COLLECTION COCU. Le poulain. Saison VI (23/24)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Le poulain. Saison VI (23/24)
J’ai fait amie, amie avec Élisabeth, la fille de John qui me pilote dans la visite des biens de mon amant qui, hélas, m’a abandonné préférant la reine à son invité.
Les haras, classiques, un peu comme les miens.
Les chevaux, j’en ai des aussi beaux.
Le poulain, ceux de Jupiter ayant terminé sa carrière en course, il en fait d’aussi jolis depuis qu’il vit une retraite paisible à baiser toutes les salopes de pouliches qui veulent un gosse.
Pardon, pour les thèmes orduriers, ce doit être les restes de la biture d’hier.
Il faut dire que dans ma vie, comme pour les amours découverts sur le tard à la suite de la trahison de Louis, l’alcool et moi, on est loin de faire vie commune.
Assise en amazone sur le Scooter d’Élisabeth, je fais mon entrée dans la distillerie.
C’est là, que vient vers moi, l’homme qui hier en kilt m’a montré ses couilles.
Aujourd'hui, il est en combinaison de travail, dommage, il a de belles couilles.
- Bonjour Lady Marie, le patron m’a appelé pour me demander de vous faire visiter.
Ça recommence, mais je décide de jouer le jeu, s’il veut que je sois Lady Marie, pourquoi pas, le temps de mon séjour.
Si je suis la Lady de John, je suis une Lady abandonnée.
- Ici, ce sont les alambics.
De l’orge matière de base, si nous avions du temps, je pourrais donner des cours sur la fabrication du whisky.
- Ici ce sont les bureaux de la direction.
Voici ma femme Bonnie, ça fait huit ans que nous sommes mariés, elle m’a donné deux enfants.
- Bonjours Bonnie, vous en avez de la chance, à ce que j’ai vu, je comprends qu’il vous ait fait deux enfants.
- Alister, hier tu étais au pub alors que ça m’était impossible.
Tout le monde depuis que je suis entré dans les bureaux rigole derrière mon dos.
Je me doutais que tu en avais encore fait une.
Dis-moi que tu as été une nouvelle fois montré tes burnes à une dame.
- Laissée Bonnie, des roustons, j’en ai vu d’autres bien que ceux-ci, s’ils étaient loin d’être en pleine forme, me permettent de comprendre pourquoi vous avez deux enfants.
C’est sur ce bon mot que nous quittons la distillerie.
Ils voulaient me faire goûter à la production locale, mais les simples vapeurs d’alcool suffisent pour que ma tête tourne.
L’air assis sur l’engin d’Élisabeth me fait retrouver mes esprits, mais je prends un bon bain ayant du temps avant de descendre dîner.
Arrivés au château, des gens s’affairent à préparer la fête qui doit avoir lieu demain.
Estrade et tribunes montre que ça va être grandiose.
J’espérais retrouver John, mais une nouvelle fois il brille par son absence.
Est-ce le fait que tout le monde pense que je vais épouser John, mais une envie de sexe me taraude.
Je me souviens que bien qu’étant une jeune fille sage, après que des poils aient poussé sur ma chatte.
Le jet d’eau de la douche déclenchait en moi de petites jouissances vite oubliées lorsque j’ai connu les verges des hommes.
Je ferme les yeux, ce devrait être John qui me présente sa verge, mais l’amour est tenace et c’est celle de Duc qui arrive derrière à mes paupières.
Bien sûr, quand je passe l’une des robes longues, je suis frustrée, quand John aura-t-il fini de faire des courbettes à la reine.
Je sais que la reine, laisse la politique à d’autres, lisant une foi par an, le discours de politique générale du Premier ministre à la chambre des communes.
- As-tu passé une bonne journée Marie, j’ai adoré ta repartie avec Bonnie à la distillerie ?
La tête qu’elle faisait bien qu’elle sache qu’elle porte des cornes.
Alister a toujours été le bouc de ces dames sauf d’Aisy, mais là tu sais pourquoi.
Au dessert, j’aurais une surprise pour toi.
