COLLECTION COCU. Le poulain. Fin de la Saison III (12/12)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION COCU. Le poulain. Fin de la Saison III (12/12)
Tenir l’énorme bite d’un cheval dans mes mains et la placé dans le vagin de la jument anglaise c’est la première fois pour moi.
Ce qui me choque quand la saillie est terminée c’est de voir mon fils Jules avec la petite anglaise Élisabeth applaudir alors que j’aurais voulu qu’à leur âge il prenne du temps avant de s’intéresser au sexe.
Bien que, si j’avais connu plutôt ma sexualité j’aurais peut-être évité le piège de ma belle-mère m’ayant choisi pour épouser Louis son fils.
J’ai fini par découvrir qu’il était comme on dit, à voile et à vapeur avec la gouvernante de notre fils Jules qui possédait une verge doublée d’une magnifique paire de seins.
Les seins ça auraient pu aller, mais la verge qu’il avait dans son anus m’a fait comprendre que j’avais été la boutentrain de cette famille.
Pas complètement car pour Duc mon beau-père, j’ai été la lumière de ses dernières heures avant de me quitter.
De cette union sexuelle, il m’a fait cadeau de ma poupette Duchesse qu’il a même reconnue.
Je peux difficilement revenir en arrière surtout quand je les vois aller dans le box de Jupiter qu’il va certainement présenter à sa copine.
Johnny le suit avec la pouliche et mes palefreniers qui vont eux aussi remettre Firsty dans son box avant le départ de mon amant dans vingt-quatre heures.
Je sais que ma belle-mère a prévu une soirée avec quelques amis qui l’ont tanné de voir de près un Lord anglais.
Je prends conscience que mes mains sont poisseuses aussi je décide d’aller dans ma chambre me les laver mais aussi de changer de tenue.
- Marie, serait-il possible de faire une sortie à cheval, j’ai prévu ma tenue de cavalier.
- Bien sûr, je vais moi-même me changer et donner les ordres à Ashley pour s’occuper des enfants.
Il faut que je donne des ordres pour ce soir mais aussi en voyant ma belle-mère pour savoir combien nous serons.
- Je vais dans ma chambre me changer.
Je donne des ordres à Loris qui va me préparer Filomène.
Le Lord accepte de chevaucher sur Darkness, après sa saillie ça va lui calmer le sang.
Quand nous arrivons, la voiture du docteur Franck est là.
C’est vrai que ma belle-mère m’avait dit qu’il venait la visiter.
Dès que j’ai franchi la porte de l’aile où elle a ses appartements, j’entends des bruits qui sont inexorablement des bruits de plaisir.
Quelle consultation, ils sont dans son salon, Isabelle est nue en levrette sur son canapé.
La porte ouverte et une glace bien orientée me font voir que le toubib a la même verge que mes amants mais moins conséquente que celle du Duc.
- Franck dimanche et aujourd’hui, je suis aux anges continu, tu vas me faire jouir.
Mon Dieu, Isabelle est une folle du cul.
Le médecin comme amant et des boys comme Xavier qu’elle se paye, comment dire autrement.
Sans oublier hier où elle voulait se farcir mon amant même si elle ignorait que nous l’étions.
Je me replis vers les cuisines où Marguerite prépare le repas.
Marguerite a presque 75 ans, habite dans des dépendances seule depuis la mort de son mari lui-même employé du Duc.
Elle pourrait être en retraite qu’elle touche d’ailleurs depuis quinze ans, mais refuse de quitter son travail.
Ça nous arrange bien nous avons un chef trois étoiles dans notre cuisine.
Isabelle avant de se donner à son amant est venue lui dire que nous serions douze.
J’ai donc ma réponse et Wanda lui a promis de venir l’aider.
Je me douche rapidement et je descends retrouver John qui parle avec sa fille et mon fils qui sont avec Ashley.
Il a mis sa tenue qui est plutôt du genre vieille Angleterre mais qui le rend encore plus impressionnant.
Nos chevaux sont près, Darkness en vrai pur sang, il nous l’a montré tout à l'heure semble avoir besoin d’un bon galop pour se calmer.
- Vous croyez que vous arriverez à le maîtriser ?
