COLLECTION COCU. Le poulain. Saison VII (27/29)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Le poulain. Saison VII (27/29)
Voilà le moment est arrivé, le lancer de poutre a vu la victoire des Mackenzie sur les Grant, celui du clan de John a fini honorablement à l’avant-dernière place.
Ça permet à tous les invités et participants de lever une nouvelle pinte.
John remonte sur scène.
- Alors, nous y voilà, le moment que chacun de nos clans attend est enfin venu.
L’une d’entre vous, mes demoiselles, va devenir ma fiancée du moins si elle accepte d’épouser un vieux croûton.
- Papa assume ta future presque cinquantaine, si j’étais une autre que ta fille, je me rongerais les sangs de savoir si je serais l’élue.
- Si même ma fille s’en mêle pour me casser, allons y, Ronald, présente nous ta prétendante.
Je laisse de côté les quatre premières candidates toutes les yeux baignés d’amour pour ce beau parti surtout pécuniaire que John représente.
Bien sûr, il faut ajouter à ça mon envie de pleurer, il reste celle que le clan Cromwell a dû choisir sans mon avis pour faire la potiche.
Je pense qu’il serait mal venu de faire tout ce fatras pour épouser la cousine Berthe, ce ridiculisant devant tous ces kilts de couleurs chatoyantes.
- Bien, c’est à mon clan de me donner le nom de celle que vous avez choisie en me cachant soigneusement celle dont vous pensez qu’elle serait potentiellement ma future épouse.
Quel beau comédien, les larmes me montent aux yeux, j’ai envie de hurler épouse-moi, même si je dois tout quitter même ma Normandie pour toi.
Sur l’estrade, miss kilos Grant se trémousse pour attirer son attention.
Est-il possible que tout ceci soit une mascarade et que cette truie, pardon, elle est grosse, mais avec 30 kilos en moins elle serait une bibo ?
- John, je peux présenter une candidate pour qu’elle concoure à tes épousailles.
- Bien sûr, Jules, toi et ceux de ta famille arborent les couleurs de notre clan.
Tu es donc en possibilité de me présenter une jeune femme qui pourrait me séduire.
- C’est simple, je propose Marie, ma maman qui je le crois à des sentiments pour toi.
- Jules, tu es fou, à quel jeu joues-tu ?
Élisabeth qui bizarrement c’est rapproché de moi, me parle à l’oreille.
- Marie, je reconnais que j’ai été une petite peste et je m’en excuse, mais je t’en supplie, accepte de monter sur le podium.
Quel jeu de con, même les enfants me poussent à faire la potiche jusqu’à l’ultime humiliation de voir la bague dans l’écrin que John tient dans sa main être passé au doigt de mademoiselle porcinet.
Pourquoi je le sais, avec mon poids et ma taille de guêpe malgré les années qui commencent à compter même si je suis-je suis légèrement plus jeune que John.
Je tends ma main, John la saisie et quand je suis à sa hauteur comme pour les autres prétendantes, il me baise la main avant de me faire assoir sur la dernière chaise placée là et où les autres popotins ont déjà pris place.
À mes côtés, celui de celle qui sera la futur Lady Cromwell et à qui on aurait dû donner deux chaises même si j’exagère un peu par jalousie.
La cérémonie commence.
John a en main, une bague et un sac, non, une bourse comme les Lords en avaient au temps des Outlanders.
Il s’approche de la première jeune fille, en kilt bleu clair et bleu foncé.
On m’a donné les codes de couleurs, à part celui que j’ai sur moi bleu et rouge et les vert et jaune des Macdonald, les autres je les confonds.
Il s’agenouille devant elle.
Je vois qu’elle espère avoir les honneurs de son clan et du notre car elle regarde mon amant avec des yeux enamourés.
Je vais lui arracher, si John tend la bague.
- Jenny, les Fraser me font un grand honneur et toi aussi, de vouloir devenir, ma nouvelle épouse, mais...