Que je suis heureuse, quand John nous rejoindra, il pourra constater que j’ai une grande connivence avec sa fille et qu’il en sera heureux.
Pourquoi Aisy m’a dit que c’était une petite peste ?
Le repas se termine, j’ai hâte de découvrir la surprise qu’elle m’a faite.
Comment
- Devine ce que je cache sous ma serviette.
- Dis-moi, les devinettes et moi, c’est loin d’être mon fort.
- La clef de la cave au secret.
Je suis allé dans la chambre de père et c’était dans sa table de nuit qu’elle était, allons voir.
Je prends la clef, devant mes yeux après la bite de Duc, c’est un drap blanc volant que je semble voir.
J’arrive devant la porte, je l’ouvre, la serrure est bien huilée.
Un interrupteur, un palier puis un escalier descendant dans les bas-fonds du château.
J’enlève mes talons aiguilles et je commence à descendre.
La porte claque, je remonte rapidement.
J’essaye d’ouvrir, là je comprends pourquoi Aisy parlait de petite peste, c’est fermé à clef, je suis prisonnière de ce lieu.
Alors, je tambourine à la porte sans grand résultat.
Je décide de descendre affronter le fantôme du château de John Lord de Cromwell.
Une petite normande est prête à affronter tous les fantômes écossais.
À la fin des marches, une grille de fer, je la pousse elle s’ouvre me permettant d’entrer dans un lieu impossible à imaginer pour une jeune femme comme moi.
Je dois être revenue au Moyen Âge.
Une salle en forme de voûte avec plusieurs piliers de pierre.
Une salle ou se trouve de nombreux instruments de torture.
Du moins, c’est la première impression que j’en ai.
Exemple, devant moi avec fixés dessus cinq godes, du plus petit au plus grand et gros en même temps.
Ils sont en bois, et semblent avoir été taillés dans la masse du banc.
Quelle femme est capable de s’empaler sur de telles bites ?
C’est étrange de me retrouver ici en robe du soir et talon hauts.
J’ai l’impression d’être tombé dans un film de série B où les actrices jouent avec de tels godes.
Je continue le tour des différentes parties de la salle, mais bien vite je me rends compte que j’ignore à quoi peut bien servir tous ces engins que je dirais de mort pour certains.
Un exemple, une sorte de lance inversée sur un socle de métal.
Un système de poulies servant certainement à empaler quelqu’un dessus le fendant en deux pièces apportant irrémédiablement la mort.
Tient, ça j’ai déjà vu, une planche avec deux demi-lunes pour les mains et une autre plus grande pour la tête, tenue par une charnière de point d’âge, elle aussi permettant de refermer les deux parties inversées sur les mains et la tête de la suppliciée.
Pour pouvoir être en place, j’essaye et je doit légèrement me baisser en écartant les jambes.
Bien vite je me relève, j’ai failli faire tomber la deuxième partie à sa place me bloquant étant dans l’impossibilité de relever cette planche massive.
Je remonte, j’appelle, aucune réponse.
Je me rassieds sur les marches allant même jusqu’à somnoler.
J’ai mal aux fesses, une chose me fait envie, je reviens vers le banc soulève ma robe, écarte mon string et j’entre le plus petit des godes en moi.
Du beurre, il glisse facilement jusqu’à ce que mes fesses touchent la paire de couilles factice.
Je monte et je descends jusqu’à ce que je me demande ce qu’il se passerait en moi si je faisais entrer le deuxième dans mon intimité.
Un peu plus dur, mais en glissant dessus, je sens ma chatte bien humidifier de cyprine m’apporter un frisson bien plaisant dans ma situation.
Combien de temps vais-je devoir attendre dans cet endroit qui a l’avantage d’être à température constante.
Un, deux, pourquoi pas trois.
Sur celui-là, il me faut quelques coups de bas en haut pour avoir un orgasme.
Je sais que les godes ont pour fonction de remplacer le sexe des hommes, mais cinq et un énorme, ça devait servir aux femmes à autre chose qu’à prendre du plaisir.
Serais-je capable de me faire entrer le suivant en moi ?