- Le cheval qui me résistera est loin d’être né.
Filomène semble en joie d’aller se promener.
Je monte grâce au banc et nous partons.
- Tu connais la région, guide-nous, attend je vais faire un bon décrassage à mon cheval, j’ai rarement eu une telle boule de nerfs.
- Prends à droite dans la forêt à quelques kilomètres il y a une grange attend moi là.
John donne un coup de jarret à sa monture qui part comme s’il voulait gagner le grand prix.
J’arrive dix minutes après lui et je vois Darkness dans le petit enclos qui a dû être conçu pour ceux qui comme nous sommes à cheval et pouvoir travailler dans la grange.
Je saute à terre ça je sais faire.
Monter c’est difficile, descendre c’est facile, je l’ai prouvé avant de me retrouver dans le lit de Xavier.
Les deux chevaux semblent contents de se retrouver et se mettent à gambader malgré l’étroitesse de l’enclos.
Je passe devant John dois y être.
Une voiture est devant la porte qui est entrouverte.
J’entre.
- Ah, Marie tu es arrivé, tu as mis ton cheval dans le petit pré.
Regarde qui était là à faire du sport.
Je crois que vous vous connaissez, au peu que nous nous sommes dit en buvant un dé de whisky d’une vieille cuvée.
Incroyable, le monde est petit, parlant comme si de rien, mes deux amants sirotent le whisky venu tout droit d’Angleterre dans la poche de la veste de mon Anglais d’amant.
Il me tend un petit gobelet moi qui suis sobre d’habitude, je suis étonnée de rencontrer mes amants ensemble que j’en bois deux de suite.
- Marie, j’ai bien compris c’est ?
- C’est !
- Marie c’est ?
- C’est !
C’est par ces simples mots que j’avoue aux deux hommes qu’ils sont mes amants et que j’aime l’être.
Avec son accent anglais redonnant une tournée à tous les trois, il me dit.
- Marie c’est sans souci, Xavier est un garçon charmant, à ce jour entre nous les sentiments sont sincères mais sans exclusivité.
- Tu as des maîtresses en Angleterre.
- Marie, rappelle-toi je suis homo comme je l’ai dit à ta belle-mère hier.
Nous éclatons de rire tous les deux laissant Xavier sur le bord du chemin de notre histoire.
- Xavier me disait pour son accident et c’est là qu’avant que tu arrives, j’ai compris que tu étais allée chez lui où il fait du sport comme il faisait quand je suis arrivé.
Xavier est assis sur une botte de foin comme John et a une corde descendant de la trappe où l’échelle qui m’a permis de vivre ma vie se trouve.
- Un jour je me promenais avec ma voiture à boîte automatique et commandes au volant qui était dans mon garage quand tu es venue.
J’aime ces bois, j’aime trouver des endroits insolites pour mes romans noirs alors je me promenais quand un jour j’ai vu cette grange.
Elle a été témoin de deux meurtres dans deux romans différents.
- Regarde ce que Xavier est capable de faire.
J’ai failli mourir quand il m’est apparu pendu à cette corde.
J’ai vu les athlètes des pompiers de Paris faire ce genre d’exercice.
Par la simple force de ses bras, je le vois monter rapidement ce qui lui reste de jambes impeccablement placées à 90° du reste de son corps.
Il disparaît par la trappe avant de redescendre et se rassoir sur sa botte de foin.
- Attends, je vais essayer.
John se lève enlève sa veste de cavalier rouge.
Je l’arrête, le whisky aidant, sa ceinture est à bonne hauteur, je la défais et je sors la verge de celui qui se déclare homo mais qui est loin de l’être.
Je suis près de Xavier qui en fait de même avec mon legging en me le tirant vers le bas.
Je prends la queue de mon amant anglais dans ma bouche me penchant vers elle ;Je sens la bouche de Xavier écarter mes globes et venir fourrer sa langue de mon intimité à mon anus qu’il lèche sans sembler avoir de répulsion.
Cette grange sera toujours pour moi le lieu de mes nouveaux débordements, maintenant c’est deux verges qui commencent à m’honorer.
Je suis tombée à quatre pattes, tout en prolongeant la fellation que je maîtrise de mieux en mieux et mon legging sur mes bottes, Xavier sur ses genoux se tenant à mes hanches vient de rentrer en moi.
