COLLECTION COCU. Le poulain. Début de la saison VII (25/29
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Le poulain. Début de la saison VII (25/29
La saison VI s’est terminée sur la demande de lever de la punition d’Élisabeth, la fille de Lord Cromwell, John pour moi sa maîtresse.
La présence de mon fils ayant revêtu le kilt de ce clan prestigieux qui organise cette fête en mon honneur, me pousse à être magnanime.
Il donne des ordres et une demi-heure après, l’incident est clos du moins, je le crois.
La révérence que la jeune fille vient me présenter Il est temps de retourner au château de Flavy pour voir ou la visite de Marie va la conduire.
- Que la fête commence !
C’est par ces mots que prononce John étant monté sur la scène prévue à cet effet qu’il déclare ouverte la fête organisée par son clan.
- Chers amis, je vous ai invité à double titre cette année.
La venue de mon amie marie, jeune Française que j’ai eu la chance de rencontrer lors de courses qui hélas pour elle, notre cheval a gagné.
Elle a accepté de revêtir le kilt à nos couleurs gens de Flavy.
Salué là comme elle le mérite.
Tous m’applaudissent me rendant légèrement mal à l’aise.
- Ma fille Élisabeth a tenu à ce que j’invite Jules, son fils, son copain.
Aisy nous l’a ramené en compagnie de Sonia, sa tante et Poupette son amie.
- Aisy devait être en pays de connaissance.
- Alister, dis-moi que tu as déjà descendu quelques pintes de ma meilleure bière ou que tu as entamé une nouvelle bouteille de mon meilleur whisky ?
- Mais tu vas fermer ta gueule Alister, chacun fait ce qu’il veut dans sa vie.
On en reparlera ce soir à la maison.
Merde, dès dix heures, ça promet.
- Merci Bonnie de défendre l’honneur de nos invitées, mais parlons de la suite des événements.
Comme chaque fois qu’un de nos clans a à célébrer un évènement exceptionnel nous, les célèbres héritiers des Outlanders le faisons dans la musique et des combats entre chacun de nos clans.
La journée se déroulera suivant le plan suivant.
Dans quelques minutes, concours de cornemuse, chaque chef a désigné son champion et nous les départagerons en toute objectivité comme nous savons le faire.
- Inutile de concourir, c’est celui du clan Mcdo qui va gagner.
- Tu te trompes Ronald, mon joueur est le meilleur, nous l’avons spécialement entraîné.
- Serveur, apportez une pinte de bière à Ronald Macdonald et à Jamie Fraser pour qu’enfin ils enterrent la hache de guerre, qu’ils ont trop souvent l’habitude de déterrer.
Près des deux hommes se trouve une jeune femme, certainement la fille voire la petite fille de Macdonald, c’est obligé vu la différence d’âge.
Ce qui est bien avec les kilts et leur couleur, c’est que, rapidement on sait qui est qui.
Je parle de Macdonald, car le sien est vert et jaune comme le vieux bouc à la barbe blanche à ses côtés.
- Continuons la journée.
Après ce concours, il sera 12 heures et nous ferons une pause.
Vous pourrez vous restaurer au buffet froid que mes employés vous serviront.
À quinze heures nous nous retrouverons tous pour les jeux si chers à nos ancêtres.
Lancé de tronc d’arbre et surtout pour terminer notre célèbre tir à la corde entre clans.
Sans vouloir remuer le couteau dans la plaie, j’ai remplacé mon père, trop tôt disparu et depuis mon clan celui des Cromwell est invaincu à cet exercice.
- Il en sera de même cette année.
- Merci Edgar, avec une force de la nature comme toi, ça c’est sûr.
Toutefois, je vous rappelle les nouvelles règles mises en place l’an passé.
Afin de respecter la parité et rabaisser le caquet de certains d’entre vous, messieurs, je vous rappelle que les vingt tireurs devront être onze hommes et neuf femmes.
- Tu parles d’une parité !
- Tu as raison Edgar, mais Ronald m’a fait savoir que Lorna est certainement enceinte et tient à ce qu’elle reste à nous regarder tirer à la corde.
L’homme qui vient de parler est un vrai gringalet, si j’avais à choisir des hommes forts, je le choisirais en dernier.
- Enfin, pour finir la journée avant le repas, vous savez que je suis veuf depuis bien des années.
À la demande de ma fille, comme le veut la tradition, chaque cran proposera l’une de ses filles pour que je choisisse ma nouvelle épouse.
Ronald et Lorna, c’est encore tout frais, l’an dernier à la même époque.