Ouf, mais, veux dire que c’est non.
- Reçois cette bourse en dédommagement des dépenses engagées par ta famille.
Mon choix va vers une autre, je suis sûr que tu trouveras rapidement un mari à la hauteur de ta grâce.
Une d’éliminée.
Je suis complètement folle, elle était très jolie, je me serais bien vu avoir des petits moments d’intimité avec elle après son mariage.
Une nouvelle fois quand John s’étant relevé s’agenouille devant la deuxième fille bien plus vieille certainement la cinquantaine, même moi je fais jeune à ses côtés.
C’est une Macdonald, son kilt est vert et jaune de même couleur que celui du vieux Ronald et de Lorna, la petite salope qui vient de baiser avec Jules mon fils.
Comme pour la première, son majordome lui tend, une autre bourse ayant toujours sa bague dans son écrin, il s’agenouille.
- Mathilde, comme moi, tu as raison de vouloir refaire ta vie après la désertion d’Éliot étant parti pour la Grèce avec un touriste.
Je sais que tu as eu du mal à te remettre de cette trahison surtout avec la nature de cette désertion.
Comme Jenny ta candidature est entièrement justifiée, mais tu as compris, voici cette bourse.
Ce que vient de dire John, me replonge dans ma propre histoire, à une différence près, Louis m’a trompé avec Lucretia que je croyais femme, mais qui était un androgyne.
Bite et magnifique personne dans un même corps.
À ce jour, ils naviguent ensemble sur les mers du globe et moi j’ai divorcé avec l’aide de mon beau-père et amant Duc, mais ça, c’est de l’histoire ancienne.
La troisième candidate sensiblement de mon âge reçoit le même accueil.
Une bourse de compensation avant que John s’agenouille devant celle qui immanquablement va recevoir le cadeau qui devrait m’être destiné, mais que je devrais refuser ayant des charges d’âme en France.
- Adélia, je vais être direct après ce qui s’est passé avec Carl Grant, même si je suis sûr que les Cromwell s’assureraient la victoire au tir à la corde, mon cœur brûle d’amour pour Marie assise à côté de toi.
Donne cela à Carl de ma part.
C’est dans le brouillard ayant entendu les mots qui déchiraient mon cœur qu’il s’est relevé.Il s’agenouille devant moi et sans prendre la bourse qui lui était tendue, m’ouvre l’écrin ou repose une bague magnifique.
- Marie, cette bague appartenait à ma grand-mère, celle de ma maman est sur le doigt de celle qui m’a donné Élisabeth, ma fille.
Acceptes-tu de m’épouser, je suis fou de toi ?
Le ciel me tombe sur la tête.
Il me faut un instant pour reprendre pied sur terre.
- John, moi aussi je t’adore et il y a peu je t’ai laissé me le prouver, mais je suis dans l’obligation de refuser, car ma vie est en Normandie ou ma fille et mes chevaux doivent m’attendre.
- Je sais tout cela Marie, mais j’allais te faire une proposition.
Au temps des jets, surtout le mien, je te propose de garder ta vie dans ton manoir et, ici aussi.
Nous gérerons chacun nos patrimoines mais les week-ends ou les fêtes spécifiques à chacun de nos pays, nous serons ensemble.
Je suis heureuse de cette proposition même si j’ignore à quoi je m’engage, j’avance mon annulaire.
John se relève, me relève et avec un bonheur incommensurable, je tombe dans ses bras.
Une pluie de bonnets aux pompons blancs de toutes les couleurs des clans monte vers le ciel, certains me retombant dessus.
Depuis les baisers avec Duc, c’est le baiser le plus suave que je reçois.
John saute en bas de l’estrade me faisant redescendre.
Mon ventre finit par se retrouver au sien, il bande.
Seront nous assez fous de faire l’amour au pied de cette estrade devant ces centaines de personnes.