Deux verges pour s’occuper de moi c’est beau l’amour quand il est pratiqué aussi simplement que moi Marie, Xavier qui éclate ma vulve avec sa grosse bite bien plus impressionnante que celle de mon Anglais.
- Xavier, serions-nous capables de prendre cette femelle en chaleur en double pénétration ?
- Oui bien sur.
- Madame accepte-t-elle la sodomie ?
Ce mot dans le brouillard dû au whisky, me rappelle mes ébats après être monté à cette échelle avec Ludo, mon première amant.
Depuis calme plat du côté de mon anus.
- Je suis partante messieurs.
- Xavier serait-ce raisonnable que ce soit toi avec ton gros marteau-pilon qui sodomise notre gentille petite maîtresse.
- C’est encore moi qui décide de qui doit m’enculer messieurs.
Je dois être devenue folle, John s’allonge sur le foin ayant enlevé bottes et pantalon de cheval.
Je m’assieds sur sa verge qui entre dans mon vagin bien chauffé par le pieu de Xavier.
Même si nous changeons de position et que la boule est restée sur le bord du chemin.
Comme pour ma chatte, il se place derrière moi et comme la première fois je le sens au bord de mon anneau.
- Ah ! Ah Ah !
Encore, encore, encore !
Ce sont les cris que je pousse dans ma grange aux plaisirs quand tous les deux éclatent en moi.
Nous soufflons.
- C’était bon !
- C’était bon !
- Oh oui, c’était bon, bon, bon !
On sait qui prononce ces derniers mots avant de reprendre place sur terre, dans ma grange.
- Dis-moi Xavier es-tu libre ce soir ?
- Oui pourquoi ?
- Je t’invite au manoir au repas pour notre invité d’honneur.
Monsieur John ici présent.
- Si c’est en l’honneur de John, je serais là.
- Vous avoir tous les deux, j’adore.
Un point que je sais de ma belle-mère et qui va me permettre de me venger de la vente de son fils à la dinde que j’étais.
Elle est superstitieuse et nous serons 13 à table.
Fin de la saison III, direction la saison IV en espérant qu’elle sera aussi chaude que celle que je viens de terminer.
Ce qui me choque quand la saillie est terminée c’est de voir mon fils Jules avec la petite anglaise Élisabeth applaudir alors que j’aurais voulu qu’à leur âge il prenne du temps avant de s’intéresser au sexe.
Bien que, si j’avais connu plutôt ma sexualité j’aurais peut-être évité le piège de ma belle-mère m’ayant choisi pour épouser Louis son fils.
J’ai fini par découvrir qu’il était comme on dit, à voile et à vapeur avec la gouvernante de notre fils Jules qui possédait une verge doublée d’une magnifique paire de seins.
Les seins ça auraient pu aller, mais la verge qu’il avait dans son anus m’a fait comprendre que j’avais été la boutentrain de cette famille.
Pas complètement car pour Duc mon beau-père, j’ai été la lumière de ses dernières heures avant de me quitter.
De cette union sexuelle, il m’a fait cadeau de ma poupette Duchesse qu’il a même reconnue.
Je peux difficilement revenir en arrière surtout quand je les vois aller dans le box de Jupiter qu’il va certainement présenter à sa copine.
Johnny le suit avec la pouliche et mes palefreniers qui vont eux aussi remettre Firsty dans son box avant le départ de mon amant dans vingt-quatre heures.
Je sais que ma belle-mère a prévu une soirée avec quelques amis qui l’ont tanné de voir de près un Lord anglais.
Je prends conscience que mes mains sont poisseuses aussi je décide d’aller dans ma chambre me les laver mais aussi de changer de tenue.
- Marie, serait-il possible de faire une sortie à cheval, j’ai prévu ma tenue de cavalier.
- Bien sûr, je vais moi-même me changer et donner les ordres à Ashley pour s’occuper des enfants.
Il faut que je donne des ordres pour ce soir mais aussi en voyant ma belle-mère pour savoir combien nous serons.
- Je vais dans ma chambre me changer.
Je donne des ordres à Loris qui va me préparer Filomène.