John parle de la jeune fille certainement enceinte avec le vieux barbu que j’avais pris pour sa fille.
Élisabeth se tourne vers moi.
- Marie, Lorna était mon amie, il l’a demandé en mariage l’an passé et cette petite conne a accepté.
J’aurais voulu qu’elle attende que père se décide de retrouver une femme.
Mais comme il retardait le moment et malgré mes insistances pour que père se remarie, elle a accepté la proposition du vieux Macdonald.
Un an, John, m’avait honoré de ses assiduités, mais pour moi hors de question de vivre, dans ce joli coin d’Écosse, j’aime tellement ma Normandie.
Celle que je prenais pour la fille, voire la petite fille de ce vieux chef de clan est, en fait son épouse.
À y bien regarder, quand j’ai épousé Louis, j’avais environ l’âge de cette jeune fille.
Si Duc m’avait demandé en mariage, je l’aurais repoussé faisant la plus grave erreur de ma vie, même s’il est mort, les moments passés ensemble sont gravés à jamais dans ma mémoire.
Ronald est peut-être un véritable étalon et une bête de pieu.
Que je deviens vulgaire, une bête de pieu, que de chemin parcouru.
Le concours de cornemuse a lieu.
Chaque chef de clan vote avec des règles d’honneur, interdiction de voter pour son candidat.
- Vainqueur, le clan Fraser, pendant un an, son clan défilera en tête à chacune de nos manifestations.
Tous ceux et celles en kilt bleu et bleu foncé se congratule.
Ce que je remarque c’est que ça donne à tous ces gens l’occasion de boire des pintes de bière.
Il est midi, tous se ruent sur le buffet.
- Marie, j’ai conscience de trop te délaisser, qui j’aurais à choisir ce soir pour devenir la Lady du château de Flavy ?
J’ai bien une petite idée parmi les prétendantes.
Viens avec moi, il faut que j’aille voir la petite pouliche venue au monde quand nous sommes arrivés.
Il va prendre épouse et veut certainement passer un dernier moment avec moi.
Pourquoi lui reprocherais-je de vouloir donner une âme nouvelle à sa maison depuis son veuvage ?
Je suis rentrée à l’intérieur du clan des salopes acceptant de baiser avec ceux et celles qui bon me semblent.
Pourquoi pas lui ?
M’a-t-il fait la moindre promesse, d’ailleurs au vu de ce que je viens de penser sur la Normandie, pourquoi accepterais-je ?
Je suis bien une femme pleine de contradiction comme nous le sommes toutes.
Nous prenons le chemin du haras, main dans la main.
Intérieurement pour la dernière fois, j’aurais bien pris le chemin de la cave aux objets de supplices.
- Je te présente Maribelle, regarde comme ses pattes sont longues et détachées.
Dans quelques mois, elle va déchirer sur les champs de courses.
Je suis appuyé sur la barrière du box, comme je l’étais il y a si longtemps et que Ludo le palefrenier du Duc est venu carrément me saillir.
Je sens la queue de John déjà toute raide et quand je sens sa main s’insinuer dans la fente de mon kilt, ma chatte dénudée coule déjà de plaisir.
Quand je dis que je suis une salope, en voilà la preuve.
Mais qu’il est bon de cocufier, avant qu’elle soit choisie, celle qui aura l’honneur d’avoir la bague au doigt qu’immanquablement il lui passera en fin d’après-midi.
Me faire prendre par-derrière, je vais finir par être une experte, à force de me faire sauter en écartant simplement mes cuisses.
La verge de mon amant trouve sa place malgré le kilt, non les kilts.
Poussées vigoureuses comme je les aime tant et début de plaisir que mon amant sait à chaque coup me procurer.
Je le fais sortir voulant le garder en forme le plus longtemps possible en me retournant pour qu’il me prenne les lèvres.
Serais-je jalouse de qui le fera ce soir alors que je sais que je me morfondrais au fond de mon lit à pleurer toutes les larmes de mon corps.
Je soulève une jambe pour qu’il me pourfende de nouveau et c’est une chevauchée fantastique que nous entamons.
- Viens sur ce tas de foin, je veux que tu t’empales sur moi, nous avons encore un peu de temps devant nous.
Attends, j’ôte mon kilt, le foin, ça pique.
J’en fais autant nous préparant un coin discret caché des oeils indiscrets par une meule de foin entamé.
Je m’allonge et comme John bande toujours autant, il entre en moi d’une seule poussée.
J’allais exprimer mon plaisir qui automatiquement a redémarré, nous entendons des voix, nous figeant dans nos ébats.