J’essaye, mes chaires sont distendues au maximum et il m’est impossible de le faire entrer jusqu’au fond de mon vagin.
Je le sors de moi et je m’assieds entre les bites deux et trois.
- Marie, es-tu là ?
Je me réveille en sursaut, une voix familière, John.
Pas la voix d’un fantôme.
Il entre dans la cave, je lui saute au cou.
- Comment t’es-tu retrouvé là ?
Je lui raconte, la visite du château, la porte fermée à clef cette dernière dans sa chambre apportée par sa fille après le repas du soir.
- Ça fait deux heures que je te cherche, tu as failli rester enfermé là jusqu’à devenir un squelette, car un moment j’ai cru que tu étais répartie en Normandie.
- J’ai même appelé Aisy qui volait pour moi, mais depuis le matin où elle t’avais raccompagné, aucune nouvelle de toi.
Je suis allée voir Élisabeth, elle dormait, j’ai hésité à la réveiller.
C’est en allant chercher du monde que je viens de passer devant la porte de la cave et que j’ai vu ma clef.
Ouf, viens que je te serre fort, je t’ai retrouvé.
- À quoi sert tout ceci ?
- Une grande partie de ces objets de tortures est la propriété du château depuis le Moyen Âge.
Regarde cette lance inversée et ces poulies, le supplicier était élevé au-dessus et redescendu en passant par l’anus jusqu’à être transpercé, la pointe sortant par la bouche.
Le supplicier était descendu quelques centimètres de temps en temps.
S’il avait la chance qu’un organe vital soit transpercé, il mourrait rapidement.
Les bourreaux avaient une telle expérience qu’ils mouraient dans une longue agonie.
Sais-tu as quoi servait ce banc avec des godes de plus en plus gros ?
- Non.
- Coquine, je vois que les trois premiers sont couverts de ta cyprine.
La cave est fermée depuis le décès de ma femme, je suis le seul à y venir.
- C’est moi, tu as raison, j’ai voulu faire passer le temps, j’ai réussi jusqu’au troisième, j’ai même eu du plaisir.
Mais après je me serais fait éclater, c’est impossible pour moi.
- Heureusement, c’était un banc qui servait à savoir le degré de fidélité des femmes mariées, Marie…
Les haras, classiques, un peu comme les miens.
Les chevaux, j’en ai des aussi beaux.
Le poulain, ceux de Jupiter ayant terminé sa carrière en course, il en fait d’aussi jolis depuis qu’il vit une retraite paisible à baiser toutes les salopes de pouliches qui veulent un gosse.
Pardon, pour les thèmes orduriers, ce doit être les restes de la biture d’hier.
Il faut dire que dans ma vie, comme pour les amours découverts sur le tard à la suite de la trahison de Louis, l’alcool et moi, on est loin de faire vie commune.
Assise en amazone sur le Scooter d’Élisabeth, je fais mon entrée dans la distillerie.
C’est là, que vient vers moi, l’homme qui hier en kilt m’a montré ses couilles.
Aujourd'hui, il est en combinaison de travail, dommage, il a de belles couilles.
- Bonjour Lady Marie, le patron m’a appelé pour me demander de vous faire visiter.
Ça recommence, mais je décide de jouer le jeu, s’il veut que je sois Lady Marie, pourquoi pas, le temps de mon séjour.
Si je suis la Lady de John, je suis une Lady abandonnée.
- Ici, ce sont les alambics.
De l’orge matière de base, si nous avions du temps, je pourrais donner des cours sur la fabrication du whisky.
- Ici ce sont les bureaux de la direction.
Voici ma femme Bonnie, ça fait huit ans que nous sommes mariés, elle m’a donné deux enfants.
- Bonjours Bonnie, vous en avez de la chance, à ce que j’ai vu, je comprends qu’il vous ait fait deux enfants.
- Alister, hier tu étais au pub alors que ça m’était impossible.
Tout le monde depuis que je suis entré dans les bureaux rigole derrière mon dos.
Je me doutais que tu en avais encore fait une.
Dis-moi que tu as été une nouvelle fois montré tes burnes à une dame.