Le Lord accepte de chevaucher sur Darkness, après sa saillie ça va lui calmer le sang.
Quand nous arrivons, la voiture du docteur Franck est là.
C’est vrai que ma belle-mère m’avait dit qu’il venait la visiter.
Dès que j’ai franchi la porte de l’aile où elle a ses appartements, j’entends des bruits qui sont inexorablement des bruits de plaisir.
Quelle consultation, ils sont dans son salon, Isabelle est nue en levrette sur son canapé.
La porte ouverte et une glace bien orientée me font voir que le toubib a la même verge que mes amants mais moins conséquente que celle du Duc.
- Franck dimanche et aujourd’hui, je suis aux anges continu, tu vas me faire jouir.
Mon Dieu, Isabelle est une folle du cul.
Le médecin comme amant et des boys comme Xavier qu’elle se paye, comment dire autrement.
Sans oublier hier où elle voulait se farcir mon amant même si elle ignorait que nous l’étions.
Je me replis vers les cuisines où Marguerite prépare le repas.
Marguerite a presque 75 ans, habite dans des dépendances seule depuis la mort de son mari lui-même employé du Duc.
Elle pourrait être en retraite qu’elle touche d’ailleurs depuis quinze ans, mais refuse de quitter son travail.
Ça nous arrange bien nous avons un chef trois étoiles dans notre cuisine.
Isabelle avant de se donner à son amant est venue lui dire que nous serions douze.
J’ai donc ma réponse et Wanda lui a promis de venir l’aider.
Je me douche rapidement et je descends retrouver John qui parle avec sa fille et mon fils qui sont avec Ashley.
Il a mis sa tenue qui est plutôt du genre vieille Angleterre mais qui le rend encore plus impressionnant.
Nos chevaux sont près, Darkness en vrai pur sang, il nous l’a montré tout à l'heure semble avoir besoin d’un bon galop pour se calmer.
- Vous croyez que vous arriverez à le maîtriser ?
- Le cheval qui me résistera est loin d’être né.
Filomène semble en joie d’aller se promener.
Je monte grâce au banc et nous partons.
- Tu connais la région, guide-nous, attend je vais faire un bon décrassage à mon cheval, j’ai rarement eu une telle boule de nerfs.
- Prends à droite dans la forêt à quelques kilomètres il y a une grange attend moi là.
John donne un coup de jarret à sa monture qui part comme s’il voulait gagner le grand prix.
J’arrive dix minutes après lui et je vois Darkness dans le petit enclos qui a dû être conçu pour ceux qui comme nous sommes à cheval et pouvoir travailler dans la grange.
Je saute à terre ça je sais faire.
Monter c’est difficile, descendre c’est facile, je l’ai prouvé avant de me retrouver dans le lit de Xavier.
Les deux chevaux semblent contents de se retrouver et se mettent à gambader malgré l’étroitesse de l’enclos.
Je passe devant John dois y être.
Une voiture est devant la porte qui est entrouverte.
J’entre.
- Ah, Marie tu es arrivé, tu as mis ton cheval dans le petit pré.
Regarde qui était là à faire du sport.
Je crois que vous vous connaissez, au peu que nous nous sommes dit en buvant un dé de whisky d’une vieille cuvée.
Incroyable, le monde est petit, parlant comme si de rien, mes deux amants sirotent le whisky venu tout droit d’Angleterre dans la poche de la veste de mon Anglais d’amant.
Il me tend un petit gobelet moi qui suis sobre d’habitude, je suis étonnée de rencontrer mes amants ensemble que j’en bois deux de suite.
- Marie, j’ai bien compris c’est ?
- C’est !
- Marie c’est ?
- C’est !
C’est par ces simples mots que j’avoue aux deux hommes qu’ils sont mes amants et que j’aime l’être.
Avec son accent anglais redonnant une tournée à tous les trois, il me dit.
- Marie c’est sans souci, Xavier est un garçon charmant, à ce jour entre nous les sentiments sont sincères mais sans exclusivité.
- Tu as des maîtresses en Angleterre.
- Marie, rappelle-toi je suis homo comme je l’ai dit à ta belle-mère hier.
Nous éclatons de rire tous les deux laissant Xavier sur le bord du chemin de notre histoire.
