COLLECTION COCU. Le poulain. Début de la saison V (17/20)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION COCU. Le poulain. Début de la saison V (17/20)
Voici, Chris71 a fini le chapitre V et vous en fait profiter.
Nous avions quitté Marie qui cherchait un financement pour son projet.
Refus des banquiers malgré les garanties apportées, comme Jupiter notre champion qui est devenu le meilleur de sa génération.
Même les chevaux de Lord Cromwell, John pour moi, car c’est mon amant.
Oui, soyons franche, l’un de mes amants depuis la trahison de Louis, le père de Jules, mon fils qui devient un jeune adolescent.
Certes, Louis m’a trahi avec l’aide de sa mère Isabelle, car quand je l’ai épousé il était déjà en couple avec Lucrecia qui s’est avéré être un hermaphrodite.
C’est le jour où j’ai découvert la bite de Lucrecia dans le fion de mon mari que j’ai appris la maladie de Duc, mon beau-père qui lui aussi est devenu mon amant.
Dire que lors de mon mariage j’étais une petite fille pure, rêvant d’amour éternel.
Comment aurais-je pu imaginer devenir plus que la maîtresse de cet homme allant même dans un dernier sursaut érotique me faire cadeau de Duchesse, ma fille.
Duc dont les cendres dans une urne après sa crémation, reposant sous le sable au centre du manège qu’il a dirigé en main de maître !
Bref, je parlais de Jupiter et des chevaux de John qu’il bat régulièrement.
Je suis à Paris pour rencontrer Xavier, l’amant escorte de celle dont je dois parler brièvement, car elle est devenue quantité négligeable au sein de notre famille.
Avec John en séjour chez moi, avec Élisabeth, sa fille a eu soif et comme je l’ai suivie, car il m’avait bien baisé qu’un petit verre était le bienvenu.
Isabelle était en galante compagnie.
C’est en l’écoutant s’épancher sur sa jeunesse et surtout sur le vrai père de mon ex-mari que j’ai pu réunissant un conseil de famille la faire placer dans une maison de retraite haut de gamme.
Cette maison pour personnes âgées est assez proche, mais assez loin du manoir de mon fils pour qu’elle nous laisse tranquille.
J’ai récupéré l’aile que Duc lui avait réservée, très onéreuse à entretenir surtout servant pour une femme seule.
J’avais une idée pour pouvoir développer et faire fructifier les avoirs de mon fils, ouvrir des chambres d’hôtes dans les douze chambres, six en bas et six en haut.
Je veux être honnête, le refus des banquiers est aussi lié à l’appellation chambres d’hôtes.
La législation prévoit un maximum de cinq chambres pour être des chambres d’hôtes après douze, c’est un hôtel.
J’ai compris très vite que chambres d’hôtes ou hôtel s’était du pareil au même, mais s’était trop tard et mon dossier m’était refusé.
Xavier comme escortboy connaît du monde et m’emmène à Neuilly dans une magnifique demeure rencontrer Magalie qui a ses dires, peut m’aider.
C’est là que je tombe de haut.
Aux comportements de certains, même si tous sont encore habillés très chic, les hommes en smoking et les femmes comme moi en robe du soir, je prends conscience que ce sont des libertins qui sont là pour partouzer.
- Tu as compris Marie, ces personnes bourrées de fric s’amusent à se mélanger.
- Ce soir es-tu là comme escorte, il te paye ?
- Ça te dérangerait ?
- Non.
- Ça tombe bien sachant que tu venais, j’avais annulé ma présence m’assayant sur un paquet de fric pour toi.
Me disant ces mots qui me touchent, il me prend dans ses bras et il m’embrasse.
Nos corps se collent pour la première fois et le contact est plus qu’agréable.
- Bon les amoureux, j’ai vu tout le monde.
J’espère que Xavier t’a mis au courant que nous sommes une bande d’amis libertins.
Examinons ton affaire avant que je sois entraînée à devenir la chienne de la soirée, voyons ce que je peux faire.
Je lui explique tout, même ma belle-mère et l’aile que je pensais transformer.
- C’est très bien, récapitulons.
Elle a tout compris.
