prenais toujours ma pilule.
Le jour de Dieppe, j’étais parti si rapidement, presque enlevé par Duc que j’ai complètement zappé l’oubli de cette petite boule.
Quand je dis à Jules qu’il va avoir une petite sœur il me saute au cou.

- Maman je lui prêterais mon poney, c’est moi qui lui apprendrais.

Duc est mort un mois après avoir appris qu’il allait être père.
Son fils était là à son incinération.
Il attendait au Havre l'issue avant de lever les voiles.
Nous l’avons incinéré puis la famille m'a chargé de faire enterrer son urne dans un lieu du domaine pour éviter de venir pleurer sur sa tombe comme il l’avait souhaité.
Une nuit, je suis venu au centre du manège et j’ai creusé difficilement un trou profond de plusieurs centimètres.
J’ai ouvert l’urne et j’ai mis ses cendres les prenant dans ma main et les faisant retomber.
J’ai remis la terre puis je suis allée chercher de la paille que j’ai étalée pour cacher mon action.
Le lendemain matin, j’ai demandé à Loris, mari de Wanda, couple d’origine bourguignonne ayant fait leurs études dans un lycée agricole près de Chalon que nous avons embauché il y a un mois de faire tourner Jupiter afin de l’habituer à la longe.
Repose en paix mon Duc au centre de ton domaine avec sur ton cœur avant d’être brûlé la photo de l’échographie de ta fille.

La vie retrouve sa routine.
J’ai mis mon fils dans la chambre d’ami mitoyenne à celle que j’occupe et qui était celle de Duc.
De son côté, Isabelle est une veuve éplorée.
Je rigole, c’est une veuve joyeuse.
Chaque jeudi elle fait venir un taxi et se rend à son institut de beauté.
Elle mange au restaurant avant d’aller à notre banque.
Rapidement j’ai entendu des bruits de voitures devant le castel.
Je les entends et deux fois je les ai vus, les jeunes escortes qu’elle se paye sont aussi jeunes que Ludo.
Elle a pris gout à ce genre de garçon devant se faire payer un max quand je vois leur voiture.
À ce jour, aucune fois elle nous demande un surplus à la part par Duc et qu’elle a accepté.
Pourquoi me poser plus de questions, c’est son cul et son pognon ?
Pour le reste la vie continue malgré le manque de notre grand homme.
Nous venons de franchir une nouvelle étape.
Je viens d’accompagner Jules pour la course de son poulain de trois ans.
Il est si fougueux que son jockey est à deux doigts de le désarçonner, mais il part comme une flèche et gagne avec trois longueurs d’avance.
Cette victoire acquise permet à mon fils le plus jeune propriétaire gagnant du prix des trois ans.
Dès le lendemain les plus grands propriétaires surtout les plus riches lui font des ponts d’or mais à 8 ans, il sait déjà ce qu’il veut et me demande de tout refuser.

Qu’est devenue ma vie après la mort de Duc et mon accouchement ?
C’est Sonia de plus en plus proche de moi sans ambiguïté car elle reconnaît que je suis plus capable qu’elle de gérer le domaine qui m’annonce la nouvelle.
À la mairie quand elle est venue reconnaître ma fille à mon nom, son père était venu personnellement comme la loi lui en donne le droit reconnaître Duchesse, c’est le nom qu’il voulait que je lui donne.
Elle part dans la vie avec un papa une maman même si les mamans elle en a deux.
Moi bien sûr et Sonia qui m’a appris les plaisirs lesbiens.
La douceur des rapports entre femmes c’est ce que j’aime.
Évidemment il y a les hommes.
Quand ma chatte me démange Sonia malgré qu’elle me fist étant insuffisant je prends le pick-up et je pars pour Dieppe.
Je descends dans notre hôtel à Duc et à moi si possible dans notre chambre.
Je me promène sur la plage et le soir je vais au casino.
C’est là que je fais mon choix sur la queue qui va me satisfaire pour un temps.
Je les choisis suivant mon coup de cœur sans espoir d’une liaison durable.
L’épisode Ludo m’a vacciné des liaisons que je pensais durable.
Une bonne nuit de baise et je retourne à mon labeur.

J’ai un autre amant, rencontré à Longchamp alors que Jules Sonia et moi amenions Horage avec un H lettre de cette année-là.
C’est un cheval de cinq ans autre craque de notre haras pour sa course de préparation à l’arc de Triomphe.
Il lui suffit d’être deuxième pour avoir assez de gain pour être engagé dans cette grande course.

- Mère, je vous présente Lord John Cromwell, c’est son cheval qui nous a battus.

Depuis quelque temps mon fils me dit « mère », un vrai petit homme.
Le Lord me baise la main.

- Pour faire pardonner mon cheval de vous avoir battu, je vous invite avec mademoiselle et votre fils à dîner à mon hôtel.
Votre fils m’a dit que vous étiez descendu dans un autre.

Le nom de son hôtel, je le connais, pour éviter les frais supplémentaires j’ai choisi le nôtre d’une classe légèrement inférieure.

- Mademoiselle Sonia, je pense que Jules tombe de sommeil.
Voulez-vous le ramener à votre hôtel, mon chauffeur va vous ramener.
Marie, me permettez-vous de vous offrir un verre au bar…

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Texte coquin : COLLECTION COCU. Le poulain. Début de la saison II (5/8)
Histoire sexe : Une rose rouge
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