COLLECTION COCU. Le poulain. Fin de la saison V (20/20)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Le poulain. Fin de la saison V (20/20)
Aussitôt arrivée, aussitôt abandonnée.
Lord Cromwell, John pour moi qui peut dire être son intime.
Mon lord est d’abord parti mettre bas une jument qui poulinait pour finir par prendre son jet afin de retourner à Londres siéger à la chambre des Lords à la demande explicite de la reine.
Moi qui ai toujours été fleur bleue ayant même des œillères sur la fidélité de Louis, mon mari du début de ma vie de femme.
Début bien vite dépassé, grâce dans un premier temps à Ludo le palefrenier en passant par Duc l’amant parfait même s’il était mon beau-père.
Amant et père de ma fille Duchesse, ultime cadeau avant, hélas, de nous tirer sa révérence.
Je passe la multitude de turpitudes que j’ai accepté de faire pour satisfaire ma boulimie de sexe en tout genre.
Hommes, femmes, belle-sœur, Poupette, maîtresse de cette dernière jusqu’à une partouze à Paris avant de rejoindre celui qui me fait languir de sa présence.
Languir et même jalouse de son absence persuadée qu’il était parti avec sa co-pilote alors qu’il était simplement dans un petit avion de tourisme.
Je prends le repas avec la fille de mon amant chacune dans une robe longue qui semble être la coutume fort élégante de mon coquin de John.
Le saumon, qu’en dire !
En France, saumon norvégien et saumon écossais se taille la part belle dans nos supermarchés, mais je préfère celui qui est préparé à la charcuterie de notre village, du moins pour le saumon fumé.
Viens, le moment du haggis, ouf, des tripes, du moins ça y ressemble, le tout servi avec une purée de pommes de terre.
- Dis-moi Élisabeth, c’est moins terrible que ça en a l’air, ce sont des tripes avec deux purées de couleurs différentes.
- C’est de la panse de brebis, farci avec foie, cœur et poumons de l’animal.
Tu as raison, purée de pomme de terre et purée de rutabaga.
Du rutabaga tient, c’est drôle.
- Lorsque j’étais petite dans mon village, j’allais chez ma grand-mère en Bretagne, elle me faisait des crêpes et me parlait souvent que pendant la guerre, il mangeait des rutabagas avec grand-père.
Tu sais qu’ils font partie de la famille des navets.
Napus en latin, parles-tu latin ?
- Ça existe ça le latin !
Forte pour le sexe de très bonne heure, mais inculte en racine des mots.
Et pour terminer le repas un fruit.
- Si tu le permets, je vais me retirer dans ma chambre, je dois recevoir un appel de Jules.
Il est très possessif et a horreur du moindre de mes retards.
Jules, mon fils, à peine sortie de l’adolescence semble être très porté sur le sexe.
Élisabeth aussi, mais ça c’est le problème de son père, pas le mien.
J’entre dans ma chambre, je dégrafe ma robe qui tombe au sol.
Je suis entièrement nue.
Là encore, qui eut dit après ma jeunesse et mon éducation très stricte que je serais capable de me promener nue dans la chambre d’un château écossais ?
- Oui, Aisy, je savais ton appel, John vient de me le dire au téléphone, que désires-tu ?
- T’empêcher de t'encroûter seule dans ton château avec la petite peste d’Élisabeth.
- Elle a été charmante.
- Tu es dans la merde, attention aux coups bas, je la connais comme si c’était moi qui l’avais faite ?
- Je me méfierais.
- Dis, as-tu jean basket au moins autre chose que ton tailleur de vieille fille.
- Je vais me débrouiller, en Normandie, j’ai un haras et je suis toujours en tenue décontractée, j’ai simplement oublié de prendre mes bottes pour marcher dans le crottin.
- Prépare-toi, je viens te chercher.
Je m’avance, je trouve un pantalon des soquettes blanches et mon chemisier blanc que je portais sous mon tailleur dans l’avion, mais aucune paire de chaussures.
Une idée, j’enfile mon peignoir, lui je l’ai emporté et je sors de ma chambre.
La porte suivante, c’est celle qu’Élisabeth m’a désignée comme celle de son père, vu par l’extérieur.
La suivante, un débarras, quand en face, j’entends une voix caractéristique, Jules est dans le château !
Rapidement c’est celle de la petite.
Petite, pas autant que ça, vu la teneur de la conversation que j’entends.
- Tu vois, je te l’avais dit quand tu m’as dit qu’elle avait un gros cul.
Ces femmes adorent se faire enculer.
C’est l’attrait de la nouveauté.