- Ces banquiers sont des ignares, il fallait qu’ils sautent sur ton affaire qui a un magnifique potentielle, un haras, un manoir en Normandie, tout ça très près de Paris.
Je vois déjà le taux de remplissage, même en hiver.
Cet hôtel où les gens pourront loger entre deux promenades à cheval, c’est tout à fait ce que nous cherchions.
Mon mari est architecte, vous l’avez peut-être vu, c’est le grand monsieur le crâne rasé avec toujours un gros cigare à la main qui reste toujours éteint.
Ça lui reste du temps où il fumait et ça lui donne de l’importance même si je le mène par le bout du nez.
Xavier m’ayant dit ce que tu voulais faire succinctement, je lui en ai parlé et il est prêt à monter un projet entre nous.
J’ai de suite senti que le courant passait.
Ce doit être mon côté bi récemment découvert avec Poupette, la gendarmette et Sonia ma belle-sœur.
- Avec nos amis, nous pouvons prendre tout en charge si tu nous réserves un week-end par mois où nous viendrions nous aérer et faire des balades en forêt.
Il m’a dit que tu partais demain en Écosse chez un ami !
Quand reviens-tu ?
- Huit à dix jours.
- C’est du temps perdu, pouvons-nous aller chez toi avec Robert, mon mari pour tout calculer à ton retour, tu repasses par ici et nous te montrerons ce que nous envisageons de faire.
- J’appellerais Sonia ma belle-sœur, elle vous recevra et vous fera visiter le haras et le manoir.
Je suis devenue une femme de tête sachant ce qu’elle veut.
C’est bras dessous, bras dessus que nous quittons ce petit salon pour rejoindre ses invités.
Magalie elle aussi est une femme de tête.
- Marie, si tu veux nous quitter, je demanderais à Xavier de te raccompagner.
Robert, je te présente Marie, fais-lui l’honneur de notre soirée, je vois à son regard qu’elle meure d’envie de connaître nos amis.
Baisemain, quelques personnes saluées jusqu’à un canapé où nous nous installons, une coupe prise sur le plateau de la jeune fille en or.
- À notre coopération, je vais nous préparer un projet qui sera gagnant pour toi et moi !
Puis-je te proposer de me sucer la queue, tu me plais énormément ?
C’est comme ça que je vois Xavier s’asseoir à mes côtés un sourire au coin des yeux.
Robert ouvre ses boutons un à un avant de me montrer une queue forte appétissante.
Partouzer, ça semble vouloir faire partie de ma nouvelle vie, alors que je pensais baiser avec Xavier, dans mon hôtel.
Ma main prend cette belle verge bien tendue.
Ma bouche s’approche.
Je la fais descendre dans ma gorge le plus lentement et le plus profondément possible.
Quand je sens une main s’insinuer sous ma robe et me caresser la chatte.
J’ai une vision de ce grand salon et je vois Magalie entre quatre gars.
Le double de moi mais elle a l’avantage de tous les connaître.
Je retourne à mon labeur.
Je vois le cigare dans la main de mon hôte, hormis sa bite dans ma bouche il est assez sexy pour son âge plus grand que le mien.
Veut-il l’exclusivité ou veut-il me dominer comme savait le faire Duc dans ses meilleurs et derniers moments avec moi ?
Je me retrouve à quatre pattes mes mains sur cette verge que je lèche du méat aux couilles.
- Xavier, chauffe-lui la chatte avec ta bouche avant qu’elle accepte que je l’enfile.
- Oui, Robert, je vais bien te la préparer pour mon plus grand plaisir.
C’est derrière moi qu’il se glisse, de nouveau écarte ma robe.
Je me laisse faire avec grand plaisir.
Je suce, il suce, c’est facile pour lui, je coule littéralement.
La situation me plait surtout quand tout en pompant, je tourne la tête et que je vois Magalie à quatre pattes les garçons autour d’elle les suçant alternativement.
Elle m’a dit vouloir être la chienne de la soirée, ça semble bien être parti.
Au moment où son mari me fait monter sur sa queue me remplissant divinement, je pense que nous sommes au moins deux chiennes.
Xavier nous quitte, son travail fait.