Par chance, Jules et Élisabeth nous rejoignent nous permettant de reprendre nos esprits.
Je suis presque portée vers la corde reposant au sol.
Vais-je apporter au clan Cromwell la même force qu’Adélia...
Ça permet à tous les invités et participants de lever une nouvelle pinte.
John remonte sur scène.
- Alors, nous y voilà, le moment que chacun de nos clans attend est enfin venu.
L’une d’entre vous, mes demoiselles, va devenir ma fiancée du moins si elle accepte d’épouser un vieux croûton.
- Papa assume ta future presque cinquantaine, si j’étais une autre que ta fille, je me rongerais les sangs de savoir si je serais l’élue.
- Si même ma fille s’en mêle pour me casser, allons y, Ronald, présente nous ta prétendante.
Je laisse de côté les quatre premières candidates toutes les yeux baignés d’amour pour ce beau parti surtout pécuniaire que John représente.
Bien sûr, il faut ajouter à ça mon envie de pleurer, il reste celle que le clan Cromwell a dû choisir sans mon avis pour faire la potiche.
Je pense qu’il serait mal venu de faire tout ce fatras pour épouser la cousine Berthe, ce ridiculisant devant tous ces kilts de couleurs chatoyantes.
- Bien, c’est à mon clan de me donner le nom de celle que vous avez choisie en me cachant soigneusement celle dont vous pensez qu’elle serait potentiellement ma future épouse.
Quel beau comédien, les larmes me montent aux yeux, j’ai envie de hurler épouse-moi, même si je dois tout quitter même ma Normandie pour toi.
Sur l’estrade, miss kilos Grant se trémousse pour attirer son attention.
Est-il possible que tout ceci soit une mascarade et que cette truie, pardon, elle est grosse, mais avec 30 kilos en moins elle serait une bibo ?
- John, je peux présenter une candidate pour qu’elle concoure à tes épousailles.
- Bien sûr, Jules, toi et ceux de ta famille arborent les couleurs de notre clan.
Tu es donc en possibilité de me présenter une jeune femme qui pourrait me séduire.
- C’est simple, je propose Marie, ma maman qui je le crois à des sentiments pour toi.
- Jules, tu es fou, à quel jeu joues-tu ?
Élisabeth qui bizarrement c’est rapproché de moi, me parle à l’oreille.
- Marie, je reconnais que j’ai été une petite peste et je m’en excuse, mais je t’en supplie, accepte de monter sur le podium.
Quel jeu de con, même les enfants me poussent à faire la potiche jusqu’à l’ultime humiliation de voir la bague dans l’écrin que John tient dans sa main être passé au doigt de mademoiselle porcinet.
Pourquoi je le sais, avec mon poids et ma taille de guêpe malgré les années qui commencent à compter même si je suis-je suis légèrement plus jeune que John.
Je tends ma main, John la saisie et quand je suis à sa hauteur comme pour les autres prétendantes, il me baise la main avant de me faire assoir sur la dernière chaise placée là et où les autres popotins ont déjà pris place.
À mes côtés, celui de celle qui sera la futur Lady Cromwell et à qui on aurait dû donner deux chaises même si j’exagère un peu par jalousie.
La cérémonie commence.
John a en main, une bague et un sac, non, une bourse comme les Lords en avaient au temps des Outlanders.
Il s’approche de la première jeune fille, en kilt bleu clair et bleu foncé.
On m’a donné les codes de couleurs, à part celui que j’ai sur moi bleu et rouge et les vert et jaune des Macdonald, les autres je les confonds.
Il s’agenouille devant elle.
Je vois qu’elle espère avoir les honneurs de son clan et du notre car elle regarde mon amant avec des yeux enamourés.
Je vais lui arracher, si John tend la bague.
- Jenny, les Fraser me font un grand honneur et toi aussi, de vouloir devenir, ma nouvelle épouse, mais...
Ouf, mais, veux dire que c’est non.