- Xavier me disait pour son accident et c’est là qu’avant que tu arrives, j’ai compris que tu étais allée chez lui où il fait du sport comme il faisait quand je suis arrivé.
Xavier est assis sur une botte de foin comme John et a une corde descendant de la trappe où l’échelle qui m’a permis de vivre ma vie se trouve.
- Un jour je me promenais avec ma voiture à boîte automatique et commandes au volant qui était dans mon garage quand tu es venue.
J’aime ces bois, j’aime trouver des endroits insolites pour mes romans noirs alors je me promenais quand un jour j’ai vu cette grange.
Elle a été témoin de deux meurtres dans deux romans différents.
- Regarde ce que Xavier est capable de faire.
J’ai failli mourir quand il m’est apparu pendu à cette corde.
J’ai vu les athlètes des pompiers de Paris faire ce genre d’exercice.
Par la simple force de ses bras, je le vois monter rapidement ce qui lui reste de jambes impeccablement placées à 90° du reste de son corps.
Il disparaît par la trappe avant de redescendre et se rassoir sur sa botte de foin.
- Attends, je vais essayer.
John se lève enlève sa veste de cavalier rouge.
Je l’arrête, le whisky aidant, sa ceinture est à bonne hauteur, je la défais et je sors la verge de celui qui se déclare homo mais qui est loin de l’être.
Je suis près de Xavier qui en fait de même avec mon legging en me le tirant vers le bas.
Je prends la queue de mon amant anglais dans ma bouche me penchant vers elle ;Je sens la bouche de Xavier écarter mes globes et venir fourrer sa langue de mon intimité à mon anus qu’il lèche sans sembler avoir de répulsion.
Cette grange sera toujours pour moi le lieu de mes nouveaux débordements, maintenant c’est deux verges qui commencent à m’honorer.
Je suis tombée à quatre pattes, tout en prolongeant la fellation que je maîtrise de mieux en mieux et mon legging sur mes bottes, Xavier sur ses genoux se tenant à mes hanches vient de rentrer en moi.
Deux verges pour s’occuper de moi c’est beau l’amour quand il est pratiqué aussi simplement que moi Marie, Xavier qui éclate ma vulve avec sa grosse bite bien plus impressionnante que celle de mon Anglais.
- Xavier, serions-nous capables de prendre cette femelle en chaleur en double pénétration ?
- Oui bien sur.
- Madame accepte-t-elle la sodomie ?
Ce mot dans le brouillard dû au whisky, me rappelle mes ébats après être monté à cette échelle avec Ludo, mon première amant.
Depuis calme plat du côté de mon anus.
- Je suis partante messieurs.
- Xavier serait-ce raisonnable que ce soit toi avec ton gros marteau-pilon qui sodomise notre gentille petite maîtresse.
- C’est encore moi qui décide de qui doit m’enculer messieurs.
Je dois être devenue folle, John s’allonge sur le foin ayant enlevé bottes et pantalon de cheval.
Je m’assieds sur sa verge qui entre dans mon vagin bien chauffé par le pieu de Xavier.
Même si nous changeons de position et que la boule est restée sur le bord du chemin.
Comme pour ma chatte, il se place derrière moi et comme la première fois je le sens au bord de mon anneau.
- Ah ! Ah Ah !
Encore, encore, encore !
Ce sont les cris que je pousse dans ma grange aux plaisirs quand tous les deux éclatent en moi.
Nous soufflons.
- C’était bon !
- C’était bon !
- Oh oui, c’était bon, bon, bon !
On sait qui prononce ces derniers mots avant de reprendre place sur terre, dans ma grange.
- Dis-moi Xavier es-tu libre ce soir ?
- Oui pourquoi ?
- Je t’invite au manoir au repas pour notre invité d’honneur.
Monsieur John ici présent.
- Si c’est en l’honneur de John, je serais là.
- Vous avoir tous les deux, j’adore.
Un point que je sais de ma belle-mère et qui va me permettre de me venger de la vente de son fils à la dinde que j’étais.
Elle est superstitieuse et nous serons 13 à table.
Fin de la saison III, direction la saison IV en espérant qu’elle sera aussi chaude que celle que je viens de terminer.
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