Il aime les vieilles, il y en a au moins une ici.
Il la prend dans ces bras lui entretenant les amygdales.
- Je vois que tu regardes Xavier, j’espère que tu sais que c’est une petite pute.
Tu vois, il sait toujours où se trouve son intérêt.
C’est la mère de Magalie, ma belle-maman.
Je monte toujours le long de sa queue qui commence à me faire de l’effet.
Finissant sa phrase, il prend son cigare me le mettant dans la bouche.
Dommage aucune photo moi sur sa bite son cigare éteint dans ma bouche.
C’est trop je pars.
Non, pas de la soirée, car j’ai appris à aimer baiser, mais de plaisir quand Robert ensemble nos jouissances se confondent.
Je rentrerais bien, mais Xavier brille par son absence.
Magalie est recouverte du jus de ses hommes, je l’aide à se relever et c’est moi qui lui nettoie la figure avec ma langue.
J’ai déjà avalé du sperme, mais là quatre mecs qui ont déchargé sur sa figure, je suis gâtée.
Le travail fait, c’est nos langues qui se caressent doucement.
Sa main vient directement sur mon sein qu’elle dégage de ma robe.
Robert m’a baisée sans aucun égard pour mon corps.
Sa femme, elle sachant où sont les zones érogènes des femmes m’apporte un plaisir plus doux et plus diffus.
C’est elle qui prenant sa voiture Mercedes coupée sport me dépose au pied de mon hôtel sous le regard amusé du portier de nuit.
Comme après notre explication sur mon projet dans son salon, c’est de façon identique, bras dessus, bras dessous que nous rejoignons ma chambre.
Jusqu’au jour, les voisins doivent entendre le plaisir que deux femmes se donnent sans aucun tabou.
Poupette et Sonia m’ont bien formé dans les amours féminins et dans cette fin de nuit, je mets tous en pratique.
Même le frottage de clitos montre à Magalie que nous sommes deux chiennes en chaleur quand nous sommes propulsées dans un grand délire sexuel.
« Le train pour Londres partira dans deux minutes, attention aux fermetures des portes. »
J’ai toujours eu envie de prendre l’Eurostar, John m’attendant au terminus de ce tunnel qui passe sous la manche…
Nous avions quitté Marie qui cherchait un financement pour son projet.
Refus des banquiers malgré les garanties apportées, comme Jupiter notre champion qui est devenu le meilleur de sa génération.
Même les chevaux de Lord Cromwell, John pour moi, car c’est mon amant.
Oui, soyons franche, l’un de mes amants depuis la trahison de Louis, le père de Jules, mon fils qui devient un jeune adolescent.
Certes, Louis m’a trahi avec l’aide de sa mère Isabelle, car quand je l’ai épousé il était déjà en couple avec Lucrecia qui s’est avéré être un hermaphrodite.
C’est le jour où j’ai découvert la bite de Lucrecia dans le fion de mon mari que j’ai appris la maladie de Duc, mon beau-père qui lui aussi est devenu mon amant.
Dire que lors de mon mariage j’étais une petite fille pure, rêvant d’amour éternel.
Comment aurais-je pu imaginer devenir plus que la maîtresse de cet homme allant même dans un dernier sursaut érotique me faire cadeau de Duchesse, ma fille.
Duc dont les cendres dans une urne après sa crémation, reposant sous le sable au centre du manège qu’il a dirigé en main de maître !
Bref, je parlais de Jupiter et des chevaux de John qu’il bat régulièrement.
Je suis à Paris pour rencontrer Xavier, l’amant escorte de celle dont je dois parler brièvement, car elle est devenue quantité négligeable au sein de notre famille.
Avec John en séjour chez moi, avec Élisabeth, sa fille a eu soif et comme je l’ai suivie, car il m’avait bien baisé qu’un petit verre était le bienvenu.
Isabelle était en galante compagnie.
C’est en l’écoutant s’épancher sur sa jeunesse et surtout sur le vrai père de mon ex-mari que j’ai pu réunissant un conseil de famille la faire placer dans une maison de retraite haut de gamme.