Trois précisément.
Qui peut venir nous déranger, me frustrant de la queue que je sais recevoir en moi pour la dernière fois...
La présence de mon fils ayant revêtu le kilt de ce clan prestigieux qui organise cette fête en mon honneur, me pousse à être magnanime.
Il donne des ordres et une demi-heure après, l’incident est clos du moins, je le crois.
La révérence que la jeune fille vient me présenter Il est temps de retourner au château de Flavy pour voir ou la visite de Marie va la conduire.
- Que la fête commence !
C’est par ces mots que prononce John étant monté sur la scène prévue à cet effet qu’il déclare ouverte la fête organisée par son clan.
- Chers amis, je vous ai invité à double titre cette année.
La venue de mon amie marie, jeune Française que j’ai eu la chance de rencontrer lors de courses qui hélas pour elle, notre cheval a gagné.
Elle a accepté de revêtir le kilt à nos couleurs gens de Flavy.
Salué là comme elle le mérite.
Tous m’applaudissent me rendant légèrement mal à l’aise.
- Ma fille Élisabeth a tenu à ce que j’invite Jules, son fils, son copain.
Aisy nous l’a ramené en compagnie de Sonia, sa tante et Poupette son amie.
- Aisy devait être en pays de connaissance.
- Alister, dis-moi que tu as déjà descendu quelques pintes de ma meilleure bière ou que tu as entamé une nouvelle bouteille de mon meilleur whisky ?
- Mais tu vas fermer ta gueule Alister, chacun fait ce qu’il veut dans sa vie.
On en reparlera ce soir à la maison.
Merde, dès dix heures, ça promet.
- Merci Bonnie de défendre l’honneur de nos invitées, mais parlons de la suite des événements.
Comme chaque fois qu’un de nos clans a à célébrer un évènement exceptionnel nous, les célèbres héritiers des Outlanders le faisons dans la musique et des combats entre chacun de nos clans.
La journée se déroulera suivant le plan suivant.
Dans quelques minutes, concours de cornemuse, chaque chef a désigné son champion et nous les départagerons en toute objectivité comme nous savons le faire.
- Inutile de concourir, c’est celui du clan Mcdo qui va gagner.
- Tu te trompes Ronald, mon joueur est le meilleur, nous l’avons spécialement entraîné.
- Serveur, apportez une pinte de bière à Ronald Macdonald et à Jamie Fraser pour qu’enfin ils enterrent la hache de guerre, qu’ils ont trop souvent l’habitude de déterrer.
Près des deux hommes se trouve une jeune femme, certainement la fille voire la petite fille de Macdonald, c’est obligé vu la différence d’âge.
Ce qui est bien avec les kilts et leur couleur, c’est que, rapidement on sait qui est qui.
Je parle de Macdonald, car le sien est vert et jaune comme le vieux bouc à la barbe blanche à ses côtés.
- Continuons la journée.
Après ce concours, il sera 12 heures et nous ferons une pause.
Vous pourrez vous restaurer au buffet froid que mes employés vous serviront.
À quinze heures nous nous retrouverons tous pour les jeux si chers à nos ancêtres.
Lancé de tronc d’arbre et surtout pour terminer notre célèbre tir à la corde entre clans.
Sans vouloir remuer le couteau dans la plaie, j’ai remplacé mon père, trop tôt disparu et depuis mon clan celui des Cromwell est invaincu à cet exercice.
- Il en sera de même cette année.
- Merci Edgar, avec une force de la nature comme toi, ça c’est sûr.
Toutefois, je vous rappelle les nouvelles règles mises en place l’an passé.
Afin de respecter la parité et rabaisser le caquet de certains d’entre vous, messieurs, je vous rappelle que les vingt tireurs devront être onze hommes et neuf femmes.
- Tu parles d’une parité !
- Tu as raison Edgar, mais Ronald m’a fait savoir que Lorna est certainement enceinte et tient à ce qu’elle reste à nous regarder tirer à la corde.
L’homme qui vient de parler est un vrai gringalet, si j’avais à choisir des hommes forts, je le choisirais en dernier.
- Enfin, pour finir la journée avant le repas, vous savez que je suis veuf depuis bien des années.
À la demande de ma fille, comme le veut la tradition, chaque cran proposera l’une de ses filles pour que je choisisse ma nouvelle épouse.
Ronald et Lorna, c’est encore tout frais, l’an dernier à la même époque.
John parle de la jeune fille certainement enceinte avec le vieux barbu que j’avais pris pour sa fille.
Élisabeth se tourne vers moi.