Prendre un amant pour baiser comme le mari le fait, ça manque de piment pour elles.
- Tu as raison, tu as toujours raison, depuis que je t’ai baisé dans ta chambre le soir où tu es venue avec ton père, tu me proposes des choses et je m’exécute.
Tu es ma bite à distance.
Je te le rappelle, la prochaine fois que l’on se voit, c’est toi qui y passes, une bonne sodo ça va te plaire.
Attention, rappelle-toi, moi seul doit te baiser.
- Tu le sais Jules, toi seul compte et je serais toujours celle qui fera tout ce que tu veux.
Quand je pensais que le Duc était de retour et dire qu’Élisabeth me disait que c’est elle qui menait le bal.
Il coupe, je frappe, on me dit d’entrer.
La jeune fille semblant soumise à mon fils est sur son lit, en chemise de nuit assise en tailleur et une tablette entre les jambes.
Nul doute que mon fils pouvait voir si la petite était rasée où avait sa toison.
À son âge, je lisais encore les livres de la bibliothèque rose.
Je sais, on peut croire que j’étais attardé.
Bien sûr, je faisais quelques études et j’ai lu certains livres de la littérature française et même Anglaise ou certaines scènes étaient très chaudes.
- Aurais-tu des baskets à me prêté, j’ai oublié les miennes en Normandie !
- J’en ai du 38.
- Je fais du 37, je mettrais un bout de coton au bout.
Elle se lève, j’ai ma réponse sans le vouloir, mon fils voyait une chatte toute lisse.
- Tu sors !
- Non, c’est pour demain matin, tu m’emmèneras en acheter une paire à Fyvie quand je te conduirais à notre distillerie de whisky.
Bonne nuit.
Je retourne de retour dans ma chambre, afin de finir de me préparer et de me maquiller.
Pourquoi ai-je caché à Élisabeth qu’Aisy venait me chercher.
Je suis majeure et j’ai le droit de faire ce que je veux sans rendre de compte.
Certainement parce que, la fille de mon amant est en âge de sortir et que je me voyais mal partager la couche de d’Aisy avec elle.
- Tu es ravissante, la trentaine te va bien, certaines femmes se dessèchent à ton âge, je suis sûr que tu dois t’épanouir à tous les moments de ta vie.
- Merci, c’est pareil pour toi, tu dois faire tourner les têtes dans votre ville.
Je monte dans sa mini et rapidement nous arrivons devant chez Aisy, elle gare sa voiture.
- Allons prendre une pinte au pub, tu verras, tu vas rencontrer la crème de l’Écosse.
Lorsque tu retourneras chez toi, tu pourras dire, je les ai vus.
Nous entrons dans le bar, celui que j’avais vu en arrivant me disant qu’il devait être typique écossais.
Plus des trois quarts des hommes portent le kilt aux couleurs des divers clans.
Ils ont tous des shops de bières et certain de whisky.
Ça sent la viande saoule.
- Viens, il y a une table, évitons le bar, il y a toujours des mains baladeuses.
Parmi ces hommes, peu de femmes, mais qui toutes lèvent le coude.
Elle commande deux pintes de bière brune, c’est la première fois que je vais en boire.
J’adore la bière blonde en été quand il fait très chaud.
Il y a quelques minutes qu’on est là quand un homme plus ivre que les autres quitte sa bande et viens vers nous.
Il parle sans que je comprenne, soulève son kilt et prend sa bite en main la secouant fortement.
Ils sont bien nus sous leur vêtement, mais l’homme est tellement imbibé que ce qu’il secoue est, certes, long, mais mou.
Aisy lui répond du tac au tac l’homme semblant s’excuser, au passage le nom de Cromwell me parvient aux oreilles.
- Que me voulait cet homme, en quelle langue parlait-il et pourquoi m’a-t-il secoué sa verge sous mon nez.
- Il nous a parlé en gaëlique et voulait que tu lui suces la queue.
- Pourquoi moi ?
- Car je suis lesbienne et il t’a proposé de lui sucer la queue plutôt que ma chatte.
- Que lui as-tu répondu pour qu’il semble s’excuser ?
- Je lui ai dit que tu étais la fiancée de Lord Cromwell et que, dans peu de temps tu serais la nouvelle Lady de son clan et que tu le débarqueras de son poste de contremaître à l’usine de whisky de ton chéri.
La fiancée du Lord, elle est folle, j’aime trop ma Normandie…
Voilà la saison V du « Poulain » se termine avec cette interrogation.
Marie deviendra-t-elle une Lady écossaise passant de son manoir Normand à ce château en Écosse.