Cette maison pour personnes âgées est assez proche, mais assez loin du manoir de mon fils pour qu’elle nous laisse tranquille.
J’ai récupéré l’aile que Duc lui avait réservée, très onéreuse à entretenir surtout servant pour une femme seule.
J’avais une idée pour pouvoir développer et faire fructifier les avoirs de mon fils, ouvrir des chambres d’hôtes dans les douze chambres, six en bas et six en haut.
Je veux être honnête, le refus des banquiers est aussi lié à l’appellation chambres d’hôtes.
La législation prévoit un maximum de cinq chambres pour être des chambres d’hôtes après douze, c’est un hôtel.
J’ai compris très vite que chambres d’hôtes ou hôtel s’était du pareil au même, mais s’était trop tard et mon dossier m’était refusé.
Xavier comme escortboy connaît du monde et m’emmène à Neuilly dans une magnifique demeure rencontrer Magalie qui a ses dires, peut m’aider.
C’est là que je tombe de haut.
Aux comportements de certains, même si tous sont encore habillés très chic, les hommes en smoking et les femmes comme moi en robe du soir, je prends conscience que ce sont des libertins qui sont là pour partouzer.
- Tu as compris Marie, ces personnes bourrées de fric s’amusent à se mélanger.
- Ce soir es-tu là comme escorte, il te paye ?
- Ça te dérangerait ?
- Non.
- Ça tombe bien sachant que tu venais, j’avais annulé ma présence m’assayant sur un paquet de fric pour toi.
Me disant ces mots qui me touchent, il me prend dans ses bras et il m’embrasse.
Nos corps se collent pour la première fois et le contact est plus qu’agréable.
- Bon les amoureux, j’ai vu tout le monde.
J’espère que Xavier t’a mis au courant que nous sommes une bande d’amis libertins.
Examinons ton affaire avant que je sois entraînée à devenir la chienne de la soirée, voyons ce que je peux faire.
Je lui explique tout, même ma belle-mère et l’aile que je pensais transformer.
- C’est très bien, récapitulons.
Elle a tout compris.
- Ces banquiers sont des ignares, il fallait qu’ils sautent sur ton affaire qui a un magnifique potentielle, un haras, un manoir en Normandie, tout ça très près de Paris.
Je vois déjà le taux de remplissage, même en hiver.
Cet hôtel où les gens pourront loger entre deux promenades à cheval, c’est tout à fait ce que nous cherchions.
Mon mari est architecte, vous l’avez peut-être vu, c’est le grand monsieur le crâne rasé avec toujours un gros cigare à la main qui reste toujours éteint.
Ça lui reste du temps où il fumait et ça lui donne de l’importance même si je le mène par le bout du nez.
Xavier m’ayant dit ce que tu voulais faire succinctement, je lui en ai parlé et il est prêt à monter un projet entre nous.
J’ai de suite senti que le courant passait.
Ce doit être mon côté bi récemment découvert avec Poupette, la gendarmette et Sonia ma belle-sœur.
- Avec nos amis, nous pouvons prendre tout en charge si tu nous réserves un week-end par mois où nous viendrions nous aérer et faire des balades en forêt.
Il m’a dit que tu partais demain en Écosse chez un ami !
Quand reviens-tu ?
- Huit à dix jours.
- C’est du temps perdu, pouvons-nous aller chez toi avec Robert, mon mari pour tout calculer à ton retour, tu repasses par ici et nous te montrerons ce que nous envisageons de faire.
- J’appellerais Sonia ma belle-sœur, elle vous recevra et vous fera visiter le haras et le manoir.
Je suis devenue une femme de tête sachant ce qu’elle veut.
C’est bras dessous, bras dessus que nous quittons ce petit salon pour rejoindre ses invités.
Magalie elle aussi est une femme de tête.
- Marie, si tu veux nous quitter, je demanderais à Xavier de te raccompagner.
Robert, je te présente Marie, fais-lui l’honneur de notre soirée, je vois à son regard qu’elle meure d’envie de connaître nos amis.
Baisemain, quelques personnes saluées jusqu’à un canapé où nous nous installons, une coupe prise sur le plateau de la jeune fille en or.