- Laissée Bonnie, des roustons, j’en ai vu d’autres bien que ceux-ci, s’ils étaient loin d’être en pleine forme, me permettent de comprendre pourquoi vous avez deux enfants.
C’est sur ce bon mot que nous quittons la distillerie.
Ils voulaient me faire goûter à la production locale, mais les simples vapeurs d’alcool suffisent pour que ma tête tourne.
L’air assis sur l’engin d’Élisabeth me fait retrouver mes esprits, mais je prends un bon bain ayant du temps avant de descendre dîner.
Arrivés au château, des gens s’affairent à préparer la fête qui doit avoir lieu demain.
Estrade et tribunes montre que ça va être grandiose.
J’espérais retrouver John, mais une nouvelle fois il brille par son absence.
Est-ce le fait que tout le monde pense que je vais épouser John, mais une envie de sexe me taraude.
Je me souviens que bien qu’étant une jeune fille sage, après que des poils aient poussé sur ma chatte.
Le jet d’eau de la douche déclenchait en moi de petites jouissances vite oubliées lorsque j’ai connu les verges des hommes.
Je ferme les yeux, ce devrait être John qui me présente sa verge, mais l’amour est tenace et c’est celle de Duc qui arrive derrière à mes paupières.
Bien sûr, quand je passe l’une des robes longues, je suis frustrée, quand John aura-t-il fini de faire des courbettes à la reine.
Je sais que la reine, laisse la politique à d’autres, lisant une foi par an, le discours de politique générale du Premier ministre à la chambre des communes.
- As-tu passé une bonne journée Marie, j’ai adoré ta repartie avec Bonnie à la distillerie ?
La tête qu’elle faisait bien qu’elle sache qu’elle porte des cornes.
Alister a toujours été le bouc de ces dames sauf d’Aisy, mais là tu sais pourquoi.
Au dessert, j’aurais une surprise pour toi.
Que je suis heureuse, quand John nous rejoindra, il pourra constater que j’ai une grande connivence avec sa fille et qu’il en sera heureux.
Pourquoi Aisy m’a dit que c’était une petite peste ?
Le repas se termine, j’ai hâte de découvrir la surprise qu’elle m’a faite.
Comment
- Devine ce que je cache sous ma serviette.
- Dis-moi, les devinettes et moi, c’est loin d’être mon fort.
- La clef de la cave au secret.
Je suis allé dans la chambre de père et c’était dans sa table de nuit qu’elle était, allons voir.
Je prends la clef, devant mes yeux après la bite de Duc, c’est un drap blanc volant que je semble voir.
J’arrive devant la porte, je l’ouvre, la serrure est bien huilée.
Un interrupteur, un palier puis un escalier descendant dans les bas-fonds du château.
J’enlève mes talons aiguilles et je commence à descendre.
La porte claque, je remonte rapidement.
J’essaye d’ouvrir, là je comprends pourquoi Aisy parlait de petite peste, c’est fermé à clef, je suis prisonnière de ce lieu.
Alors, je tambourine à la porte sans grand résultat.
Je décide de descendre affronter le fantôme du château de John Lord de Cromwell.
Une petite normande est prête à affronter tous les fantômes écossais.
À la fin des marches, une grille de fer, je la pousse elle s’ouvre me permettant d’entrer dans un lieu impossible à imaginer pour une jeune femme comme moi.
Je dois être revenue au Moyen Âge.
Une salle en forme de voûte avec plusieurs piliers de pierre.
Une salle ou se trouve de nombreux instruments de torture.
Du moins, c’est la première impression que j’en ai.
Exemple, devant moi avec fixés dessus cinq godes, du plus petit au plus grand et gros en même temps.
Ils sont en bois, et semblent avoir été taillés dans la masse du banc.
Quelle femme est capable de s’empaler sur de telles bites ?
C’est étrange de me retrouver ici en robe du soir et talon hauts.
J’ai l’impression d’être tombé dans un film de série B où les actrices jouent avec de tels godes.
Je continue le tour des différentes parties de la salle, mais bien vite je me rends compte que j’ignore à quoi peut bien servir tous ces engins que je dirais de mort pour certains.