Nous le saurons dans les prochaines semaines le temps pour Chris71 d’écrire la Saison VI.
Lord Cromwell, John pour moi qui peut dire être son intime.
Mon lord est d’abord parti mettre bas une jument qui poulinait pour finir par prendre son jet afin de retourner à Londres siéger à la chambre des Lords à la demande explicite de la reine.
Moi qui ai toujours été fleur bleue ayant même des œillères sur la fidélité de Louis, mon mari du début de ma vie de femme.
Début bien vite dépassé, grâce dans un premier temps à Ludo le palefrenier en passant par Duc l’amant parfait même s’il était mon beau-père.
Amant et père de ma fille Duchesse, ultime cadeau avant, hélas, de nous tirer sa révérence.
Je passe la multitude de turpitudes que j’ai accepté de faire pour satisfaire ma boulimie de sexe en tout genre.
Hommes, femmes, belle-sœur, Poupette, maîtresse de cette dernière jusqu’à une partouze à Paris avant de rejoindre celui qui me fait languir de sa présence.
Languir et même jalouse de son absence persuadée qu’il était parti avec sa co-pilote alors qu’il était simplement dans un petit avion de tourisme.
Je prends le repas avec la fille de mon amant chacune dans une robe longue qui semble être la coutume fort élégante de mon coquin de John.
Le saumon, qu’en dire !
En France, saumon norvégien et saumon écossais se taille la part belle dans nos supermarchés, mais je préfère celui qui est préparé à la charcuterie de notre village, du moins pour le saumon fumé.
Viens, le moment du haggis, ouf, des tripes, du moins ça y ressemble, le tout servi avec une purée de pommes de terre.
- Dis-moi Élisabeth, c’est moins terrible que ça en a l’air, ce sont des tripes avec deux purées de couleurs différentes.
- C’est de la panse de brebis, farci avec foie, cœur et poumons de l’animal.
Tu as raison, purée de pomme de terre et purée de rutabaga.
Du rutabaga tient, c’est drôle.
- Lorsque j’étais petite dans mon village, j’allais chez ma grand-mère en Bretagne, elle me faisait des crêpes et me parlait souvent que pendant la guerre, il mangeait des rutabagas avec grand-père.
Tu sais qu’ils font partie de la famille des navets.
Napus en latin, parles-tu latin ?
- Ça existe ça le latin !
Forte pour le sexe de très bonne heure, mais inculte en racine des mots.
Et pour terminer le repas un fruit.
- Si tu le permets, je vais me retirer dans ma chambre, je dois recevoir un appel de Jules.
Il est très possessif et a horreur du moindre de mes retards.
Jules, mon fils, à peine sortie de l’adolescence semble être très porté sur le sexe.
Élisabeth aussi, mais ça c’est le problème de son père, pas le mien.
J’entre dans ma chambre, je dégrafe ma robe qui tombe au sol.
Je suis entièrement nue.
Là encore, qui eut dit après ma jeunesse et mon éducation très stricte que je serais capable de me promener nue dans la chambre d’un château écossais ?
- Oui, Aisy, je savais ton appel, John vient de me le dire au téléphone, que désires-tu ?
- T’empêcher de t'encroûter seule dans ton château avec la petite peste d’Élisabeth.
- Elle a été charmante.
- Tu es dans la merde, attention aux coups bas, je la connais comme si c’était moi qui l’avais faite ?
- Je me méfierais.
- Dis, as-tu jean basket au moins autre chose que ton tailleur de vieille fille.
- Je vais me débrouiller, en Normandie, j’ai un haras et je suis toujours en tenue décontractée, j’ai simplement oublié de prendre mes bottes pour marcher dans le crottin.
- Prépare-toi, je viens te chercher.
Je m’avance, je trouve un pantalon des soquettes blanches et mon chemisier blanc que je portais sous mon tailleur dans l’avion, mais aucune paire de chaussures.
Une idée, j’enfile mon peignoir, lui je l’ai emporté et je sors de ma chambre.
La porte suivante, c’est celle qu’Élisabeth m’a désignée comme celle de son père, vu par l’extérieur.
La suivante, un débarras, quand en face, j’entends une voix caractéristique, Jules est dans le château !
Rapidement c’est celle de la petite.
Petite, pas autant que ça, vu la teneur de la conversation que j’entends.
- Tu vois, je te l’avais dit quand tu m’as dit qu’elle avait un gros cul.
Ces femmes adorent se faire enculer.
C’est l’attrait de la nouveauté.