- À notre coopération, je vais nous préparer un projet qui sera gagnant pour toi et moi !
Puis-je te proposer de me sucer la queue, tu me plais énormément ?
C’est comme ça que je vois Xavier s’asseoir à mes côtés un sourire au coin des yeux.
Robert ouvre ses boutons un à un avant de me montrer une queue forte appétissante.
Partouzer, ça semble vouloir faire partie de ma nouvelle vie, alors que je pensais baiser avec Xavier, dans mon hôtel.
Ma main prend cette belle verge bien tendue.
Ma bouche s’approche.
Je la fais descendre dans ma gorge le plus lentement et le plus profondément possible.
Quand je sens une main s’insinuer sous ma robe et me caresser la chatte.
J’ai une vision de ce grand salon et je vois Magalie entre quatre gars.
Le double de moi mais elle a l’avantage de tous les connaître.
Je retourne à mon labeur.
Je vois le cigare dans la main de mon hôte, hormis sa bite dans ma bouche il est assez sexy pour son âge plus grand que le mien.
Veut-il l’exclusivité ou veut-il me dominer comme savait le faire Duc dans ses meilleurs et derniers moments avec moi ?
Je me retrouve à quatre pattes mes mains sur cette verge que je lèche du méat aux couilles.
- Xavier, chauffe-lui la chatte avec ta bouche avant qu’elle accepte que je l’enfile.
- Oui, Robert, je vais bien te la préparer pour mon plus grand plaisir.
C’est derrière moi qu’il se glisse, de nouveau écarte ma robe.
Je me laisse faire avec grand plaisir.
Je suce, il suce, c’est facile pour lui, je coule littéralement.
La situation me plait surtout quand tout en pompant, je tourne la tête et que je vois Magalie à quatre pattes les garçons autour d’elle les suçant alternativement.
Elle m’a dit vouloir être la chienne de la soirée, ça semble bien être parti.
Au moment où son mari me fait monter sur sa queue me remplissant divinement, je pense que nous sommes au moins deux chiennes.
Xavier nous quitte, son travail fait.
Il aime les vieilles, il y en a au moins une ici.
Il la prend dans ces bras lui entretenant les amygdales.
- Je vois que tu regardes Xavier, j’espère que tu sais que c’est une petite pute.
Tu vois, il sait toujours où se trouve son intérêt.
C’est la mère de Magalie, ma belle-maman.
Je monte toujours le long de sa queue qui commence à me faire de l’effet.
Finissant sa phrase, il prend son cigare me le mettant dans la bouche.
Dommage aucune photo moi sur sa bite son cigare éteint dans ma bouche.
C’est trop je pars.
Non, pas de la soirée, car j’ai appris à aimer baiser, mais de plaisir quand Robert ensemble nos jouissances se confondent.
Je rentrerais bien, mais Xavier brille par son absence.
Magalie est recouverte du jus de ses hommes, je l’aide à se relever et c’est moi qui lui nettoie la figure avec ma langue.
J’ai déjà avalé du sperme, mais là quatre mecs qui ont déchargé sur sa figure, je suis gâtée.
Le travail fait, c’est nos langues qui se caressent doucement.
Sa main vient directement sur mon sein qu’elle dégage de ma robe.
Robert m’a baisée sans aucun égard pour mon corps.
Sa femme, elle sachant où sont les zones érogènes des femmes m’apporte un plaisir plus doux et plus diffus.
C’est elle qui prenant sa voiture Mercedes coupée sport me dépose au pied de mon hôtel sous le regard amusé du portier de nuit.
Comme après notre explication sur mon projet dans son salon, c’est de façon identique, bras dessus, bras dessous que nous rejoignons ma chambre.
Jusqu’au jour, les voisins doivent entendre le plaisir que deux femmes se donnent sans aucun tabou.
Poupette et Sonia m’ont bien formé dans les amours féminins et dans cette fin de nuit, je mets tous en pratique.
Même le frottage de clitos montre à Magalie que nous sommes deux chiennes en chaleur quand nous sommes propulsées dans un grand délire sexuel.
« Le train pour Londres partira dans deux minutes, attention aux fermetures des portes. »
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