- Marie, Lorna était mon amie, il l’a demandé en mariage l’an passé et cette petite conne a accepté.
J’aurais voulu qu’elle attende que père se décide de retrouver une femme.
Mais comme il retardait le moment et malgré mes insistances pour que père se remarie, elle a accepté la proposition du vieux Macdonald.
Un an, John, m’avait honoré de ses assiduités, mais pour moi hors de question de vivre, dans ce joli coin d’Écosse, j’aime tellement ma Normandie.
Celle que je prenais pour la fille, voire la petite fille de ce vieux chef de clan est, en fait son épouse.
À y bien regarder, quand j’ai épousé Louis, j’avais environ l’âge de cette jeune fille.
Si Duc m’avait demandé en mariage, je l’aurais repoussé faisant la plus grave erreur de ma vie, même s’il est mort, les moments passés ensemble sont gravés à jamais dans ma mémoire.
Ronald est peut-être un véritable étalon et une bête de pieu.
Que je deviens vulgaire, une bête de pieu, que de chemin parcouru.
Le concours de cornemuse a lieu.
Chaque chef de clan vote avec des règles d’honneur, interdiction de voter pour son candidat.
- Vainqueur, le clan Fraser, pendant un an, son clan défilera en tête à chacune de nos manifestations.
Tous ceux et celles en kilt bleu et bleu foncé se congratule.
Ce que je remarque c’est que ça donne à tous ces gens l’occasion de boire des pintes de bière.
Il est midi, tous se ruent sur le buffet.
- Marie, j’ai conscience de trop te délaisser, qui j’aurais à choisir ce soir pour devenir la Lady du château de Flavy ?
J’ai bien une petite idée parmi les prétendantes.
Viens avec moi, il faut que j’aille voir la petite pouliche venue au monde quand nous sommes arrivés.
Il va prendre épouse et veut certainement passer un dernier moment avec moi.
Pourquoi lui reprocherais-je de vouloir donner une âme nouvelle à sa maison depuis son veuvage ?
Je suis rentrée à l’intérieur du clan des salopes acceptant de baiser avec ceux et celles qui bon me semblent.
Pourquoi pas lui ?
M’a-t-il fait la moindre promesse, d’ailleurs au vu de ce que je viens de penser sur la Normandie, pourquoi accepterais-je ?
Je suis bien une femme pleine de contradiction comme nous le sommes toutes.
Nous prenons le chemin du haras, main dans la main.
Intérieurement pour la dernière fois, j’aurais bien pris le chemin de la cave aux objets de supplices.
- Je te présente Maribelle, regarde comme ses pattes sont longues et détachées.
Dans quelques mois, elle va déchirer sur les champs de courses.
Je suis appuyé sur la barrière du box, comme je l’étais il y a si longtemps et que Ludo le palefrenier du Duc est venu carrément me saillir.
Je sens la queue de John déjà toute raide et quand je sens sa main s’insinuer dans la fente de mon kilt, ma chatte dénudée coule déjà de plaisir.
Quand je dis que je suis une salope, en voilà la preuve.
Mais qu’il est bon de cocufier, avant qu’elle soit choisie, celle qui aura l’honneur d’avoir la bague au doigt qu’immanquablement il lui passera en fin d’après-midi.
Me faire prendre par-derrière, je vais finir par être une experte, à force de me faire sauter en écartant simplement mes cuisses.
La verge de mon amant trouve sa place malgré le kilt, non les kilts.
Poussées vigoureuses comme je les aime tant et début de plaisir que mon amant sait à chaque coup me procurer.
Je le fais sortir voulant le garder en forme le plus longtemps possible en me retournant pour qu’il me prenne les lèvres.
Serais-je jalouse de qui le fera ce soir alors que je sais que je me morfondrais au fond de mon lit à pleurer toutes les larmes de mon corps.
Je soulève une jambe pour qu’il me pourfende de nouveau et c’est une chevauchée fantastique que nous entamons.
- Viens sur ce tas de foin, je veux que tu t’empales sur moi, nous avons encore un peu de temps devant nous.
Attends, j’ôte mon kilt, le foin, ça pique.
J’en fais autant nous préparant un coin discret caché des oeils indiscrets par une meule de foin entamé.
Je m’allonge et comme John bande toujours autant, il entre en moi d’une seule poussée.
J’allais exprimer mon plaisir qui automatiquement a redémarré, nous entendons des voix, nous figeant dans nos ébats.
Trois précisément.
Qui peut venir nous déranger, me frustrant de la queue que je sais recevoir en moi pour la dernière fois...
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