Prendre un amant pour baiser comme le mari le fait, ça manque de piment pour elles.
- Tu as raison, tu as toujours raison, depuis que je t’ai baisé dans ta chambre le soir où tu es venue avec ton père, tu me proposes des choses et je m’exécute.
Tu es ma bite à distance.
Je te le rappelle, la prochaine fois que l’on se voit, c’est toi qui y passes, une bonne sodo ça va te plaire.
Attention, rappelle-toi, moi seul doit te baiser.
- Tu le sais Jules, toi seul compte et je serais toujours celle qui fera tout ce que tu veux.
Quand je pensais que le Duc était de retour et dire qu’Élisabeth me disait que c’est elle qui menait le bal.
Il coupe, je frappe, on me dit d’entrer.
La jeune fille semblant soumise à mon fils est sur son lit, en chemise de nuit assise en tailleur et une tablette entre les jambes.
Nul doute que mon fils pouvait voir si la petite était rasée où avait sa toison.
À son âge, je lisais encore les livres de la bibliothèque rose.
Je sais, on peut croire que j’étais attardé.
Bien sûr, je faisais quelques études et j’ai lu certains livres de la littérature française et même Anglaise ou certaines scènes étaient très chaudes.
- Aurais-tu des baskets à me prêté, j’ai oublié les miennes en Normandie !
- J’en ai du 38.
- Je fais du 37, je mettrais un bout de coton au bout.
Elle se lève, j’ai ma réponse sans le vouloir, mon fils voyait une chatte toute lisse.
- Tu sors !
- Non, c’est pour demain matin, tu m’emmèneras en acheter une paire à Fyvie quand je te conduirais à notre distillerie de whisky.
Bonne nuit.
Je retourne de retour dans ma chambre, afin de finir de me préparer et de me maquiller.
Pourquoi ai-je caché à Élisabeth qu’Aisy venait me chercher.
Je suis majeure et j’ai le droit de faire ce que je veux sans rendre de compte.
Certainement parce que, la fille de mon amant est en âge de sortir et que je me voyais mal partager la couche de d’Aisy avec elle.
- Tu es ravissante, la trentaine te va bien, certaines femmes se dessèchent à ton âge, je suis sûr que tu dois t’épanouir à tous les moments de ta vie.
- Merci, c’est pareil pour toi, tu dois faire tourner les têtes dans votre ville.
Je monte dans sa mini et rapidement nous arrivons devant chez Aisy, elle gare sa voiture.
- Allons prendre une pinte au pub, tu verras, tu vas rencontrer la crème de l’Écosse.
Lorsque tu retourneras chez toi, tu pourras dire, je les ai vus.
Nous entrons dans le bar, celui que j’avais vu en arrivant me disant qu’il devait être typique écossais.
Plus des trois quarts des hommes portent le kilt aux couleurs des divers clans.
Ils ont tous des shops de bières et certain de whisky.
Ça sent la viande saoule.
- Viens, il y a une table, évitons le bar, il y a toujours des mains baladeuses.
Parmi ces hommes, peu de femmes, mais qui toutes lèvent le coude.
Elle commande deux pintes de bière brune, c’est la première fois que je vais en boire.
J’adore la bière blonde en été quand il fait très chaud.
Il y a quelques minutes qu’on est là quand un homme plus ivre que les autres quitte sa bande et viens vers nous.
Il parle sans que je comprenne, soulève son kilt et prend sa bite en main la secouant fortement.
Ils sont bien nus sous leur vêtement, mais l’homme est tellement imbibé que ce qu’il secoue est, certes, long, mais mou.
Aisy lui répond du tac au tac l’homme semblant s’excuser, au passage le nom de Cromwell me parvient aux oreilles.
- Que me voulait cet homme, en quelle langue parlait-il et pourquoi m’a-t-il secoué sa verge sous mon nez.
- Il nous a parlé en gaëlique et voulait que tu lui suces la queue.
- Pourquoi moi ?
- Car je suis lesbienne et il t’a proposé de lui sucer la queue plutôt que ma chatte.
- Que lui as-tu répondu pour qu’il semble s’excuser ?
- Je lui ai dit que tu étais la fiancée de Lord Cromwell et que, dans peu de temps tu serais la nouvelle Lady de son clan et que tu le débarqueras de son poste de contremaître à l’usine de whisky de ton chéri.
La fiancée du Lord, elle est folle, j’aime trop ma Normandie…
Voilà la saison V du « Poulain » se termine avec cette interrogation.
Marie deviendra-t-elle une Lady écossaise passant de son manoir Normand à ce château en Écosse.
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