Un exemple, une sorte de lance inversée sur un socle de métal.
Un système de poulies servant certainement à empaler quelqu’un dessus le fendant en deux pièces apportant irrémédiablement la mort.
Tient, ça j’ai déjà vu, une planche avec deux demi-lunes pour les mains et une autre plus grande pour la tête, tenue par une charnière de point d’âge, elle aussi permettant de refermer les deux parties inversées sur les mains et la tête de la suppliciée.
Pour pouvoir être en place, j’essaye et je doit légèrement me baisser en écartant les jambes.
Bien vite je me relève, j’ai failli faire tomber la deuxième partie à sa place me bloquant étant dans l’impossibilité de relever cette planche massive.
Je remonte, j’appelle, aucune réponse.
Je me rassieds sur les marches allant même jusqu’à somnoler.
J’ai mal aux fesses, une chose me fait envie, je reviens vers le banc soulève ma robe, écarte mon string et j’entre le plus petit des godes en moi.
Du beurre, il glisse facilement jusqu’à ce que mes fesses touchent la paire de couilles factice.
Je monte et je descends jusqu’à ce que je me demande ce qu’il se passerait en moi si je faisais entrer le deuxième dans mon intimité.
Un peu plus dur, mais en glissant dessus, je sens ma chatte bien humidifier de cyprine m’apporter un frisson bien plaisant dans ma situation.
Combien de temps vais-je devoir attendre dans cet endroit qui a l’avantage d’être à température constante.
Un, deux, pourquoi pas trois.
Sur celui-là, il me faut quelques coups de bas en haut pour avoir un orgasme.
Je sais que les godes ont pour fonction de remplacer le sexe des hommes, mais cinq et un énorme, ça devait servir aux femmes à autre chose qu’à prendre du plaisir.
Serais-je capable de me faire entrer le suivant en moi ?
J’essaye, mes chaires sont distendues au maximum et il m’est impossible de le faire entrer jusqu’au fond de mon vagin.
Je le sors de moi et je m’assieds entre les bites deux et trois.
- Marie, es-tu là ?
Je me réveille en sursaut, une voix familière, John.
Pas la voix d’un fantôme.
Il entre dans la cave, je lui saute au cou.
- Comment t’es-tu retrouvé là ?
Je lui raconte, la visite du château, la porte fermée à clef cette dernière dans sa chambre apportée par sa fille après le repas du soir.
- Ça fait deux heures que je te cherche, tu as failli rester enfermé là jusqu’à devenir un squelette, car un moment j’ai cru que tu étais répartie en Normandie.
- J’ai même appelé Aisy qui volait pour moi, mais depuis le matin où elle t’avais raccompagné, aucune nouvelle de toi.
Je suis allée voir Élisabeth, elle dormait, j’ai hésité à la réveiller.
C’est en allant chercher du monde que je viens de passer devant la porte de la cave et que j’ai vu ma clef.
Ouf, viens que je te serre fort, je t’ai retrouvé.
- À quoi sert tout ceci ?
- Une grande partie de ces objets de tortures est la propriété du château depuis le Moyen Âge.
Regarde cette lance inversée et ces poulies, le supplicier était élevé au-dessus et redescendu en passant par l’anus jusqu’à être transpercé, la pointe sortant par la bouche.
Le supplicier était descendu quelques centimètres de temps en temps.
S’il avait la chance qu’un organe vital soit transpercé, il mourrait rapidement.
Les bourreaux avaient une telle expérience qu’ils mouraient dans une longue agonie.
Sais-tu as quoi servait ce banc avec des godes de plus en plus gros ?
- Non.
- Coquine, je vois que les trois premiers sont couverts de ta cyprine.
La cave est fermée depuis le décès de ma femme, je suis le seul à y venir.
- C’est moi, tu as raison, j’ai voulu faire passer le temps, j’ai réussi jusqu’au troisième, j’ai même eu du plaisir.
Mais après je me serais fait éclater, c’est impossible pour moi.
- Heureusement, c’était un banc qui servait à savoir le degré de fidélité des femmes mariées, Marie…
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