- Reçois cette bourse en dédommagement des dépenses engagées par ta famille.
Mon choix va vers une autre, je suis sûr que tu trouveras rapidement un mari à la hauteur de ta grâce.
Une d’éliminée.
Je suis complètement folle, elle était très jolie, je me serais bien vu avoir des petits moments d’intimité avec elle après son mariage.
Une nouvelle fois quand John s’étant relevé s’agenouille devant la deuxième fille bien plus vieille certainement la cinquantaine, même moi je fais jeune à ses côtés.
C’est une Macdonald, son kilt est vert et jaune de même couleur que celui du vieux Ronald et de Lorna, la petite salope qui vient de baiser avec Jules mon fils.
Comme pour la première, son majordome lui tend, une autre bourse ayant toujours sa bague dans son écrin, il s’agenouille.
- Mathilde, comme moi, tu as raison de vouloir refaire ta vie après la désertion d’Éliot étant parti pour la Grèce avec un touriste.
Je sais que tu as eu du mal à te remettre de cette trahison surtout avec la nature de cette désertion.
Comme Jenny ta candidature est entièrement justifiée, mais tu as compris, voici cette bourse.
Ce que vient de dire John, me replonge dans ma propre histoire, à une différence près, Louis m’a trompé avec Lucretia que je croyais femme, mais qui était un androgyne.
Bite et magnifique personne dans un même corps.
À ce jour, ils naviguent ensemble sur les mers du globe et moi j’ai divorcé avec l’aide de mon beau-père et amant Duc, mais ça, c’est de l’histoire ancienne.
La troisième candidate sensiblement de mon âge reçoit le même accueil.
Une bourse de compensation avant que John s’agenouille devant celle qui immanquablement va recevoir le cadeau qui devrait m’être destiné, mais que je devrais refuser ayant des charges d’âme en France.
- Adélia, je vais être direct après ce qui s’est passé avec Carl Grant, même si je suis sûr que les Cromwell s’assureraient la victoire au tir à la corde, mon cœur brûle d’amour pour Marie assise à côté de toi.
Donne cela à Carl de ma part.
C’est dans le brouillard ayant entendu les mots qui déchiraient mon cœur qu’il s’est relevé.Il s’agenouille devant moi et sans prendre la bourse qui lui était tendue, m’ouvre l’écrin ou repose une bague magnifique.
- Marie, cette bague appartenait à ma grand-mère, celle de ma maman est sur le doigt de celle qui m’a donné Élisabeth, ma fille.
Acceptes-tu de m’épouser, je suis fou de toi ?
Le ciel me tombe sur la tête.
Il me faut un instant pour reprendre pied sur terre.
- John, moi aussi je t’adore et il y a peu je t’ai laissé me le prouver, mais je suis dans l’obligation de refuser, car ma vie est en Normandie ou ma fille et mes chevaux doivent m’attendre.
- Je sais tout cela Marie, mais j’allais te faire une proposition.
Au temps des jets, surtout le mien, je te propose de garder ta vie dans ton manoir et, ici aussi.
Nous gérerons chacun nos patrimoines mais les week-ends ou les fêtes spécifiques à chacun de nos pays, nous serons ensemble.
Je suis heureuse de cette proposition même si j’ignore à quoi je m’engage, j’avance mon annulaire.
John se relève, me relève et avec un bonheur incommensurable, je tombe dans ses bras.
Une pluie de bonnets aux pompons blancs de toutes les couleurs des clans monte vers le ciel, certains me retombant dessus.
Depuis les baisers avec Duc, c’est le baiser le plus suave que je reçois.
John saute en bas de l’estrade me faisant redescendre.
Mon ventre finit par se retrouver au sien, il bande.
Seront nous assez fous de faire l’amour au pied de cette estrade devant ces centaines de personnes.
Par chance, Jules et Élisabeth nous rejoignent nous permettant de reprendre nos esprits.
Je suis presque portée vers la corde reposant au sol.
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